1993. L’été de mes douze ans. Je passe des vacances paisibles chez mes grand-parents non loin de Montpellier. Chaque matin je pars à la plage qui se trouve seulement à quelques encablures de la maison. A chaque vacances depuis mon plus jeune âge je quitte la région parisienne pour venir ici. Le coin est charmant, chouette station balnéaire qui vit beaucoup de la pêche et du tourisme.
Seulement depuis quelques temps je sens que les choses changent. Je ne sais pas encore de quoi il s’agit mais je sens bien que certaines choses me troublent davantage qu’avant comme par exemple ces femmes qui bronzent seins nus. Autrefois au mieux je m’en fichais ,au pire je me moquais de manière bête comme le font les enfants.
Mais cette fois quelque chose à changé. Je me surprebds à observer les filles à la dérobée mais je m’aperçois bien que mes préférences vont aux femmes dotées de grosses et lourdes poitrines.
Souvent je ne peux m’empêcher de bander sous mon maillot de bain Douze ans. Pour éviter que l’on s’en aperçoive, deux solutions: me mettre à l’eau où l’on ne verra rien et que la fraicheur me fera débander ou bien m’allonger sur ma serviette sur le ventre et attendre que ça passe. Je passe la première moitié de l’été avec ce problème.
Puis arrivent mes cousins Frédéric et Laurent qui ont respectivement onze et treize ans. Tous les trois nous avons déjà fais les 400 coups et nous avons bien l’intention de continuer. Il est prévu qu’ils restent une semaines, leurs parents partent en voyage, moi je suis content je ne suis plus seul pour jouer.
Un jour alors que nous nous étions baignés nous nous allongions sur nos serviettes. La chaleur du soleil et du sable sur nos corps mouillés nous détendait mais au bout d’un moment on finit par s’ennuyer.
-Pfff… on se fait chier là, qu’est ce qu’on peut bien faire ?.
Frédéric qui était l’ainé et le plus âgé de nous trois nous proposa de mâter les femmes qui passaient devant nous et de les noter selon leur physique.
Je trouvais ça nul.
-Alors qu’est ce qu’on fait ?.
Il me vint une idée.
-J’y pense. Il y a un camp de naturiste juste à côté si on y allait ?.
-Tu veux qu’on se mette à poil ?.
-Pas qu’on se mette à poil. Pour mater.
Il ne nous fallut que quelques minutes pour rejoindre la zone des naturistes. Nous n’avions pas le droit d’être là et pour éviter d’être vus nous passions par les dunes piquetées d’herbes et de roseaux.
Et il y eu cette femme…
Nous étions sur le sommet d’une grande dune et à quelques mètres ,au pied de celle-çi une femme sur sa serviette, seule et entièrement nue. D’un certain âge-je dirais la quarantaine bien entâmée dans mon souvenr- elle disposais de cette chevelure blonde et de ce teint mat propre à ces femmes du sud. Elle portait des lunettes de soleil et semblait dormir, mais surtout ce que je remarquais ce fut ses seins gros et lourds qui lui tombaient généreusement.
-Elle est moche. Elle est grosse!.
Frédéric fit signe à Laurent de se taire. Si lui n’appréçiait pas cette poitrine, ses lourdes cuisses et ses bras dodues ,moi je les aimais au moins pour deux.
Frédéric m’avoua plus tard avoir adorer le corps bien en chair de cette femme.
Et l’on resta ainsi quelques minutes à regarder cette belle femme mûre. Discrètement je serrais mon entrejambe ,soudain pris d’un désir violent.
Puis l’on se décida à rentrer. Le soir même je me branlais dans mon lit en pensant à la femme nue de cet après-midi.
Ce fut ma première masturbation. C’est à ce moment là que je compris quel genre de femme m’attirait..
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