Initiation d’une jeune bourgeoise – 5 –
Le lendemain, je rentrai tôt.
Camille arriva peu après moi, les bras chargés de paquets.
Fièrement, elle me montra ses emplettes. Elle passait d’une extrême à l’autre. Certaines de ses tenues étaient de véritables appels au viol, tant et si bien que je lui conseillai de les garder pour notre intimité , ou pour nos jeux à venir.
De mon côté, j’avais également, effectué quelques achats. Dans un de ces sex shops qui ressemblent à une grande surface, j’avais achetés quelques jouets dont je lui réservai la surprise.
Le soir même, je voulus la confronter au regard des autres.
Je savais mon épouse pudique, peu à l’aise avec son corps. Dans l’intimité de notre chambre, je plaçai notre ordinateur portable , bien décidé à l’exhiber sur la toile et la laisser entendre les commentaires que les voyeurs pourraient faire sur son corps.
— Camille, ce soir, je te veux obéissante.
Elle rougit, ne sachant trop quel comportement adopter .
— Bien Marc.
— Déshabille toi et mets toi à genoux devant moi.
Quand elle fut nue, je sortis un collier de cuir noir muni d’un anneau.
Elle frissonna quand je le lui passai autour du cou. J’y attachai une laisse que je laissai tomber contre son dos.
— Comment trouves tu ton corps ?
— Quelconque, je suis un peu grosse, mes seins tombent.
— Sais tu que tu dis n’importe quoi ? Tu es superbe.
— Non, ma mère m’a toujours dit…
Je la coupai sèchement
— Arrête avec ta mère !
Elle baissa la tête et ne répondit rien. Ses yeux s’embuèrent juste.
— Lève la tête, regarde moi ! Je suis fier de toi, tu es belle et désirable , je vais te le prouver.
Un triste sourire vint sur ses lèvres, je lui plaçai alors un loup sur le visage et me connectai sur un site de visio.
Les premiers participants se connectèrent et les commentaires ne tardèrent pas, qu’ils soient écrits ou audio.
Nous eûmes droit à tous les styles de remarques, les gentilles, les salaces, les ordurières.
Les » putain , t’es bonne » alternèrent avec les » Madame , vous êtes ravissante » et les » salope… «
A la demande , j’ordonnai à Camille de se lever, de mettre les mains sur la tête, de se pencher….
Bref en quelques minutes tout son corps fut dévoilé.
Un peu gênée au départ, elle se mit à jouer le jeu en voyant que ses formes étaient appréciées. Elle commença à rire devant les observations coquines, à se prêter de bon gré aux exigences des invités.
L’un deux lui demanda de se coucher sur le dos et d’écarter ses lèvres intimes.
Elle me lança un bref coup d’oeil et d’un hochement de tête , je l’autorisai à prendre la posture demandée.
Il lui ordonna de se caresser, elle obéit mais c’est sous mes ordres qu’elle accéléra la cadence et se mit à jouir en poussant quelques gémissements.
J’arrêtai là la séance me promettant de pousser le jeu plus loin un de ces prochains soirs.
— Alors mon amour ? Que penses tu de tout ça ?
— Au début j’étais un peu honteuse et puis après , je me suis détendue et j’ai adoré me montrer tout en sachant que personne ne pouvait me reconnaitre.. Et tu avais raison, je n’ai pas eu l’air de déplaire.
Samedi, 17 heures, qu’il pleuve, qu’il vente , qu’il neige, nous étions invités à prendre le thé chez mes beaux parents.
Nous nous préparions à y partir quand je vis arriver Camille dans une drôle de tenue. Elle portait simplement une robe légère, de couleur crème, boutonnée sur le devant et lui arrivant à mi cuisses. La naissance de sa poitrine était plus que visible.
— J’adore ton look, lui dis je en souriant, mais crois tu que ta mère apprécieras ?
— Tu crois ? Me répondit elle mutine, en se regardant dans le miroir . Non, je pense que ça va aller.
— Comme tu voudras.
En chemin, elle inclina un peu son siège et remonta le bas de sa robe. Elle prit ma main et la posa entre ses cuisses.
Je fus ébahi de ne pas avoir à écarter un quelconque bout de tissus avant d’avoir accès à son intimité.
— Comment trouves tu mes dessous ?
— Absents . Ne trouvai je qu’à lui répondre, ne reconnaissant plus ma si sage épouse qui semblait si excitée que mon doigt ressortit trempé.
Je le portai à ma bouche .
— Tu as bon gout !
— C’est vrai ? Me rétorqua t elle en riant ?
Et elle trempa , elle aussi, son majeur et le suça.
Mais nous arrivions et elle se réajusta.
A peine le seuil franchi, Gilberte examina sa fille de la tête aux pieds et ses premières paroles furent :
— Tiens , tu recommences à t’habiller comme une pute ?
Avant que je puisse intervenir, Camille s’approcha , lui fit une bise sur la joue et lui murmura quelque chose.
Ma belle mère devint toute rouge, s’ écarta et la gifla.
Mon épouse revint vers moi , se retourna , et mettant sa main sur mon bas ventre, elle lui dit simplement :
— On te laisse, on a mieux à faire ! Et elle m’entraîna dehors.
La scène n’avait duré que quelques secondes et m’avait laissé les bras ballants.
Je savais qu’elle avait du caractère, qu’il avait été bridé, mais je ne m’attendais certainement pas à ce qu’elle s’affranchisse si vite et si brutalement.
J’en vins à me demander si je n’avais pas ouvert la boite de Pandore.
Sur le chemin du retour, je ne pus m’empêcher de l’interroger sur ce qu’elle avait chuchoté à sa mère.
— Je lui ai simplement dit » telle mère, telle fille, on fait toutes les deux les putes au Faisan Vénéré »
Tu crois que ça l’a fâché ? Me répondit elle en souriant .
Sur ce, elle se pencha sur moi, descendit ma braguette, sortit mon sexe et commença à le sucer.
— Tu es un vrai danger public ! lui dis je.
— Dépêche toi d’arriver à la maison, j’ai envie de toi .. grommela t elle la bouche pleine.
J’avisai un petit chemin s’enfonçant dans un bois et je m’y enfilai.
Quelques dizaines de mètres plus loin, l’endroit semblait désert, isolé, je m’arrêtai.
Je la fis sortir de la voiture et je n’eus pas beaucoup de mal à la mettre entièrement nue en défaisant juste quelques boutons pour faire glisser sa robe à terre.
Je l’allongeai sur le capot et , sans qu’il y eut besoin de préliminaires tant elle était mouillée, je m’enfonçai en elle.
Elle jouit presque aussitôt et je faillis la suivre dans son orgasme quand j’aperçus une ombre qui essayait de se cacher derrière un arbre.
Me vint alors l’idée d’un petit jeu.
Je défis ma cravate. Eh oui, j’allais chez ma belle mère toujours tiré à quatre épingles. Je fis de ce bout de tissu un bandeau qui occulta la vision de ma femme.
— Marc, que fais tu ? Non ! Rentrons maintenant, s’il te plait !
Je lui pinçai les tétons, elle cria, plus de surprise que de douleur.
— Tu te tais et tu obéis !!
La peur de l’inconnu, la douce anxiété d’une expérience inédite la firent frissonner .
Je la fis se pencher vers mon sexe.
— Suce moi et applique toi !!
Le voyeur avait maintenant une vue imprenable sur le cul de mon épouse. Il était quand même un peu loin pour en apprécier les détails.
Je lui fis signe d’approcher en silence .
La vingtaine, en survêtement , les chaussures boueuses, il ne s’attendait certainement pas à voir ce spectacle quand il avait commencé son jogging.
Quand il fut suffisamment près, j’interrompis la fellation, retournai Camille vers le jeune homme et lui ôtai le bandeau.
Elle eut un cri de peur quand elle le vit et se retourna vers moi pour se mettre entre mes bras.
Tout doucement, je lui susurrai :
— Tu n’as rien à craindre, c’est juste un voyeur. J’aimerai que tu te retournes et que tu le laisses t’admirer.
Ses yeux troublés me fixèrent. Je dus vaincre ses dernières barrières.
— S’il te plait Camille… Fais le !
Vaincue, elle obéit et fit face au jeune homme.
— Comment la trouves tu ?
— Méga bonne ! Répondit il.
Elle rougit mais le compliment , venu du coeur , lui fit plaisir.
— Tu la vois nue mais nous, pourrions nous voir ce que tu as du mal à cacher dans ton pantalon ?
Il n’hésita pas et fit descendre son pantalon révélant un sexe en érection .
— Regarde Camille, il bande pour toi . Tu vois quel effet tu fais aux hommes ?
Elle ne put détacher ses yeux de la queue du coureur.
— Demande lui de se caresser et de se branler pour toi.
Elle parut ne pas m’entendre et je fis un signe au garçon qui comprit au quart de tour et commença à se masturber.
J’introduisis alors deux doigts dans le vagin de ma femme et mes mouvements se synchronisèrent à ceux de notre ami.
Elle m’avoua plus tard qu’elle avait eu l’impression que c’était lui qui lui faisait l’amour.
La cadence s’accéléra , les traits du jeune homme se crispèrent quand de sa queue jaillirent d’épais jets blanchâtres qui vinrent jusques à nos pieds.
Camille eut son orgasme à cette vision et ses jambes vacillèrent.
Je la rhabillai sous le regard encore enfiévré de notre joggeur.
— Merci ,nous dit il tout en pudeur. J’aimerai beaucoup vous revoir.
— Qui sait ? Donne moi ton numéro de portable, peut être que je t’appellerai….
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