Initiation d’une jeune bourgeoise – 3 –
Gilberte, puisque c’était le prénom de ma belle mère, aurait donc un amant.
Cela restait , bien sur , à confirmer.
Un ami proche avait entendu fortuitement une conversation dans laquelle , un Monsieur d’un certain âge l’amènerait au » Faisan vénéré « .
Cet établissement , un ancien relais de chasse, d’ou son nom, était perdu en pleine campagne.
Discret, confortable, il était devenu , quelques années auparavant , le lieu de rendez vous préféré de la bourgeoisie de la région . L’endroit était idéal pour les galipettes hors mariage.
Les chambres étaient louées, fort cher d’ailleurs , pour la journée.
Moi même, j’y avais amené jadis quelques conquêtes. J’avais trouvé plus pratique, et d’ailleurs cela se révéla un bon investissement, de le racheter par le biais d’une de mes sociétés.
Le gérant , qui n’avait donc rien à me refuser , me confirma, après avoir vu une photo de ma belle mère, qu’effectivement, elle fréquentait l’établissement deux à trois fois par mois.
Je fis installer un système vidéo dans l’une des chambres qui allait me permettre de tout enregistrer.
Dès lors je n’eus qu’à attendre.
Quelques jours plus tard, le directeur du » Faisan vénéré » m’informa que l’amant de Gilberte avait retenu une chambre pour 14 heures le lendemain.
J’arrivai avant eux et m’installai derrière l’écran.
Un homme pénétra d’abord dans la pièce, je le reconnus, mais peu importe.
Gilberte suivit, chapeau sur la tête, grosses lunettes de soleil barrant son visage pour mieux passer incognito.
Elle se jeta sur lui dès que la porte fut close, s’emparant de sa bouche en un véritable baiser de cinéma.
Je fus étonné de la voir ainsi, moi qui ne connaissais jusqu’alors que la femme froide et toujours dans la maîtrise de soi.
Les choses ne traînèrent pas. Fébrilement ils s’arrachèrent presque les vêtements si bien que je pus voir une Gilberte indécente en dessous frivoles , bas et porte jarretelles assortis au soutien gorge de dentelle noire.
Dans sa petite cinquantaine, ma belle mère était une belle femme au corps harmonieux , aux seins lourds mais fermes, sans bourrelets disgracieux.
Aussi blonde que sa fille mais avec une toison un peu plus foncée, elle s’agenouilla devant son amant et le pris en bouche.
L’homme ferma les yeux de contentement puis lui pris la tête entre ses deux mains et imprima la cadence qui lui convenait.
Malgré la bonne taille de l’engin, elle l’avala en une gorge profonde sans difficultés.
Il accompagna ses mouvements de paroles obscènes , la traitant de bonne salope, de suceuse de bites, le tout en continuant à la vouvoyer.
De la voir ainsi se conduire me procura une intense excitation et je me surpris à devenir dur comme la pierre.
Son amant la fit se relever, et la pencha sur le bord du lit.
Sans autre forme de procès, il fouilla sa chatte poilue de son membre décalotté et, ayant trouvé le chemin, il l’enfila rudement.
Ma belle mère poussa un grognement .
Les mains sur ses hanches, l’homme entama son coit sans sembler s’occuper du plaisir de sa partenaire. Celle ci se mit à geindre et encouragea l’homme.
— Vas y, baise moi comme une putain, bourre moi comme une chienne. Je suis ta salope mon bel étalon.
Un langage aussi cru dans la bouche de la présidente des bonnes oeuvres du quartier m’arracha un sourire.
Décidément, quand les bourgeoises se dévergondent, elles ne le font pas à moitié.
— Vas y plus fort, tu vas me faire jouir, lui cria t elle avant que de ne pousser un feulement de plaisir.
L’homme se retira et Gilberte, tremblante s’effondra sur le lit.
Il partit farfouiller dans sa veste et revint vers le lit tenant un tube.
Elle se plaça à quatre pattes, , le visage sur l’oreiller, les fesses sur élevées.
Le vouvoiement revint chez ma belle mère dans un dialogue surréaliste.
— Savez vous ce que je vais vous faire , mon amie ?
— Oui, vous allez me sodomiser.
— Et aimez vous cela ?
— Vous le savez bien !
— J’aimerai l’entendre de votre bouche.
— Oui j’adore les plaisirs de Sodome.
— Comment ?
— j’adore me faire enculer.
L’homme poursuivit tout en lubrifiant la rondelle de son amante.
— Comme qui ?
— Comme une femme de mauvaise vie.
— Comment ?
— Comme une traînée, une pute, une salope !
Deux doigts gluants s’enfonçaient maintenant dans se fesses, et l’homme, qui n’avait toujours pas joui, la força sans hésitation.
Elle hurla, non pas de douleur, mais de plaisir.
La cavalcade se poursuivit. J’en avais assez vu et quittai les lieux avant eux , emportant avec moi les preuves de cette relation.
Le soir même, je plaçai Camille devant l’écran et lançai le DVD, non sans l’avoir mise en garde du caractère choquant de ce qu’elle allait voir.
Je comptai sur la découverte du comportement de sa mère pour qu’elle se rende compte de l’hypocrisie de sa génitrice. J’espérai que le choc psychologique me rendrait la femme en progrès que j’avais perdu.
L’effet escompté ne se produisit pas, bien au contraire.
Camille pleura beaucoup, m’en voulut énormément et se renferma davantage.
Les quelques semaines qui suivirent furent pénibles . Le silence s’installa dans notre couple, les relations intimes s’espacèrent pour laisser place à celles ou un époux satisfaisait à son devoir conjugal auprès d’une épouse qui n’avait qu’un seul but, celui de lui donner un héritier. Relations agréables certes, pour nous deux , mais…
L’enfant ne vint pas. Chacun de notre côté nous fîmes examiner et il en ressortit que, ni l’un ni l’autre, ne serions, jamais, en mesure de procréer.
Le chagrin passé, la situation nous rapprocha mais ce fut dans une indifférence polie .
Nous partagions , certes , des loisirs communs, avions une vie sociale bien remplie mais la flamme était éteinte.
Je retrouvai le plaisir dans les bras d’une maîtresse plus âgée que moi, épanouie, ouverte et consentante à toutes mes petites perversions.
J’exigeai d’elle qu’elle fut , en ma présence, toujours sans culotte sous une jupe ou une robe.
Elle accepta de bon coeur et je pus ainsi la trousser , la caresser, boire à sa source quand je voulais.
J’adorai exhiber son mont de Vénus glabre aux routiers que nous dépassions sur l’autoroute. Elle y prit tellement de plaisir, elle aussi, que nous finimes par faire l’amour , dans la voiture close, sur une aire de repos discrète.
Quelques chauffeurs chanceux purent assister à nos ébats et même, certaines fois, jouir des mains manucurées de mon amante. Cela n’alla jamais plus loin.
Céline était une bonne épouse, une bonne mère et une amoureuse accomplie.
Elle raffolait me boire sans en laisser échapper une goutte, j’aimai sa distinction, sa discrétion, les courbes de son corps.
Elle me fit découvrir la jouissance anale quand , un jour elle me suça tout en introduisant un doigt dans ma rondelle. Son massage me fit décoller et je ne pus retenir ma jouissance dans sa bouche tandis que je sentai mes muscles se resserrer sur ses doigts.
Ce fut une révélation et nous prîmes l’habitude de partager des jouets intimes que nous nous introduisions à tour de rôle.
Ma vie prit ensuite une tournure différente et inattendue.
Un samedi soir que nous étions invités, Camille et moi, dans une réception mondaine, une vague connaissance vint nous saluer.
Amaury, dans nos âges, se présenta courtoisement.
Plus tard dans la soirée, je le vis souvent parler avec ma femme.
Avec amusement, je reconnus la parade de l’homme voulant séduire sa conquête . Intérieurement , je lui souhaitai bon courage, ne croyant pas une seconde en ses chances de séduire mon épouse si coincée.
Camille garda ses distances même quand, l’ayant invité à danser, Amaury se colla à elle.
Un brin empourprée, elle se raidit et s’écarta.
Je les revis plus tard bavardant autour d’un verre puis ne prêtais plus attention à cette tentative de séduction que je savais vaine.
Le lendemain , nous étions installés confortablement sur notre canapé, lorsqu’un signal de réception de message retentit sur le téléphone de Camille.
A la lecture, je vis ses joues rougir légèrement.
— Tout va bien ?
— Oui , oui, juste une publicité.
Et notre fixe sonna, affichant » Maman » et elle quitta la pièce pour répondre à Gilberte laissant là son IPhone.
Pris d’une subite inspiration, je consultai le texto qu’elle n’avait pas eu le temps de supprimer et je lus avec stupéfaction :
— J’ai hâte que vous soyez mienne. Rendez vous, demain, 15h, au Faisan Vénéré. Votre Amaury
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