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Humiliation au bureau – Introduction à la s

Humiliation au bureau – Introduction à la s



La Banque Forxknock est une grande société dans le centre de paris, ils occupent un grand immeuble avec pas moins de 1.000 salariés sur place.

Il s’agit de la banque la plus coté qui existe en terme de résultat net. Mais ce n’est pas la seul particularité, la société est géré par un homme Richard Knocks, ces apparitions en publique sont très rare et des rumeurs sur sa vie sexuel circulé, homosexuel, sadomasochiste… les secrétaires féminines et masculine changent souvent tous les mois. On dit que c’est un homme froid, il bouge très peu de l’étage 54 où il dirige la société de façon totalitaire, à cette étage il y a aussi ses appartements privés.

En 2009, un grand changement a eu lieu dans la société avec la crise économique une délocalisation du siège social dans un pays avec une fiscalité moins contraignante a été annoncé en interne avec licenciement complet du siege de Paris.

Mais un accord a été trouvé entre le personnel et la direction via un référendum interne

« La direction maintient son siège à Paris et n’effectuera aucun licenciement mais désormais le recours à des sanctions physique ou humiliations seront autorisés à tout moment et à n’importe quel motif par la direction »

Le référendum assez spécial avait été organisé par le grand patron lui même, puisque les employés devait passer à l’étage 54 dans une cabine spécial. Si il était contre il devait montrer une petit pancarte « Non je suis contre, je démissionne » ou alors la personne devait se mettre entièrement nue et montrer une pancarte « oui je suis pour, je me soumets à la volonté au nouveau règlement »

Après l’adoption du décret, la direction avait le droit de recourir à des sanctions corporelles ou humiliations pour les personnes du siège.

il pouvait s’agir :
– de fautes grave ou un manque de résultat
– de demande d’augmentation
– de promotion
– entretient d’embauche

Le poste de secrétaire du grand patron avait changé aussi en bonne (femme ou homme) à tout faire et esclave sexuel.

Bien sur les employés qui ont démissionné, environ 30% des effectifs, ils ont été remplacé par des personnes qui accepté le contrat de travail avec la clause de punition corporel.

De plus tous les employés ont reçu un questionnaire spécial. Il y avait des questions très intime, ainsi qu’une liste de punitions qu’il devait noté de 1 à 10. Il était indiqué que ce questionnaire fixé la nouvelle rémunération et un score trop faible pouvait conduire à un renvoi ou un déclassement dans l’entreprise. Cela permettait au grand patron de trouvé les employés les plus apte à le divertir.

Les sanctions ont souvent lieu en public : salle de réunion, hall d’entrée, cafétéria mais parfois il s’agit d’un tête à tête avec le patron. La décoration de certaines pièces et couloir ont été revu, on trouve souvent des fouets, martinet, paddle, cravache accroché au mur. Dans la cafétéria un pilori a été installé. On trouve même des croix de saint André dans certaines salles de réunion. Dans les couloirs ont affiché les employé du mois qui se voyait doublé le salaire comme récompense mais devait se prêter à une série de photo humiliante : bondage, sm, position humiliante.

Il y a une exception à cette règle le rez-de-chaussée, ici tout est normal mais aucune personne étrangère à la société est autorisé dans les étages. Un sas spécial a été installé avec des gardes qui filtrent les entrées aux ascenseurs. Tous les rendez-vous professionnel avec des personnes externe à la société se déroulent au rez-de-chaussée.

Il a une règle d’or tout ce qui se passe dans la société reste dans la société. Le contrat prévoit des pénalités financières importante en cas de découverte de fuite de ce qui passe dans la société. Le réseau Interne et Internet ont été sécurisé impossible d’entrer ou des sortir des documents numérique sans passé par le service sécurité informatique. Aucun support numérique ne peut entrer ou sortir de la société, en entrant dans l’ascenseur un scan est effectué et si un support informatique est détecté l’ascenseur va directement au service sécurité pour une fouille au corps. Cette règle assure aux employés une confidentialité absolu de toutes les perversités se passant au sein de la société.

L’étage 14 est un étage particulier, certaines pièces ont été aménagé en donjon, et même une mini prison avait installé, un employé recevant un blâme pour la qualité de son travail se voyait passé un séjour à cet étage pour expier ses fautes. Cet étage est aussi réservé aux séminaires en équipe, des formations…

L’étage 14 possède aussi un concept assez novateur, le boss a « autorisé” les rapports sexuels entre les employés. Et il pouvait passé un moment à la hauteur de 4h par mois durant leur temps de travail dans une des chambres spéciales de l’étage 14. Seul contrainte des caméras sont installées dans les chambres et pouvait être visionner en temps réel sur le réseau interne. Les premières semaines aucun d’employé a osé utiliser cette possibilité mais la nudité et la perversité devenant monnaie courante dans la société, le premier 5 à 7 a eu lieu, libérant les autres personnes et au fil des semaines de plus en plus de personnes se rendirent au 14ème étage pour une pause coquine.

Le vendredi été un jour assez particulier, la ou certaine société propose de venir en tenu décontracté la tenue du vendredi était assez particulière, le matin à 08h30 les employé recevait un mail du grand patron avec un debriefing de la semaine passé en terme de résultat mais aussi la particularité du mail était un dress code particulier ou plutôt un ordre de soumission. Par exemple, un vendredi il a fallu se promener dans les couloirs avec les deux mains sur la nuque, ou encore un autre vendredi être topless avec le badge accroché au sein droit et gare si quelqu’un était pris en respectant pas les règles, il devait passer le week end dans les cellules de l’étage 14.

à suivre :
La punition du jour – Le cas Julie

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