Depuis des années, Annabelle et moi, enfin surtout moi, avons un fantasme, celui de faire l’amour à trois, nous ne sommes jamais encore passés à l’acte et maintenant qu’elle a 60 ans, je me dis que c’est le moment de forcer le destin ; j’ai invité un correspondant rencontré sur xhamster en lui faisant miroiter que peut-être il aurait l’occasion de baiser la femme qu’il voit régulièrement sur les films que je lui envoie. Il connaît tout de son corps, il l’a vue habillée, en sous-vêtements, complètement nue, les jambes écartées, le cul tendu, en train de baiser, il l’a entendue gémir, hurler, il ne lui reste plus qu’à la baiser réellement.
David est un grand black d’une trentaine d’années à qui j’ai tout expliqué, il arrive ce soir, je l’ai invité pour deux jours
Annabelle est remarquablement conservée pour son âge, quand elle était jeune, elle était brune, maintenant elle se teint en blonde avec des mèches du plus bel effet. Avec la pratique régulière du sport, elle a gardé la ligne, des seins naturels assez lourds et une cambrure qui fait ressortir ses fesses.
Je suis donc allé chercher David à la gare, et lorsque je reviens avec lui, je vois qu’elle s’est apprêtée, elle s’est maquillée et porte un corsage blanc légèrement transparent sous lequel on distingue le soutien-gorge blanc également. Elle a mis une jupe noire assez ample et des bas noirs, compte tenu que le soutien-gorge est blanc, j’en déduis que la culotte l’est également.
Il est évident que je ne lui ai rien dit de nos projets, je garde la surprise pour le dessert…
A tout hasard, j’ai branché en douce une caméra qui peut filmer pendant 4 heures.
Pour l’apéritif je propose le ti punch, je sais qu’elle adore cela et en plus je les fais toujours costauds ; Effectivement elle en boit deux. Le repas est assez animé et bien arrosé, à la fin, je tape sur mon verre pour réclamer l’attention et je dis :
– Puisque c’est ton anniversaire, je t’ai apporté un cadeau, il est encore emballé, c’est à Toi de le déballer, je montre David et je dis voici ton cadeau !
– Je désigne Annabelle et je dis à David : voici le tien !
Il y a un moment de silence.
– Qu’est-ce que ça veut dire ? demande Annabelle.
– Ça veut dire que depuis le temps que l’on hésite à faire l’amour à trois, j’ai pris l’initiative avec ce charmant jeune homme que tu as pu apprécier tout au long du repas.
– Je ne suis pas d’accord, tu aurais dû m’en parler d’abord !
– Pourquoi, tu ne le trouves pas sympa ?
– Evidemment que si, mais là tu exagères !
Elle se lève, en colère
– Ne te fâche pas, je m’approche d’elle, embrasse-moi !
Elle accepte de m’embrasser, j’en profite pour lui caresser les seins, son baiser devient plus insistant, je fais signe à David de se rapprocher, il arrive par derrière, je prends sa main et je la pose sur le sein de mon épouse, je déboutonne le premier bouton du corsage pour qu’il puisse avoir un passage, il ne se fait pas prier, il écarte le soutien-gorge et capture un téton , Annabelle n’essaie pas de l’en empêcher ; je sens que c’est bien parti, je l’avais dit à David :
– Avec elle si tu arrives à lui caresser les seins sans prendre une baffe, c’est gagné !
– Bon ! ça suffit dit-elle en essayant de s’écarter.
Essai qui n’est pas transformé, David qui a réussi à choper un sein le tient fermement, il décide au contraire de poursuivre son avantage, soudain Annabelle se tortille dans mes bras, il a soulevé la jupe et lui caresse le sexe. Elle cherche à se dégager mais j’ai profité de ce qu’elle essayait de protéger ses arrières pour la caresser par devant, David et moi avons franchi la barrière de la petite culotte, il s’enfonce dans la vulve pendant que je masse le clitoris, on pourrait presque se serre la main dans sa culotte !
– Non ! dit-elle d’une voix alanguie en continuant à se tortiller
– Tu en as envie !
– Non ! Oooooh ! elle vient d’envoyer une giclée de cyprine dans la culotte, ça coule maintenant le long de ses cuisses.
David a compris, il la soulève, la dépose sur le divan e lui retire le dernier rempart qui protège sa pudeur, la petite culotte blanche (j’avais bien deviné) est complètement trempée.
Il se met à genou et prend place entre les cuisses de ma femme pour lui pratiquer un cunnilingus, je sais qu’elle adore cela et j’en avais fait part à David dans la voiture.
Je dégage mon sexe, elle s’en saisit à pleines main et commence à me masturber avec ardeur, je n’ai pas envie de cela et je pénètre sa bouche, elle me suce en ponctuant régulièrement par des petits gémissements.
David a remplacé sa bouche par deux doigts qu’il agite frénétiquement dans le vagin dilaté, de mon côté, je profite de ma position pour d’abord masser le clitoris et ensuite le décapuchonner et le coincer entre deux doigts ; cette fois ce ne sont plus des gémissements, c’est une longue plainte continue qu’elle émet, les orgasmes se suivent, elle est en train de tremper le canapé.
David a enfilé un préservatif et il la tringle carrément, sa grosse massue noire est entrée sans problème,
Annabelle n’est plus qu’un sexe avide d’être satisfait, plus moyen de se faire sucer, elle a la bouche complètement ouverte et elle brame en continu. J’adore la voir comme cela complètement renversée, le cul à l’air et la chatte dilatée.
Après cet épisode, nous sommes tous assez fatigués et décidons de passer au lit ; Annabelle en avait préparé un pour David, mais maintenant vu l’évolution de nos relations, il n’est plus question de le laisser aller au lit seul, c’est donc avec nous qu’il va dormir, heureusement, nous avons un lit en 180 de large.
Annabelle dort au milieu de nous, enfin dormir, c’est beaucoup dire parce que la nuit je suis réveillé par des secousses, il est encore en train de la tringler, en plus c’est très facile, comme elle dort toujours sur le ventre, il lui a suffi de soulever la petite chemise de nuit pour trouver dessous un abricot bien mur dans lequel il s’est engouffré sans préservatif cette fois… au début elle a râlé :
– Laisse-moi dormir ! sommeil ! fous-moi la paix !
Mais une fois qu’il a été en elle la musique a changé et c’est à nouveau des gémissements qui n’en finissent plus jusqu’au rugissement de David quand il se répand, avec la giclée qu’il a dû lui mettre, elle n’a pas fini de dégorger ! Mais enfin je vais pouvoir dormir !
Le matin, après un solide petit déjeuner Annabelle dit :
– J’ai le repas à préparer pour ce midi, je file tout de suite à la salle de bains !
– OK, je te suis dit David, et effectivement il la rejoint dans la salle de bains sans qu’elle proteste, alors que d’ordinaire elle ne supporte pas de ne pas y être seule.
Ils font couler un bain, j’entends des bruits diffus, je suis sûr qu’il est encore en train de se la farcir, un sacré gaillard ce David, j’ai eu la main heureuse !
Ensuite il semble pour le peu que j’entends, qu’ils se disputent et enfin le silence…
Ça dure très longtemps et je me demande si je vais réussir à me laver ce matin ; enfin ils sortent, très complices et vont s’habiller.
– On aura une surprise pour Toi !
Je prends possession de la salle de bains en me demandant ce qu’ils ont inventé ?
Quand j’en sors, Annabelle est en train de préparer le repas, elle est vêtue d’une robe courte, visiblement elle ne porte pas de soutien-gorge, elle vient près de moi, je glisse la main sous sa robe, je lui caresse les fesses, elle semble ne pas avoir de culotte, de string ou autre slip ; je soulève la robe pour m’en assurer, effectivement il n’y a rien au-dessus des bas et quand je dis rien, c’est vraiment rien, c’est totalement nu, son petit buisson a disparu, c’est donc cela la surprise qu’ils me réservaient.
Elle qui n’a jamais voulu s’épiler totalement, elle a aujourd’hui un sexe de bébé complètement rasé, c’est tout mignon on a envie d’embrasser ces lèvres et je ne m’en prive pas, je la bascule sur le canapé et je lui roule un patin prolongé avec la langue, elle s’accroche à mes cheveux en gémissant alors évidemment, je ne résiste pas et je m’enfonce dans cette chair tendre avec l’impression de faire un i****te.
Ses cris ont fait venir David qui veut participer, il soulève Annabelle et m’ordonne de m’allonger puis la redépose sur mon sexe tendu sur lequel elle vient s’empaler, nous continuons notre va et vient mais je me doute de ce qu’il va se produire ; David est allé chercher la bouteille d’huile, il en enduit l’anus de ma femme et vient forcer son petit orifice.
Elle crie, cette fois de douleur, lorsque le gland pénètre ses reins, elle se débat, elle voudrait s’échapper mais elle ne peut pas, je la ceinture et mon sexe la perfore pendant que David la tient par les cheveux tandis qu’il rentre lentement dans son cul.
Il lui faut un long moment pour se détendre et reprendre du plaisir alors que pour nous c’est royal, avec le sexe de David entre ses fesses, ses parois se sont rapprochées et je suis maintenant serré dans sa vulve comme dans celle d’une vierge, quant à lui il bénéficie d’un sphincter étroit qui l’emprisonne.
Nous réussissons à avoir un orgasme simultané dans un cri à ameuter le voisinage.
– Avec tout cela mon repas n’est pas prêt, je ne sais pas à quelle heure on va manger…
– Je vous invite au restaurant dit David à une condition c’est qu’Annabelle reste dans cette tenue.
Annabelle hésite et puis après tout…
Nous allons donc au restaurant, évidemment comme il est déjà tard et que tout le monde est en train de manger, nous ne passons pas inaperçus, les hommes repèrent tout de suite qu’elle a les seins nus sous le fin tissu de la robe, surtout qu’un petit vent frisquet lui fait dresser les tétons donnant l’impression qu’ils veulent traverser le tissu.
Nous devons partager une table de quatre qui est occupée par une seule personne, un homme accompagné de son chien, un doberman. Je suis placé à côté d’Annabelle, David est en face, un moment donné je la vois se tortiller et ensuite haleter, je laisse tomber ma serviette,
David s’est déchaussé, son gros orteil est pratiquement entré dans la minette imberbe de ma femme qui est maintenant cramoisie et jouit le plus silencieusement possible en laissant cependant échapper des petits jappements.
David a reposé son pied, mais le doberman qui a été très intéressé par ces petits bruits, passe sous la table et attiré par l’odeur, il pointe son museau sous la robe ultra courte de mon épouse et commence à lui lécher la chatte ;
Annabelle ne sait plus quoi faire, elle a peur de ces chiens, elle essaie cependant de repousser le museau, elle recule sa chaise en criant, tout le monde se retourne, le propriétaire du chien le rappelle vainement, tous les regards se portent vers Annabelle qui n’a pas eu le réflexe de tirer sur sa robe et chacun peut voir sa minette rasée et humide.
Le chien récupéré, son maître nous offre le café en s’excusant, nous partons Annabelle est encore un peu émue par son aventure canine, elle laisse tomber son sac et oubliant sa tenue elle se baisse pour le ramasser, offrant à tout le restaurant le spectacle de ses fesses nues et de sa chatte épilée.
Il est l’heure de raccompagner David à la gare, lequel nous remercie pour ce week-end, dans la voiture il monte à l’arrière avec Annabelle histoire de lui faire un dernier baiser sur les grandes lèvres.
Je crois que nous nous reverrons…
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