Suite à des difficultés indépendantes de notre volonté (enfin, celle de mon Maître car une sissy n’a aucune volonté propre, hormis de satisfaire son Mâle Alpha), mon Maître n’avait pas pu venir me voir à la date prévue. Cela m’avait désolée, car je pensais recevoir une correction suite aux échanges que nous avions eu par messagerie. En effet, je n’avais pas été très obéissante : je ne porte pas ma cage tout le temps, même si je mets souvent la manille qui me fait pendre mes bourses ; à tel point que, parfois, la manille tombe. Tout autant à ma grande déception, parce que je ne ressens plus ce poids sur mes ovaires, qu’à ma grande joie : cela signifie que j’ai de petits ovaires, comme la bonne sissy que je souhaite être. Cependant, ce rendez-vou manqué n’était que reculer pour mieux sauter (ma petite chatte, en tout cas l’ouvrir)… Le nouveau rendez-vous fut vite fixé. Vous pouvez d’ailleurs en voir les photos. Rien qu’à la pensée de cet après-midi, mon clito de sissy se durcit.
Je décidais de m’habiller de façon identique au rendez-vous manqué. Mon principal vêtement était une robe violette uniquement en fil dans le style des robes des années 20, en plus courte et sans tissu. C’est donc une robe de salope, ce que je suis, puisque je suis une sissy soumise. Mes bas noirs étaient retenus par un porte-jarretelles en dentelle de même couleur. Pour finir les vêtements, des escarpins à talon aiguille et dont les fixations remontent presque sous le genou.
Pas de string ou de culotte, pas de soutien-gorge. Juste une calotte en perles sur la tête.
Il est vrai qu’en bonne pute de sissy, mon sexe allait être occupé autrement…
Comme la dernière fois, je réussis à mettre la cage à mon clitoris et la manille au-dessus de mes ovaires : que de poids autours de mon clito, qui ne bandait pas complètement dans la cage, amis l’occupait totalement et mes bourses. La cage se referme avec un système qui, heureux hasard, me griffe délicieusement le creux du pubis, juste au dessus du clito. D’autant plus existant de la mettre !
Espérant que cela fasse plaisir à mon Maître, la traînée de sissy que je suis s’enfile une boule dans le vagin, en laissant sorti la tige coudée et l’anneau que je devrais passer autour de mes bourses. Hélas, entre la cage et la manille, il ne reste plus de place. Qu’à cela ne tienne, je ferai comme pour le rendez-vous manqué : j’attache une chaîne à la manille, la passe dans l’anneau puis me la passe autour du cou, la fixant sur elle-même, le reste de chaîne pouvant servir de laisse. Maintenant que mon clito, et mon vagin sont occupés, je mets à mes chevilles et à mes poignets les attaches de cuir offertes par le Maître lors de notre première rencontre et qui ne nous avaient pas servies. Ayant les poignets et les chevilles fins comme il se doit pour une sissy, je dois serrer les bracelets au maximum.
Je me mets ensuite à quatre pattes sur le lit, en attachant ensuite la cheville et le poignet correspondant ensemble. J’écarte au maximum les cuisses pour satisfaire la vue de mon Maître qui arrive quelques instants après. Ouf, j’étais prête à temps.
Mon Maître semble satisfait de moi : il aime que je me sois attachée de moi-même, avec un maximum de ce que j’avais comme entraves. Il aime aussi que je me sois contorsionnée pour accrocher mains et poignets de chaque côté : cela offre donc des possibilités de positions avec la jolie pute soumise que je suis.
Après avoir admiré ma position, totalement offerte, il prend la cravache et me tapote les bourses, pendantes comme il le souhaite. Cependant, il a un cadeau pour moi. Il me délie les poignets des chevilles (mais me laisse mes bracelets) et me demande de marcher devant lui. Ca lui plait.
Le Maître m’ordonne de retourner sur le lit, et de me coucher sur le dos. Il admire mon vagin pénétré de la boule, dont seul dépasse une fine tige d’un centimètre de diamètre. Il retire les chaînes et me demande de me lever : la tige pèse de tout son poids sur ma chatte serrée, que je sens s’ouvrir légèrement.
Il m’offre alors un rose bud et me demande de le mettre. Je retire la boule de mon vagin, le distendant lorsque je passe le diamètre maximum de 4,5 cm. Han, je gémis légèrement, de douleur et de plaisir. Oui, je vous l’ai dit, j’ai une chatte étroite, même si plusieurs bites l’ont visité (mais pas en même temps), ainsi que des godes ou des vibros. J’enfile le rose bud après l’avoir lubrifié. Quelle merveilleuse sensation que d’avoir la chatte ouverte et pleine. Mon Maître a soif et demande du whisky. Je me lève pour le servir ; Han, je gémis encore : quelle merveilleuse sensation que de marcher avec le rosebud dans la chatte, d’autant plus qu’une boule remue dans le rosebud lorsque je me déplace. La putain que je suis prend plaisir . Je vais porter ce bud très souvent. D’ailleurs le Maître souhaite que je le porte à longueur de journée, comme la cage. Cependant, celle-ci est un peu grande, il me faudra en récupérer une plus petite : une bonne sissy se doit d’avoir un petit clito apparent…
Je me remets à 4 pattes et suce le Maître pendant qu’il finit son verre.
C’est ensuite une alternance de pipes (mon Maître n’éjacule pas facilement et il aime se faire sucer longtemps, à mon grand plaisir), d’exposition de mon intimité, à 4 pattes (ce que j’apprécie aussi beaucoup). Lorsque mon Maître admire mon vagin budé et mon clito encagé de sissy, il les tapote aussi de la cravache, ce qui me plait malgré la légère douleur (mon Maître ne me frappe pas très fort : le but est de jouir avec la douleur, pas d’avoir mal)… J’aime aussi quand il utilise le martinet sur mes fesses. Pour la circonstance, il est surpris que je lui présente une spatule pour qu’il me fesse. C’est que la sissy que je suis aime se faire fesser et sait que cela plait au Maître. Il me traite de salope, et me fesse fortement de la spatule. Il n’arrive pas à croire qu’il faut me frapper si fort pour que je gémisse de douleur et le plaisir.
Pendant 2 heures, ce n’est que pipes, exhibitions, avec jambes écartées, dos cambré pour mieux montrer ma chatte et me faire fesser. Je sens que je deviens la sissy que la Maître attend : une bonne salope. Il est tombé sur une vraie sissy : soumise et pute totale. Il pourra me faire faire beaucoup plus qu’il ne le pensait. Il envisage de me faire sucer les queues des joueurs lors de sa prochaine partie de poker. Sous la table, ils ne sauront pas qui les sucent, et auront ensuite la surprise de découvrir que c’est une jolie sissy qui les a fait jouir. J’espère que certains voudront se venger en me fessant et en utilisant ma chatte sans scrupule. Le Maître envisage aussi de me prendre à son service pour que je nettoie chez lui, en soubrette. Comme Madame sera là, il me faudra aussi lui lécher la chatte sur commande : toute sissy qui se respecte doit faire tout ce que son Maître attend d’elle, sexuellement. J’ai hâte qu’il me prête à d’autres hommes ou femmes.
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