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Souvenir de vacances…

Souvenir de vacances…



Jean et Sophie viennent de quitter leurs hôtes, après leur avoir raconté une histoire… terminée par une partie des plus débridée… Mais laissons leur la parole :

Nous regagnâmes notre chambre, désertée ce soir par nos trois jeunes qui avaient préféré passer leur soirée ailleurs. En entrant dans la pièce plongée dans la pénombre, et avant même que Jean ait eu le temps d’allumer la lumière, Sophie lui chuchota :
– c’était quoi cette histoire !!! c’était pas notre première fois !!! et on a jamais fait de plan à trois autour de la piscine !!! On a même pas de piscine !
– Ça ne t’a pas plu ? Tu n’as pas aimé être l’héroïne de ce récit ?, dit-il en allumant.
– Si… mais c’était pas notre première coquinerie…
– Et c’était quoi, votre première coquinerie ???

Jean et Sophie se tournent aussitôt dans la direction de la voix et découvrent Chloé, assise au milieu du lit, le dos bien droit et la poitrine fièrement dressée, les jambes recouvertes par le drap sombre soulignant la blancheur de sa peau, les mains nonchalamment glissées entre ses cuisses.
– Chloé ? Qu’est-ce que tu fais là ?
– Ben… Tiphaine et Christophe voulait être tous les deux… alors je me suis dit… ça vous dérange pas si je reste avec vous ? Je me ferais toute petite…

Sophie et Jean se regardent et hochent finalement la tête. Chloé est très mignonne, et Sophie se souvient de ses caresses.
– Bon…, dit Sophie, tu peux rester avec nous…

Jean et Sophie se mettent nus, et rejoignent la belle Chloé sous les draps. Alors que Sophie prend place au milieu dut lit, elle les regarde tour à tour avec un air coquin, et d’une petite voix, sur un ton de confidence, elle lance :
– Alors ! C’était quoi votre première coquinerie ?
– T’es plutôt curieuse dis donc !, lui répond Sophie
– Ben… j’aimerais bien savoir… et j’adore les histoires… (et dans un chuchotement, avec une voix de petite fille) surtout s’il y a du sexe…
– Te fais quand même pas trop de films, ajoute Sophie. Et c’est personnel…
– Sophie, lance alors Jean avec un sourire malicieux et en prenant appui sur un coude pour regarder les deux jeunes femmes, on peut la raconter…
– Oui, mais ça va encore nous exciter !!! et tu sais comment je suis dans ces cas là !!!
– Ben justement…
– T’es pas croyable !!!
– Alors c’est oui ??? fait Chloé avec un air ravi et en battant des mains
– mmm… oui… mais c’est toi qui raconte mon chéri

Sophie et Chloé se redressent et se calent dans les oreillers et si Sophie est allongée sur le dos, Chloé, elle, se trouve en appui sur le côté.

Cette année là, nous avions décidé de nous faire plaisir pour les vacances, et nous avions réservé un hôtel assez côté pour un séjour de rêve sur une petite île paradisiaque. Nous étions passés par une agence, et c’est billets en mains que nous sommes arrivés à l’aéroport.
Là, malheureusement, une première déconvenue nous attendait… mais forts de nos voyages précédents, nous savions que tout imprévu désagréable avait son pendant bénéfique. L’enregistrement de nos billets posa quelques problèmes, puisque nos places étaient déjà dévolues à un autre couple qui s’était présenté juste avant nous. Tout rentra finalement dans l’ordre, et nous fîmes la connaissance de Patrick et Nathalie, qui avaient la même réservation que nous. Nous eûmes le temps de sympathiser dans l’avion, et, outre de nombreux points communs que nous nous découvrîmes, nous avons pu constater que nous avions réservé le même hôtel, avec les mêmes prestations.
C’est donc à quatre, une fois les formalités de douanes accomplies, que nous prîmes un taxi pour rejoindre notre lieu de villégiature.
Nous avions réservé un bel hôtel en bord de mer, disposant de sa plage privée avec une crique à l’abri du vent, mais aussi des regards indiscrets. Chaque chambre avait sa terrasse privative donnant sur l’arrière de l’hôtel.
Nous sommes arrivés sur place avec nos nouveaux amis, et c’est tous les quatre que nous nous sommes présentés à la réception. Là, second problème. Nous avions exactement la même réservation que Patrick et Nathalie… le tour opérateur s’était trompé et avait vendu deux fois le même séjour. Comble de malchance, la chambre qui nous était dévolue était déjà occupée.
Heureusement, la direction de l’hôtel nous sortit de l’embarras, et nous offrit, sans frais supplémentaire et avec leurs excuses, la suite royale de leur établissement… à partager avec Patrick et Nathalie…
Nous avions, bien sûr, chacun notre chambre et notre salle de bain, mais nous devions partager la pièce de vie et la grande terrasse avec piscine et jacuzzi. Après une très courte réflexion, nous acceptâmes tous les quatre.

Je me suis porté volontaire avec Nathalie pour porter toutes les valises et les monter dans nos chambres respectives. Patrick et Sophie se chargèrent d’aller faire une petite reconnaissance en ville, histoire de ramener quelques bouteilles pour fêter notre arrivée.
Nathalie montait juste devant moi, portant quelques bagages à main ; je m’occupais du reste. C’est alors que je remarquais qu’elle me donnait inconsciemment une vue fort agréable sur ses jambes que couvrait à peine une mini-jupe à volants quasi transparente. Arrivés devant notre porte, je ne pus m’empêcher, pendant qu’elle se penchait légèrement pour ouvrir, de jeter un œil dans son T-shirt au décolleté plongeant m’offrant une vue fort agréable sur sa poitrine bronzée. Elle dut remarquer mon regard, puisqu’un petit sourire en coin étira légèrement ses lèvres.
La suite était splendide, digne des plus grands palaces. J’ai déposé les bagages sur leur lit et je suis parti dans la chambre voisine, la nôtre. Quelques minutes plus tard, Nathalie m’appelait avec le téléphone de service et me proposait de prendre un thé glacé sur la grande terrasse qui joignait les chambres de la suite pour nous rafraîchir un peu après nos efforts. Je lui demandais de m’accorder une vingtaine de minutes, le temps d’organiser la chambre.
Ayant rangé nos affaires avec moins de temps que prévu, j’ai voulu lui faire une surprise en passant par la terrasse, inondée par le soleil de cette fin d’après-midi. La baie vitrée entrouverte laissait voir leur chambre dans son intégralité. J’aperçus Nathalie, penchée sur ses bagages. Elle n’avait pas remarqué ma présence et, comme un voyeur, je l’ai contemplée en train de plier les affaires qu’elle sortait de sa valise… en effet, elle était seulement vêtue d’un string en dentelle noire, qui lui séparait les fesses de charmante façon.
Je me suis demandé si elle avait réellement l’intention de m’accueillir dans cette tenue et je me suis encore attardé quelques minutes à admirer ses seins, ses fesses, à laisser mon imagination s’évader tandis qu’un début d’érection s’emparait de moi.
J’ai regagné notre chambre et j’ai patienté quelques minutes avant d’aller frapper à sa porte comme si de rien n’était. Elle a ouvert, vêtue d’un peignoir qui était de très belle facture. Ses tétons pointaient à travers la soie, ce qui m’a déclenché à nouveau un léger émoi. Nous nous sommes installés sur la terrasse pour déguster notre thé avec un fond musical, face à un début de coucher de soleil. Les vacances commençaient bien…
Assise face à moi, je ne pouvais m’empêcher de fixer son peignoir assez court qui avait des difficultés à cacher ce qui ne se montre pas… Elle croisait et décroisait ses longues jambes d’un air innocent et me souriait en me parlant. Mon sexe prenait de plus en plus de place et je me trouvais bientôt dans l’impossibilité de cacher la bosse qui se formait. Elle avait dû le remarquer car elle m’a proposé de me mettre en maillot de bain pour tester la piscine. J’ai du lui répondre que je n’avais pas fini de vider nos valises, et que je ne pouvais me mettre à l’eau devant elle dans le plus simple appareil. Elle a ri et m’a précisé qu’elle était elle aussi très pudique.
C’est sur cette note joyeuse que Sophie et Patrick nous ont rejoint et ont partagé notre thé. Ils semblaient, eux aussi, euphoriques et guillerets.

Puis, la fatigue du voyage aidant, nous avons chacun regagnés nos chambres respectives. À peine le palier franchi, Sophie m’a jeté sur le lit. Elle m’a regardé avec des yeux gourmands, a ouvert mon pantalon pour en extraire mon sexe déjà au garde à vous. Elle s’est mise à me branler en me fixant dans les yeux. Ses mains caressaient ma queue et décalottaient mon gland qui avait pris de bonnes proportions. Soudain, elle a écarté son short pour se masturber. Elle m’a avoué avoir parlé de sexe avec Patrick pendant tout le trajet, ce qui l’avait passablement émoustillée. Elle m’a branlé de plus en plus vite et de plus en plus fort, tout en se masturbant frénétiquement, avant de me prendre voracement dans sa bouche en grognant de désir.
C’est à ce moment que nous avons entendu Nathalie gémir, ou plutôt crier, de plaisir dans la chambre d’à-côté. Visiblement, la discussion avait aussi réveillé quelques pulsions chez Patrick.
J’ai fermé les yeux, me laissant aller à la caresse buccale en écoutant les gémissements de nos voisins, et, ne voulant pas me retenir, j’ai laissé jaillir mon sperme à gros jets, que Sophie s’est empressée d’avaler. Elle a continué à me sucer le gland tout en continuant à se caresser, allongée sur le lit, jusqu’à l’extase…

Nous avons ensuite profité de la salle de bain et avons pris une douche à deux. Là, alors que nos corps étaient enduits de savon et que nous nous caressions l’un l’autre en nous embrassant langoureusement, Sophie m’a chuchoté :
– Ben mon cochon… t’es encore bien dur là… c’est moi, ou c’est Nathalie qui t’excite comme ça ?
J’ai été extrêmement surpris par ce que venait de me dire Sophie, et je l’ai regardée avec un étonnement certain.
– C’est vrai qu’elle est jolie, ajouta Sophie en me regardant les yeux brillants, j’ai vu que tu la regardais…
– C’est toi que je veux, répondis-je
– mouais… c’est ce qu’on dit… je suis sûre que tu as envie de la sauter…
– mmm… si c’est avec toi mon amour… pourquoi pas…
– mmm… pourquoi pas… mais avant ça, tu devras bien me baiser…
– je t’aime ma chérie…
– moi aussi je t’aime…
– mais dit moi, toi aussi t’es hyper excitée là… c’est moi ou Nathalie…
– mmm… j’sais pas…
– peut-être Patrick…
– mmm… oui… peut-être aussi… peut-être les trois…

Je dois bien avouer que j’étais pour le moins surpris du comportement de Sophie. Nous avions déjà évoqué l’échangisme, je savais qu’elle avait l’âme d’une coquine, mais là, elle était vraiment brûlante.
Avec son sourire coquin et ses yeux de cochonne, Sophie m’a tourné le dos et est venue se frotter lentement la raie des fesses le long de mon sexe en érection. Elle s’est saisie de ma queue avec sa main et doucement, elle s’est caressée avec mon gland. Elle se caressait la chatte sans jamais me laisser la pénétrer. Dès que j’amorçais un léger coup de bassin, elle se retirait en soupirant lascivement… Soudain, elle s’est retournée et a plaqué ses lèvres sur les miennes pour un baiser torride et passionné. Puis, tout en gémissant, elle a fait descendre ma bouche sur ses seins que je me suis mis à dévorer avec passion, avant de me faire comprendre qu’elle désirait une autre caresse. Elle a légèrement écarté les cuisses et a appuyé mon visage sur sa chatte trempée et dégoulinante. Je la lapais avec passion, recueillant ses liqueurs intimes, et agaçait son petit bouton, l’aspirant, le tétant, le léchant, l’excitant de mes lèvres et de ma langue. Elle s’est soudain tétanisée et a joui bruyamment, en bloquant ma tête contre elle. Je suis remonté vers sa bouche en parsemant son corps de baisers appuyés, avant d’échanger avec elle un nouveau baiser passionné. Elle qui d’habitude n’apprécie pas le goût laissé sur ma bouche par ses secrétions n’en fit aucun cas… pour mon plus grand plaisir. Puis, m’écartant pour reprendre son souffle, elle m’a sourit et est sortie de la douche… me laissant à mon érection douloureuse…

Le soir venu, après un repas frugal, nous avons retrouvé nos nouveaux amis sur la terrasse. Et c’est un verre à la main que nous avons passés la soirée ensemble. La conversation a rapidement dérivé sur le sexe, et nous en sommes venus à parler d’échangisme.
Nathalie nous expliquait qu’une de ses collègues de travail était adepte, avec son conjoint, de ce type de rencontre. Elle ne comprenait pas que sa collègue puisse parler librement de ce genre de chose sur son lieu de travail, que l’intimité des couples devait rester dans l’intimité des couples.
Pendant ses explications, je constatai que Patrick regardait Sophie d’un œil concupiscent. Ses yeux brillaient, et j’avais la nette impression qu’il attendait nos commentaires vis-à-vis de la discussion lancée, avec peut-être l’espoir de nous entendre dire que nous n’étions pas choqués par les pratiques de ce couple.

En regagnant notre chambre, nous avons reparlé tous les deux de cette conversation. Je faisais remarquer à Sophie que Patrick avait lancé quelques allusions coquines vis-à-vis d’elle. Elle en convint et avoua également que son attitude, ainsi que certains de ses faits et gestes, pouvait faire penser de manière flagrante qu’il la désirait.
La conversation ayant attisé nos sens, c’est fiévreusement que nous nous sommes déshabillés, tout en nous embrassant voracement, avant de nous mettre sous les draps. Il faut avouer que, régulièrement, nous pimentions nos rapports en fantasmant sur une présence qui nous accompagnait dans notre lit. Là, nous avons fait l’amour avec beaucoup d’excitation, en nous imaginant réaliser ce fantasme avec Patrick et Nathalie. Je prenais beaucoup de plaisir à décrire à Sophie ce que je souhaitais qu’elle fasse avec lui pendant que je m’occuperais d’elle. Nous avons jouis bruyamment et rapidement tous les deux.
Alors que nous nous trouvions dans les bras l’un de l’autre, à nous embrasser tendrement et à nous câliner gentiment, nous avons à nouveau entendu nos voisins faire l’amour. Les grognements de Patrick et les cris de Nathalie ne laissaient aucun doute quant à leur activité.
Ma queue se tendit instantanément, et pendant près d’une minute, nous avons écouté leurs ébats. La respiration de Sophie s’est accélérée, signe évident du trouble qui la gagnait. J’étais à nouveau hyper excité, et d’un mouvement brusque, je retournais Sophie sur le ventre, me plaçais entre ses cuisses et la pénétrais brutalement par derrière.
Surprise, Sophie laissa échapper un cri :
– aaah !!!
J’affirmais ma possession d’un coup de reins et Sophie souleva légèrement ses fesses pour accentuer la pénétration.
– ça t’excite on dirait… de les entendre baiser…
– oui… toi aussi… t’es toute trempée…
– oui… ça m’excite… et ta queue dans ma chatte… mmm…
– mmm… il doit bien lui mettre…
– ouiii… elle doit bien le prendre…

Je fis mettre Sophie à quatre pattes, et la pris en levrette. Les cris qui nous parvenaient de la chambre d’à côté nous rendaient fous, et nous nous sommes mis à faire l’amour comme deux furieux en manque de sexe.
Alors que je claquais avec force mon bassin contre les fesses de Sophie, en exprimant tout haut mon plaisir, ma belle donnait aussi de la voix. J’eus la vision de ce couple, en train de faire l’amour, et je stoppais mes mouvements.
– t’arrête pas… ne t’arrête pas…, fit Sophie en gémissant et en envoyant ses fesses à la rencontre de ma queue.
Une autre scène fantasmagorique s’imposa alors à mon esprit, et je repris mes vas-et-viens lentement, profondément.
– si je t’offrais une queue mon amour, tu en ferais quoi…
– aaah… j’ai la tienne…
– mmm… ouiii… mais une autre queue…
– mmm… une autre… queue…
– tu en ferais quoi…, relançais-je en baisant toujours ma belle au ralenti
– je la… prendrais… dans ma bouche…
– mmm… oui…
– Oh oui… je la ferais grossir mon amour… mmm… avant qu’il me possède…
– mmm…
– je la prendrais… en moi… aaah… je la ferais… grossir… mmm… je la prendrais… pour la sucer… jusqu’à la sentir vibrer dans ma bouche… ah… ah… ooooh… jusqu’à ce qu’il… me prenne… et me… possède… jusqu’à… c’qu’il jouisse… en moiii…
– comme une salope…
– oui… comme une salope… ouiii… ahhh… vas-y… vas-y… encore…
– salope… c’est la queue de Patrick que tu aimerais… hein ?
– Oui… oh ouiii… ah… je le ferais… jouir… il jouirait… en moi… en moi… ah… aaah…
– mmm…
– oui… continue… imagine… je le laisserais me prendre… me prendre !!! oh mon dieu c’est trop bon !!! ouiii !!! vas-y !!!
– ah putain j’te défonce là !!!, fis-je en accélérant mes mouvements et l’amplitude de ma pénétration
– encore… encore…
– tu le ferais jouir dans ta bouche…
– oui… oh oui je les ferais jouir… dans ma bouche…
– plusieurs queues… c’est ça qu’tu veux…
– oui… je veux les sentir couler en moi… mmm… je veux les sentir… grossir… gicler en moi… oui… j’aime quand je les sens vibrer… mmm… j’aime les sentir vibrer… j’les entends gémir… oooh que j’aime ça… les sentir en moi… me bourrer comme il faut…
– mmm…
– je les emmène… jusqu’au bout du plaisir… mon amour…
– oui…
– oh oui… oui… imagine les… imagine les… dans ma bouche… ta bite… la queue de Patrick… peut-être une autre…
– mmm… c’est ma chienne ça…
– oui… ta chienne… j’suis ta chienne… ils se vident dans ma bouche… dans ma chatte… mmm… ils me donnent du plaisir… aaah… je leur rends… encore plus ! Encore plus !!! encore plus !!! je suis à eux !!! à eux… ils font ce qu’ils veulent de moi… oui… oui… jusqu’à ce qu’ils jouissent… autant de fois qu’ils veulent !!! en moi !!! EN MOI !!! AAAH !!! OUIII !!! MMMMM !!! AAAHHH !!!
– OUIII !!!

Sophie et moi-même avons jouis bruyamment, avant de nous écrouler l’un sur l’autre. J’embrassais tendrement les épaules de ma belle tandis qu’elle reprenait son souffle. Je lui susurrais des mots d’amour, et nous nous endormîmes, dans les bras l’un de l’autre.

Le lendemain, après avoir déjeuné avec nos amis sur la grande terrasse, nous avons profité de notre journée tous les deux. Nous avons bien sûr fait l’amour sous la douche, la petite nuisette quasi transparente de Nathalie et le boxer moulant de Patrick ayant attisés nos sens.
Il en fut de même au moment de la sieste, nos voisins ayant décidés eux aussi de profiter d’un instant crapuleux.

Nous avions convenu de nous retrouver le soir, et c’est tranquillement assis en demi-cercle dans le jacuzzi que nous avons commencé notre soirée. Patrick et Nathalie étaient déjà installés, et j’ai pu remarquer qu’à notre arrivée, un regard concupiscent parcourait avec envie le corps de Sophie.
Au cours de la soirée, alcool aidant, les allusions coquines se sont multipliées. Patrick en rajoutait dès qu’il le pouvait. L’ambiance était de plus en plus chaude, chacun y allant de sa blague coquine ou de son allusion provocatrice. Les rires étaient également de plus en plus débridés.
Soudain, sur l’écran de télévision qui nous faisait face, et qui diffusait en sourdine des clips musicaux, apparut une scène plus qu’érotique. Il ne s’agissait plus de musique, mais de pornographie de luxe, dans un style X-art. Nous sommes tous devenus muets, et avons pendant quelques instants regardé les images de corps enlacés qui défilaient sous nos yeux. Deux couples se donnaient du plaisir l’un l’autre et les caresses buccales en tout genre se succédaient.
Sophie posa sa main sur mon maillot et dégagea mon sexe qui se trouvait à l’étroit pour entamer une lente masturbation. Je fis glisser mes doigts sur sa cuisse et découvrit avec étonnement que ma belle avait déjà ôté la mince bande de tissu qui cachait son intimité.
Au bout de quelques minutes d’ébats, les partenaires se sont échangés. Patrick, les yeux toujours rivés sur l’écran, a alors glissé :
– ouah… il vient juste de lui poser sa langue et elle a déjà l’air en extase… ça doit vraiment être excitant de prendre du plaisir avec un autre…
Je ne sais pas ce qui me pris, mais je lui répondis :
– oui… sûrement… ça doit être un plaisir différent… en tout cas, ça a vraiment l’air d’être bon… et vous, les filles, vous en pensez quoi ?
– ben… c’est sûr que c’est excitant…, lâcha Sophie
– oui… je crois que je suis toute mouillée…, nous avoua Nathalie
– wooow… la cochonne, murmura Sophie. T’es quand même pas en train d’imaginer que c’est Jean qui passe sa langue sur toi…
– ben je verrais bien ta langue sur moi…, fit Patrick avec un clin d’œil
– c’est vrai que je bande dur aussi… et avec ce que me fait Sophie…
– et c’est moi la cochonne, fit Nathalie. Je suis sûre que toi aussi tu es toute humide entre les cuisses…
– non… pas du tout, dit alors Sophie en rougissant et en serrant ma queue un peu plus fort dans sa main.
– je serais curieux de vérifier ça… lança alors Patrick sur le ton de la confidence
– dans tes rêves, lui répliqua Nathalie en gloussant
– tu dis rien ma chérie ?, fis-je sous l’effet de l’alcool. T’inquiète pas… Patrick n’osera jamais venir regarder… tu peux bien avouer…
– j’suis toute chaude, lâcha alors Sophie… vous pouvez vérifier…
– mmm… si c’est pas de la provocation ça… fit Patrick. Nath, laisse ta place à Sophie que je vérifie…
– t’es vraiment un obsédé…
– ben non, c’est juste pour vérifier, dit Patrick sentant sa femme fléchir. Et Sophie n’est pas prude… fit-il avec un clin d’œil.
– Jean n’aura qu’à vérifier pour toi, dit Sophie piquée au vif par la dernière remarque et complètement désinhibée par l’alcool.
– Mmm… ça, c’est une bonne idée, murmurais-je en regardant Nathalie dans les yeux.

Nous sortîmes tous les quatre du jacuzzi pour prendre place sur le grand canapé en arc de cercle. Les filles avaient retiré leur maillot dans le bain, et je pus constater en regardant les tétons bien dressés que Nathalie était au moins aussi excitée que Sophie. Quand aux bosses qui ornaient nos caleçons…
Sophie me lança un regard coquin et pris place à côté de Patrick, tandis que Nathalie venait s’asseoir entre nous.
Il y eu un nouveau temps de flottement, où nous continuâmes à regarder les couples faire l’amour à l’écran. Aucun d’entre nous n’osait prendre l’initiative. Je remarquais que Sophie s’était rapprochée de Patrick et que Nathalie me regardait maintenant avec des yeux pleins d’envie.
Je pivotais légèrement et commençais à faire courir mes doigts sur la cuisse de ma voisine, remontant toujours plus haut vers la fourche de ses cuisses. Sa respiration s’était accélérée et elle me regardait de plus en plus souvent en soupirant lascivement. L’alcool avait levé en moi toute inhibition.

– arrête mon amour, je vais raconter la suite…, fit Sophie
– mmm… c’est une première… vas-y… excite moi… j’adore quand tu racontes… tu le fais trop rarement…
– oui, Sophie, raconte la suite… j’ai envie d’entendre de la bouche d’une femme…, fit Chloé en soupirant de plaisir.

C’est vrai que nous avions bien bu. J’étais stressée… mais l’alcool avait levé toutes mes barrières et toutes mes appréhensions.
Au début, mon attention se portait beaucoup plus sur ce que Jean faisait à Nathalie, mais rapidement, lorsque les doigts de Patrick sont venus écarter mes lèvres trempées, je me suis abandonnée totalement à mon unique plaisir. Il me caressait timidement. Je n’osais pas le regarder ; j’étais très excitée par la situation, mais également gênée de prendre un tel plaisir avec un autre homme que mon mari… Je saurai encore moins vous dire comment j’ai pu oser prendre aussi naturellement le sexe de Patrick dans ma bouche, alors que Jean et Nathalie étaient juste à côté.
En fait, je dois bien confesser qu’avant de goûter son sexe, et après quelques minutes de caresses, je me suis retournée et j’ai eu la surprise de voir que Nathalie avait la queue de Jean dans une de ses mains. J’ai regardé Patrick et il m’a sourit… il se branlait lentement en les regardant aussi. Il a pris ma main pour remplacer la sienne sur sa bite.
À cet instant, tous les freins étaient lâchés : dans un état d’extrême excitation, complètement désinhibée par l’alcool, j’étais prête à franchir le pas ! Les massages de Patrick se faisaient de plus en plus insistants autour de mon petit bouton et je sentais ma jouissance proche. Son sexe était d’une extrême raideur, et une petite larme d’un liquide chaud et transparent s’échappait de son gland pour venir s’étaler sur mes doigts. Malgré le son de la télévision, j’entendais de petits gémissements timides dans mon dos. Ma curiosité m’a de nouveau imposé de tourner la tête vers Jean et Nathalie, et j’ai une nouvelle fois constaté leur avance lorsque j’ai vu la langue de Nathalie se balader sur le sexe droit de Jean. Je n’avais aucune raison de ne pas en faire autant : il était évident que Patrick n’attendait que ça lui aussi.
Il a dû libérer ses doigts de mon entrejambe lorsque je me suis repositionnée sur le canapé, et c’est accompagnée d’une sensation de désir très agréable au niveau de mon bas-ventre que j’ai approché mes lèvres du gland de Patrick pour y déposer de petits baisers humides.
Dès le premier contact, il a basculé sa tête en arrière et a posé ses deux mains sur la mienne. J’ai passé le bout de ma langue humide de bas en haut sur cette tige au garde-à-vous, puis d’une main j’ai dégagé ses boules pour pouvoir les sucer elles aussi. Les yeux fermés, je l’effleurais à peine, savourant le contact. Patrick gémissait à chaque remontée de ma langue vers son gland, et je pouvais goûter ses petites larmes qu’il laissait échapper malgré lui. Je devinais sa jouissance proche : il était temps que je le prenne entièrement en bouche et lorsque j’ai ouvert mes lèvres sur son gland gonflé, je n’ai pu retenir un soupir de satisfaction. Et c’est tout en maintenant fermement la peau de son sexe à sa base pour bien dégager son gland que je l’ai fait glisser au plus profond de ma gorge.
Après quelques va-et-vient de la sorte, il a maintenu fermement ma tête pour stopper mes allers-retours et bloquer son gland entre mes lèvres… il n’a relâché la pression de ses mains sur ma tête qu’après que plusieurs jets de sperme se soient accumulés dans ma bouche. J’étais dans tous mes états… L’avoir fait jouir comme ça en moi, si vite, me rendait encore plus impatiente d’être à mon tour goûtée de la sorte… j’avais moi aussi besoin d’être soulagée.
Je me suis pourtant penchée vers Nathalie qui masturbait sensuellement le sexe raide qu’elle avait en main tout en emprisonnant le gland dans sa bouche. Je lui ai caressé les seins alors qu’elle accélérait son mouvement de poignet. Des petits cris étouffés sont sortis de sa bouche, suivis des gémissements d’extase que Jean ne pouvait plus contenir et j’ai pu admirer ses couilles qui se contractaient sporadiquement, signe de sa jouissance.
Je ne savais pas ce qu’il en était pour Nathalie, mais moi, je ne pouvais plus attendre. Il devenait urgent et indispensable que l’on s’occupe de mon minou… mais j’étais trop mal à l’aise pour oser le demander ouvertement.

J’étais dans un état second, et lorsque Patrick m’a pris par la main pour m’emmener vers la chambre, mes jambes tremblaient, mon cœur battait la chamade et mes joues étaient brûlantes… tout comme mon intimité.
Quand j’ai vu Nathalie entraîner mon Jean vers l’autre pièce, j’ai alors pris conscience que j’allais basculer vers l’interdit en toute impunité, que j’allais pouvoir m’offrir à un autre et lui donner du plaisir. Même si je venais de prendre un sexe inconnu dans ma bouche, que je l’avais laissé y déverser sa liqueur d’amour, nous n’avions jamais évoqué cette situation… mais nous ne l’avons pas refusée.
Quand j’ai entendu la porte de la chambre se refermer sur nous, j’ai pris conscience que Jean allait, lui aussi, découvrir une autre partenaire… pleine de charmes. J’étais partagée entre jalousie et désir profond de réaliser un fantasme.
C’est lorsque Patrick s’est collé dans mon dos et que j’ai senti sa tige durcie entre mes fesses, que j’ai pu faire totalement abstraction de ce que s’apprêtaient à vivre nos conjoints respectifs. Ses bras sont venus entourer mon ventre pour mieux me serrer contre lui. Son bassin s’écrasa sur le mien pour mieux me faire sentir, si c’était encore possible, sa virilité gonflée. Son souffle chaud tout contre mon oreille me fit frissonner ; ses baisers légers dans mon cou firent se tendre mes tétons encore un peu plus.
Sans un mot, il m’a fait pivoter vers lui. Nous étions là, debout, entièrement nus. J’avais la chatte en feu, et la vue de sa queue gonflée qui tressautait à quelques centimètres de moi exacerbait mes sens. J’ai tendu les doigts vers son gland que j’ai effleuré en une douce caresse, puis je lui ai à nouveau tourné le dos. Ses bras sont à nouveau venus entourer mon ventre, et lorsque j’ai senti sa bite s’écraser contre le bas de mon dos, je n’ai pu retenir un soupir de contentement. J’ai relevé légèrement les fesses pour bien sentir sa queue et j’ai basculé ma tête contre son épaule. Il en a profité pour enchaîner les petits bisous humides dans mon cou et pour venir att****r mes seins durcis par le désir, m’arrachant un nouveau soupir. Tirant sur mes tétons bien érigés et devenus très sensibles, Patrick s’est mis à me chuchoter qu’il me désirait depuis qu’il m’avait vu. J’ai souris et je me suis abandonnée à ses caresses.
Pendant plusieurs minutes, il a alterné caresse de mes seins et torture de mes tétons dressés, puis sans un mot, alors que sa bouche effleurait toujours ma nuque sensuellement, me procurant frissons sur frissons, sa main droite est descendue pour caresser ma fine toison, avant que ses doigts ne se noient totalement entre mes lèvres humides. Avec son majeur, il a dessiné quelques petits cercles autour de mon clitoris avant de se perdre à l’entrée de ma grotte. Et c’est accompagné d’un soupir de soulagement que son doigt m’a pénétrée… timidement. Son gros bâton, écrasé dans mon dos, ne cessait de tressauter sur mes reins et je devinais un filet de sécrétion que son excitation laissait échapper… cette pensée me rendit encore plus folle de désir et j’ai mis mes mains sur les siennes, pour les accompagner dans leurs caresses tandis que mes fesses branlaient langoureusement la queue qui me rendait maintenant folle de désir.
Je m’abandonnais totalement et lorsqu’il me susurra :
– Allonges toi Sophie… allonges toi au bord du lit… j’ai très envie de te goûter…
j’ai exécuté sa demande sans réfléchir. Je me suis allongée, les fesses au bord du lit. Patrick s’est mis à genoux entre mes jambes et a relevé mes cuisses qu’il a maintenu largement écartées. Je me suis légèrement redressée sur les coudes, pour le regarder. Il m’a sourit et j’ai lu un très grand désir dans ses yeux. Il me faisait languir, et lorsqu’il a approché sa bouche de mon intimité, je n’ai pu m’empêcher de respirer plus vite et plus fort. Je me suis mise à haleter et à gémir d’impatience, ce qui lui arracha un nouveau sourire. Je l’attendais ; il le savait.
Une nouvelle vague de frissons m’a traversée lorsque sa langue a glissé du creux de mon genou jusqu’à mon petit bouton, impatient comme jamais. Lorsqu’il a atteint mon clitoris, j’ai laissé reposé ma tête sur le lit et un nouveau gémissement s’est échappé de mes lèvres. J’ai empaumé mes seins pour les presser, tandis que sa langue explorait les moindres recoins de mon intimité. Sa caresse était lente, savoureuse… Ce contact tant désiré me mit dans un état semi comateux. Je n’avais pas l’habitude d’exprimer mon plaisir par des cris, mais cette fois je ne me contrôlais plus, le son de ma voix résonnait dans la chambre. Il prenait donc soin de ne pas s’aventurer trop longtemps autour de mon clitoris, jouant pendant de longues minutes à faire monter mon plaisir pour ensuite le faire redescendre à chaque fois que ma respiration s’intensifiait ou que mes gémissements devenaient incontrôlables. Puis, sentant que j’atteignais le point de non-retour, il a cessé toute caresse et s’est redressé pour se mettre debout devant moi.
– tu prends la pilule ?
J’ai compris qu’il voulait me prendre… sans préservatif… qu’il voulait jouir de moi, en moi, sans avoir à se retenir.
Je lui ai fait un signe de tête pour qu’il comprenne et je me suis allongée plus confortablement sur le lit.
Il s’est allongé sur moi, entre mes cuisses que je venais de relever, remontant sur mon corps en m’embrassant. Lorsque nos visages se sont trouvés au même niveau l’un de l’autre, nous nous sommes regardés puis il m’a embrassée tout en caressant les moindres recoins de mon corps avec une de ses mains sans jamais passer sur ma chatte. Il caressait mon cou, et sa respiration au creux de mon oreille devint rapide lorsque sa main est descendue sur l’un de mes seins pour torturer mon téton… j’ai eu l’impression que des aiguilles traversaient mon minou brûlant. Je n’en pouvais plus… j’avais peur d’être sur le point de jouir sans n’avoir subi aucun contact dans mon intimité. Je sentais son sexe battre à l’entrée du mien et, m’aidant de mes talons sur ses cuisses, j’ai cherché la pénétration en l’attirant. Il a compris mon désir, a pris sa queue en main et a fait glisser lentement son gland entre mes lèvres trempées. Je me suis mise inconsciemment à couiner comme une petite chienne avant que Patrick ne dirige sa bite vers mon entrée.
Sa queue n’a eu aucun mal à trouver son chemin pour glisser jusqu’en butée tout au fond de mon ventre. Il resta ainsi emboîté, sans aucun mouvement de son corps. Sa main gauche maintenait ma nuque pour mieux attirer mes lèvres sur les siennes, et nos salives se sont mélangées un instant alors que je percevais nettement la rigidité de ce bâton immobile qui me transperçait.
Cette première pénétration m’a électrisée… et j’ai posé mes mains sur ses fesses pour pouvoir accentuer la pression de sa base sur mon clitoris à chaque butée. Ses premiers mouvements étaient lents, vraiment lents, et je profitais pleinement de la longueur de sa grosse bite en moi. Je compris qu’il cherchait à se contrôler pour pouvoir durer le plus longtemps possible. Chaque pénétration, profonde, augmentait le bouillonnement de mon bas ventre. J’étais de plus en plus impatiente d’atteindre l’orgasme… je n’acceptais plus d’attendre. J’ai maintenu fermement ses fesses pour bloquer sa queue en butée au fond de mon vagin. Trois frottements de mon petit bouton sur sa base ont suffi pour me faire exploser, me faire hurler… un temps infini. Une fois ses fesses libérées de mon emprise, ses allers-retours dans mon fourreau se sont fait plus énergiques, plus vigoureux… son souffle s’est intensifié et s’est accompagné d’un gémissement quand son liquide chaud s’est rependu dans mon ventre. Nous sommes restés un instant emboîtés ainsi l’un sur l’autre, en échangeant de longs baisers langoureux. Lorsqu’il s’est retiré, trois mouchoirs en papiers ont été nécessaires pour me nettoyer de tous ces plaisirs liquides.
Nous sommes restés allongés l’un contre l’autre de longues minutes en laissant nos mains se balader sur nos corps respectifs, profitant de l’instant. Redescendant de notre nuage, nous avons pris conscience de ce qui venait de se passer lorsque nous avons entendu les cris de jouissance de Nathalie. Je me suis imaginée Jean en train de la culbuter… de la prendre par derrière… et ces pensées m’ont à nouveau beaucoup excitée. Je voyais la queue de mon homme remplir la chatte de Nathalie, ses couilles battre sur son petit cul… et j’ai eu envie à nouveau d’être prise. J’ai regardé la bite de Patrick qui avait repris toute sa vigueur et qui se tendait et se redressait par secousses à chaque cris que nous entendions.
Il m’a regardée et m’a sourit… je devais avoir le regard chargé d’envie et de luxure.
– Nathalie prend son pied… Jean doit bien s’en occuper…
– je les imagine… c’est si bon…
– tu aimerais les voir ? Regarder ton mari baiser ma femme ?
– mmm… non… je profite…, fis-je en me saisissant de sa queue gonflée et en écrasant mon clitoris
– mmm… Sophie… t’as encore envie, c’est ça ?
– oui, murmurais-je dans un souffle
– allonge toi sur le ventre…

Surprise par cette demande, mais toute à mon excitation et à mon désir furieux de me faire prendre, je me suis exécutée. Les cris de Nathalie étaient maintenant accompagnés des ahans de Jean et de grincements de lit… et j’enviais cette situation…
Patrick s’est alors mis au dessus de moi et après quelques baisers humides et appuyés sur mes reins, il a écarté mes fesses avec ses mains pour pouvoir y glisser sa langue. Il s’est mis à parcourir ma fente de haut en bas avant d’atteindre le point le plus intime de mon corps. Cette nouvelle caresse inattendue a eu un effet très agréable auquel je ne m’attendais pas. Puis, deux doigts inquisiteurs sont venus visiter mon vagin dégoulinant tandis que la pointe de sa langue tentait de pénétrer légèrement mon petit anneau. Cette double caresse a eu pour effet de détendre mon petit trou qui s’élargissait à chaque poussée de sa langue. J’étais à nouveau inondée à la fois par cette salive déposée entre mes fesses et par mes liqueurs que mon vagin libérait. Je me suis surprise à couiner à nouveau, et je me suis sentie comme une petite salope en manque, cherchant par tout moyen à se faire mettre. Sa langue qui me pénétrait maintenant de plus en plus facilement, et les mouvements de ses doigts dans ma chatte, me procuraient un bien fou.
Alors que je sentais une jouissance hors norme arriver, Patrick s’est redressé et s’est assis entre mes cuisses. Je ne pu m’empêcher de crier ma déception et je me suis mise à agiter frénétiquement mon petit cul.
– encore… encore…
Alors, tout en gardant mes fesses écartées à l’aide de ses mains, Patrick a rapproché son sexe et l’a positionné à l’entrée de mon anus. Il s’est mis à me caresser avec son gland, allant chercher la cyprine abondante qui coulait entre mes cuisses pour venir l’étaler sur mon anus que je sentais s’ouvrir et palpiter.
– Patrick… j’ai jamais… mmm… je suis…
– ça ne te plaît pas ?… tu veux que j’arrête…
– oui… non… oooh… c’est si bon…
– t’aimes pas ma queue sur ton petit cul ?…
– siii… c’est booon…
– tu veux que j’arrête ma caresse ?…
– nooon… continue… continueee…
– tu aimes ?…
– mmm oui… j’aime…
– alors dis le…
– j’aime… j’aime… j’aime ton gros gland sur mon p’tit trou… mmm… j’aime ton gros gland sur mon p’tit trou… ouiii… – mmm…

Patrick continuait ses caresses avec sa queue, patiemment, doucement, et, alors que je continuais à gémir d’envie et à le lui dire, j’ai senti son gland me pénétrer lentement. Il m’avait tellement bien préparée que je ne ressenti aucune douleur et un nouveau plaisir m’envahit. Une fois le gland entièrement englouti, il est resté immobile un instant avant de poursuivre la pénétration. Je le sentais palpiter, signe de son excitation extrême. La pression de mon anneau sur sa queue l’empêchait d’aller plus loin, mais rapidement, lorsque mon orifice s’est relâché, j’ai pu apprécier le glissement de chaque centimètre de sa grosse bite en moi. Il n’a fallu que très peu de mouvements pour que Patrick libère une nouvelle fois sa semence en moi. Malgré la rapidité de l’acte, j’eus le temps de prendre beaucoup de plaisir. Même si je n’avais pas jouis, Patrick venait de m’offrir une ivresse inconnue.
Cette nuit-là nous n’avons pas renouvelé la sodomie… en revanche, nous avons multiplié les rapports en prenant un maximum de plaisir.
Dans la chambre voisine, les bruits répétés de gémissements ou de lit qui cognait contre le mur à un rythme effréné n’avaient également laissé planer aucun doute : nos conjoints avaient eux aussi passés une nuit très agitée.

Le lendemain, lorsque nous nous sommes retrouvés en toute intimité, Jean souhaitait que je l’on se raconte en détail ce que nous avions fait chacun de notre coté. Sur le moment, je n’ai pas trouvé le courage de lui avouer mon dépucelage anal, mais, toujours excités par les événements vécus la veille nous avons fait l’amour toute la journée, sans aucune retenue, bruyamment, intensément, passionnément… et à sa grande surprise, je l’ai laissé accéder à mon petit trou… tout naturellement… Et avec mon homme, pour la première fois, j’ai découvert une nouvelle façon de jouir…

Sophie…, susurre Chloé avec une toute petite voix, Jean bande dur… et je suis toute mouillée…

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