Mon annonce :
« cherche belle queue, black ou latino pour bourrer une chienne lubrique et remplir sa gorge de sperme chaud. De préférence jeune, TBM, épilé. Je ne répondrais pas aux réponses de 2 lignes, ni sans photo de votre membre en érection. »
J’ai eu quelques messages mais un a retenu mon attention. Après quelques échanges d’email, nous avons convenu d’un rendez-vous avec un black d’une quarantaine d’année. Il me voulait dominée et me promettait d’être humiliée par un vrai Maître africain. Il voulait que je sois docile, soumise et obéissante.
Comme j’aime, nous nous sommes rencontrés sans blabla. Il avait réservé une chambre d’hôtel pourrie et m’attendait à une heure précise. Quand je suis arrivé avec mon sac, il m’a à peine regardé et est sorti de la chambre pour me laisser me préparer. En 10 minutes, j’étais changée. J’avais mis une combinaison de nylon blanche ouverte à l’entre-jambe. Entouré ma taille d’un ruban rose me servant de ceinture et emprisonné mes couilles d’un harnais. J’enfilai mes longues bottes à talon rouges et termina ma panoplie d’un soutien-gorge noir. Comme il me l’avait demandé par email, je mis encore un collier de chienne à mon cou avec une laisse. Ainsi déguisée, je me suis rendue vers la fenêtre pour baisser les stores pour une lumière plus intime. La pute était prête.
Le black entre, ferme et, aussitôt, il sort sa bite et ses couilles de sa braguette ! Sa queue est splendide. Mais elle est grosse et bien épaisse. Je crains la douleur quand il pénétrera mes entrailles car il est dur comme du fer. Il prend la laisse, me cingle les fesses et sans qu’il ne me le demande, je sais ce que je dois faire et je m’y applique dès qu’il approche sa queue de ma bouche…
– Suuuuuce, connasse !
Pour l’exciter, je me branle ma chatte de travesti avec 2 ou 3 doigts et prépare ainsi déjà mon cul à son membre magnifique, tout en le regardant droit dans les yeux et, tout en gardant sa queue entre mes lèvres et à genoux, je le suis dans la petite chambre et fais le tour du lit où, là, il me cingle les fesses avec la laisse…
Puis, il laisse mon cul tranquille et fait le tour du lit en me regardant. En reluquant ma croupe de salope. Mon collant ouvert laisse entrevoir mon trou du cul étroit. Il salive déjà le salop. Je sais qu’il va me défoncer. Puis, il se place assis sur le lit, face à moi, et prend ma tête à 2 mains et, imprime le va-et-vient à son rythme.
– Pompe bien, lopette !!! Et fais honneur à la queue noire…
Puis, ses jambes se crispent et, d’un clin d’oeil, je me retire afin qu’il me gicle sur le visage !!!
Mince, il vient vite le salop. J’espère qu’il ne va pas partir comme certains le font parfois. Mon visage est maculé de sperme. Je suis toujours à genoux devant lui. Puis, il se couche sur le dos, lève ses jambes pour me présenter son petit trou et en me prenant la nuque, il m’oblige à lui lécher le trou du cul et les couilles. Il est offert le salaud et rebande déjà très fort. Le sperme qui est sur mon visage se mélange à l’intérieur de ses jambes.
Je lui lèche les couilles et son trou de balle pendant de longues minutes. Il sent le foutre et l’envie me viens de l’enculer. Je me lève, la queue tendue, enfile un préservatif et m’enfonce en lui d’un coup. Il aime le salop et j’ai ses jambes sur mes épaules pendant que je le taraude comme un forcené. Puis, après quelques minutes de bourrage, le salop renvoie un immense jet de sperme qui fini sur son torse. Je pense que c’est la dernière fois qu’il vient et que notre rencontre va se terminer. Je me concentre pour jouir à mon tour mais n’ai pas le temps. Il me pousse et change de position. Il m’ordonne :
– A quatre pattes salope. Tu as voulu m’enculer hein petite chienne. Tu vas savoir ce que ça veut dire maintenant.
Aie, je crains le pire pour mon petit trou pourtant humide de plaisir.
Je me place à quatre pattes sur le lit. Il a retrouvé toute sa vigueur est bon bel étalon black me prend fermement par les hanches et s’introduis de toute sa longueur en moi et commence à m’enculer comme un fou furieux. J’ai mal car il est gros et n’y va pas de main morte avec ses coups de reins ravageurs :
– tu aimes ça, maintenant, hein, le gros zob noir ???
– Ouiiiii, je ne peux plus m’en passer… Continue à me tringler : je veux être une bonne vide-couilles ! Encoooore, plus fort, j’aime trop ça ! Je mouille rien que d’imaginer le nombre de femmes qui aimeraient être à ma place… ! Oh, comme je la sens bien : c’est si bon de se sentir femme quand je suis si bien niquée… Continue, s’il te plait, continue !!!
J’ondule des fesses autour de sa queue pour mieux ressentir encore sa pénétration et je suis comblée !
– C’est pour ça que tu viens : pour devenir un bon garage à bites africaines !!! Bientôt, puisque ça te plait tant, je vais te faire piner par tous mes potes… Plus longtemps ça durera et, plus ça te plaira : hein, connasse ??? L’un après l’autre et ils te rempliront comme une truie, comme la bonne pute que tu veux devenir… Dis-le, que tu veux devenir un bon garages à bites noires : dis-le, grosse pouffiasse !!!
Il sait que les mots crus m’excitent au plus haut point ; je le regarde, ravie et suppliante :
– ouiiiii, encoooore !!! Continue à bien me peloter le cul, j’adore ça : ta pouffiasse te le demande, ta grognasse te supplie, ta connasse en a besoin… Oui, je veux devenir un bon garage à bites noires, une bonne pute qui ne refusera jamais rien aux blacks que tu me désigneras et j’en suis heureuse !!! Je ferai tout ce que tu veux afin que tu sois fier de la grosse lopette que tu as si bien dressée ! Bourre-moi, salaud, défonce-moi ! Apprends-moi à devenir une bonne vide-couilles pour black: oui, je ferai tout ce que tu veux ! Oui, j’aime être à 4 pattes, tendre mes fesses, ouvrir la bouche devant ta grosse queue noire.
Je n’en peu plus et suis complètement folle de la scène que je vis. C’est un de mes meilleurs coups. J’en fais pas souvent et m’en souviendrais c’est sûr. Il me lime avec tant de force que j’en ai le souffle coupé. Puis, il s’arrête soudain. Je pense qu’il n’arrive plus à découiller. Il prends son téléphone portable et commence à me prendre en photo dans cette position. (je joins d’ailleurs une photo pour cet article).
Puis, après quelques photos, il me dit :
– Ca te dirais de se revoir. Tu te mettras à genoux devant la porte d’entrée, les mains attachées dans le dos et un bandeau sur les yeux… Alors, 3-4 potes viendront forcer ta bouche. Tu les pomperas à fond et, après, ils t’enculeront chacun leur tour.
Tu veux devenir ma pute docile…
Je réponds car j’ai encore envie :
– Continue à me mouler le cul pour les queues noires et, comme toutes les femelles, du moment que je suis bien baisée, j’accepte tout de mon mec !!!
– Non, je dois y aller maintenant salope.
Il s’habille et me dit avant de fermer la porte qu’il me recontactera pour un plan HOT. Que j’étais ce qui cherchait.
« Tu vas adorer, grosse chiennasse !!! »
Cette insulte me flatte. Je reste un moment à quatre patte et me branle en repensant à cette folle rencontre. J’envoie des jets de sperme bouillant sur les draps souillés. Puis, sans me changer, je remets mon jean par-dessus ma combinaison trempée, je me rince le visage et lave le sperme avant de repartir comme si de rien n’était avec mon sac de sport à la main.
Depuis, il m’a renvoyé des nouvelles et une photo qui l’a fait avec son portable. Il m’a dit qu’il organisait une petite partie très hot pour bientôt et qu’il me contacterait.
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