Épuises, nous nous sommes glissés tant bien que mal sous la couette et nous sommes endormis après un dernier petit baiser.
A mon réveil il me fallu quelques instants pour comprendre où j’étais, pour quoi j’étais en nuisette, bas string et porte-jarretelles mais aussi pourquoi je sentais une légère douleur entre mes fesses. Je passais un doigt sur mon nouveau sexe et le senti sensible et enflé. C’est vrai qu’il y a été fort pour une première fois. D’y penser je sentis mon clito se tendre. Et oui, me voilà femme, la maitresse de Philippe me dis-je. Ce dernier émergea à son tour et il vient se blottir contre moi en posant un main sur mon clito qui commençai à prendre des formes. Il le titilla un moment avant de descendre entre mes cuisses que je refermais, J’étais trop gênée et j’avais vraiment peur d’avoir trop mal.
J’entrepris donc de le satisfaire autrement. Je replaçais sa main sur mon clito et entrepris de l’embrasser tout en caressant son sexe qui était déjà bien tendu. Je finis par lâcher ses lèvres pour lui faire des bisous sur tout le visage, dans le cou, sur sa poitrine, m’attardant sur ses tétons, les avalants, les léchouillant. Je poursuivis ma descente sur son ventre sur lequel je traçais des lignes du but de la langue, que je bécotais.
J’atteignis finalement son sexe tendu que j’avais continué à caresser mais je n’étais pas à mon aise pour le prendre en bouche te le sucer comme il faut alors je me suis déplacée, je l’ai enjambé pour placer mon clito au dessus de sa bouche dans un 69 inédit pour moi. Je lui ai indiqué qu’il n’avait pas le droit de me touche le sexe, juste mon clito et que le premier qui jouissait avait perdu et pourrait demander à l’autre ce qu’il voulait. Là-dessus je l’ai embouché d’une seule traite, manquant m’asphyxier. Je voulais gagner alors j’ai entrepris une fellation rapide entrecoupée moments plus calme où je jouais du bout de la langue sur son gland, flattant son méat et son prépuce avant de le reprendre pour une série d’aller et retour rapides, les lèvres serrées et lubrifiant abondamment.
Mais il ne resta pas sans réagir. Il sortit mon clito du string et commença à le bouffer. Je n’ai pas d’autres mots pour exprimer la sensation. Sensation qui m’obligea à interrompre momentanément ma fellation. Mais je ne devais pas me laisser aller, je devais oublier ce plaisir pour gagner. Et je repris mes succions que j’accompagnais de caresses manuelles. Lorsque je le sentis se tendre je cru avoir gagné je m’attendais à le sentir gicler dans ma bouche d’un moment à l’autre mais c’était sans compter sur sa fourberie. Il me donna alors une petite tape sur la fesse droite qui réveilla mes sens que j’aimais mis en veille. Et ce fut un déferlement de sensations, toutes celles que mon esprit avait mises de coté pendant que je m’occupais de lui mais que lui aussi s’occupait de moi se répandirent d’un seul coup. Associé au massage de mon clito par sa langue, je n’ai pas pu retenir l’orgasme qui montait en moi. Je tressaillis de tout mon corps. Effet libératoire ? Je le sentis aussi jouir dans ma bouche ce qui me donna un nouvel orgasme.
Je me suis effondrée entre ses cuisses, fatiguée de plaisir mais aussi de dépit, il avait gagné alors que j’étais sure de mon fait. Tout en me malaxant les fesse il me dit « Elodie, tu ne voudrais pas venir vers moi et me monter autre chose que ce magnifique cul ? ». Honteuse je me suis allongée à coté de lui.
– Alors là, si j’ai bien compris le deal, je peux te demander ce que je veux ?
– Oui, lui répondis-je d’un toute petite voix, j’avais déjà peur de ce qu’il me demandera
– Bon, ben je vais y réfléchir. Cela étant ma chérie, je ne sais pas si tu as vu l’heure mais il est grandement temps de ce lever.
Comment ce lever après une soirée, une nuit, un réveil pareil ? J’étais épuisée, éreintée, j’avais mal aux fesses mais il avait raison, il fallait se lever, il était 7 heures et dans une heure je devais être au boulot, en homme, en cadre qui manage une équipe de 50 techniciens et ingénieurs.
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