C’est de nouveau Christiane. La mère de Mélanie. Je suis de nouveau contrainte par Mohamed de vous raconter ma dernière humiliation sexuelle. Ce petit salaud a été contacté par un de ses cousins qui voulait obtenir un prêt pour construire une maison. Comme tout le monde dans la cité, ou presque, sait maintenant que Mohamed contraint une bourgeoise, directrice de banque, à lui obéir aux doigts et à l’œil, certains se disent que ce serait con de pas en profiter…
Je reçois donc un coup de fil de mon tourmenteur sur mon portable un matin juste avant de partir au travail. Il me précise qu’un client va débarquer et qu’il faudra lui accorder le prêt sans poser de questions. Je tente d’argumenter que cela risque de ne pas être évident, je ne suis pas toute seule à décider. Mais Mohamed m’interrompe et me dit que ce n’est pas son problème…Avant de raccrocher, il ajoute avec un rire gras, qu’il ne faut pas que je mette de sous-vêtements, ce n’est pas la peine….
J’entre dans la banque saluant mes employés au passage d’un signe de tête. Je suis habillée d’une jupe crème avec des bas marrons. Les talons aiguilles de mes luxueux escarpins en daim résonnent dans le hall….Je monte rapidement les escaliers conduisant à l’étage de la direction et j’entre dans mon bureau. Très vite, le téléphone sonne et l’hôtesse d’accueil m’annonce, un peu surprise, que mon rendez-vous est arrivé. Je bafouille que c’était prévu et lui demande de le faire monter.
Paniquée, le cœur battant la chamade, j’attends derrière mon bureau. On frappe à ma porte et je crie d’entrer. Un homme, d’une quarantaine d’années, d’aspect négligé, rentre accompagné par l’hôtesse que je remercie. Elle me lance un regard intrigué. La directrice ne reçoit pas pour une demande de prêt habituellement, il y a des employés pour ça. L’homme se retourne matant sans gêne les longues jambes de l’hôtesse quand elle sortit de mon bureau.
Il se retourna et me dévisagea.
– Je m’appelle Bachir, je suis le cousin de Mohamed. Il m’a assuré que vous pourriez m’obtenir un prêt sans difficultés.
– Bien, bafouillais je, finissons en vite…
Je remplis le formulaire de demande de prêt. Il me fournit les pièces justificatives, un minimum, ce sera à moi de me débrouiller. Il demande une somme importante. Ces formalités administratives terminées, je lui dis que je le contacterais pour lui donner la réponse.
Je me lève signifiant la fin de l’entretien mais il reste assis.
Il prend une voix dangereusement douce pour me demander :
– C’est tout ? Mohamed m’a dit que j’aurais droit à un cadeau…
Je blêmis et titube sur mes talons.
– Co…Comment ça, croassais-je…
– Lève-toi !
L’ordre a claqué comme un coup de fouet ! Je me lève précipitamment.
Je dois faire le tour du bureau et me mettre devant lui.
– Soulève ta jupe, salope !
Rougissante, j’obéis, relevant doucement ma jupe dévoilant mes jambes jusqu’au porte-jarretelles blancs. Bachir sourit en découvrant ma fente.
– Mohamed m’avait bien dit que tu aurais la chatte à l’air !
– Fais voir tes nichons !
Résignée, je dégrafe mon corsage. Mes seins lourds apparaissent.
– Viens me sucer !
Il reste assis et je dois me mettre à genoux entre ses jambes. Tremblante, je dégage sa bite de son pantalon. Elle est dure et gonflée. J’hésite et impatiemment, Bachir appuya sur ma tête.
– Aller putain ! Applique-toi…
Sa bite força mes lèvres pulpeuses. J’eus un hoquet et prenant la base du pénis avec mes mains manucurées, je commence à le branler doucement. Ma langue tourne autour de son gland. Je salive sur sa bite. Il donne des coups de reins pour mieux s’enfoncer dans ma bouche. Ma tête monte et descend avec régularité. Je tremble à l’idée d’être surprise !
Brahim poussa un bramement de plaisir en éjaculant dans ma bouche, éclaboussant mon palais de son liquide poisseux…Je déglutis avec peine et avale sa semence…Je me relève et m’essuie le menton avec la main…
– Putain, je ne le crois pas !
L’exclamation me fait sursauter ! Je me retourne, la jupe autour de la taille, la chatte et les seins à l’air…
Oh Mon Dieu, non ! Pas lui ! Non !
Jérôme, mon jeune stagiaire se tient dans l’entrebâillement de la porte…
Jérôme est un jeune homme de 25 ans taillable et corvéable à merci puisqu’en CDD. Je le charge surtout des taches ingrates comme faire les photocopies ou m’apporter le café…Pas très grand, des lunettes, il a un physique ingrat et je l’ai déjà rabaissé en public plusieurs fois…
Il rentre dans mon bureau et referme la porte avec soins…
Brahim se lève et se rajuste. Ils entament une discussion surréaliste en ma présence mais comme si je n’étais pas là. Brahim lui parle du site et il se précipite sur mon ordinateur pour vérifier. Il mate les photos quelques temps et se relève me regardant autrement. Il s’approche et me pince la pointe d’un sein ! Je couine…
Brahim prend congé et sort du bureau me laissant seul avec Jérôme.
Celui-ci tourne autour de moi comme un fauve devant une nouvelle proie…
– T’es vraiment une belle pute, lâcha-t-il en me regardant dans les yeux.
Je tente de lui expliquer d’une voix larmoyante que je n’ai pas le choix mais cela ne semble pas du tout l’émouvoir bien au contraire ….
Il me désigna mon bureau directorial.
– Monte là-dessus ! A quatre pattes, salope ! Comme une chienne !
Réprimant un sanglot, je m’exécutais.
Il farfouilla dans le tiroir de mon bureau et en sortit une règle plate. Il fit le tour et abattit sèchement la règle sur mes fesses me faisant hurler !
– Tais toi salope ! Tu veux qu’on vienne ?
Je frémis que l’on me découvre dans cette position humiliante.
Il me donna encore quelques coups me faisant pousser des cris brefs.
Il posa la règle et sortit sa queue bandée.
– Va falloir me soulager maintenant….
Je suis debout au milieu de mon bureau juchée sur mes hauts talons, la jupe tirebouchonnée autour de la taille. Jérôme s’est mis derrière moi. Je sens sa bite contre mes fesses. Il me prend les seins à pleines mains et les presse. Il remonte sa main le long de mes jambes et caresse ma vulve.
– Penche-toi en avant…
Docile, j’obéis. Il plonge ses doigts dans mon vagin et les fait coulisser…Je ne peux m’empêcher de gémir…
Il me donne une claque sur mes fesses !
Il me pénétra debout comme un soudard. Les mains sur mes hanches, il s’enfonça d’un coup de reins puissant m’arrachant un grognement. Il me bourre violemment. Mes seins gigotent. Son bas-ventre vient claquer contre mon cul.
Pendant qu’il me baise, il bafouille, haletant :
– Je te baiserai quand je veux maintenant. Toute la journée…
Je me mords les lèvres en entendant ces mots…Je sens sa queue qui me lime furieusement et j’halète…Il se dégagea à ma grande surprise me laissant frustrée. Il alla s’asseoir dans mon fauteuil en cuir et m’ordonna d’aller sous le bureau.
Son sexe dressé palpitait à quelques centimètres de mon visage…
– Suce-moi !
J’aspirais sa bite et le pompais délicatement. Poussant un soupir d’aise, Jérôme ricana :
– Si on m’avait dit qu’un jour je me ferais tailler une pipe par la patronne sous le bureau…
Je lui suce la verge, le gobe en creusant les joues. Je lui caresse les couilles.
Soudain, trois coups frappés à ma porte me font sursauter ! Je proteste doucement quand j’entends Jérôme crier d’entrez. Je me tais et arrête ma fellation mais Jérôme discrètement appuie sur ma nuque et j’engloutis de nouveau son membre.
Je reconnais la voix de l’hôtesse d’accueil qui demande à Jérôme ce qu’il fait dans le fauteuil de la patronne.
Il répond que je suis d’accord et je frémis quand l’hôtesse lui ayant demandé où je me trouvais il répondit de façon énigmatique :
– Oh, pas très loin…
Soulagée, j’entends l’hôtesse ressortir.
Cette situation dut exciter Jérôme car il lâcha des jets de sperme qui s’écoulèrent dans le fond de ma gorge.
Voici donc ma nouvelle situation. Non seulement je suis, avec ma fille, l’esclave sexuelle de Mohamed et ses complices qui nous prostituent contre notre volonté. Mais je suis la pute à blacks de Moussa et ses sbires. Quant à Jérôme, il me baise à chaque occasion à la banque et il veut mettre d’autres employés masculins dans la confidence.
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