« Je me suis imaginé être ta chienne soumise. «
Était-ce bien moi qui venait de dire cela?
Tandis que la phrase résonnait dans ma tête, je vis le regard de Marc scintiller. Un sourire des plus coquins se dessina sur sa bouche et ses deux mains se plaquèrent derrière ma tête. D’un geste brusque, il attira mon visage contre sa queue. Par reflex, j’ouvris la bouche pour accueillir son sexe dur. Celui-ci s’enfonça dans ma gorge directement. Je voulus me repousser en arrière, de peur de vomir, mais Marc me retint avec force et donna un coup de hanche qui me fit avaler quelques centimètres en plus.
– Gobe toute ma queue! me dit-il avec une certaine autorité.
Seuls des bruits étouffés sortait de ma bouche, ainsi que de la salive qui ne tarda pas à couler le long de mon cou jusque sur mon tee-shirt.
Au bout de quelques instants, Marc relâcha ma tête. Je tombai sur les fesses, haletant, le cœur tapant contre ma poitrine.
– Tu … tu es fou, j’ai… j’ai failli vomir… lui annonçai-je, la bouche humide et les yeux brillant par les larmes qui commencèrent à couler.
– Il ne restait plus grand chose. Encore deux ou trois centimètres et tu aurais eu ma queue toute entière dans la bouche.
Il s’approcha de moi et me saisit par le menton.
– Tu imagines ça? Vingt-et-un centimètre dans ta gorge?
Ses doigts remontèrent jusqu’à mes lèvres, puis deux d’entre-eux se faufilèrent dans ma bouche. Je passai ma langue par dessus et commençai à les sucer lentement tout en fixant Marc d’un regard timide.
– Si tu veux être ma chienne soumise, va falloir que tu arrives à prendre ma bite entièrement dans ta gorge. Seulement après ça tu auras le droit de l’avoir dans le cul. Tu la veux dans le cul, hein?
– Hm… oui…
– Oui quoi?
– Je veux l’avoir dans le cul, répondis-je tout en suçant ses doigts qui doucement s’enfonçaient plus profondément vers ma gorge.
– C’est pas mal, mais je pense que tu peux être une meilleure chienne que ça, non?
Je pris alors sa main dans l’une des miennes, et de mon autre main je caressais lentement sa queue et ses couilles.
– Je veux sentir ta grosse queue me baiser comme une chienne. Je veux être ta petite salope, prête à tout pour te faire gicler.
Sa bouche s’ouvrit. Je le vis chercher les mots, mais l’excitation lui empêcha de dire quoi que ce soit. Il me saisit alors par le cou. Le choc me submergea tout autant qu’il me rendit fou de désir. J’´étais en proie à une vague d’excitation comme jamais je n’avais pu vivre jusqu’ici.
– Ouvre ta bouche et laisse toi faire.
Je m’exécutai. Son gland glissa contre mes lèvres, puis je le sentis rouler sur ma langue. Le goût de son sexe me fit presque jouir! Je fermai les yeux pour me détendre car bientôt, l’envie de vomir aller surgir de nouveau.
– Ouvre tes yeux et regarde-moi! m’ordonna-t-il.
Il me fixait en souriant.
– Je veux voir ton regard lorsque tu auras enfin la totalité de ma queue ta bouche.
Sa bite glissa lentement. Elle pénétrait doucement jusqu´à ma gorge. La sensation était de plus en plus difficile à supporter, mais je voulais la prendre en entière. Je voulais être la chienne que je lui avais promis d’être.
– Hm… c’est bien ça, petit salope. Courage, ne me déçois pas. Il te reste encore que quelques centimètres.
J’avais des hauts le cœur. La salive emplissait ma bouche et débordait sur les côtés. Je me retenais de tousser pour ne pas devoir tout recommencer.
Ses mains postées derrière ma tête, il me chuchota:
– Prêt?
Je clignais des yeux, et les larmes roulèrent sur mes joues. Puis il donna un violent coup de hanche, faisant glisser les derniers centimètres de sa queue en moi.
Je sentis alors son gland descendre dans ma gorge. Ses couilles et son bas-ventre étaient collés contre mon visage. Il me retint ainsi pendant une durée indéterminée, mais qui me parut très longue.
La sensation était étrange. Comme si j’avais quelque chose de coincé dans ma gorge. Je respirai par le nez, paniqué car l’envie de vomir était de plus en plus forte. Ma bouche était inondée de salive. Je lui tapotais sur la cuisse pour lui faire comprendre que j’en pouvais plus.
– Encore un peu. Relax! Profite de ce moment. Tu as 21 cm dans ta bouche, c’est une sacrée performance.
En guise de réponse, je toussais, espérant faire sortir sa queue en même temps. Mais en vain. Il me tenait avec une telle force que je ne pouvais pas bouger.
– Prends mes couilles dans ta mains, caresse-les.
Je ne réagissais pas à ce qu’il venait de me dire. Je me concentrai seulement sur cette sensation horrible mais excitante à la fois.
– Prends mes couilles, petite chienne!
Marc ramena sa hanche encore plus vers moi, ce qui rajouta un ou deux centimètres en plus au fond ma bouche. Je levai alors une mains et saisis ses couilles. Je les malaxai lentement en tentant d´ignorer mon envie de vomir. Je pleurais, mon visage était humide de larme et de salive.
Et d´un seul coup, il retira sa queue de ma bouche. Un long filet de bave resta accroché entre son sexe et mes lèvres. Je tombais en arrière, aspirant le maximum d’air que pouvais, crachant sur moi-même toute la salive emmagasinée.
A peine eus-je le temps de reprendre mes esprit que Marc me souleva par les bras et me renversa à quatre pattes sur la serviette.
La tête posée sur le sol, la bouche ouverte et toujours sous le choc de cette gorge profonde que je venais de subir, je sentis ses mains me chopper par mon pantalon. Il défit le bouton et baissa le tout, caleçon avec.
L’air frais de la mer me caressa le bas du dos et les cuisses. Je voulus lui parler, mais avant que je ne puisse ouvrir la bouche pour dire quelque chose, il m’écarta les fesses et dit :
– A nous deux!
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