Je discute tous les jours, énormément avec des hommes de tous les coins du Monde qui aimerait rencontré ma femme, des jeunes, des vieux, de tous les pays et de toutes les races.
Jamais je n’avais imaginé tel succès, Martine n’est quand même pplus toute jeune, et pourtant.
Parfois nous sommes tentés parune rencontre.
C’est ce qui est arrivé début juin.
Nous étions en contact depuis l’hiver avec un chauffeur du sud-ouest qui voulait faire descendre Martine afin de la faire travailler comme pute sur les aires qu’il connaissait bien.
Ça a réveiller en nous un fantasme et une grosse excitation.
Nous dûmes attendre les beaux jours car en hiver l’accès est difficile.
Début juin après deux jours chez lui ou elle partagea son lit pendant que moi je dormais dans un canapé lit où je pouvais entendre leurs gémissements, Jordi, comme il s’appelait, un homme rugueux de la quarantaine, me dit on va préparer la pute.
Martine sortit nue de sa chambre il lui mit des bas noirs très tendu des talons très haut noirs un string et un soutien transparent trop petit pour elle, ses seins en débordaient, on voyait l’auréole de ses tétons.
Le tout recouvert par un léger manteau court juste au-dessus les genoux, pour éviter les ennuis avec les flics en route.
Dans son camion nous prîmes la direction de son parking, Martine coincée entre nous, lui en profitant pour lui peloter les cuisses sous mes yeux.
Arrivés sur place une vingtaine de camionsétaient à l’arrêt.
Jordi se rangea.
Suivant les instructions de Jordi, Martine elle se dirigea vers le premier chauffeur qui refusa, mon cœur battait à tout rompre.
D’un côté je souhaitais que cette idée ne fonctionne pas mais d’un autre …
Le deuxième ouvrit sa porte, et je la vis lui faire une fellation debout, cela pris quelques minutes, elle frotta sa bouche, revint vers nous avec 50 euros.
-Tu as avalé?
-Ben oui.
Retournes y dis Jordi, nous la suivîmes cette fois.
Le troisième ayant vu la scène l’emmena dans un sous bois, suivi de nous et de quatre autre collègues.
Ils parlaient tous une langue étrangère, roumain je pense, mais deux mots revenaient souvent, salope et pute.
Je restai à quelques mètres impuissant, et Jordi allait négocier avec les 5 hommes.
Il revint avec 600 euros et un grand sourire.
Tu vas t’amuser, et elle surtout, il partit dans un grand éclat de rires.
Les 5 hommes entourèrent ma femme ils étaient plutôt gros et pas très frais, le premier sortit sa queue déjà raide, je vis Martine le prendre en bouche, pendant ce temps là un autre lui dégrafait son soutien, et les seins de ma femme enfin libérés par cette emprise se lâchèrent lourds et les tétons pointants.
Ils la déposèrent sur u table en bois et sans même lui retirer sa culotte les cinq hommes la baisèrent, elle gémissait quand elle le pouvait, car souvent elle avait une bite en bouche, les suivants se branlaient en malaxant ses seins.
J’observai la scène de ma femme la mère de nos enfants se faire baiser par cinq mâles rustres et sales.
Leurs grosses queues allaient et venaient et lâchèrent leur semence dans un vagin qui étaient en principe uniquement pour moi.
Jordi se joignit à la scène et pendant que le cinquième lui défonçait le cul avec une queue énorme, elle hurla de douleur, Jordi jouit sur son visage, le chauffeur dans son cul,et moi dans l’herbe.
Les hommes partirent sans lui dire merci, le dernier lui cracha même dessus.
Elle se rhabilla, enfin très peu, les yeux brillants elle retourna avec nous dans le camion.
N’ayant pu se laver sur place elle était pleine de foutre et sentait l’odeur des 7 hommes
Nous ne dirent un mot pendant le voyage de retour, et la nuit suivante Jordi la balsa encore une fois
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