Lorsque j’étais plus jeune, j’ai travaillé quelques mois en tant qu’intérimaire dans une société de livraison. Pas besoin de permis poids lourd, je conduisais un petit fourgon. C’était un job assez sympa. C’était assez rythmé, les journées passaient vite. J’avais l’avantage d’être seul toute la journée, pas de chef pour me briser les noisettes. Cela m’a permis de découvrir un peu plus ma région et de rencontrer plein de nouvelles têtes. J’ai toujours aimé le contact avec les gens. Là, j’ai été servi. J’avais une quarantaine de clients par jours. Des professionnels, comme des particuliers. Avec des particulières, j’ai eu quelques coups de chauds. Je suis tombé sur quelques belles femmes, qui m’ouvraient parfois en nuisette ou en peignoir lorsque je passais tôt le matin. En discutant avec certains collègues, j’en ai appris de bonnes. L’un marié, c’était fait allumer à mort par une dame divorcée, elle ne voulait pas le laisser sortir de chez elle sans qu’il la culbute. Un autre m’avait expliqué que lors d’une livraison, il était tombé sur une femme qui faisait du bronzage intégral dans son jardin. Elle ne s’était même pas habillée pour réceptionner le colis. Je n’ai jamais su si c’était vrai, mais il prétendait qu’elle lui avait taillé une pipe. J’ai alors commencé à fantasmer en espérant qu’un jour, je fasse une rencontre fortuite avec l’image en tête, du bon vieux scénario de base d’un mauvais film porno où le plombier s’occupe de la tuyauterie de madame.
Et puis un jour, je suis allé livrer chez un couple de jeunes maghrébins. Un colis assez lourd commandé sur le net, au nom de Madame Djamila je ne sais plus quoi. Ils ont entre 25 et 30 ans. La jeune femme porte un voile, seul son visage est visible. Elle est plutôt jolie, ses traits sont fins.
Son mari ou son compagnon décide d’ouvrir le colis pour vérifier la marchandise. Il a bien fait. C’était une table basse en kit et l’un des pieds était cassé. Ils ont gentiment refusé de conserver le paquet.
Environ une semaine plus tard, le fournisseur leur a expédié un nouveau paquet. Je suis donc retourné chez eux.
C’était les seconds clients de ma journée. Je suis arrivé assez tôt devant chez eux. J’ai sonné une première fois, pas de réponse. Après avoir attendu un peu, j’ai sonné une nouvelle fois. La vision est enchanteresse lorsqu’elle m’ouvre un peu essoufflée. Elle porte un petit débardeur blanc moulant aux fines bretelles. Ses seins sont énormes et je distingue aisément qu’elle ne porte rien dessous car ses tétons pointent sous son vêtement.
– Bonjour, désolé je dormais encore.
– Bonjour, ne vous excusez pas, je vous apporte un nouveau colis.
– C’est lourd?
– Un peu.
– Ca ne vous dérange pas de le poser dans mon salon, mon mari n’est pas là et je n’y arriverais pas toute seule.
– Non, il n’y a pas de problème, vous me dites où je vous le pose.
– Merci, c’est gentil de votre part, je peux vous offrir un café, le temps que je vérifie s’il n’y a pas de casse?
– Oui, je veux bien, s’il vous plait.
Pendant que je souffle sur ma tasse de café brûlant, la beurette se met à genoux pour déchirer le carton. Cela a pour effet de faire glisser son pantalon de pyjama noir en satin sur son postérieur. J’ai une vue imprenable sur la moitié de ses fesses et le début de sa raie. Je bande aussi sec et des idées lubriques traversent mon esprit.
Je ne peux détourner mon regard, elle est plutôt bien en chair, son fessier est assez large, mais semble ferme. J’ai envie de baisser son pantalon, de tâter ses miches, de lécher cette raie qui me fait de l’œil. Mais je me contiens, je ne veux pas avoir de problème, ni avec elle, ni son mari et encore moins avec mon employeur.
– Vous pouvez me tenir ça?
Elle me tend une partie de la nouvelle table basse. Je la contourne et me retrouve face à elle. Elle se penche pour prendre une autre pièce du meuble et m’offre ainsi une vue très agréable sur son décolleté.
Je suis de plus en plus en émoi et j’ai mal au gland à force de bander dans mon jean’s.
Je reprends ensuite ma place initiale, derrière elle et je mate à nouveau son joli cul. D’une main, je replace correctement mon service 3 pièces dans mon boxer. Elle me surprend.
– Un problème?
Je suis super honteux qu’elle m’ait vu et je balbutie:
– Euh non, c’est juste que je vois tout votre…
Visiblement, elle avait senti mon regard pervers sur elle. Elle tourne la tête pour contempler son arrière-train.
– Oh excusez-moi, je suis désolé.
– Ce n’est rien, c’est même plutôt agréable de si bon matin.
– Vous n’étiez pas obligé de regarder.
– C’est que…je ne vois que ça.
Elle me sourit et réajuste son pantalon. J’ai cru un instant qu’elle allait m’en montrer davantage, mais non. Sauf qu’elle continue de contrôler sa marchandise et petit à petit son bas descend à nouveau. C’est pas possible, elle le fait exprès, elle doit bien s’en rendre compte qu’il glisse.
Peut-être que ça l’excite de s’exhiber, que je la reluque vulgairement.
– Madame, il y a votre pantalon qui…
– Oui, oui, je sais.
Deux options s’offrent à moi. La première étant de ne rien faire, juste observer la scène et repartir de chez elle avec une gaule monumentale que je vais trimballer un petit moment.
La seconde, plus risquée, est de m’approcher d’elle et de la caresser, avec comme retour de bâton possible, une claque, un coup de fil à mon patron, voir même une plainte chez les flics pour tentative de viol.
Ma raison me pousse à ne rien faire, mais ma queue emprisonnée dans mon boxer me supplie d’aborder le second choix.
Je m’avance, elle sent ma présence, je pose une main sur sa fesse et la palpe. Parfois, il n’y a pas besoin de mots. Elle se retourne, me sourit, m’agrippe par le col pour que je m’incline à sa hauteur et elle m’embrasse.
C’est dans la poche, ma main se faufile entièrement dans son pyjama pour tripoter ses trésors. Elle est très poilue et déjà humide. Sa langue cherche la mienne, pendant que mon autre main investit son décolleté. Ses seins sont si gros que je ne peux les prendre à pleine main. Ses tétons sont également gros et longs. Je les pinces, les triture et tire dessus. Cela la rend folle, elle me mord la lèvre.
Je l’aide à ôter son haut pour libérer sa généreuse poitrine, elle fait de même pour moi. Je me suis jeté sur ses nichons. Je les soupèse, les embrasse, les lèche. Je les bichonne en suçant ses gros bouts tous durs.
Puis elle m’a allongé sur son tapis. Elle a baissé ma braguette, sorti mon pinceau raide comme une poutre de charpente et m’a turlutté de façon vorace. Je beugle de plaisir sous sa langue experte, mais je la stoppe rapidement. Je n’ai pas beaucoup de temps devant moi. Les préliminaires, ce sera pour une autre fois.
– Allez retires ton pantalon et viens sur moi, dis-je un peu pressé.
– Non, allons dans ma chambre, on sera plus à l’aise.
Nous avons monté l’escalier pour nous retrouver dans sa chambre à l’étage. Djamila s’est dévétue entièrement et s’est mise sur le lit en position levrette.
Je me positionne derrière elle pour la prendre mais en glissant mon gland entre ses lèvres, elle m’arrête.
– Non, pas par là, c’est réservé à mon mari, attends.
Elle ouvre le tiroir de sa table de chevet et me tend un tube de vaseline.
– Tiens, avec ça, ça rentrera facilement.
Je suis décontenancé, mais terriblement excité, c’est la première fois qu’une inconnue me demande de l’enculer sans que j’y fasse allusion.
Pas mécontent de la situation, je lui tartine la rondelle avec la crème dilatante en me disant que je vais la défoncer.
Pour une fois, je ne vais penser qu’à ma gueule et rien à battre de son plaisir.
J’écarte bien ses hémisphères et m’enfonce lentement dans son petit trou bien serré. J’avance, je recule, j’avance, progressant de plus en plus profondément dans son conduit anal. Elle ronronne de plus en plus. Je la sodomise de plus en plus vite et de plus en plus fort. Une goutte de sueur coule sur mon front. Djamila gémis de plus en plus bruyamment et me dit des trucs en arabe que je ne comprends pas.
Je continue de lui pilonner le fion en pétrissant ses énormes miches.
– Putain quel bonheur, c’est le pied de bourrer le cul d’une grosse salope comme toi.
– Hum oui, je suis une grosse salope infidèle, j’adore me faire baiser comme ça.
Visiblement, je ne suis pas le premier homme qui cocufie son mari.
Je m’en donne à cœur joie en tirant sur sa longue chevelure.
Je sens que ça vient, je laisse mes dernières forces dans la bataille en la sodomisant vite et fort, faisant valser ses gros nichons dans tous les sens.
Une onde de chaleur me traverse tout le corps et explose dans mon cerveau, mon gland se contracte et une première giclée de sperme se projette dans son canal obscur. Je continue mes va-et-vient en réduisant le tempo, un deuxième, un troisième et un quatrième jet se propulsent à l’intérieur.
Je m’enfonce une dernière fois et je me bloque dans le fond de son orifice, toute ma longueur est dans le noir, mes testicules plaquées contre son fessier, les derniers spasmes qui parcourent ma queue me font déverser les ultimes gouttes de liquide.
Je me retire, emmenant avec moi un filet de sauce collante.
– Merci madame, c’était très sympa, dis-je en me rhabillant.
– Merci à vous aussi, cela m’a fait du bien. Je n’ai plus qu’à me nettoyer avant l’arrivée de mon amant.
Oh la garce, je lui ai juste servi d’entraînement, de répétition avant le grand bal.
Elle a signé mon registre de livraison, m’a donné 5€ de pourboire et je suis remonté dans mon fourgon pour terminer mes livraisons.
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