La meilleure amie de ma mère et moi
Après une longue absence, me revoici. Je vais vous raconter ce qui m’est arrivé avec la meilleure amie de ma mère. Elle s’appelle Stéphanie. C’est une jolie blonde de 49 ans. Elle a les yeux marron. Elle mesure 1m70 pour 66kg. Elle fait un petit 90B qui soyons honnête, n’est pas son point fort. Par contre, elle a un cul magnifique ! Certainement l’un des plus beaux que j’ai pu voir et pour sur, c’est le plus beaux que j’ai vu chez une femme de son âge. Il est généreux, bien bombé et très ferme à la fois. Elle est mariée depuis plus de 20 ans et elle a une fille qui a maintenant 25 ans. Tant que je vous parle de sa fille, c’est une grosse salope. Je connais beaucoup de mecs qui pourraient vous raconter des choses sur elle, mais ce n’est pas le sujet du jour. De plus, je préfère largement la mère à la fille.
Revenons donc à Stéphanie. Elle a fait partie de mes premières masturbations. J’ai passé de nombreuses heures à me branler en regardant des photos d’elles que j’avais récupéré en fouillant le PC de mes parents mais aussi le sien. Il m’est arrivé de lui piquer de la lingerie pour me branler avec. Dès que je le pouvais, j’essayais de me frotter à elle et lorsqu’elle me faisait la bise, j’en profitais toujours pour poser ma main sur son bras, son dos ou sa hanche. J’ai surpris des discussions entre elle et ma mère où elle lui racontait que depuis la naissance de sa fille, son mari ne la touchait quasiment plus. « Quel con ce mec ! » C’est ce que j’ai pensé du haut de mes 12 ans lorsque j’ai entendu qu’il ne la baisait plus alors que je rêvais de la baiser. Mais j’ai commencé à voir mes premières filles et finalement Stéphanie est un peu sortie de mon esprit même si l’envie de la baiser revenait à chaque fois que je la croisais.
Nous voici donc à l’été 2016 (cette formule ça donne l’impression que c’est arrivé il y a trois siècles !), le 1er aout exactement. Je m’en souviens car c’est l’été suivant mon premier emploi après l’Université et donc je n’avais pas de vacances. C’est l’année où je baisais tous les jours ou presque avec Laureen (voir Laureen et moi 1&2). Mais en cette première semaine d’aout, Laureen était en vacances. Tout comme mes parents chez qui je logeais encore en attendant de trouver un appart. Je ne l’ai pas encore dit mais Stéphanie et son mari habitent à une centaine de mètres de chez mes parents. Le mari de Stéphanie était en déplacement professionnel et leur fille en camping avec des amis. Sachant que j’étais moi aussi tout seul, Stéphanie m’a invité à diner. J’ai donc naturellement refusé. Mais non soyons sérieux, quel mec refuserait l’invitation d’une jolie blonde ?
J’arrive donc chez elle au alentour de 20 heures. Elle m’ouvre et me fait la bise. Je pose ma main sur ses hanches qui sont nues. Elle porte un mini short qui met, plus que merveilleusement bien, son cul en valeur ainsi qu’une espèce de T-shirt noué sur le ventre. Je remarque rapidement qu’elle ne porte pas de soutient gorge. Nous parlons de tout et de rien pendant le repas. Lorsque nous terminons, je l’aide à ranger puis nous retournons sur la terrasse pour profiter du beau temps. Plus je la regarde, plus j’ai envie d’elle. Sa frange encadre magnifiquement son visage. Nous sommes assis cote à cote. Je peux sentir son parfum et cela m’excite énormément. Les regards entre nous sont assez intenses. Nous discutons depuis un long moment lorsqu’elle me dit :
«
– Est-ce que tu as une petite amie ?
– Non.
– Comment ça se fait ? Tu es tellement mignon ?
-Disons que je n’ai pas forcément envie de me caser.
– Tu profites alors. Tu as bien raison. Surtout que tu ne dois pas avoir trop de mal à trouver des filles !
– Je n’ai pas à me plaindre. (En disant cela, je fais un grand geste de la main et j’en profite pour la poser sur sa cuisse. Elle ne dit rien donc je la laisse là).
– Je ne suis pas vraiment surprise. Profites en parce que ce n’est pas quand tu seras casé que tu vas t’éclater.
– Vu ce que tu dis, ça n’a pas l’air au top avec ton mari ?
– Non pas vraiment. Il n’a jamais été porté sur la chose mais là c’est carrément le néant !
– A ce point là ?
– Oui ça fait huit ans qu’il ne m’a pas touché.
– Huit ans ! Mais vous faites chambre à part ou quoi ?
– Non pourquoi ?
– Avec une femme comme toi dans son lit, je ne sais pas comment il fait !
– Merci mais n’exagère pas, je pourrais être ta mère.
– Ca ne t’empêche pas d’être jolie. Tu dois encore plaire à beaucoup d’hommes comme avant.
– Je n’ai connu que mon mari. Ce n’est pas pour rien si je te dis de profiter. Ta mère me ferait les gros yeux si elle savait que je te dis ça.
– Surement (si seulement Stéphanie savais tous ce que ma mère sait déjà !). Après s’il te contente c’est l’essentiel.
– Justement ce n’est pas le cas. Avant il me prenait comme une brute pendant cinq minutes à chaque fois que son équipe favorite gagnait. Mais maintenant plus rien. Pour être honnête avec toi, ca me manque.
– Trouve-toi un amant !
– Pas à mon âge, tu es fou. C’est trop risqué.
– C’est toi qui vois ! Mais si tu es en manque c’est dommage de te priver.
– Pour toi c’est simple, tu es jeune, beau et célibataire. Et apparemment tu en profites bien.
– Qu’est ce que tu en sais ?
– Tu m’as dit que tu en profite et j’ai surpris une conversation de ma fille avec plusieurs de ses amies. Apparemment, certaines d’entre elles ont passé bon moments avec toi.
– Je ne connais pas les copines de ta fille, je ne sais pas.
– Fais pas l’innocent, si je te parle de Mathilde XXXXX par exemple ou de Charlotte YYYYY ?
– Effectivement, il se peut qu’on est passé du bon temps.
– Elles ont l’air d’avoir adoré ! Même la mère de Mathilde si j’ai bien compris.
– C’est vrai.
– Tu aimes les femmes plus âgées ?
– Quand elles sont jolies oui. (J’ai toujours ma main sur sa cuisse et je le fait remonter jusqu’à atteindre son short. Je constate alors qu’il est trempé de mouille ! Nos visages s’approchent et nos lèvres sont presque en contact).
– Tu me trouves jolie ?
– Tu es magnifique Stéphanie ! »
Nos lèvres se collent et nous nous embrassons fougueusement. Stéphanie s’assoie sur mes genoux. Elle est face à moi et nous nous embrassons toujours. Mes mains parcourent ses cuisses pendant que les siennes sont sur mon torse et derrière mon cou. Les miennes arrivent sur ses fesses. Enfin, après des années à en rêver, je malaxe ce cul si parfait ! Nous nous embrassons quelques minutes puis elle s’écarte un peu de moi.
«
– Je suis désolé, je crois que j’ai fait une bêtise.
– Non tu n’as rien fait de mal.
– Je t’ai embrassé !
– On en a envie tout les deux.
– Non ! Je ne peux pas.
– Ton short est trempé !
– C’est une réaction physique. Je ne peux pas coucher avec le fils de ma meilleure amie !
– Et pourquoi pas ?
– C’est mal !
– Non. Tu t’ennuis dans ton couple et tu es en manque. Tu as besoin d’un amant.
– C’est trop risqué pour moi d’en prendre un !
– Avec moi tu ne risques rien. Tu crois vraiment que je vais aller tout raconter à ma mère ?
– Tu pourrais être mon fils !
– Tu es superbe. Depuis que je suis ado je fantasme sur toi.
– Tu me plais mais c’est compliqué. Je suis mariée.
– Justement, tu me connais depuis longtemps et tu sais très bien que je vais ne pas raconter à tout le monde que j’ai couché avec toi. Tu peux me faire confiance.
– Et puis merde. Tu as raison, je suis en manque depuis des années et j’ai trop peur de prendre un amant. C’est vrai que tu me plais et j’ai confiance en toi alors je me jette à l’eau. Fais-moi l’amour ! »
Nous reprenons nos baisers. Mes mains retrouvent leur place sur ses fesses même si rapidement elles remontent le long de ses hanches puis de son dos. Je lui enlève son haut et mon visage se retrouve face à ses seins. Je pose mes lèvres dessus. Je les caresse aussi avec mes mains. Stéphanie enlève mon polo puis je reprends mes caresses et mes baisers sur ses seins. Stéphanie se cambre et plaque ma tête sur sa poitrine. Elle pousse de petits gémissements très excitant. Elle est tellement excitée que son short est trempé et je sens la chaleur de sa chatte à travers mon short. Je sens qu’elle n’est pas en confiance niveau sexe. Je décide donc de prendre les choses en main.
Je la fais se relever. J’en profite pour baisser son short et aussi pour mater son cul qui est juste devant moi. Elle fait de même et elle dévore ma bite des yeux. Elle s’agenouille devant moi et prend ma bite en main. Elle me branle lentement puis elle met ma bite dans sa bouche. Honnêtement, ce n’est pas la meilleure pipe de ma vie mais j’ai tellement fantasmé sur Stéphanie que je suis très excité et j’apprécie la situation. Je la laisse jouer une dizaine de minutes avec ma bite puis je la fais se lever. Je l’assois sur la table. Je l’embrasse, je caresse ses seins puis je descends entre ses cuisses. Sa chatte sent la mouille à plein nez. J’embrasse l’intérieur de ses longues jambes. J’alterne entre sa cuisse gauche et sa cuisse droite tout en remontant progressivement vers son clito. Je commence à lui bouffer puis ma langue joue avec ses lèvres et entre dans son vagin. Elle pousse des gémissements. J’enfonce alors doucement un puis rapidement deux doigts. Elle est tellement humide que je pourrais y mettre toute ma main. Je n’en peux vraiment plus, il faut que je la prenne !
Je me redresse et place ma bite devant sa chatte. Avant même que je commence elle me dit :
«
– Vas y doucement s’il te plaît, je n’ai pas pris une bite depuis huit ans et surtout je n’en ai jamais pris une aussi grosse.
– T’inquiète pas tu vas adorer !
– Vu ce que tu viens de me faire découvrir, je n’en doute pas un seul instant. »
Etant donné qu’elle n’a pas baisé depuis huit ans, je ne prends pas la peine de mettre une capote. J’enfonce lentement ma bite dans sa chatte. Je savoure chaque centimètre qui entre en elle. Elle aime aussi. Elle est toujours allongée sur la table. Ses jambes sont sur mes épaules et ses mains agrippent la table au dessus de sa tête. Lorsque j’arrive au fond, je me retire doucement puis je la pénètre de nouveau tout doucement. Je m’arrête et profite de l’instant. Ma bite est dans le vagin de la meilleure amie de ma mère sur laquelle je fantasme depuis mon adolescence. Je la prends alors assez violement. Elle pousse des cris de bonheur et de jouissance. Je sens vraiment que se faire sauter lui à beaucoup manqué. Je la prends à pleine vitesse, je prends ses seins à pleines mains tout en la pillonant. Après vingt bonnes minutes passé à la sauter sans retenu (pendant lesquelles elle a crié de plus en plus fort et en jouissant plusieurs fois), je sens l’éjaculation arriver. Je sors de sa chatte et je me mets à genou sur la table. Ma bite est au dessus d’elle. Je la frotte un peu contre ses seins puis je l’enfonce dans sa bouche. Je fini par jouir dans sa bouche. Elle avale tout.
Je m’allonge sur elle et nous nous embrassons un long moment. Je bande toujours et elle le sens. Elle att**** ma bite et la dirige vers sa chatte. Nous sommes donc allongés sur la table de la terrasse et je la prends en missionnaire. Nos bouches ne se quittent pas. Stéphanie enroule ses jambes et ses bras autour de moi. Je la saute comme une brute. Stéphanie a un nouvel orgasme et son vagin se contracte. Cela me fait jouir. J’inonde sa chatte. Nous restons un long moment à nous embrasser puis elle me dit :
«
– Merci. C’était vraiment trop bon. Je n’ai jamais autant jouis de ma vie !
– Depuis le temps que j’en rêvais.
– Je peux te demander quelque chose ?
– Bien sur.
– Tu veux bien être mon amant ?
– Tu as changé de position sur la question alors ?
– Oui il n’y a que les idiots qui ne changent pas d’avis.
– Et les femmes bien baisée !
– Mais promets-moi que tu ne diras rien à personne.
– Je te le jure.
– Alors puisque tu es mon amant et que mon mari n’est pas la, passons la nuit ensemble !
– Avec plaisir ! »
Nous descendons de la table et nous constatons qu’elle à bouger de plusieurs dizaines de centimètres. Stéphanie me prend la main, presque amoureusement, et m’entraine vers sa chambre. La nuit n’est pas terminée ! N’hésité pas à me contacter par mail : [email protected] ou à rejoindre le groupe Facebook : Fans des histoires de Jerinak.
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