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Ma soeur Faten.

Ma soeur Faten.



Ma sœur Faten.
Chapitre 1/4

Mon histoire commença dans une ancienne voiture de marque Peugeot, une 504 familiale, louée pour la circonstance, un taxi, d’ailleurs. C’était le seul taxi qui pouvait prendre plus de quatre passagers dans ce petit village. Nous avons passé un week-end pour un mariage et c’est 10 personnes, dont deux enfants qui se sont entassés dans ce vieux tacot. Son propriétaire était devant et en plus du chauffeur, il y avait mes deux beaux-frères.

Moi, j’étais assis tout juste derrière le chauffeur, à ma droite, ma sœur, Faten puis ma mère et en dernier, ma nièce de 16 ans, la fille de ma sœur, Noria, qui était derrière nous en plus de son garçon de 10 ans et la sœur de mon beau frère. Entre nous, j’ai prié le bon dieu d’être à côté de ma sœur, le trajet est long, c’est une femme divorcée, j’aurais pu tenter ma chance par des caresses et j’ai fait exprès de ne monter qu’en dernier, mais c’était dommage. Nous avions pris le départ aux environs de 18 heures et en été, il faisait encore jour.

Je vous présente ma famille ou du moins, les personnes dans le taxi. Sauf que leurs noms et lieux ont changés.
Quatre filles : la plus grande est âgée de 50 ans, Miriam, mariée, 6 enfants, dont l’une de ses filles vient de célébrer son mariage ce week-end.
La deuxième est celle qui est assise derrière nous, Noria, âgée de 36 ans, deux enfants, la fille de 16 ans et le garçon de 10 ans.
La troisième est assise à côté de moi, Faten, elle a dans les 26 ans.
La dernière est âgée de 20 ans, elle est restée chez Miriam. Dans nos coutumes, les filles du même âge restent chez la mariée, au moins une semaine après le mariage.
Deux frères plus âgés que moi, mariés. Bon, ce n’est pas utile de s’attarder sur eux, en dernier, ma mère, veuve qui a dans les 70 ans.
Et moi, je suis l’avant dernier-né, âgé de 24 ans.

Mes deux beaux-frères, l’un âgé de 40 ans, mari de Noria, l’autre dans les trente ans, l’époux de Faten. Le troisième étant absent. je leur ai donné, à chacun, un surnom. Pour l’absent le « bon », il est vraiment bon, toujours gentil avec nous. Le deuxième est le « truand », c’est un directeur dans une administration publique, affairiste né, toujours plein aux as, mais radin comme tout. Le dernier, je n’ai jamais pu m’entendre avec lui depuis le premier jour où je l’ai rencontré, surnommé « la brute ». Un de ces fanatiques religieux où tout est défendu par la religion. Je me suis demandé comment Faten a-t-elle épousé ce singe qui ne lui permet même pas de respirer l’air en toute liberté, vêtue d’une tenue noire où rien ne filtre, pas même son visage, ni ses mains toujours gantées.

De la gente masculine, à part lui, personne n’a le droit de lui adresser la parole, excepté nous, ses frères et pas ses frères à lui. N’en parlant pas de regarder la télévision, ou discuter à voix haute, de chanter, l’enfer quoi ! Regarder un homme ou lui adresser la parole, elle risque la mort. À voir ma sœur, j’ai compris pourquoi on dit que l’amour est aveugle. De mes souvenirs d’elle au lycée et bien avant, en pantalon moulants, ainsi que les jupes, de ses maillots de bains à plage. Elle aimait beaucoup mettre son corps en valeur, je ne vous cache pas qu’elle est une très jolie femme, que beaucoup d’hommes aimeraient épouser.

Comment j’ai assisté au mariage de la nièce, c’était la providence, les mariages de famille, les réunions, etc., ça ne m’intéresse pas. Il se trouve que cette semaine-là, au lieu de prendre l’avion de l’entreprise – je travaille dans une entreprise pétrolière – comme d’habitude, j’en ai fait part à un ami du mariage de ma nièce. Il a fini par me convaincre de l’accompagner, ça lui permettra de discuter avec quelqu’un : le trajet paraîtra moins long, enfin, c’est sur son chemin. Il habite à une cinquantaine de kilomètres de la localité de ma sœur. et avec un lavage de cerveau, digne de lui, il a réussie a me convaincre de l’accompagner et rendre visite à ma sœur que je n’ai pas vue depuis au moins quatre ans. « Et où irais-tu, me dit-il, du moment que la demeure familiale est fermée, du moment que toute la famille est absente ! ».

Bon, je reviens à mon histoire, la voiture est dépourvue de tout confort. On était très à l’étroit. Au fait, si je n’étais pas le frère de Faten, la « brute » n’aurait jamais accepté qu’une autre personne. Masculine, s’installe à côté de sa femme. Et le hasard a voulu que je ne sois monté dans le véhicule qu’au moment où il était prêt à démarrer et, sans calcul, je suis monté à côté d’elle. J’ai pris ce retard dans le but de m’asseoir à côté de la divorcée, j’étais certain que lui, il irait s’asseoir à côté de sa femme, sur le siège-arrière. D’après lui, la religion ne permet, à une femme, d’être assise ou accompagnée d’une personne autre que son mari, son père ou son frère. L’état de la voiture est déplorable, en Europe, même la casse l’aurait refusée, ni vitres, ni sièges bien rembourrés, on sent nettement les ressorts sous nos culs. Partie bombée, une autre creuse, nos pieds risquent de toucher le goudron à tous moments, vous avez une idée de la voiture, mais c’est naturel et normal dans un pays maghrébin.

L’état des routes est déplorable avec tous les nids de poules, en plus de la poussière qui se dégage, ajouté à ce tableau, l’odeur du fuel qui nous brûle les narines. Mais, est-ce qu’on a le choix ? J’ai regretté d’avoir écouté mon ami, je me suis traité de tous les noms et dans tout ce tableau, le silence est absolu, ni radio, ne parler qu’a voix basse. Par contre, la « brute » ne discute que de religion. Chez nous, les coutumes et la religion, ont toujours fait bon ménage, mais pour les fanatiques de son genre, nous sommes des athées et le pauvre vieux chauffeur est remis à l’ordre chaque fois qu’il prononçait un mot au cours de discussion sur le sujet et mal lui en prenait s’il essayait de convaincre la « brute ».

Bon, pour ne pas me mettre en colère et brûler tout le taux de sucre dans mon organisme, je m’évade en pensant à des jours meilleurs, au boulot, à n’importe quoi, mais m’évader. Ce n’est que lorsque que j’ai senti un poids sur ma jambe que je suis revenu sur terre. Mes vêtements me collent à la peau, avec la poussière en prime, le poids qui me pesait sur la jambe et sur une partie du ventre, c’était une partie du corps de FATEN, elle était penchée sur ma mère qui, elle aussi, est penchée sur la nièce. Toutes les trois sont endormies, dans cet espace très réduit et avec cette chaleur infernale, je me demande comment qu’elles ont pu s’endormir, à moins que ce soit la fatigue. Même celles, assises derrière, étaient endormies. J’ai essayé de bouger un peu pour jeter un coup d’œil à la sœur de mon beau-frère qui était juste derrière moi. C’était une aubaine pour moi de passer le temps en essayant de glisser ma main sur sa peau, cela me permettait d’oublier ce voyage d’enfer plus dur que le travail dans un champs pétrolier, mais il fallait le faire en douceur avec une très grande précaution, pour éviter d’être pris et surtout éviter le regard des autres, en particulier la « brute ». Avec discrétion, je pris la chose en main, mais ce n’était pas facile. Il fallait que je fasse des efforts pour pouvoir remonter ma main, heureusement que FATEN dormait. Mon regard était braqué tantôt sur la fille, tantôt sur ceux de devant, son père et surtout la brute. La divorcée était penchée sur Noria, ma main était posée sur la banquette, comme un serpent, je l’avance tout doucement, mais il m’a paru un temps énorme pour arriver à toucher sa robe et sa jambe. Il ne faisait pas encore nuit, mes doigts touchaient sa jambe et, par bonheur, entre sa jambe et la cuisse.

Je retirai ma main, mais avec des efforts considérables, ce n’était pas facile du tout de bouger dans cet espace très réduit comme si j’étais prisonnier. Mais la tentation en valut la chandelle pour moi, à cet âge-là, je n’ai pas encore couché avec une fille. Donc, je pousse ma main un peu plus loin, entre le dos du siège et son corps, en me faisant mal au bras et à la main, mais mon effort fut couronné de succès, ma main est arrivée à toucher sa peau, plus particulièrement sa fesse ou sa jambe. Un temps d’arrêt pour voir la réaction de l’adversaire et vu qu’il n’y eut aucune réaction au contact, j’ai senti mon visage devenir chaud. Je continue ma progression très, très lentement, jusqu’à ce que mon doigt touche du tissu. Je savais que c’était sa culotte. Je devins rouge comme une tomate. Tout marchait à vive allure dans mon cerveau, je ne pensais plus aux autres, c’était primordial de toucher un peu plus sa peau, d’explorer tant que j’avais l’occasion et pourquoi pas, de caresser une chatte, du moment que l’occasion était propice, mais pour le faire, il fallait que je me soulève un peu, pousser mes pieds sur le plancher, comme si j’étais debout, mais trop penché sur le corps de Faten. En d’autres circonstances, je l’aurais pensé et non essayé.

Lorsque ma main effleura son entrejambe et, surtout, quand mon doigt a touché sa chatte, même sur le tissu, tout mon sang s’est mis à bouillir, mon sexe banda trop rapidement, ma main s’est mise à trembler, je voulais glisser mon doigt sous le tissu, mais c’était très difficile, je risquais de me casser le bras ou le blesser. Mais, pour le faire, il fallait un grand effort et il me fallait prendre certaines précautions, il ne faisait pas encore nuit. Je jetai un coup d’œil sur les personnes assises devant, ensuite sur celles d’à côté de moi et là, je fus presque frappé par la foudre, tout mon corps se glaça, j’étais trop collé à Faten, comme si je la baisais par derrière et le comble, c’était presque vrai. Je ne m’étais pas rendu compte que mon corps l’épousait trop, comme je le faisais, des fois dans le bus, quand l’occasion se présentait derrière une fille.

Toute personne, me voyant dans cette position, dira que je la baise avec sa bénédiction et pour la brute, ça sera l’occasion inouïe de nous égorger tous les deux avec un large sourire. Dans sa croyance, par ce geste, il ira tout droit au paradis. la peur me fit faire un geste incontrôlable, tout mon corps s’est jeté, involontairement, sur la porte, d’où un choc et le bruit a réveillé les endormies et surtout le fanatique qui a tourné sa tête pour savoir d’où venait ce bruit.

« Qu’est-ce qui se passe, derrière ?
– Rien, lui dis-je, j’ai fait un cauchemar ! »

Ils se sont tous réveillés, je me suis mis tout petit pour éviter de toucher ma sœur. J’avais trop honte, je lui tournais le dos, regardant la nature par la vitre, mais malgré ca, je me sentais ville créature, coupable d’un geste, même involontaire et je n’arrêtais pas de penser quand la divorcée, involontairement, me cogna la nuque avec son poings, je me retournai vers elle, elle s’empressa de me présenter des excuses, tout en criant : « mais tu as du sang sur le visage ? ».

Ça m’a étonné, mais effectivement, j’avais du sang qui coulait de ma tête, ma main en était pleine, comment je n’ai pas senti ça ?
Faten criait aussi, ma mère me demanda : « montre moi ça ! », et ce fut tout le monde qui s’inquiéta, y compris le chauffeur.qui stationna sur le bas-côté; pour courir ouvrir la malle et en retirer de ce qu’il en restait d’une boîte qu’il surnommait la « boîte à pharmacie ». La bouteille de c*********e était presque vide, mais le coton existait, c’était l’essentiel. Le temps que le chauffeur me nettoie la plaie, les autres se sont dégourdi les jambes. Ce n’était pas trop grave, on a repris le chemin et heureusement, il faisait nuit, je ne pouvais regarder ma sœur en face.

Pendant tout le trajet, je n’arrêtais pas d’essayer de me convaincre que Faten était endormie, sinon c’était la honte de toute ma vie, si elle pensait que je l’avais fait volontairement.
J’ai commencé à avoir une petite fièvre, j’avais envie de pleurer, mais je n’ai pas pu.
Comment avoir la conviction qu’elle était endormie ?

Même si elle l’était, épousant son corps de cette façon, elle se réveilla de facto, j’allais tomber malade.
Comment lui faire comprendre que c’était involontaire et, inconsciemment, que jamais je n’oserais.

Je l’observais discrètement, son comportement me paraissait très normal, sa cuisse collée à la mienne. Aurait-elle pu éviter que sa jambe épouse la mienne ?
C’était à devenir fou, avec mes pensées maléfiques.la sueur me collait au corps, malgré la fraîcheur de la nuit. Tout ce que je souhaitais, c’était d’arriver au plus vite chez nous, mais le contraire était plus réaliste, les plaques kilométriques défilaient, la voiture roulait, mais on dirait qu’elle avançait en reculant. Je faisais tout pour ne pas la toucher, tous mes sens étaient en éveil, faire l’impossible pour ne pas la toucher, quitte à se métamorphoser, devenir le néant.
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