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Lilly et sa famille. chapitre 2

Lilly et sa famille. chapitre 2



Chapitre 2: Christine en redemande.

Cinq minutes après, le corps calmé, Christine réalise vraiment ce qu’elle vient de faire. Elle vient de tromper son mari avec le mari de sa sœur!! Jacques est devant-elle, assis de l’autre côté du Jacuzzi, un sourire espiègle sur son visage.
Lui qui vient de remplir la chatte de sa belle-sœur avec son sperme, se sent parfaitement bien et sans aucune culpabilité après avoir baisé sa fille ce matin. En plus sa belle-sœur a un tempérament de feu !
Christine tente de se convaincre que cela n’arrivera plus et qu’elle n’a pu, tout simplement, résister à la superbe queue de son beau-frère et surtout après l’avoir vu baiser sa propre fille. Au fond d’elle-même elle se dit qu’elle est une belle salope et elle ne connaissait pas se côté secret de sa personnalité qui devait-être enfouit dans son cerveau ou plutôt dans son corps. Mais bon dieu qu’est-ce qu’il l’a fait jouir !
Lorsqu’elle voit Jacques sortir du Jacuzzi, marcher sur l’herbe, sa bite molle qui se balance, et qui claque légèrement sur ses lourdes couilles, elle se dit en détournant les yeux qu’elle ne devra plus se laisser tenter par cette queue magnifique et qu’elle ne recommencera pas.

– Je rentre me nettoyer un peu, on parlera de ce qui vient d’arriver plus tard. Dit Jacques.

Christine tourne la tête mais involontairement ce n’est pas son visage qu’elle regarde, c’est ce gros sexe, encore à demi bandé même après cette baise incroyable, et elle ne peut ignorer cette chaleur qui revient dans son ventre, dans sa chatte.
Oubliant complétement ses dernières intentions, elle sort du Jacuzzi et se dirige lentement vers lui, ses hanches tout en courbes se balançant sur ses longues jambes profilées.
Jacques sent une secousse dans sa bite qui vient tout juste de quitter cette chatte rasée, aux grandes lèvres proéminentes et encore gonflées, par les coups de bite qu’elle a pris il y a peu.
Christine presse son corps contre celui de Jacques, écrasant ses seins contre sa large poitrine et elle se tient sur la pointe des pieds pour le tirer vers lui pour un long et ardant baiser.
Les mains de Jacques vont directement sur le cul parfait de Christine. Elle poussa un petit gémissement quand il serre ses fesses dans ses grandes mains.
Christine adore se faire peloter le cul et elle sent encore sa chatte mouiller quand il presse ses fesses en passant ses doigts dans sa raie du cul. Elle fond dans les bras de Jacques et ses bonnes résolutions s’envolent à tire d’ailes.
Elle sent surtout sa grosse queue durcir contre son ventre et elle est étonnée de voir la vitesse à laquelle il reprend du tonus après une bonne baise.
Christine tombe à genoux et regarde le sexe s’allonger et gonfler avant de le prendre en mains, l’eau à la bouche.

Les hormones de Christine prennent une fois de plus le contrôle de son corps et elle ne lutte plus contre ses désirs et aspire entre ses lèvres le gland pourpre de la bite de Jacques.
Elle pousse un gémissement de plaisir et Jacques trouve cette succion presque aussi bonne que quand sa fille Lilly le fait.
Le fait de penser à sa fille en cet instant précis l’excite encore plus, mais quand Christine commence à faire tourner sa langue autour de sa bite, l’image de sa fille chérie s’envole.
Christine suce avec délice cette bite incroyable et la branle de ses petites mains puisqu’elle ne peut la mettre entièrement dans sa bouche. Du pré-sperme ou le reste de sa précédente éjaculation commence à sortir du méat et elle en savoure le goût. Jacques a saisi sa tête dans ses mains et commence à lui baiser sa chaude bouche.
Puis tout à coup il repousse sa tête. Christine le regarde avec un regard de déception mais avant de pouvoir dire quoi que ce soit, il la couche dans l’herbe, se couche tête bêche sur elle et lui présente son énorme érection pendant qu’il tire son cul vers son visage.
Sur la pelouse Christine entame un 69 avec son beau-frère, sa grande bite entrant et sortant de sa bouche, pendant qu’il suce et joue avec son clitoris et plonge sa langue à l’intérieur de sa chatte dégoulinante en aspirant avidement et avec volupté tout le jus qui s’en échappe.
Christine se retient de crier car la langue de son beau-frère la propulse vers de nouveaux sommets de plaisir. Quand il glisse un doigt dans sa chatte brûlante et appui sur son point G, elle croit mourir et monter au ciel.
Mais elle ne s’attendait pas à ce qui va lui arriver. Jacques a envie de réaliser un de ses fantasme et tirant bien sa langue, il la fait courir vers le bas le long de la chatte de Christine, pour ensuite la faire tourner sur la rosette plissée de son trou du cul !
Christine, bavant sur l’énorme bite de Jacques se recule et hurle sa jouissance. Cette double sensation sur sa chatte et son trou du cul, c’est trop fort, et son corps tremble violemment sous un énorme orgasme. Elle jouit en envoyant des giclées de cyprine sur le visage de Jacques qui, malgré son envie de jouir, se retourne, saisi sa queue d’une main, lève une jambe de Christine et l’empale violemment.
Elle pousse un autre hurlement quand sa monstrueuse bite pénètre au plus profond de son corps. Il l’ouvre totalement et elle a l’impression qu’elle se force un chemin jusqu’à son cœur.
Elle est possédée par le diable et elle va elle-même à la rencontre de ses coups puissants en serrant sa queue le plus qu’elle peut, pour se gaver de cette chose merveilleuse qui la remplit.
Il lui faut peu de temps pour sentir son sperme monter dans sa queue enflammée et il prévient Christine, qui n’en a cure, et bouge son cul de plus en plus vite. Il s’apprête à éjaculer en saisissant étroitement les hanches de Christine afin de bien la remplir, une nouvelle fois de son foutre.
Mais Christine sentant le gonflement de sa bite a envie d’autre chose. Elle se retire de son membre et rapidement elle introduit dans sa bouche le gros gland et pompe avec sa main cette belle queue pour recevoir au fond de sa gorge un flot de sperme sous les gémissements de Jacques.
Mais elle n’a pas l’habitude d’une telle quantité de sperme et manque de s’étrangler. Jacques continue de jouir et elle avale ce qu’elle peut, le surplus coulant sur les coins de sa bouche.
– Comment peux-tu jouir autant. Crie-t-elle entre deux déglutitions.
Elle continue d’avaler chaque giclée jusqu’à ce que le flot se tarisse et que la bite de Jacques se ramollisse.
Elle se couche près de lui, son visage contre le sien en léchant ses lèvres maculées de sperme.
– La vache ! Tu en lâche une sacrée dose !
– J’n’en reviens pas moi-même. Faut croire que tu m’excite !
– Et bien, tu peux me remplir par le bas ou par le haut quand tu veux et à n’importe quel moment! répondit-elle.
Elle n’a pu s’empêcher de le dire alors que juste avant elle avait décidé que ça ne se reproduirait pas !
En miaulant comme une chatte en chaleur elle ajoute même.
– Tu peux le refaire maintenant si tu veux !
– Je vais faire mieux ! dit-il en clignant de l’œil.

Avant qu’elle ne demande quoi que ce soit, il la redresse et la tire vers la maison. Il l’emmène dans la salle de bain et lui dit de se détendre pendant qu’il prépare quelque chose à grignoter.
Christine laisse son corps se calmer dans l’eau chaude du bain. Elle ne s’est jamais sentie aussi épuisé mais jamais aussi satisfaite. Et l’homme qui a fait ça est en bas. Elle se fout complétement d’être mariée et elle a encore envie de sa magnifique bite qui l’a fait si bien jouir. Elle en veut encore !
Entièrement nus, ils mangent ensemble se régalant de la vue de l’autre. Jacques part prendre une douche et Christine entre dans la salle de séjour pour ce mettre un film. Fouillant dans les DVD, elle trouve exactement ce qu’elle recherche.
Sur la mezzanine, Jacques tout nu, une serviette à la main fini de se sécher et observe Christine sur le canapé, jambes écartées, une main palpant ses gros seins fermes, l’autre est enfouit entre ses cuisses avec probablement ses doigts dans sa chatte. Sur la télé, un film porno avec une jeune fille sur un bureau et deux hommes bien membrés. Elle se fait prendre par derrière pendant que l’autre force sa bouche avec sa queue.

Lorsque Jacques se retrouve à poil devant-elle, Christine att**** immédiatement sa queue épaisse qui se redresse et commence à la caresser et à l’embrasser tout en continuant de se doigter. Christine suce sa bite jusqu’à ce que sa grosseur déforme sa bouche et quand la jeune fille pousse un fort gémissement dans le film, ils se retournent vers l’écran. Christine presse les lourdes couilles de Jacques qui pendent avant de se mettre à genoux sur le canapé.
– Prends-moi comme tu veux ! Mets ta bite ou tu veux, mais prends-moi vite !
Jacques admire le cul parfait de sa belle-sœur et se penche vers l’avant pour l’embrasser et mordre chaque fesse bien ronde. Sa peau de pèche est douce, mais ferme comme une pèche pas mûre. Il se régale de cette chair odorante après son bain, mais sa chatte rasée sous ses yeux fait frémir son gland humide.
Christine apprécie les léchouilles et autres mignardises sur son cul mais tout à coup elle se sent comblée.
– OH putain !
Crie-t-elle quand Jacques s’enfonce, par derrière, profondément dans sa chatte. Dans cette position, son gland vient frotter les ponts sensibles de sa gaine d’amour d’autant qu’il la baise violemment. Il att**** ses seins qui se balancent et pince ses tétons tout durs en les faisant rouler entre ses doigts.

Christine gémit et crie maintenant plus fort que la jeune fille dans le film car elle se sent écartelée en deux par cette grosse queue qui va et vient dans son vagin dilaté à mort. Le « putain » étant dédié à sa « putain de bite ! »
Son orgasme n’est plus loin mais elle résiste pour profiter le plus longtemps possible de cette bite sublime qui la remplit si bien.
Mais elle est surprise quand elle sent un doigt qui entre doucement et facilement dans son trou du cul vierge, mais détendu tellement elle est excitée.
– Oh que c’est boooonnnn. Ouiiiiiii, baise-moi bien….
Crie-t-elle quand Jacques commence à baiser les deux trous, enfonçant entièrement son doigt à chaque poussée.
En pleine action, aucun d’eux n’entend la porte d’entrée s’ouvrir et se refermer et ne voit Lilly entrer dans le salon pour voir ce qui fait tant de bruits bizarres.
Rien qu’à voir la scène qui se déroule sous ses yeux elle en mouille son slip et elle n’est même pas jalouse que son père baise une autre femme, même si c’est sa tante. Elle se doutait bien que s’il pouvait baiser sa fille (et c’est bien ce qu’elle voulait) il ne pourrait s’empêcher de coller sa bite dans tout ce qui bouge.
Si elle savait que Christine était au courant qu’elle se fait baiser par son père, Lilly les aurait rejoints immédiatement dans l’espoir de goûter aussi à la bite de son papa.
Ce n’est pas le cas et elle se contente, heureuse, de regarder en se caressant un sein et sa chatte, si mouillée, que deux doigts glissent facilement pendant qu’elle écoute et regarde son père baiser durement sa tante par derrière.
Mais elle n’est pas au bout de ses surprises car, effarée, elle entend!
– Arrête avec ton doigt ! Mets plutôt ta bite dans mon cul !
« Il avait un doigt dans son cul ? » découvre Lilly.
Elle n’en revient pas qu’il fasse ça à Christine et que sa tante soit une telle salope ! Est-ce qu’il va lui foutre sa bite dans son cul…
Son père retire sa queue de la chatte de sa tante et pousse son gland violet contre sa rosette entrouverte.
– Non de dieu ! T’as un trou du cul serré ma salope !
Gémit son père quand il pousse pour s’introduire dans ses entrailles.

Christine ne s’est jamais sentit aussi remplit de toute sa vie amoureuse! Jacques joue en même temps avec son clito et cela contribue à détendre légèrement son cul écartelé par cet énorme sexe. Jacques pousse un bon coup et Christine aussi. Elle crie si fort, qu’elle en fait trembler les vitres, quand le pieu de chair de son beau-frère s’enfonce au plus profond de son cul vierge. Il n’était même pas à mi-chemin qu’elle exprime son plaisir sous son violant orgasme.
– AAAAAAAAAHHHHHHHHH ! OUI, OUI, OUI, OUI, OUI!!! OH MON DIEU… tu pourras baiser mon cul autant de fois que tu veux. C’est extraordinaire !
– Promets-moi que tu me baiseras encore n’importe lequel de mes trous ! Promets-le ! Je ne pourrais plus me passer de ta fabuleuse bite !
Et Christine continue de jouir et de gueuler, masquant de ce fait les gémissements de Lilly qui jouit sous son propre orgasme en se barattant furieusement sa chatte de ses 4 doigts.
Pendant que Christine jouit, son père en profite pour aller et venir lentement et profondément dans ce cul maintenant habitué à sa taille. Mais il enserre si étroitement sa queue qu’il ne peut se retenir plus longtemps.
– Merde ! Je vais jouir !
– Non ! Non, pas dans mon cul ! crie Christine.
Mais c’est trop tard ! Le corps entier de Jacques se tend quand ses couilles libèrent une nouvelle fois son sperme sous pression. Christine sent les impulsions dans le gland de sa bite quand, jets après jets, il gicle au fond de ses intestins. Christine sent son corps se remplir de ce jus qui réchauffe ses entrailles. Le foutre de son beau-frère !
– Doux jésus…que c’est booonnnn.
Crie-t-elle sous cette nouvelle sensation et plaisir jusqu’à lors inconnus. Jacques sort sa bite de son trou du cul qui émet un bruit humide de siphon, puis il se finit sur ce cul superbe qu’il vient d’enculer.
Son sperme ressort de son trou du cul béant et se met à couler vers sa chatte et Jacques s’amuse à la badigeonner avec le bout de sa bite.
Christine se retourne lentement, le visage radieux, avec un air de totale satisfaction, et en caressant sa bite.
– J’espère que ce n’est pas la dernière fois aujourd’hui.
– Moi, aussi, j’espère bien ! Réponds le père de Lilly en souriant largement et pensant qu’il vient de se taper les trois trous à bites de sa belle-sœur.
Puis regardant l’horloge il s’aperçoit que sa femme et son frère, l’époux de Christine ne vont sûrement pas tarder à rentrer.
– On ferait bien d’aller se nettoyer car on empeste le sexe à plein nez !
Et ils quittent la pièce sans apercevoir le string trempé de Lilly jeté derrière la porte.

Ce soir-là, après un grand dîner, tout le monde s’est mis au lit, sauf marie la femme de Jacques, qui a une de ses émission préférée à voir.
Jacques entrant dans sa chambre aperçois Lilly à genoux, totalement nue, ses bras derrière son dos en poussant en avant sa poitrine pour faire ressortir ses beaux seins si mignons.
– Tu m’as manqué Papa !
Dit-elle, se balançant légèrement.
Jacques doit admettre que ses jeunes seins au tétons dressés et si roses sont enivrants et même après ce qui s’est passé avec sa belle-sœur, sa bite se redresse immédiatement.
– Ecoute, Lilly… on a du monde à la maison. Il faut qu’on fasse attention. Regarde ta mère, elle reste bien sage…
Mais Lilly ne l’écoute pas. Elle est en train de le déshabiller assez rapidement, et sans s’en rendre compte il se retrouve sur son lit avec sa fille qui lui branle sa bite.
-Tu sais bien, papa, que si on ne le fait pas, on ne pourra pas dormir calmement !
Et en papa aimant, il laisse sa fille lui sucer sa queue en serrant ses couilles comme elle fait habituellement.
– Oh bébé, c’est bon…tu fais ça si bien…
Lilly n’a jamais entendu son père s’exprimer ouvertement pour lui dire s’il aime ce qu’elle lui fait. Sa bite est maintenant bien dure et bien dressée et Lilly ne perd pas plus de temps dans les préliminaires, car ce qu’elle veut, c’est sa grosse bite dans sa petite cramouille.
Elle se redresse et se positionne en 1 seconde au-dessus de la bite palpitante de son papa et s’affaisse lentement.
-Oh merde ! s’écrient-ils ensemble.
Car pour Jacques la chatte de son bébé est presque aussi serré que le cul de Christine et pour Lilly, elle est complétement ouverte par le monstre de queue qui appartient à son papa.
Son père se redresse pour sucer ses seins pendant qu’elle roule et va et viens sur lui. Son orgasme arrive rapidement car elle n’arrête pas de penser à la vue de son père qui baise sa tante puis l’encule allégrement.
Elle crie assez fort en jouissant et son jus de jeune fille comblée coule sur son père. Son père toujours étonné par le vice de sa fille la suit dans son orgasme et ne va pas tarder à jouir dans sa petite chatte avide de son sexe.
Il essaye de s’arracher de son corps mais Lilly sentant son sexe gonfler et vibrer, s’accroche à lui comme une sangsue en disant.
– Ooooh, nooonnn… reste…donne-moi tout, papa !
Elle veut sentir son père éjaculer et remplir sa jeune chatte. Et elle n’est pas déçue !
Avec un grognement de bête son père envoie un flot de sperme au plus profond du vagin de sa fille et ils jouissent ensemble car l’orgasme de Lilly est reparti avec la jouissance de son père.
La chatte de Lilly est trop petite pour garder tous son foutre et ça coule déjà sur son corps. Sa bite saute comme un bouchon de champagne quand elle se soulève et son père fini de se vider sur son ventre et ses seins.

Une fois calmée, Lilly reste collée à lui, pataugeant dans leur jus mêlés jusqu’à ce que leurs corps se calment et qu’ils s’endorment repus de sexe. Mais juste avant de s’endormir elle chuchote à l’oreille de son papa.
– Peut-être que demain tu pourras m’enculer comme tu as fait à tante Christine ?
« Oh merde ! Comment… elle nous a vus… »
Phantome

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