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Le dormeur des dunes

Le dormeur des dunes



Le dormeur des dunes

Cet été alors que nous étions en froid avec mon mari, il devenait insupportable avec ses problèmes de santé, j’ai décidé d’aller seule à la plage.
Après le déjeuner, j’ai pris la voiture et je suis partie dans les Landes, après avoir regardé sur internet où étaient les plages naturistes.

J’adore les grandes plages des Landes, on peut y rester anonyme, bronzer tranquille dans son coin sans se faire accoster. J’avais vraiment besoin d’être seule, aucune envie de me faire embêter par les mecs aujourd’hui.

Je me suis garée à la première plage « culs nus » que j’ai trouvée, et comme il était tôt, je découvris avec bonheur qu’il y avait très peu de monde. J’ai pu me trouver un endroit peinard pour me déshabiller et oublier un peu le quotidien tendu de la maison…

Je me suis volontairement éloignée du bord de l’eau, préférant la proximité des dunes pour être tout à fait à l’aise. J’étais à ce point isolée que j’aurais pu me caresser sur ma serviette sans que personne ne me voit.

Quelques surfers au loin tentaient d’apprivoiser les jolies vagues de l’océan mais déjà j’entamais une petite sieste avec bonheur.

J’ai du dormir une demi heure et quand je me suis réveillée je me suis rendue compte que j’avais oublié ma glacière avec l’eau fraiche dans la voiture.

Le parking est bien à 500 mètres mais je ne peux pas rester sans boire par cette chaleur, j’enfile mon paréo et je décide d’y aller.

J’essaye un petit raccourci par les dunes sauvages, en me demandant si je ne vais pas me rallonger le trajet finalement. D’en haut, en me retournant je vois que la plage est un peu plus garnie, des corps nus sont posés ça et là, à bonne distance les uns des autres, en toute quiétude estivale.
Mais quand je traverse une petite dune d’herbes hautes je vois à quelques pas de moi un homme allongé sur le dos, nu lui aussi, sa combinaison posée à ses cotés, sur son surf.

Il a l’air de dormir, un t shirt blanc posé sur son visage, à l’écart de la plage et du bruit de la mer.

Je m’arrête pour l’observer quelques secondes.

Il a l’air vraiment très beau, son corps est fin et musclé et si j’en crois les dimensions de son sexe, il doit faire un rêve érotique car il bande presque, sa belle queue se soulevant parfois le long de sa cuisse gauche.

C’est une bien belle apparition mais je continue ma route, direction le parking que je finis par trouver, att**** ma bouteille d’eau et me désaltère en suivant.

Je ne sais si c’est de boire à la bouteille, ou la fraîcheur de l’eau, mais je sens instantanément mon sexe se remplir de mouille au fur et à mesure que je bois. Une folle envie de me caresser me prend, je pose une main sous mon paréo pour calmer mon sexe et reprends mon chemin pour vite retrouver ma serviette et les affaires que j’ai laissées sur la plage.

Je ne peux pas m’empêcher néanmoins de reprendre exactement le même chemin qu’à l’aller où je retrouve le beau surfer dans la même position de repos. Enfin, tout n’est pas au repos…. son sexe a encore pris de l’ampleur, il est droit maintenant, fièrement dressé, et ses mains caressent voluptueusement ses couilles et son ventre pendant son sommeil.
Me mettant à genoux dans les herbes hautes je peux continuer à le regarder, profondément émue par ce spectacle qui me ravit.

Dort-il vraiment ? C’est impossible à dire sans voir son visage. Si oui il doit faire de beaux rêves car ses caresses sont plus pressées maintenant, les deux mains frôlant ses couilles, ses cuisses bronzées et son sexe dur comme du bois.

Je décide de m’approcher encore, en silence, je suis à deux mètres de lui et je commence à suinter fort de la chatte dont je sens les effluves qui montent à mes narines. A genoux jambes écartées, j’entrouvre le paréo et démarre moi aussi une délivrante masturbation. Ma chatte est trempée, dégouline de mouille, j’y rentre un puis deux doigts avec facilité pendant que mon autre main s’active sur mon clitoris.

Le corps de ce garçon est beau, je lui dessine un visage de jeune premier dans mon esprit, d’acteur américain. Je suis fascinée par son sexe surtendu qu’il câline avec beaucoup de volupté. Ses cuisses se crispent un peu sous ses caresses, son ventre se tend, j’avance à genoux sur le sable pour n’être plus qu’à vingt centimètres de lui, la taille de son sexe à priori. Je vois plus précisément son gland tout humide, qu’il fait rouler entre ses doigts avec beaucoup de sensualité. L’image me saisit, déclenche mon orgasme, je pose une main sur ma bouche pour ne pas faire de bruit, mais je laisse échapper quelques gémissements étouffés.

Dans son sommeil il a du entendre quand même, lâche son sexe et se retourne de trois quart dos à moi sur son drap de plage pour continuer sa sieste, et ne bouge plus.
C’est là que je découvre ses fesses, superbes, plantées sur des cuisses musclées. Comme il écarte un peu les jambes, je peux voir ses couilles gonflées et son sexe qui ramollit pour se poser dessus. Le sport a du l’épuiser, il repart dans un sommeil profond.

J’ai une envie folle de le toucher, l’orgasme n’a pas fait redescendre mon plaisir. J’approche ma main droite dont je vois l’ombre se dessiner sur sa peau.

Je comprends tout à coup pourquoi il dort si bien en voyant un mégot de pétard jeté sur le sable à ses cotés. S’il l’a fumé en entier, il n’est pas prêt de se réveiller…

L’information m’enhardit…je pose ma main délicatement sur le bas de son dos. Rien.
Il ne bouge pas. Je descends lentement pour caresser ses fesses. Toujours aucun mouvement.
Je pose ma bouche sur sa cuisse…tente un petit bout de langue…sa peau est délicieusement salée, je remonte ma langue pour gouter ses belles bourses rasées….la situation me transporte dans une folle excitation, je m’apprête à lécher les fesses d’un bel inconnu qui dort paisiblement. Peut-être qu’il va aimer…

Mes mains écartent doucement sa raie pour découvrir son anus que j’embrasse tendrement, tandis que je sens la salive me remplir la bouche comme devant un plat aimé.
Ma langue se pose malicieusement sur son oeillet, laissant couler le surplus de salive qui m’envahit. Le gout de son cul salé est délicieux, je ne résiste pas à l’envie de le manger, tant pis s’il se réveille, il y a pire comme fin de sieste….

J’enfonce ma langue…il bouge un peu…je m’immobilise un instant…il se calme. Je reprends ma succion, en posant une main amicale sur ses couilles qui semblent gonfler. C’est son sexe surtout qui recommence à durcir. Je le caresse sur la longueur avec le dos de ma main. La sensation lui fait écarter les cuisses.
Tout est à ma disposition maintenant…ses fesses, ses couilles et sa queue que je branle lentement.

Le t shirt sur son visage a un peu bougé. Je découvre les traits d’un tout jeune homme avec un grand nez, presque glabre, sauf une toute petite barbichette au menton. Et qui ne se réveille pas.

Je ne peux pas vraiment prendre son sexe dans ma bouche mais je peux léchouiller ses couilles en le masturbant, et remonter un peu sur sa hampe.

Le contact le fait bouger subitement, il se retourne en râlant pour se remettre sur le dos. Je ne bouge plus. Aveuglé il repose son t shirt sur ses yeux et semble se rendormir. J’attends quelques instants. Il s’immobilise jusqu’à ce que ses mains se rapprochent à nouveau de son ventre, de ses cuisses. Il semble être reparti dans une grande excitation, un songe charnel, et commence à se masturber pour de bon, étalant sa mouille abondante sur sa tige puis s’arrête net au bout de quelques va et vient, repose ses mains sur ses cuisses.

C’en est trop pour moi, l’offrande de cette belle queue tendue offerte à ma bouche est irrésistible, ma tête se pose toute seule sur son gland que je suce avec gourmandise sans les mains, préférant les garder pour me caresser.
Il gémit, son bassin bouge tout seul, va chercher sa jouissance entre mes lèvres, ses deux mains se posent doucement sur ma tête pour faire pénétrer son sexe en entier dans ma bouche, je le laisse faire, continue à le pomper tout le long en serrant bien mes lèvres sur sa tige pleine de salive.

Mes mains s’affolent sur mon clito, je le sens proche de décharger alors je serre encore davantage les lèvres pour le faire jouir. D’un coup ses mains enfoncent mon crâne sur sa queue et son gland se met à couler dans ma gorge sa douce purée, son foutre chaud que son bassin tendu m’oblige à avaler aussitôt. Ma chatte explose, lâche son jus dans le sable tandis que le jeune surfer éjacule immobile dans le fond de ma bouche.

Je reste dans cette position encore un peu, puis recommence un va et vient très lent pour qu’il finisse de se soulager complètement. Son sperme est très salé, peut-être en accord avec ses activités maritimes, et comme ma langue s’attarde sur son frein, il m’offre encore quelques gouttes que je garde sur ma langue tandis que son sexe ramollit déjà, et retombe sur son pubis quand je le lâche.

Je le regarde dormir. Il doit vraiment faire de beaux rêves maintenant.
« Kevin » est marqué sur la gourmette qu’il porte à sa main gauche, avec une date de naissance.
Je fais le calcul dans ma tête.
Mince, il n’a même pas 16 ans…peut-être est-il encore vierge…

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