Les vacances sont arrivées, Inès, ma sœur, qui était au lycée à Alger, chez mon frère, a regagné la maison. J‘étais très content. Je la baise presque chaque soir. J’étais comblé. Elle me procurait un plaisir fou. Elle se confia à moi pour me dire qu’elle a baisé une seule fois à Alger, avec un copain à elle. Elle n’était pas contente, sa bite était petite par rapport à la mienne. Elle voulait, une grosse queue !
Un jour, j’ai programmé une mission à Alger, pour acheter des pièces de rechanges, pour la réparation d’un véhicule. Je rappelle que je suis un mécanicien auto et je travaille dans un garage dans notre village, distant de 100 km d’Alger.
Mon voyage à Alger va me permettre de passer deux ou trois jours chez mon frère. À mon arrivée, je fus très bien accueilli par mon frère et sa femme Karima. Karima est une belle femme de 23 ans, une belle rousse, une taille de 1m68, yeux clairs, poitrine moyenne, du 85B.
Quand je suis arrivé, elle était habillée en t-shirt, un short, qui mettait en évidence ses belles jambes. J’étais un peu gêné, mais, mon frère vit à l’européenne, à Alger. On passa une bonne soirée, après avoir dégusté un bon repas que Karima nous avait mijoté.
J’avais rendez vous le lendemain pour les pièces, à partir de 11 heures. Le matin, je me suis réveillé à 9 heures. Après mon passage à la salle de bain, je croisai ma belle sœur, Karima. Elle me dit que le petit déjeuner était sur la table de cuisine. Elle avait, toujours un t-shirt et un pantalon d’intérieur qui moulait ses fesses et du coup, j’étais très excité par cette beauté ambulante qui me donnait envie de la prendre et de la baiser. Mais je sais que c’est difficile.
Je prends mon petit déjeuner. Mon frère est au travail, il sort tôt a cause de la circulation. Je regarde Karima, en train de faire le ménage, c’est une belle femme, une jolie rousse au visage couvert de jolies tâches de rousseur, elle est très mignonne. Il fait très chaud, ce jour de juillet. Je suis assis au salon, Karima passe l’aspirateur sur le tapis, elle passe devant moi, un peu penchée, ce qui fait ressortir son beau cul qui me fait rêver.
Je ne sais pas ce qui me prend, quand elle s’est approchée davantage de moi, je pose mes mains sur ses fesses. Surprise, je suppose, elle ne réagit pas. Tout juste un peu de rose aux joues… J’insiste, lui pelotant fermement le cul cette fois-ci… !
Alors que je m’attends à prendre une gifle ou la voir s’enfuir, qu’elle n’est pas ma surprise quand elle me dit :
— « Non… Ahmed…, je suis la femme de ton frère…, j’ai vraiment peur… ! »
Je ne peux pas m’arrêter, je continue à la peloter. Je passe ma main entre son entrecuisse, au-dessus de son pantalon léger. Je sens qu’elle mouille. Elle dit d’une voix entrecoupée « non…non… arrête… ! », mais toujours plaquée au même endroit et l’aspirateur en main.
Je bande comme un âne. Je me lève et je cherche alors ses lèvres, tandis que ma main s’insinue dans son pantalon à élastique, à la recherche de ses parties intimes, que je masse savamment et frotte avec ma main, au-dessus du string qu’elle portait…
Karima gémit doucement, elle lâche l’aspirateur, elle s’approche de moi, se blottit, maintenant, contre mon corps, m’embrassant à pleine bouche. Je lui prends la main et je l’entraîne dans sa chambre, elle se laisse faire, mais murmure encore des mots, elle dit :
— « Non… Ahmed, stp…, pas ça…, je suis la femme de ton frère…, c’est de l’i****te… ! »
Je ne réponds pas. Arrivés à la chambre, je lui ôte rapidement son t-shirt et découvre une magnifique poitrine que n’entravait aucun soutien-gorge… Je pétris, palpe, caresse ses adorables seins et prends en bouche, ses tétons roses de vraie rousse…
Karima n’est pas restée inactive, non plus et elle a déboutonné mon pantalon et sorti ma queue. Je bande, bien sûr, comme un cerf et elle s’est jetée sur ma bite goulûment. Elle me pompe, me lèche comme jamais une femme me l’avais fait !
Elle me dit qu’elle avait toujours rêvé d’une grosse et longue bite. Elle veut la manger. Au bout de quelques minutes de ce traitement, j’éjacule puissamment sur son visage… Après cette merveilleuse pipe que m’a gratifié Karima, je lui enlève son pantalon, elle a de belles cuisses galbées qui m’excitent encore plus. Je la prends dans mes bras et la fais coucher sur le lit. Je la dépose délicatement. Quelle est belle, langoureusement avachie sur ce lit, un petit sourire au coin des lèvres, ses seins fièrement dressés. Uniquement vêtue d’un petit string rouge, ce qui rend la scène encore plus érotique ! Il ne me faut pas longtemps pour bander à nouveau.
Je me mets à genoux à côté d’elle et pose ma bouche sur ses lèvres qui s’entrouvrent aussitôt. Nos langues s’entremêlent un long moment, avant que je détache mes lèvres des siennes et que je commence à explorer son merveilleux corps. Je lui pelote à nouveau les seins et suce les pointes roses et charnues qui gonflent sous ma langue. Je tête goulûment ces beaux globes, d’un blanc laiteux, pigmentés d’adorables tâches de rousseur… Karima a l’air d’apprécier, car je l’entendis gémir doucement « hmmmmm… »
Je descends plus bas, J’embrasse et lèche son ventre, son nombril jusqu’à l’élastique de son string rouge. Ma langue parcourt son bas-ventre, tout le long de l’élastique, je donne l’impression d’hésitation et c’est Karima, d’un « continue ! » suppliant, qui me libère enfin. Je prends donc le haut du string dans mes mains et commence à le descendre, aidé par Karima qui soulève légèrement ses fesses. Ce bout de tissu, mouillé, passe sous mon nez, je dis : « hmmmmmm…, ça sent la femme qui veut baiser… ! »
Elle me dit : « ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, Ahmed, je veux baiser, je fantasmais sur une queue grosse comme la tienne…..nique-moi…. Baise-moi comme une chienne… ! »
Je découvre, une chatte merveilleuse, attirante, mouillée avec une magnifique petite touffe rousse aux poils courts et frisés, puis en continuant à descendre une longue fente étroite et serrée, aux lèvres charnues et elles aussi, couvertes de poils roux. Dans une totale impudeur, Karima écarte ses jambes, me livrant ainsi, une vue imprenable sur son intimité.
Je ne peux pas résister à une telle invitation et j’enfouis ma tête entre ses cuisses. J’embrasse cette vulve, je la doigte délicatement, avant de la fouiller avec ma langue. Je n’avais pas brouté une chatte comme ça depuis si longtemps ! J’écarte le repli de ses petites lèvres et découvre son petit clitoris que j’excite aussitôt avec ma langue. Le petit bouton rose réagit instantanément et il bande comme un pénis ! Un peu de cyprine s’échappe de la fente, maintenant bien ouverte de Karima, m’informant qu’elle est prête à m’accueillir….
Je mets le gland de mon sexe entre les lèvres de son vagin, je le frotte pour que les mouilles se mélangent. Je l’entends presque crier « heinnnnnnnnn….nique-moi… ! ». Je pousse ma bite, très raide, au fond de son puits, je la fais glisser, doucement dans son trou, il est très serré. Ce qui augmente mon désir. Elle me serre entre ses jambes, puis je sens que ma bite touche le fond de son utérus. Et je commence un va et vient lent. Puis, j’accélère, en lui enfonçant ma bite à chaque mouvement, au fond de son puits. Elle continue de gémir et de crier : « vas y…, défonce-moi, nique-moi…, je suis une salope… »
D’un coup, elle s’agrippe à moi, me serrant très fort avec ses jambes. Elle vient d’avoir un orgasme. Moi de même, j’explose, je me vide complètement dans son trou douillet. Elle se détend complètement, je reste un moment à l’intérieur, puis, je retire ma bite, avec du sperme dégoulinant. Elle prend ma bite et la lèche pour la nettoyer, elle avale ce qui restait comme sperme.
Je lui dis : « ça t’a plu ? », elle me dit : « ouiiiiiiiiiiiiii… ! », puis elle se lève, prends ses habits et se dirige vers la salle de bain !
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