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Alice – La reine de cœur

Alice – La reine de cœur



Une marche de quelques minutes les mène rapidement en vue d’un immense château, sombre et inquiétant. Les soldats guident leur prisonnière jusqu’aux geôles et l’y jettent sans ménagement. Alice se retrouve nue, dans une cellule ceinte de tous côtés de barreaux d’acier, et entourée d’autres prisonniers partageant son sort. Ces derniers en profitent pour observer la nouvelle venue sous tous les angles ; qui sait depuis combien de temps ils n’ont pas vu de femme par ici ?

La lumière du jour peine à filtrer par les maigres ouvertures, et Alice n’a aucune idée du temps qui s’est écoulé quand des bruits de pas se font entendre.
« Ma reine, voici votre captive. Nous avons essayé de ne pas trop l’abîmer pendant le transport. »

« C’est parfait capitaine » dit une voix hautaine en s’approchant. « Laissez-moi examiner de plus près cette intruse ».

Alice distingue la silhouette de la fameuse reine de cœur à travers la pénombre. Un port de tête droit et une démarche assurée sont exacerbés par sa tenue : un corset de cuir rouge, fermement lacé, fait ressortir son opulente poitrine. La reine est juchée sur de très hauts talons qui claquent sur le sol de pierre ; sa mini-jupe de cuir également crisse légèrement à chacun de ses pas. Alice ressent instantanément une forte attirance pour cette femme impressionnante.
« Ainsi c’est toi qui pénètre dans MON royaume sans autorisation, et te permets de faire tourner la tête de MES créatures ? » Alice n’a pas le temps de protester que la reine reprend :
« Je vais te remettre à la place que tu mérites. Capitaine, ouvrez cette porte immédiatement ! »
La reine s’avance à l’intérieur de la geôle. Elle tient à la main un sac de velours, dont elle révèle le contenu à Alice. « Attache ça, et ne fait pas d’histoires ». Le ton de la reine exprime une telle autorité qu’Alice s’exécute sans poser de question, et même avec une certaine admiration. Elle noue donc ce qui se révèle être un collier de chien autour de son cou, y accroche la laisse que lui tend la reine, et lui en présente docilement l’autre extrémité. Un geste de la reine lui intime de se mettre à quatre pattes et de la suivre ; elles montent ensemble l’escalier en colimaçon, et franchissent une immense porte donnant sur une salle de réception. Alice fait un mouvement de recul en apercevant une immense table, à laquelle sont installés de nombreux convives, mais un coup vif sur la laisse la tire en avant.

« Tu serviras le dessert, en attendant tu vas rester bien sage dans ce coin. Je t’ai laissé une gamelle d’eau » lui dit la reine en accrochant sa laisse à un anneau dans le mur.
Les invités ne semblent guère s’intéresser à sa présence, à peine lui jettent-ils un coup d’œil de temps à autre. Alice lape donc un peu d’eau dans le bol. Elle se détend. Quand vient la fin du repas, un domestique vient la détacher et lui indique les plats à apporter à table. Son service se déroule tranquillement, à peine quelques regards vicieux s’attardent sur son corps dénudé. Alors qu’elle se dirige à nouveau vers sa gamelle, la reine l’interpelle :

« Chienne ! Ta place est sous la table. Et si tu veux recevoir quelques friandises, tu dois te montrer bien sage ! ». Alice passe donc sous la table, à quatre pattes. L’homme assis à côté d’elle l’appelle et agite un morceau de gâteau. Alors qu’elle approche sa bouche de la main, l’homme ouvre sa braguette et guide sa tête dans cette direction. Alice se remet à l’ouvrage, pensant avec une certaine angoisse aux nombreux convives présents à table… Mais elle n’a pas à le sucer très longtemps : tour à tour, tous les invités lui présentent une friandise, et la font venir à leurs pieds. Elle n’a que le temps de commencer à les faire durcir qu’un autre l’appelle déjà. Elle a dû goûter à une vingtaine de gâteaux différents, et autant de pénis, quand elle entend une voix impérieuse ordonner :
« Aux pieds, chienne ! Tu importunes mes hôtes ! » Alice se précipite vers la reine. Celle-ci empoigne son collier, et fourre sa tête sous la mini-jupe de cuir. « Fais plaisir à ta maîtresse si tu veux ta récompense… »

Alice commence à lécher sa propriétaire. C’est sa première expérience lesbienne, mais il n’est pas difficile de savoir quoi faire, et Alice y prend beaucoup de plaisir. Elle passe doucement sa langue le long de la fente, titille le clitoris. La reine tire plus fort sur le collier, qui bloque partiellement la respiration d’Alice. Mais celle-ci continue, pinçant le clitoris entre ses lèvres, l’aspirant et le léchant. Les cuisses de la reine tremblent, ses talons aiguille raclent le sol de marbre. Alice pénètre de sa langue le trou offert, et la colle contre les parois. S’enhardissant, elle vient glisser un doigt, puis deux, dans la chatte humide de sa maîtresse. Celle-ci se cambre et relâche un peu son collier. Elle caresse presque tendrement la tête d’Alice. Celle-ci se sent bien, et à sa place aux ordres de cette implacable mais magnifique créature. Elle veut lui faire plaisir, et explore de l’index de son autre main l’anus de la reine. Cette dernière s’avance à l’extrême bord de la chaise pour faciliter le passage ; Alice continue donc son insertion. Elle tente de bouger ses doigts au même rythme, et intensifie les coups de langue. Les cuisses de la reine s’écartent autant que possible, elles tremblent de plus en plus fort jusqu’à ce qu’Alice sente sa maîtresse dégouliner et palpiter sauvagement. Elle a contenté sa propriétaire.

Celle-ci lui donne une petite tape sur la tête, la fait sortir de sous la table et la ramène dans son coin. « Messieurs, cette chienne est finalement très bien dressée. Je vous ordonne de la récompenser. »
Quelques convives se lèvent alors, le membre toujours dressé, et viennent se branler devant Alice. Sa laisse est trop courte, elle ne peut pas les atteindre, mais il semble que ce ne soit pas ce qu’ils attendent d’elle. A quelques minutes d’intervalles, ils jouissent et remplissent de sperme la gamelle d’eau qu’Alice avait bue. C ‘est donc sa récompense… Alice consulte la reine du regard, qui opine de la tête. Elle vient donc laper le sperme tiède dans le bol.
Une fois la gamelle vidée, elle relève la tête : les invités sont partis, et sa maîtresse est à ses côtés. Alice lève les yeux vers elle, respectueusement et tendrement. Mais les contours de la pièce se floutent, l’image-même de la reine pâlit, semble se déformer. Elle sent sa vision s’atténuer… Non, elle ne veut pas se réveiller ! Malgré tous ses efforts, elle sent le voile du songe se déliter, elle retrouve le contact des brins d’herbe sous son corps, et la caresse de la brise fraîche du soir. Elle est de nouveau sous son arbre, le livre à la main…

Alice se lève en souriant. Elle sait comment y retourner… et a hâte de savoir quelles délicieuses tortures l’attendent, en compagnie de la reine de cœur.

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