Nous avons recommencé ce week-end… je m’y refusais mais il est enivrant…
Tout à commencé lors d’une de mes innombrables escapades naturistes, j’adore maintenant me balader nue à la campagne, sur des chemins choisis sans issue, des clairières improbables ou des racoins perdus. Je prends ma petite auto et je file où le vent me porte, avec pour seule tenue une robe légère, mes ballerines et ma bouteille d’eau.
Je roule. C’était un Samedi après-midi du mois d’Août, la moisson se terminait et mon ex mari était occupé aux champs. Je m’ennuyait ferme, pour ne pas employer un terme plus péjoratif. Il faisait cette chaleur lourde du Nord-Est, sans air, les rayons du soleil brûlent les moindres morceaux d’herbe restant. 14h30, je me décide… j’enfile donc ma petite robe jaune claire, mes espadrilles et me voilà partie. J’emprunte la route et reçois un SMS : « où vas-tu ? Il me faudrait du sirop, je n’ai plus rien à boire dans la batteuse ».
Il m’avait vu partir… je fais demi tour, je ne sais pourquoi, mais je me dis que je vais lui ramener son sirop, ainsi, je serais tranquille pour le reste de la journée. Hop, une bouteille d’eau, de la menthe glaciale, et je lui emmène sa fiole. Un de ses employé est assis à ses côtés dans la cabine, je me penche pour lui faire un bisou. Mon bon Eric devient tout rouge… et je viens de comprendre, ma robe, comme fatiguée, s’est mise à bailler, je ne sais jusqu’où, mais le gamin a du voir mes deux petits seins. Je ne m’étends pas, la nature m’attends.
Je reprends ma route initiale, il faut que je sois rentrée pour 20h faire les sandwichs, j’ai donc un peu de temps. Je me rends dans un petit chemin le long d’une voie rapide qui dessert Nancy à Paris ; ce chemin mène à une de ses parcelles, en haut, l’autre parcelle est en jachère et derrière, c’est une carrière. Donc, personne n’a lieu de circuler là, surtout que l’on pénètre dans une petite forêt puis on arrive sur cette plaine encaissée. Rien de bien intéressant pour le citoyen lambda.
Je gare mon auto à l’ombre du petit bosquet à l’entrée, je laisse les vitres entreouvertes et je commence à marcher vers le champs. Je retire ma robe et me voilà entièrement nue au milieu du chemin. Le champs est fauché, le blond de la paille de blé scintille de mille feux et rejette la chaleur vers mon corps nu. Je m’assieds sur le revers du champs et je me laisse caresser par cette toute petite bise d’été et lécher par les terribles rayons du soleil.
Et soudain, j’entends un bruit, le bruissement de la paille. Un VTT !!! Du moins, un Vététiste sur un VTT… Pas encore habituée à être totalement prise au dépourvu, je ne sais que faire…
Mais je crois qu’il ne m’a pas vu, il dévalle la pente à grande vitesse, c’est un grand gaillard casqué, lunettes sur le nez, sac à dos, tshirt et un short bien moulant, ça je l’ai vu.
Effectivement, il ne m’a pas vu… Il s’arrête au coin du champs vers la sortie pour reprendre le chemin, il vient certainement de l’autre chemin en haut de la parcelle. Puis il retire son sac à dos, son tshirt et il a un superbe ensemble à bretelles…….. un truc moche de cycliste.
Il ôte ses bretelles, ce n’est pas trop mon type, il est costaud mais (bref)… Et là, il déballe son engin pour se soulager. Et là… son engin est tout à fait à mon goût, entretenu, d’un joli diamètre… un bel élément. Je l’observe, il ne m’a toujours pas vu, le jet est long et puissant, très clair, je vois la mousse au sol, mon ventre se remplit de papillon, mes tétons commencent à pointer et je commence doucement à me redresser pour mieux le voir. Et soudain, il tourne la tête en ma direction, il est luisant, mais je vois ses deux yeux me transpercer ; et finalement j’entends un fabuleux et posé « excusez-moi » Quel toupet, et quelle assurance en même temps. Il se tourne complètement vers moi, et j’en suis presque gênée. Mais lui non, en même temps, vu la tenue, tellement moche, que la gêne ne doit pas exister chez lui.
« Alors on prend le soleil ? »
« Oui » répondis-je timidement
Et nous entrons dans un dialogue on ne peut plus banal… il a remis ses splendides bretelles. Et moi je suis là, offerte à sa vue. Nous discutons de choses et d’autres, il me dit qu’il vient de parcourir une quarantaine de kilomètres, qu’il vient de tel village, juste à côté du nôtre… et pendant qu’il parle, mes yeux descendent vers la protubérance qui se forme dans son short à bretelles. Il bande le bougre. Et moi, je suis là, à taper la discute.
Il me dit qu’il n’a plus rien à boire… et là, ça fait tilt, j’ai ce qu’il faut mais dans l’auto.
« Venez, j’ai une bouteille d’eau dans mon auto, je ne vous garanti pas qu’elle est fraîche.. »
« Ce sera toujours ça ! »
Il reprend ses affaires, et me suit son vélo à la main. Il est grand… mon petit mètre soixante cinq est vraiment ridicule.
Je remets juste ma robe sur mes épaules, bizarrement, je me sens bien à côté de ce grand gaillard inconnu à qui je vais offrir ma bouteille d’eau.
« Moi aussi j’aime » Dit-il après plusieurs mètres de silence.
« Comment ? » Fis-je.
« J’aime être nu dans la nature, divaguer ainsi »
« Ah OK ». Et il pose son vélo. Défait ses vêtements. J’ôte ma robe et nous marchons tous les deux nus. Son sexe est en demi érection, et c’est un fort bel engin… Son méat perle. Les papillons reviennent…
Pleins de pensées me traversent l’esprit… mon corps entre en surchauffe… je sens mon bas ventre descendre, fondre… et lui me reluque, de fond en comble.
Nous arrivons à l’auto, de la route parallèle à la voie rapide, on peut nous voir mais je ne sais pas pourquoi, j’ai un sentiment de je m’en foutisme, plus rien ne me fait peur auprès d’un gaillard comme ça. Ses grandes mains, ses épaules, ses cuisses taillées, son petit bidon… bref, un quart de plus de ce que j’ai à la maison.
J’ouvre la portière, la bouteille est au pied du siège passager. Je me penche pour aller la ramasser et en un éclair, je suis en train de penser à la vue que je propose à ce Louison Bobet du samedi.
Et là, j’en joue, je me mets à genoux et je ramasse la bouteille. Il est bouche bée.
La tension est palpable, son chibre est parallèle au sol, qu’il est beau, imberbe. Je me retourne, m’assied sur le siège et j’écarte les jambes… Il balbutie « merci » quand je lui temps la bouteille tout aussi chaude que moi. Je ne sais ce qu’il vient de se passer, il boit des pleines rasades, et moi je commence doucement à branler cette belle tige. Je suis moite, il est rouge, hagard. Je fais de lents va et vient sur cet outil ma foi de bonnes dimensions. « Je suis marié » bredouille-t-il. « Moi aussi » répondis-je…
Je ne sais si ça l’a rassuré mais il s’est approché de moi et toujours assise, je l’ai dégusté et ses grosses mains ont attrapé mes petites pêches, il m’a tiré sur les tétons, à me faire un doux mal. Le siège de ma 106 att**** une auréole… Je sens que la tension sanguine s’amplifie dans cette colonne de chair, je ne bouge plus, cela se calme… Nous sommes moites. Cette courte pause lui donne l’initiative, il m’arrache du siège et me pose sur le toit de mon auto et m’écarte les cuisses, me butine, me lèche et raffole de mes sécretions. Il tortille sa langue sur mon petit bouton, me pénètre avec la pointe, je n’en peux plus, puis il m’insère deux doigts et commence des vas et vient vers le haut de mon vagin. Je ne sais ce qu’il se passe, comme après 10 squats, mes abdos se serrent et je jouis, un puissant jet arrose son visage, je suis confuse, je découvre quelque chose… Il sue, il sent la bête, je reprends le dessus, je glisse du toit et fini de le pomper. J’avale. Je ne l’avais jamais fait. Et il s’enfuit. Je n’ai pas compris.
Je sais dans quel pays il habite (on dit comme ceci dans nos contrées), alors j’enquête. Il est effectivement marié, souvent en déplacement, sportif, bricoleur, peu de copain, dur. Certains l’apprécieront comme con… mais je vais apprendre à le connaître… A suivre…
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