Histoires de sexe arabes Histoires de sexe en groupe Histoires gays

Comment je suis devenue la chienne de mon beau-pèr

Comment je suis devenue la chienne de mon beau-pèr



Chapitre 1 : Présentation

Je m’appelle Charline (vous l’aviez compris je pense…). Je suis blonde aux yeux verts mais contrairement à la rumeur publique, je ne suis pas si bête que ça puisque au moment où débute cette histoire, j’avais 16 ans et j’étais en première littéraire dans une petite ville de province de 50 000 habitants.

Physiquement, je mesure 1,58 mètre pour 45 Kilos (une petite crevette quoi), J’ai un visage ovale, un petit nez légèrement retroussé et une bouche que l’on dit pulpeuse. J’ai les cheveux longs et lisses, quand ils sont détachés ils descendent jusqu’à mes reins mais en ce temps là, ils m’arrivaient en dessous des épaules. J’ai les sourcils et la toison pubienne qui, contrairement à beaucoup de blondes sont aussi clairs que mes cheveux et, bien que fournis, pas très étendus. Voilà, pour mes poils c’est fait. Pour mes nichons, je fais du 80B (ou C selon la marque des dessous) et ils sont comme on dit en forme de poire avec des tétons pointus et des aréoles d’environ 3 cm. Pour ce qui est de mon abricot, j’ai les grandes lèvres charnues qui quand je ne suis pas excitée cachent mes petites lèvres ainsi que le capuchon de mon bouton d’amour. Quand à mon petit œillet (que je ne touchais que pour ma toilette intime) il est du même rose foncé que mon abricot et mes tétons.

A cette époque, j’étais une adolescente plutôt timide et très pudique. Je n’avais jamais vus mes parents nus et je fermais la porte de la salle de bain à clé depuis que j’étais en âge de me laver seule. Je ne me trouvais pas particulièrement jolie et, quand le regard des hommes se retournait sur mon passage, je pensais toujours qu’il y avait quelque chose qui n’allait pas dans ma tenue. Bien sur, il m’arrivait de me caresser comme toutes les filles mais je ne me touchais l’anus que lors de ma toilette intime.

Mon amoureux s’appelle Julien. Brun, yeux marron, 1,80 mètre, 70 kilos, musclé sans un poil de graisse. Je l’ai rencontré en faisant mon jogging un mercredi après-midi. Je courrais seule et je me suis tordue la cheville. Il s’est arrêté et ma proposé de m’emmener aux urgences. Je l’ai trouvé mignon et plein de sollicitude. Nous avons échangé nos numéros de téléphone et, même s’il est de 5 ans mon ainé, nous avons commencé à sortir ensemble. Maman bien que me sachant sage avait décidé de me faire prendre la pilule quelques temps plus tôt donc, quand Julien à voulu que nous passions aux choses sérieuses, comme il était doux et gentil et que j’en étais amoureuse, je me suis laissée convaincre. Il m’a dépucelée dans la position du missionnaire après m’avoir caressée puis léchée pour me chauffer. Par la suite, il m’a toujours prise de la même façon et, si c’était la seule position qu’il semblait connaitre et qu’il ne m’avait procuré à ce jour aucun véritable orgasme, le plaisir que je ressentais lors de nos ébats et le fait que je manquais de moyens de comparaisons me suffisaient amplement. Moi en contrepartie, je suçais son sexe du bout des lèvres, mais toujours en guise de préliminaire.

Il a par la suite proposé que nous vivions ensemble, j’ai trouvé cela plutôt fou sachant que, vu mon jeune âge, mes parents ne voudraient jamais mais quand je leur en ai parlé, comme Julien avait une bonne situation, qu’il leur plaisait et que j’étais très sérieuse dans mes études, ils ont décidé à ma grande surprise de donner leur autorisation à la condition que mes résultats scolaires continuent à être excellents. J’ai donc emménagé avec lui dans un bel appartement de 100 mètres carrés prêté par son père (divorcé) qui vivait aux Texas.

Julien est chef d’une équipe de nuit dans une entreprise, donc, nous passions peu de temps ensemble. Que le mercredi après-midi et le samedi. Les dimanches, ils les passaient chez sa mère et je l’accompagnais parfois. Elle s’appelle, Virginie, Brune aux yeux bleus, 1,65 mètre environ et dans les 50 kilos, une poitrine opulente (probablement du 90) bien conservée pour sa quarantaine et ses 2 grossesses (Julien a une sœur, Charlotte, qui avait 18 ans). Virginie est plutôt bourgeoise, très souvent en tailleur et toujours en chaussures à talons de 7 à 10 cm. Mon amoureux considère sa maman comme étant une sainte et tout ce qu’elle dit est pour lui parole d’évangile (C’est pourquoi dans ma tête je l’appelais Sainte Virginie). Je me consolais de ce peu de moments passés ensemble en me plongeant dans mes études et les taches ménagères. Mon temps libre, je le passais dans la lecture (surtout des romans à l’eau de rose) et je me disais que nous avions la vie devant nous. Lui semblait satisfait de la vie que nous menions et ne semblait pas en demander plus.

Chapitre 2 : La rencontre

Tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes quand, un samedi matin du mois de mai, Julien est rentré tout excité du travail et m’a réveillée pour me dire que son père était rentré des Etats-Unis et voulait faire ma connaissance le soir même. D’abord inquiète du fait que nous occupions son appartement, Julien m’a rassurée en me disant que son géniteur logeait chez une amie et qu’il avait décidé d’y rester le temps de s’organiser afin de ne pas perturber nos habitudes. Rassurée, j’ai bientôt été gagnée par la joie de mon petit mari, comme j’avais pris l’habitude de l’appeler pour son plus grand plaisir. J’étais impatiente de faire la connaissance de mon futur beau-père car Julien m’en parlait toujours avec enthousiasme et me l’avait présenté comme un homme de 48 ans, plaisant aux femmes, généreux, très gentil et ayant le sens des affaires. Il était son idole quoi.

Ne sachant pas trop quoi porter pour l’occasion, j’ai demandé conseil à mon compagnon qui m’a dit de mettre ma petite robe noire moulante à bretelle que j’avais achetée pour l’occasion du mariage d’une cousine et portée qu’une seule fois, ainsi que des sandales à talons de 5 cm. J’ai décidé de compléter ma tenue avec un tanga et un soutien gorge en coton noirs.

Pendant que Julien se reposait de sa nuit de travail, je me suis occupée des taches ménagères puis suis allée à la salle de bain ou j’ai décidé, avant de me doucher, de me raser les aisselles, chose que je ne faisais que très rarement étant très peu velue et mon petit mari n’y attachant pas d’importance.

Enfin prête pour partir, Julien jugeant que le soutien-gorge était très inesthétique avec ma robe m’a demandé de l’enlever, et, pour lui faire plaisir, j’ai décidé de mettre ma pudeur de côté car je ne voulais pas faire mauvaise impression devant mon futur beau-papa.

En descendant de la voiture de Julien, devant le restaurant où nous avions rendez-vous, j’ai réalisé que je n’avais même jamais vu son père en photo et je me suis mise à avoir le trac. J’ai été prise d’un frisson malgré la douce soirée de printemps, ce qui a fait durcir mes tétons sous ma fine robe noire. Mon petit mari, sentant mon trouble soudain et connaissant ma timidité m’a prise par la taille et m’a dit gentiment : Ne t’inquiète pas, à ma connaissance, papa n’a jamais mangé personne.

Arrivés à la table où le père de Julien nous attendait, en le voyant se lever pour nous accueillir, je me suis sentie encore plus mal et mes tétons agacés par le tissu de ma robe se sont mis carrément à pointer. Malgré une calvitie sur le sommet du crâne et un ventre légèrement bedonnant, je le trouvais très séduisant du haut de ses 1,75 mètre, avec un bouc taillé court et des yeux d’un bleu lumineux. Mon compagnon se méprenant sur ma réaction s’est excusé en me présentant et a dit que j’étais très timide, mais le petit sourire que j’ai vu apparaitre sur le visage de son géniteur m’a fait penser qu’il n’était pas dupe de ma réaction. Mes tétons ont commencé à me faire mal tellement ils étaient durs, j’ai senti une douce chaleur s’insinuer entre mes cuisses et mon clitoris gonfler et durcir dans son capuchon sous le regard de cet homme mûr. Il m’a tendu la main que j’ai prise en rougissant et m’a dit d’une voix douce et grave :

« Enchanté Charline, je vous en prie, appelez moi Laurent »

Le souvenir que je garde de ce repas est assez flou mis à part que Julien tout heureux de ces retrouvailles n’a pas arrêté de parler et que son père me regardait de temps en temps avec son petit sourire ironique, ce qui a eu pour effet de maintenir mes tétons et mon clito en érection et de faire mouiller mon tanga un peu plus à chaque fois.

Au moment de prendre congé, Laurent m’a dit qu’il avait été ravi de faire ma connaissance et qu’il espérait me revoir rapidement. Je n’ai pu pour ma part que bafouiller un « moi aussi » en rougissant pour la énième fois.

De retour à l’appartement, Julien a voulu faire l’amour et a été naïvement étonné que je sois mouillée et la chatte béante. Je lui ai menti en rougissant et lui ai dit que l’envie m’avait prise sur le chemin du retour. Pendant qu’il me besognait (je vous laisse deviner dans quelle position), j’ai fermé les yeux en pensant au regard bleu lumineux de Laurent et je me suis mise à onduler du bassin pour intensifier le plaisir, à la surprise de julien qui jusqu’à présent m’avait connue passive.

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire