Ce que j’aime particulièrement lors des nuits de luxure passée en compagnie de l’une de mes maîtresses, c’est que les cavités de celles-ci soient abondamment garnies du foutre d’autres gars au moment où je les pénètre. Que ce soit leur cul, le vagin ou leur bouche, c’est toujours un délice de découvrir que ces zones paradisiaques sont déjà humectées de nectar masculin.
Laurence était particulièrement excitée ce soir-là – comme nous tous, d’ailleurs : l’air était doux et appelait au mélange des sexes. Nous étions trois hommes et une femme autour de cette maman quinquagénaire bien disposée à passer une bonne soirée avec nous. Elle s’est rapidement laissé dépouiller de sa culotte et des autres vêtements, afin d’exposer à nos regards émerveillés tous ses charmes matures. Elle avait de volumineux seins tombants avec de grandes aréoles brunes, et une croupe très bandante, avec des fesses confortables à souhait. Son mari Bernard était présent, et disposé à partager sa moitié avec ses collègues et amis. Anne, ma femme chérie et la mère de nos enfants, était là, tirée comme toujours à quatre épingles.
Les bouteilles de bière étaient restées, pour la plupart, au frigo, car nous n’avions pas besoin d’alcool pour nous exciter comme des fous sur une aussi jolie partenaire de jeux érotiques. Nous, les hommes, nous sommes mis à poil en un clin d’œil, et nous bandions comme des cerfs en rut. La peau de Laurence sentait déjà le stupre et la luxure de femme, avant même de commencer. Bernard avait une cage pénienne que sa femme lui a retirée à l’aide de la clé qu’elle gardait dans son sac à main. Il n’avait pas baisé depuis un mois, se contenant de regarder son épouse forniquer avec tout le carnet d’adresses du couple, lequel était copieusement garni de copains en pleine santé, et même quelques copines lesbiennes ou bisexuelles que le physique de la jolie maman ne laissait pas indifférentes. Pour ma part, je portais un plug anal que ma tendre épouse m’avait offert pour notre anniversaire de mariage ; cet objet me massait continuellement la prostate lorsque le marchais, ce qui me maintenant dans un état constant d’excitation sexuelle. Elle me l’a retiré avec délicatesse afin de le laisser admirer par nos amis.
Laurence s’est tout de suite allongée sur la table basse, sur le dos, les fesses sur le bord et la tête basculée en arrière : tous ses orifices étaient à disposition de ses prétendants. Pour elle, trois bites en même temps dans son corps constituaient un minimum pour une soirée réussie. Elle lubrifiait naturellement d’une manière suffisante pour qu’il ne soit pas nécessaire d’ajouter quelque substance pharmaceutique que ce soit. Comme elle adorait se faire attacher, nous l’avons ligotée sur les pieds de la table, les bras en croix et les cuisses repliées et écartées largement, solidement fixée par poignets et chevilles où les marques du nylon serré sont restées imprimées quelques jours, ce qu’elle ne craignait pas de montrer fièrement dans les transports en commun, et les connaisseurs ne s’y trompaient pas devant de telles décorations. Nous lui avons également bandé les yeux en prévision de l’arrivée imminente des invités-surprise.
J’ai plongé mon membre dans sa bouche, en le faisant descendre lentement, jusqu’au fond de sa gorge. Elle a tout avalé de bonne grâce entre ses lèvres ouvertes en grand, malgré quelques hoquets et haut-le-cœur passagers, puis elle a courageusement travaillé avec sa langue afin de m’entraîner sur le chemin du paradis orgasmique. Mais comme je suis lent à venir, j’ai pu observer mes deux compères octroyer une double pénétration à la jolie Laurence, l’un à califourchon sur la belle afin de remplir son ventre par le devant, l’autre à genoux afin de l’enculer. Puis, en épicuriens curieux de goûter à tout, ils ont échangé les rôles. La maman gémissait et se tortillait, car en même temps, ils tripotaient son clitoris, le pinçaient à travers le fourreau puis l’effleuraient du bout des doigts, afin de la faire jouir à répétition.
Puis, quand les deux autres ont été fatigués d’avoir éjaculé, je me suis présenté par la porte arrière du bonheur et je l’ai visitée analement, et ce fut là que j’ai vérifié à quel point il est plaisant de passer après les copains. Le trou était gluant de substance visqueuse, déjà bien ouvert en un O majuscule, parfaitement rond, mais bien serré à l’intérieur, et j’ai ajouté la liqueur de mes couilles dans les tréfonds des entrailles de la belle Laurence.
Juste au moment où j’ai déchargé, on a sonné à la porte. C’était Bob et Lucas, les deux fils jumeaux de Bernard et Laurence. Nous leur avions proposé de baiser leur mère et ils avaient accepté avec enthousiasme. Comme celle-ci avait toujours les yeux bandés, elle ne pouvait pas savoir que les deux satyres qui arrivaient dans le salon familial étaient ses enfants. Ils se sont rapidement dévêtus. Ils avaient des braquemards identiques, tout-à-fait impressionnants, recourbés en arc de cercle vers le haut, et des testicules à l’avenant, et des corps fins et musclés comme des gladiateurs prêts pour le combat. Même moi qui suis strictement hétérosexuel, cela m’a fait chaud au ventre de les voir s’apprêter à s’enfoncer virilement dans leur mère. Pour les regarder, nous nous étions assis sur le canapé, tous les quatre, et comme la place manquait, Anne s’est assise sur mes genoux : j’en ai profité pour glisser une main sous sa jupe afin de la branler à travers le tissu fin de sa culotte, l’autre main sous le corsage pour tripoter ses petits seins, pendant que nous regardions le spectacle de la baise taboue entre la maman et les deux jeunes garçons. C’était un spectacle puissamment excitant : du porno en direct, sans caméra ni écran.
Bob et Lucas ont tout de suite opté pour la double pénétration, dans des positions identiques à celles de leurs devanciers. Nous pouvions tous observer que Bob, avec son canon de gros calibre, écartelait la rondelle maternelle d’une manière impressionnante. Ils devaient remonter haut dans les gaines anale et vulvaire, et nous pouvions voir le ventre se déformer sous la puissance des assauts virils : rien qu’à imaginer les contours de leurs membres en pointillés, comme dans les hentaïs japonais, nager dans des mers de foutre encore brûlantes, j’en bandais de nouveau.
Pour en faire profiter ma femme, alors qu’elle jouissait déjà grâce aux roulements de son clitoris sous mon index, et aussi grâce à l’excitation que lui procurait ce spectacle, je lui au retroussé sa jupe, écarté légèrement sa culotte déjà trempée, et je l’ai enculée – elle adore cela et l’a murmuré à l’oreille « oh oui ! » -, alors qu’elle était toujours assise sur moi comme une reine altière sur son trône, attentive à ne pas abîmer sa permanente, ni froisser son corsage impeccable. Elle tortillait sa croupe afin d’être explorée bien à fond, et ses bijoux, collier, bracelets et grandes boucles d’oreilles dorées, tintaient à chacun de ses mouvements. Bernard aussi a retrouvé son érection, après une rapide masturbation. Il est allé s’enfoncer dans l’accueillante bouche de sa chère épouse. À ce moment-là, les deux jeunots ont répandu leur nectar d’hommes dans les ouvertures maternelles. C’était le spectacle excitant d’une famille unie.
Puis Bernard a retiré le bandeau qui occultait les yeux de Laurence et celle-ci a vu que les deux gaillards qui la pénétraient simultanément étaient ses deux fils chéris. Elle les a un peu engueulés pour avoir profité de la situation, mais dans son for intérieur, elle était très contente d’avoir reçu l’hommage qu’elle espérait depuis longtemps de la part des deux garçons, dont elle connaissait déjà l’exquise virilité pour les avoir souvent espionnés en train de se masturber, ou de forniquer avec des lycéennes de leur âge. Très souvent, la maman voyeuse se cachait dans un placard de la chambre et se caressait en même temps, sans oser demander à participer aux ébats. Les jumeaux s’étaient aperçus de cette présence maternelle qu’ils toléraient sans se risquer à en parler avec elle : trop tabou. Enfin, le pas venait d’être franchi.
Ensuite, Anne s’est levée et a fouillé dans son sac à main afin de récupérer le gode-ceinture dont elle ne se séparait jamais. Elle l’a revêtu sur son bassin et a pénétré analement notre belle attachée. Elle est restée debout, penchée en avant, et pilonnait doucement et avec régularité ; sous son corsage, je regardais par transparence ses jolis seins menus en forme de délicieuses poires qui gigotaient de gauche et de droite, car elle ne portait pas de soutien-gorge.
Depuis que je la connais, la mère de mes enfants est bisexuelle et ne dédaigne pas, de temps en temps, s’offrir une jolie dame dont les cuisses écartées sur semblent émoustillantes. Le gode était un vibromasseur assez puissant, ce qui a déclenché chez Laurence un fabuleux orgasme qui s’est concrétisé en un geyser de mouille dont nous avons tous reçu au moins quelques gouttes, en plus de hurlements de fort volume. Les vibrations se transmettaient au bassin d’Anne, ce qui l’a fait jouir à son tour, d’une manière tout aussi humide. Nous, les gars, nous nous branlions, inspirés par ce beau tableau lesbien. Nos femmes étaient magnifiques.
Les deux éphèbes, qui dans leur ardeur juvénile n’étaient pas du tout rassasiés de sexe, ont voulu baiser ma femme qui leur a aussitôt donné son accord. Après la libération de Laurence, ce fut donc Anne que s’est retrouvée attachée sur la table basse pendant que Bob et Lucas sa tringlaient en même temps et que Laurence lui chatouillait les pieds, afin de se venger d’avoir été farcie saphiquement. Ma pauvre épouse, qui est très chatouilleuse, n’en pouvait plus et a supplié sa coquine tortionnaire de cesser ce supplice podal. Laurence a continué quand même pendant quelques minutes, car Anne n’avait pas prononcé le mot de sécurité ; elle aimait particulièrement qu’un la fisse érotiquement souffrir, quitte à se tortiller comme une désespérée. Puis Laurence a changé de bourrèlement en pissant dans la bouche de sa très consentante « victime ». Je me suis levé pour l’imiter, car je sais que ma chère Anne adore la douche dorée, que nous pratiquons souvent au cours de nos randonnées estivales en montagne. Son maquillage, qui était au départ impeccable, en fait les frais, à cause de la dilution du mascara et du rouge à lèvres dans l’urine qui par flots arrosait le charmant visage, ce qui a quelque peu contrarié mon épouse, toujours soucieuse de l’élégance de sa tenue.
Pendant ce temps, les garçons ont éjaculé dans les orifices accueillants de ma femme, puis se sont retirés dans des bruits de bouteille que l’on débouche tellement la zone était détrempée. Laurence s’est ensuite mise à genoux afin de laper dans le sexe bien poilu d’Anne – une vraie forêt vierge dans laquelle j’aime tant me perdre et l’y retrouver ! – d’abord d’un cunnilinctus, puis d’un anilinctus. Le vagin était si bien rempli de sperme qu’un filet de nectar blanc en débordait ; le sphincter anal aussi. En se servant de sa bouche comme d’une ventouse, la coquine a tout aspiré et bu avec gourmandise, en plus des abondantes glaires de femelle en chaleur et de la mouille qui giclait lorsqu’elle jouissait sous l’effet des lèchements. Le fait d’avoir été préalablement chatouillée l’avait tellement bien érotisée que des orgasmes successifs déferlaient sur elle sans diminuer en intensité. Il y avait là tout un délicieux cocktail de substances intimes dont mon amie se régalait pendant que son fils Bob, qui bandait encore tellement il avait faim de femmes, la sodomisait en levrette en l’attrapant par les hanches ; c’était un beau spectacle de voir à quel point il s’enfonçait profondément dans le boyau de sa mère, ressortait complètement son énorme engin tout enduit de miasmes intestinaux et de foutre mélangés, avant retourner gaillardement fourrer le trou béant en poussant des « han » à chaque engagement. Dans l’effort, il poussait des cris de combat pour se donner du courage, car il déjà éjaculé plusieurs fois et sa prostate commençait à lui faire mal. Son frère jumeau est venu l’aider afin de pratiquer une double pénétration anale : nous qui les regardions étaient épatés de voir à quel point la rosette anale est élastique et peut être étirée afin d’accueillir en même temps deux braquemarts de gros diamètre. Tous les deux transpiraient beaucoup et leurs torses tout épilés, aux muscles pectoraux saillants, sculptés par la musculation, luisaient de sueur qui dégoulinait le long de leurs jambes, jusqu’à produire une petite flaque dans laquelle ils pataugeaient. Ceci, ajouté aux sécrétions génitales et sudoripares de deux charmantes compagnes, exhalait d’exquises fragrances de fauve en rut qui ont embaumé notre salon pendant plusieurs semaines, car Anne et moi nous sommes bien gardés d’aérer, afin de conserver longtemps ce merveilleux souvenir.
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