J’avais juste 15 ans. Une de mes amies de classe m’avait invitée à passer quelques jours chez elle pour les vacances. Villa somptueuse, personnel domestique, piscine, tennis,… .
Déjà à l’école, je la trouvais trop « affectueuse » que pour être tout à fait sérieuse. Le deuxième jour, nous étions à la piscine, maillots très jeune fille de bonne famille. Elle m’a fait des commentaires sur mes seins qui étaient plus gros que les siens. Je me sentais un gênée. Elle m’a dit que le maître d’hôtel allait sûrement me mater plus qu’elle. Elle trouvait qu’il la regardait trop, avec des yeux qui disaient le contraire.
Le soir, elle est venue dans ma chambre. J’avais une petite chemise de nuit en coton, fines bretelles. Nous étions assises côte à côte. Elle a passé son index sur mon téton. Il était dur. Elle m’a fait un bisou dans le cou. J’ai laissé faire. Elle a fait glisser mes bretelles. Je me suis retrouvée allongée, poitrine nue. Ses bisous ont changé de cible. C’était nouveau pour moi. Elle a continué à tirer sur la chemise jusqu’au moment où j’ai été totalement découverte. Elle a passé la main sur tout mon corps, lentement. Je tremblais d’excitation, pas de froid. Elle a glissé son doigt dans ma fente et n’a pu que constater que je mouillais.
Deux nuits durant, nous restées ensemble jusqu’à 6 heures du matin, avant que la maison ne se réveille.
Nous avons fait le tour de ce le corps d’une fille peut offrir. Nos langues se sont entremêlées, nos langues se sont enroulées sur nos clitoris. Nos doigts ont ouvert au maximum nos vagins encore vierges. Nous avons joué avec nos tétons, les avons aspirés. Nous avons malaxé nos seins jusqu’à la douleur. Elle a même forcé mon anus de son doigt, m’arrachant quelques cris.
Le matin, on se séparait pour se rejoindre après le petit déjeuner servi dans la chambre. On passait la journée à flâner. Le troisième jour, je pense, le sujet du maître d’hôtel mateur est revenu à la surface.
Elle avait envie de savoir ce qu’il oserait sans elle-même le provoquer. La nuit a été comme les autres, chaude. Au matin, quand elle m’a quittée, je suis restée nue.
Il a frappé à la porte. Il a ouvert. J’avais laissé les seins nus visibles. La chambre était sombre, seul le couloir l’éclairait ; j’ai compté jusqu’à trois avant de remonter la couette. Il n’a pas vu beaucoup mais a su que j’étais peu vêtue. Quand il m’a placé l’oreiller dans le dos, j’avais les seins pudiquement couverts par la couette mais il a pu voir mon dos et comprendre que je n’avais rien sur moi.
Le lendemain, encouragée par elle, je suis restée faisant semblant de dormir. Il a pu voir ma poitrine à souhait. Quand je me suis assise, je n’ai rien fait pour les couvrir. Il a posé le plateau sur mes genoux, ses mains, que j’aimais beaucoup, passant à quelques centimètres de mes tétons. Il était parfaitement réglo.
Pendant la journée, allongées près de la piscine, on imaginait qu’il se masturbait en pensant à moi.
Nuit suivante, très hard.
Le matin, je me suis mise sur le ventre, fesses à l’air. Il est rentré. Je me suis retournée en me couvrant plus vite que je n’aurais voulu vouloir.
Nuit suivante, encouragements de Titine qui m’a mis le clito en feu.
Le matin, je suis décidée ! J’enlève la couette (plus moyen de faire marche arrière), j’allume la lampe de chevet, je me mets à plat, mains derrière la nuque, jambes écartées.
Il entre. Il reste immobile. Il pose le plateau sur la table. Il s’assied sur le bord du lit. Avec un ton de reproche, il me dit que je ne suis pas raisonnable. Je me sens idiote : j’ai 15 ans, lui au moins 40.
Pour récupérer la mise, je lui dis que je veux avoir l’avis d’un homme, que je me sens moche.
Là, le chevalier blanc se réveille.
Il me rassure. J’insiste par un « vous me le jurez ? ». Il pose sa main, de manière paternelle, sur mon nombril. Je crois que je dois être complètement chavirée. Il sourit, amusé. Je suppose qu’il est moins correct dans sa tête que ce qu’il dit. Il me parle d’un tas de trucs idiots mais sa main passe sur mes seins.
Je laisse faire. La main continue sa ballade. Arrivée sur le ventre, je me cambre, j’écarte les jambes encore plus fort. Il passe le dos de la main, négligemment sur ma toison. Je suis trempée, je le sais. Il a l’air encore plus amusé. Il retourne la main, le talon de sa main est sur ma vulve. Il ne bouge pas ; j’ai envie de l’insulter de rester comme ça. Enfin, sa paume commence à tourner. Les lèvres s’écartent. Je lui dis que je suis vierge. Il me répond qu’il s’en doute sans arrêter le mouvement. L’autre main revient sur la poitrine. Il a remplacé la paume par le bout des doigts qui maintenant tournent sur le clitoris. Ce qui doit arriver arrive, j’ai joui, les larmes aux yeux. Il a posé un petit baiser sur ma joue et il est parti. J’étais morte de honte de m’être ainsi montrée. Je n’ai rien dit à mon amie sauf qu’il m’avait vue.
Tout le reste de la semaine, je suis forcément restée nue dans mon lit mais sage avec lui.
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