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babette et Sylvie

babette et Sylvie



Je vais vous raconter une de mes premières, et parmi mes meilleurs expériences interraciales.

Nous étions sortis en boite ce samedi-là, avec deux collègues blacks et moi. Les gars étaient plus âgés que moi, la quarantaine, d’origine africaine, avec un physique qui ne laissait aucun doute sur leur passé de sportif.

C’étaient de vrais queutards qui m’abreuvaient de leurs histoires de cul lors des pauses café au boulot. Alors, quand ils m’ont proposé de sortir ensemble un soir pour « chasser la salope » comme ils aimaient à dire, je n’ai pas voulu rater l’occasion de les voir à l’oeuvre.

C’était le début de l’été, Nous avions commencé la soirée en allant boire quelques verres en terrasse afin de profiter de la douceur du climat et de la vue des filles en tenue légère.

La chaleur, l’alcool et la vision de toutes ces belles femmes nous avaient bien mis en condition et nous étions chauds comme la braise en arrivant à l’entrée de la boite de nuit. Il était encore relativement tôt et la boite n’était pas encore remplie.

Nous nous sommes dirigés vers le bar. Après avoir commandé un verre, nous avons porté notre regard vers la piste de danse encore à moitié vide.

A quelques mètres de nous, deux jolies filles se trémoussaient sur le rythme de la musique. La première était brune, environ 1m70, les cheveux mi-longs avec une frange sur le front, avec une poitrine moyenne.

La seconde était blonde, d’un blond très clair, avec des cheveux longs qui lui arrivaient au milieu du dos. sa poitrine de taille généreuse et se balançait au gré des mouvements de danse.

Elles étaient tellement sexy qu’on ne remarquait qu’elles sur la piste de danse.
La conversation allait bon train entre nous à propos d’elles. Deux grosses bosses dans les pantalons de mes collègues africains ne laissaient aucun doute sur leur excitation et également sur la taille hors norme de leur instrument de plaisir.

Au bout de quelques minutes j’ai laissé mes deux collègues pour me rendre aux toilettes. Après 5 minutes je suis revenu au bar et là, quelle ne fût pas ma surprise de voir mes amis entourés des deux filles de tout à l’heure.
Ils discutaient ensemble et semblaient avoir déjà bien fait connaissance, les filles étant collées chacune à un des blacks. Elles avaient littéralement fondu sur eux juste après mon départ pour les brancher sans pudeur.

-« Steph, on te présente Babette la brune et Sylvie la blonde » me dit Malick
qui tenait la jolie Babette par la taille.

-« On va prendre une table et une bouteille pour être plus à l’aise » enchaina Issa qui s’occupait de sylvie.

Nous nous sommes donc installé à une table dans le fond de la boite, mes deux collègues et les filles assis sur la banquette et moi sur un pouf en face d’eux.

Les filles nous ont expliqué qu’elles étaient cousines. sylvie venait d’une petite ville de province et était venue passer quelques jours de vacances chez son oncle et sa tante à Paris.
babette lui faisait découvrir les plaisirs de la capitale.

Elles avaient 18 ans toutes les deux, sylvie venait de fêter son anniversaire la semaine dernière. De près, j’ai pu découvrir les beaux yeux bleu de sylvie. Cette fille était vraiment magnifique elle avait vraiment un visage d’ange.

Elle n’était pas trop maquillée, juste un peu de mascara qui agrandissait encore plus son regard et du gloss rose sur ses belles lèvres.
babette avait l’air beaucoup plus délurée, avec un regard de salope.
On sentait qu’elle avait beaucoup plus d’expérience malgré son jeune âge.
Dès le début de la conversation, babette nous déclara qu’elle était une « BAB », une « blanche à blacks », une babtou, et très fière de l’être.

Elle baisait avec des blacks uniquement et cela depuis 3 ans.
sylvie, elle, n’avait encore jamais connu d’homme noir, uniquement quelques garçons au lycée. Mais elle était très fière d’annoncer qu’elle pipait déjà dans les toilettes du collège et qu’elle était passée maître dans l’art de la gorge profonde, ce qui dans sa bouche se traduisait par : « J’avale tout jusqu’aux couilles » suivi d’un petit rire enfantin.
Sa cousine lui avait vanté les nombreux mérites des blacks et sylvie était impatiente de tenter cette nouvelle expérience.

Après un ou deux verres, les jeunes filles déjà peu farouche n’avaient plus aucune inhibition ni aucune pudeur. Après les avoir embrassé à pleine bouche, puis avoir peloté leurs seins à travers le tissu, mes deux amis se mirent à les doigter devant moi.
Babette et sylvie ne firent aucune objection et bien au contraire écartèrent les jambes pour faciliter l’introduction des doigts dans leur orifice.
Au bout de quelques secondes, un délicieux ploc-ploc sonore provenant des chattes lubrifiées des demoiselles se fit entendre. De leur côté, les filles caressaient l’entrejambe gonflé de leur partenaire.

Nous ne tardâmes pas trop à partir pour se rendre chez moi car j’habitais assez près de la boite et il fût décidé de finir la soirée dans mon appartement.
Dans la voiture, les filles montèrent à l’arrière avec leurs étalons pendant que je conduisais. Je jetais de temps en temps un oeil dans le rétro pour ne rien perdre de se qui se passait derrière moi.
babette avait dégagé ses deux nichons de sa robe et les donnait à téter à Malick.
Sylvie avait baisé son micro short sur ses chevilles et, placée devant Issa, se faisait manger goulûment l’abricot par celui-ci.

Issa se mit a écarter les deux globes fessiers de sylvie pour inspecter la totalité de sa raie et plus particulièrement son trou du cul. Il trouva une petite rosette très serrée, qui visiblement n’avait jamais été déflorée.

sylvie confirma qu’effectivement elle n’avait jamais été enculée.
Les 2 compères échangèrent alors un regard complice qui en disait long et Issa déclara: « On va s’occuper de ça tout à l’heure ne t’inquiète pas ma belle ».
Une fois arrivés chez moi, mes amis s’installèrent dans le canapé et me dirent:
-« Steph, vas nous chercher une petite bière pendant que ces demoiselles commencent à nous sucer. »

Je m’exécutais et revînt quelques instants plus tard avec 3 bouteilles de bières bien fraiches. Les filles étaient déjà à genoux devant Issa et Malick qui avaient sorti leur bite du pantalon. Chacune avait commencé à sucer la queue de son partenaire.
La grosseur des beaux membres noirs était encore plus importante que ce que j’avais prévu. Malick avait une bite d’environ 24 cm de long et d’un assez gros diamètre. Issa avait une queue environ aussi longue, mais d’une largeur encore plus imposante, avec un gland énorme, et très veinée. Son membre paraissait presque aussi gros que l’avant bras de sylvie.

Elle tenait la queue dans sa main et ses doigts n’arrivaient même pas à en faire le tour complet. Les deux compères étaient également dotés d’une paire de couilles hors norme, semblable à 2 abricots pendant sous leur tige de chair. sylvie ouvrait grand la bouche, presque à s’en décrocher la machoire, pour introduire le gros gland luisant entre ses lèvres. De sa main gauche elle branlait la grosse queue d’Issa en la faisant coulisser de bas en haut, tandis que sa main droite caressait les gros testicules de son amant.

De son côté, babette faisait une branlette espagnole à un Malick ravi.
La partie de son énorme bite qui n’était pas enfouie entre les deux seins bien lourds de babette était bien au chaud dans sa bouche humide. La jeune coquine massait bien le membre turgescent de son étalon noir avec sa poitrine tout en aspirant le gland gonflé. Puis elle se mit à lécher avec amour la grosse tige noire sur toute sa longueur, telle une sucette géante. La grosse queue africaine était bien luisante de salive, la jeune cochonne bavant abondamment dessus. Les couilles aussi eurent droit à un bon léchage et furent gobées l’une après l’autre, aspirées et massées par une jeune langue déjà experte.

Petit à petit, sylvie commençait à s’habituer à la grosseur exceptionnelle de sa première queue d’ébène. L’énorme bite entrait de plus en plus profondément dans la bouche gourmande de la jeune blonde. Issa tenait la tête de sa jeune salope pour enfoncer toujours plus loin son membre surdimensionné dans la cavité orale de sylvie, agrémentant son geste d’un « Vas-y salope, gobe tout jusqu’aux couilles ».
La salive coulait abondamment le long de la tige et se répandait sur les couilles rasées de Issa. Presque toute la queue était à présent enfilée dans la bouche et la gorge de sylvie. L’africain relacha la pression sur la tête de la blonde qui en profita pour extraire la grosse queue de sa bouche et pouvoir respirer. Elle reprit rapidement possession de son baton de plaisir pour le remettre bien au chaud dans son orifice buccal. L’africain se mit à lui pistonner la bouche de plus en plus fort, tenant la tête de sylvie et la faisant aller et venir sur sa bite tout en l’insultant et en la traitant de tous les noms.

Après plusieurs minutes, mes amis décidèrent qu’il était temps de passer aux choses sérieuses.

– « Allez les salopes, foutez vous à poil. Faites nous un petit strip tease petites chiennes blanches. »

Les filles s’exécutèrent sur le champs. Elles commencèrent à se trémousser devant nous comme sur la piste plus tôt dans la soirée. babette dégrafa son soutien gorge et le retira, Puis elle remonta le bas de sa robe le long de ses hanches jusqu’à sa taille, laissant voir ses fesses sur lesquelles était posé un string en dentelle de couleur bleue. Elle finit glisser sa robe le long de ses jambes, bientôt suivie par le string.

sylvie commenca par enlever lentement son débardeur, laissant apparaitre progressivement sa poitrine. Elle ne portait pas de soutien gorge, aidée en cela par son jeune âge et la taille modeste de ses seins. Puis elle ouvrit son micro short et le laissa tomber à ses pieds, dévoilant ainsi une magnifique petite chatte imberbe car la petite salope n’avait pas mis de string et avait la chatte à l’air sous son short échancré.

– « On s’est rasé le minou exprès cet après midi, on est toutes lisses » nous dit babette.
– « Penchez vous et écartez bien les fesses qu’on voit vos trous. »

sylvie et babette firent ce que Issa et Malick leur avaient demandé et exhibèrent impudiquement leurs orifices sous les yeux des deux africains.
Autant la chatte et surtout l’anus de sylvie étaient serrés,
autant les trous de babette démontraient un usage intensif et prolongé par de gros calibres. Sa chatte et son trou du cul n’étaient pas totalement fermés et offraient une belle ouverture même s’ils n’étaient pas vraiment béants.

– « Tu as vu Issa ? babette a des bons trous de BAB. On dirait des trous de vieille pute. Putain elle a dû en prendre de la queue de blackos cette salope. T’es un bon hangar à bites hein sale chienne ? « 

– « Oui je suis un bon sac à foutre pour l’Afrique  » répondit babette.

– « Par contre l’autre blondasse est bien serrée. On va bien se régaler à dilater tout ça. Surtout son trou de balle. D’ailleurs c’est elle qui va nous supplier de lui dépuceler le cul. Dis le salope. »

– « Oh oui s’il vous plait enculez moi » dit sylvie.

– « Mieux que ça connasse. Supplies moi de t’enculer sale pute. »

– « Je vous en supplie, défoncez moi le cul s’il vous plait » répondit-elle.

– « Ouais pétasse t’inquiète pas on va bien t’exploser le cul mais d’abord je vais bien profiter de ta petite chatte bien serrée. » répondit Issa à la supplication de sa blanchette.

– « Allez, gouinez-vous un peu salopes, ça nous excite de voir deux femelles blanches ensemble. »
babette prit les choses en main et s’approcha de sylvie. Elle commenca à l’embrasser fougueusement sur la bouche, en faisant tourner sa langue dans la bouche de sa cousine.
L’excitation ne tarda pas à gagner la jeune blonde qui se mit à lécher les seins de babette. Les deux filles s’embrassaient et se caressaient devant nous. J’étais complètement surexcité par ce spectacle. Ma queue était complètement compressée dans mon pantalon et je commencait à transpirer abondamment.

– « Allez les chiennes, bouffez vous bien la chatte maintenant. »

Immédiatement, les deux jeunes filles se plièrent à l’ordre de leurs maîtres africains et se mirent tête bèche sur le tapis pour entamer un 69. babette, sur le dessus, faisait tourner sa langue autour du clito de sa cousine qui se mit à gémir de plaisir. sylvie lui léchait aussi la chatte passionnément, en enfoncant bien sa langue à l’intérieur de l’orifice dilaté.

Tout en regardant le spectacle donné par les filles à leurs pieds, mes collègues commencèrent à se déshabiller intégralement. Ils bandaient tous les deux comme des taureaux et se branlaient doucement en regardant les cousines se bouffer le minou.

– « Bon, assez joué. Venez ici les salopes, qu’on s’occupe de vous » dirent en choeur mes 2 collègues.

Chacune alla retrouver son amant et l’embrassa amoureusement.
J’en profitais pour aller m’assoir sur le fauteuil en face d’eux,
descendre mon pantalon et mon caleçon sur mes chevilles et commencer à me branler lentement en profitant du spectacle superbe qui se déroulait devant mes yeux.

– « Hummm vous êtes bien trempées petites cochonnes. Les doigts glissent tout seul dans vos chattes. Tiens, goûte ta mouille ma salope » dis Issa en tendant ses doigts imprégnés a sylvie pour qu’elle les lèche.
– « Elles sont prêtes à se faire baiser comme de bonnes chiennes blanches qu’elles sont. Allez, foutez-vous à quatre pattes les chiennes. »

Les filles obéirent et se mirent à 4 pattes sur le tapis.
Les mecs commencèrent immédiatement à les prendre en levrette. Malick n’eut aucun problème à entrer directement à fond dans la chatte bien rodée de babette. Sa queue fut littéralement aspirée à l’intérieur comme dans un gouffre et il se mit à la limer sur toute la longueur de son chibre pendant que la brunette haletait et miaulait de plaisir.
Les choses furent un peu plus difficiles pour la queue énorme de Issa qui était vraiment dispropotionnée avec le jeune minou inexpérimenté de sylvie.
Mais la coquine était tellement excitée et la mouille se trouvait en quantité tellement abondante que le gros membre noir ne tarda pas à se frayer un chemin entre les lèvres charnues du vagin de la jeune blonde,

lui arrachant au passage un cri mélé de douleur et de plaisir. L’énorme dard entra finalement en entier dans la chatte dilatée au maximum et Issa commença à pistonner l’orifice de plus en plus fort.
Il saisit la longue chevelure blonde de sa partenaire de la main gauche et de la droite lui claquait la fesse. Il donnait de grand coups de boutoir et ses énormes testicules claquaient en fin de course sur le corps d’une sylvie haletante et gémissante. Une jolie mousse blanche de mouille fouettée recouvrit bientôt les 2 grosses queues noires.
Les ébats continuèrent de longues minutes, les amants changeant régulièrement de position pour diversifier au maximum leur plaisir et les demoiselles jouirent plusieurs fois sous les assauts de leurs étalons. Les filles alternaient entre les positions passives où elles se faisaient limer la chatte sans ménagement et les positions actives où elles prenaient un plaisir infini à chevaucher leur étalon noir et à s’empaler sur leur gros chibre tendu.

Enfin, Malick poussa un long râle et gicla à l’intérieur de la chatte de babette, bientôt suivi de Issa qui inonda de sperme chaud le petit minou de sylvie. Les deux compères se retirèrent, laissant derrière eux deux orifices béants et dégoulinants de semence blanche et crémeuse.
babette porta la main à sa chatte pour récupérer le précieux liquide et lécha ensuite ses doigts recouverts du sperme de Malick. Elle allongea ensuite sa cousine sur le dos, elle lui écarta les cuisses et récupéra sur sa langue le foutre à l’intérieur du vagin de sylvie. Puis elle vint l’embrasser tendrement et elle échangèrent dans un long baiser la semence d’Issa mélée à leur salive.

A la vue de cette scène, les membres des deux compères commencèrent déjà à reprendre de la vigueur.

– « Venez nous pomper salopes, qu’on s’occupe de vos culs de blanches. Léchez nous le cul aussi. »

Les cousines obéirent immédiatement et se ruèrent sur les deux blacks qui s’étaient mis en position avec les jambes écartées sur le canapé. Elles se mirent à leur lécher la raie du cul, les couilles et la bite avec ferveur, en s’appliquant bien pour faire durcir à nouveau les deux africains.

Puis Malick et babette entamèrent un 69 tandis que Issa commença à s’intéresser à l’anus de sylvie.

– « Steph, tu as du lubrifiant ? me demanda t-il. « Sinon je vais devoir la préparer uniquement en lui crachant au cul mais elle va morfler ».

– « Euh, non j’en ai pas. Attends je vais voir. »

Je partis à la cuisine et revint bientôt avec une bouteille d’huile d’olive.

– « C’est tout ce que j’ai trouvé Issa. Ca ira ? »

– « Oui je vais bien lui graisser le cul avec ça. »

Il ouvrit la bouteille et versa l’huile entre les petites fesses de sylvie. Puis il força un doigt à l’intérieur du petit trou serré. On voyait qu’il avait l’habitude et que cela ne devait pas être, loin s’en faut, le premier anus qu’il préparait à être dépucelé. Il doigta la petite blonde un bon moment, allant jusqu’à enfoncer 4 doigts dans l’orifice qui s’ouvrit petit à petit. sylvie poussait de temps en temps des cris de douleur mais Issa n’en tenait aucun compte et poursuivait inexorablement la dilatation du trou du cul.

Une fois la phase de doigtage terminée, le dépucelage anal commença. Issa lubrifia son gros chibre avec un filet d’huile puis présenta son énorme gland à l’entrée du petit orifice. Il ne fit pas dans la dentelle et força l’entrée en poussant son dard d’un coup sec, sans aucune considération pour la pauvre sylvie qui poussa un cri de douleur.
Elle ne reçut qu’un « Ferme ta gueule salope, j’ai déjà été gentil de te huiler le cul » de la part de son enculeur comme seul réconfort.

« Tiens lèche moi les pieds comme ça on t’entendra moins » et il présenta son pied devant le visage de sylvie tout en l’enculant en levrette.
Elle s’exécuta et suça le gros orteil noir comme on le lui avait ordonné.
Puis ce fut un pillonage en règle, aussi bien pour babette, dont l’anus déjà dilaté accueilli facilement la bite de Malick, que pour sylvie sur le visage de laquelle le rictus de souffrance fit progressivement place à un sourire béat et extatique.

Mes deux collègues échangèrent plusieurs fois de partenaires, Malick voulant aussi profiter de l’anus encore bien serré de sylvie . Ils en profitaient à chaque fois pour faire sucer leur chibre par l’une ou l’autre afin de leur « Faire tester le goût de leur cul ».
Les deux blacks ayant déjà déchargé une première fois dans les chattes des demoiselles, ils purent se retenir au maximum et profiter très longuement de leurs cavités anales avant de sentir venir à nouveau l’envie de jouir.
Issa fut le premier à décharger et choisit d’inonder les nichons de babette qui étala la semence sur ses seins en les malaxant.
Malick continua encore quelques minutes à enculer Sylvie puis sortit rapidement la queue de son cul pour éjaculer plusieurs jets de sperme épais sur le visage d’ange de l’ex-pucelle.
Pour ne pas en perdre une goutte, babette vint rapidement lécher le visage de sa cousine et l’embrasser.

Malick et Issa demandèrent ensuite aux deux filles de se mettre a genoux et de m’exhiber leurs orifices bien utilisés pendant maintenant près de deux heures par leurs amants noirs.
Les quatres trous étaient complétement béants, bien rougis par les vas et viens des queues. L’anus encore vierge il y a peu de Sylvie était méconnaissable.

Je n’en pouvait plus, je me retenais de jouir depuis trop longtemps. Mes collègues me dirent alors de venir gicler sur les filles si je voulais, que je l’avait bien mérité. Je ne me fit pas prier, me mis debout devant babette et sylvie, me branlais quelques secondes et me soulageais enfin sur leurs deux visages offerts.

Babette me demanda ensuite un mouchoir afin de nettoyer son visage et celui de sa cousine puis le jeta dans la poubelle avec un air de mépris.

– « Vous êtes de bons sacs à foutre les salopes. Vous nous avez bien vidé les couilles. Il faut qu’on se revoit, on va bien s’amuser avec vous. Ta cousine reste jusqu’à quand chez toi babette ? « 

– « Merci les mecs. sylvie est une BAB comme moi maintenant. Elle reste encore 2 semaines ici, mais elle revient à la rentrée en septembre pour la fac. Vous allez pouvoir profiter de nous tant que vous voulez. »

– « Cool ça. Là on a été gentils et respectueux mais maintenant qu’on vous connait on va pas se gêner avec vous. Toi avec des gros trous de pute je suis sûr que tu dois te faire bien fister hein salope ? »

– « Ouais, je me fais fister chatte et cul » répondit babette d’un air de défi.

– « Ca tombe bien on adore fister les jeunes blanchettes comme vous. Ta cousine va aimer ça aussi bientôt. Et puis on va vous prendre en double comme deux bonnes putes. »

– « Avec plaisir » répondirent en choeur les deux cousines.

-« Dis donc Malick, Hakim cherchait pas des BAB pour le chantier ? Je crois qu’on vient de lui trouver ce qu’il lui faut ! »

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