Jeveux trouver du travail pour mon indépendance et avoir de l’argent de poche pour mes petites folies. Je fouine donc sur le net mais tous demande des références que je n’ai pas. Après de longues recherches, je trouve une proposition d’emplois sur un yacht de luxe. Déjà je me fais un cinéma sur ce taf de rêve.
J’en parle à Alain qui pris au vif de répond :
« Tu veux gagner de l’argent toi même ? Salope comme t’es fais le tapin ça t’irais à merveille ! Merde ! Vas-y sur ton bateau ! Mais viens pas te plaindre après ! »cher et agis ! Sinon c’est le trottoir ! »
« Salop, tu serais capable de me mettre sur le trottoir ? »
« Bien sur ! Tu serais une bonne gagneuse. Au moins c’est un domaine où tu as des compétences certaines ! » Me répond-il ironique.
Je suis vexée et agacée et déterminée, je lui tiens tête en disant :
« J’vais te montrer que j’ai d’autres compétences ! Oui ! A moi, les croisières au bout du monde ! »
De ce pas, je téléphone à l’agence qui a mis l’annonce.
« Bonjour Monsieur, je viens prendre des renseignements par rapport à l’annonce que vous avez publiez sur le net concernant un travail sur des Yachts. »
« Certainement, vous avez un CV, des références ? »
Je rougie et je peste en bredouillant :
« Heu, ben non mais je suis une bonne travailleuse ! »
Aussitôt, je me mords les lèvres en pensant au double sens de ma phrase et j’insiste en lui disant :
« Je vous assure que je suis très motivée et prête à tout ! »
« Bien, mais je ne peux vous proposer qu’un emploie dans le service de nettoyage. »
Je rage et elle lui lance :
« Bonne ?!!! Ca va pas ? J’ai l’air d’une bonne ? »
L’employé rigole devant ma réaction vive et décide jouer et de s’amuser à me manipuler.
« Bonne ? Quelque par vous je suis certain que vous l’êtes. Mais je vous verrai plus en femme de chambre !. Que voulez-vous faire d’autres, sans qualification et sans diplômes, Madame ? A part si votre physique est avenant, je ne vois vraiment pas. Mais si vous êtes prête à tout, peut-être que certaines personnes souhaiteraient disposer de personnel aux courbes harmonieuses. Présentez vous demain à l’agence et je jugerais sur pièce. »
Je raccroche rageuse en lui disant :
« Merci, j’y serais ! Mais, mais, mais, je…. je suis ni une bonne, ni une… une fille facile ! »
Alain en profite pour me baiser pendant que je parle à l’employé de l’agence. Ce qui me met dans tout mes état bien sûr.
Le lendemain, je me présente à l’agence maquillée et habillée sexy. En me vayant entrer, l’employé me détail et me dit, ironique :
« Vous êtes la fille qui est prête à tout ? »
Je reste un instant sous le choc mais réplique rapidement :
« Oui ! Enfin si on veut. Michèle, Bonjour Monsieur. Je viens pour l’emploie sur le bateau. »
« Oui j’avais bien compris. Alors comme ça vous êtes prête à tout…. Bon on va voir ça. C’est un employeur des pays persiques très exigent. Mais il paye très bien, 1000€. »
J’ouvre grand les yeux en lui répondant :
« Vous rigolez ? C’est ça que vous appelez bien payé ? »
Il sourit, sûr de son effet :
« 1000€ par jour pendant quinze jours…. Voyez-vous ça fait 15000€ pour 15 jours ! »
Je reste bouche bée, me demandant où est l’arnaque. L’employé continue :
« Mais si vous êtes OK, Seul le directeur peut prendre cette décision. »
Sans trop réfléchir, je lance, enjouée :
« Oui oui pas de problème !!! »
Il prend son téléphone et appel le directeur d’agence.
« Monsieur le directeur, il y a une dame pas mal faite de sa personne qui pourrait convenir à Monsieur Falken. »
« ………. ! »
« Oui, Monsieur le directeur. »
Avec un sourire curieux, il me dit :
« Le directeur va vous recevoir pour un entretient d’essai. C’est au bout du couloir Madame. La grande porte capitonnée. Il vous attend ! »
Je frappe à la porte et entre. Un ancien est assis derrière un grand bureau. Impressionnée, je prends mon courage à deux mains.
« Bonjour Monsieur, voilà. je.. »
Il me coupe la parole d’un ton autoritaire:
« Oui, je sais. Marchez dans la pièce que je vois si vous méritez qu’on s’intéresse à vous ! »
Pétrifiée par le ton qui est pris, je me déplace dans le bureau avec la plus gracieuse des démarches possible.
« Huuum ! Ouvrez votre chemisier ! »
L’ordre est donné sur un ton qui ne demande pas de réplique.
J’hésite et ose une petite réclamation :
« Mais monsieur… »
Sans me répondre, il me fusille des yeux et son regard suffit pour que j’obtempère. Je me retrouve juste en jupe et soutif devant ce gros porc.
« Continuez à marcher ! » me dit-il, d’un ton péremptoire.
Je marche de long en large. mes seins opulents emprisonnés dans le soutien gorge se balancent au rythme de mes pas. Je sens les yeux vicieux du vieux me détailler. J’ai la sensation d’être comme un morceau de viande sur un étale.
Je sursaute presque quand le directeur rompt le silence en disant :
« Bien ! Physiquement, vous convenez tout à fait. Il s’agit d’un travail de femme de chambre sur un yacht de grand luxe. Il y a une petite dizaine de personnel à bord. ! »
Je me rapproche du bureau et m’assied dans le fauteuil sans demander l’autorisation.
Aussitôt le vieux s’insurge :
« Vous ai-je dis de vous asseoir ? Restez debout !et je veux vous juger nue avant de prendre une décision. »
Honteuse, je me déshabille et nue devant ce vieux, il tourne autour de moi et prend une photo qu’il envoie à mon hypothétique employeur. Pourquoi as-t-il besoin de me voir nue ? J’hallucine mais je tiens tant à ce job que je ne dis rien. Restée nue dans le bureau le Directeur continue :
« Donc, disais-je, vous serez deux femmes de chambre. Vous devez être à la disposition de votre employeur en toutes circonstances, de jour, comme de nuit. Vous pouvez vous faire beaucoup d’argent, si vous faite plaisir au patron ! Si vous êtes embauchée, vous devrez appeler votre patron « papa » et sa femme »Maman ». Vous devrez servir à table et faire tout ce que votre patron vous demande pour le satisfaire ou satisfaire ses invités. Vous devez être d’une obéissance et d’une politesse absolue. »
Mais je vais être embauché par des tarés ? C’est quoi ce délire pensais-je ? En répondant comme une automate :
« Bien Monsieur. »
Son portable sonne et le vieux affiche un sourire satisfait en me disant :
« Bien ! Vous êtes embauchée ! Signez ce contrat ! Vous devrez vous trouver le 30 Décembre à Palerme. Tous les frais sont à notre charge, bien sûr. Ha ! Une dernière formalité. Je veux vérifier que vous sucez bien ! »
Je suis prise de panique. Il jubile de voir ma réaction et rajoute :
« Je dois voir si vraiment vous êtes prête à tout pour ce job ! »
C’est vrai que je suis prête à tout et que j’aime sucer. Mais comme ça, je trouve ça dégelasse. Mais je me mets à genoux, sors sa grosse queue flaque et la prends en bouche. Avec tout mon savoir faire, la vieille pine directoriale grossie rapidement pour prendre un beau volume.
« Huuummmm ! Oui tu suces comme une pro. Je pense que ton employeur sera content de tes prestations. »
Il appelle son son employé alors que nue je suis entrain de ce vieux. Je veux me retirer et me rhabiller mais il me maintient la tête sur sa queue. Quand son employé entre, il dit à son patron :
« Monsieur le directeur, je vois que cette dame convient parfaitement à l’emploi ! »
« Oui je pense qu’elle sera parfaite. Si vous voulez l’essayer, faites vous plaisir. »
« Merci Monsieur ! » répond-il enjoué.
Je suis horrifiée et marmonne des NON inaudibles avec la queue qui me bloque la gorge. Il commence par me fouiller la chatte en constatant :
« Huuum vu comment elle mouille patron, elle doit aimer la bite ! »
Sur ces mots, il me fourre jusqu’à la garde. Je ne peux que subir les assauts des deux hommes. L’employé se met à me bourrer vigoureusement. Le pire c’est que j’y prendre du plaisir.
Au bout d’une dizaine de minutes, Le directeur se lâche dans ma bouche rapidement suivi par son employé. Moi même, je suis prise d’un orgasme et avale le sperme du directeur qui satisfait dit :
« Wahoooo ! Vraiment parfaite pour le job ! » Il rajoute à l’intention de son emplyé :
« Prenez là en photo ! On les joindra au dossier mon le client ! »
Nue, humiliée, du sperme coulant de ma chatte, je me plie à la séance photo.
« Bien ! Michèle vous partez dans deux jours. La limousine de Monsieur Al Falken viendra à 08h00 Samedi matin vous chercher. Ne prenez rien avec vous. Juste une robe pour la route et nue dessous ! »
Puis d’un geste de la main, il me dit :
« Ouste ! Bon voyage, vous ferez une très bonne bonne…. ! »Il est content de son jeux de mot et c’est en morte de honte que je me rhabille en le remerciant.
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