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Moi c’est Julia.

Moi c’est Julia.



Mercredi, il est quatorze heures. Je suis dans le bus pour me rendre chez Laura, dix-neuf ans, en terminale S. D’après l’annonce que sa mère a passée, il s’agit d’une élève en plein décrochage scolaire. Je me rends donc chez cette famille pour évaluer les lacunes de l’élève et établir le programme à mettre en place.
Autour de moi, des personnes tentent de passer inaperçues, un couple s’embrasse à langues débridées, une personne âgée martèle sa canne sur le plancher du bus… Enfin, mon arrêt. Je ne suis pas mécontent de laisser derrière moi les relents de sueur du véhicule bondé, mais le stress me gagne et c’est à pas fébriles que j’avance vers l’adresse indiquée par la mère de Laura.
Quatorze heures trente, je me présente à la porte. La mère m’ouvre avant même que j’appuie sur la sonnette. C’est une grande brune, les cheveux mi-longs et un visage d’adolescente malgré la quarantaine passée. Des lunettes d’écailles viennent terminer le tableau. Elle est habillée d’une robe noire ample qui ne permet pas de distinguer ses formes et qui descend jusqu’aux genoux. Des collants noirs terminent de l’habiller jusqu’aux orteils. Une beauté discrète.
Elle me dit d’entrer. Passés les échanges de politesses, elle finit par m’expliquer son désarroi. Déjà trois professeurs m’ont précédé. Je n’obtiens pas plus de précision à ce sujet mais je sens que je vais très vite savoir pourquoi. Elle me mène ensuite à la chambre de sa fille et me laisse pour partir à son travail. Elle sera de retour dans deux heures pour la fin de mon cours, ajoutant avec un sourire plein de désespoir : « si vous n’abandonnez pas avant…»
Je frappe à la porte de la chambre. « Entrez ! » J’ouvre. Surprise. Laura est allongée sur son lit. En haut, un T-shirt blanc quasiment transparent, et ses petits seins qui me fixent droit dans les yeux en dessous. En bas, un mini short découpé dans un jean moulant taille basse. Pas de bouton ni de braguette, juste une lanière de cuir pour ceinture, laissant la peau visible en un V jusqu’au pubis. Bouffée de chaleur, je dois être rouge comme jamais. Mais à quoi joue-t-elle ? Son visage reste impassible, elle ne semble pas à l’aise. Je me ressaisis : « Je ne sais pas pourquoi tu veux à tout prix te débarrasser des professeurs qui viennent t’aider mais tu ne devrais pas t’exhiber pour ça.
-Ca a marché pour les autres… » Une larme lui échappe. « Je te laisse cinq minute, profites en pour passer une tenue plus confortable. » Je sors, j’ai besoin d’air frais, d’évacuer les fantasmes de ma tête.
Retour dans la chambre. Cette fois la tenue est tout autre : jean baggy, tunique en lin à fines rayures rouges, orange, et jaunes. Elle est assise à son bureau et fixe un livre de maths quand je rentre. On commence le cour, elle n’ose plus me regarder.
Une demi-heure passe, elle semble comprendre très vite tout ce que je lui explique. « Tu m’as trouvé moche ? » Je sors de mes pensés. « Non, pas du tout.
-Je suis désolée…
-Pourquoi t’es-tu sentie obligée de faire ça ? Pourquoi tu sèches les cours ? C’est un problème de confiance dans les adultes ?
-Pas dans tous.
-Seulement les hommes n’est-ce pas ? Tu es lesbienne ?
-Hum…et avant de poser la question : oui, maman est au courant. Je ne supporte pas les hommes. Vous êtes tous pervers et méchant et lâche. Pourquoi elle ne prend que des mecs pour me faire cour ?
-Sans doute ne veut-elle pas justement introduire dans ta chambre une femme…surtout si tu l’accueilles dans la tenue de tout à l’heure. Pourquoi tu détestes autant les hommes ? » Pas de réponse.
Nous continuons le cours sans plus nous interrompre. Une fois celui-ci terminer, Laura m’emmène au salon. « Ma mère arrivera dans dix minutes, vous voulez un café en attendant ?
-Volontiers, merci.
-Je suis désolée pour tout à l’heure, je ne crois pas que vous soyez une mauvaise personne, c’est juste que…
-…que tu n’aimes pas les hommes. Ne t’en fais pas, je peux comprendre. Mais tu veux bien que je continue à te faire cours ? Sans l’accueil en petite tenue, bien sûr.
-Je veux bien faire un effort, vous avez l’air clean. » La mère entre à ce moment et me lance un regard étonné. « Mon petit démon ne vous a pas encore chassé ?
-Non. Le début a été difficile mais tout s’est bien passé. Vous avez une fille très gentille une fois l’armure mise à bas.
-Euh, je suis encore là. Vous ferez vos critiques quand je serai partie. Professeur…à bientôt. Maman, je file chez Sarah, je ne rentre pas ce soir. » Sans même lui laisser le temps de contester, Laura dépose un bisou sur la joue de sa mère, att**** son sac à dos et s’en va.
« Et bien nous sommes seuls maintenant : comment avez-vous fait pour qu’elle vous accepte ?
-D’où vient son blocage avec les hommes ?
-Son père nous a abandonné quand elle avait cinq ans. Il est parti un jour, sur un coup de tête, en promettant à ma fille qu’il reviendrait très vite. Je vous laisse deviner la suite. J’ai répondu, à vous. Comment avez-vous fait ?
-Je n’ai simplement pas jouer les idiots… » Elle me sourit. « Pour un jeune, vous semblez avoir la tête sur les épaules.
-Une dernière question avant de prendre congé : pourquoi n’avoir choisi que des hommes pour enseigner à votre fille ?
-Pour répondre, il faut que je vous montre quelque chose. » Elle se lève, marche quelque pas devant moi et laisse glisser sa robe sur le pavé. La voici face à moi habillée d’un corset porte-jarretelles maintenant les bas que j’avais pris pour des collants en arrivant. Pas de culotte, son pubis offre à ma vue un joli buisson taillé. « Donc les hommes, c’est pour vous en fait…
-Cela fait quatorze ans que mon mari est parti et durant ce temps, je ne me suis consacrée qu’a ma fille. Vous serez le premier en quatorze ans. »
Malgré l’assurance de ses mots, je la vois trembler d’appréhension et d’excitation. Je m’avance vers elle, la regarde dans les yeux pendant cinq longues seconde puis je colle brusquement ma bouche sur la sienne. Sa langue vient à la rencontre de la mienne pour entamer un ballet fougueux. Ses mains suivent le même rythme et cherchent à faire disparaître mes vêtements, les miennes batifolent avec ses seins, ses hanches et ses fesses.
Ma chemise cède à la chorégraphie de ses doigts, mon pantalon et mon boxer glissent sur mes chevilles. Je m’accroupis pour retirer ces entraves et enlever mes chaussettes. Elle plaque alors ses mains sur mes tempes et dirige ma bouche vers ses autres lèvres. Je lève les yeux pour tenir son regard. Ma langue suit l’aine, grimpe sur les grandes lèvres mais évite le clitoris, je veux faire monter la pression. Le résultat ne se fait pas attendre, son basin bouge un peu plus pour me forcer à la satisfaire, les tremblements s’intensifient, et une goutte de cyprine tombe sur mon genou. Ma langue passe alors lentement sur son clitoris, un râle se fait entendre. Je me relève. « Ca te plait de me torturer comme ça ?
-Quatorze ans…je n’allais quand même pas te faire jouir au bout de deux minutes ! » Je lui lance un sourire plein de malice.
« Parce que tu crois que je vais te laisser partir après un orgasme ? Tu es prisonnier de mes cuisses jusqu’à demain ! » Elle bondit vers son sac à main, en sort une boite de douze préservatifs. Elle en déballe un, marche vers moi. Son visage s’arrête à quelques centimètres du mien, nos regards se fixent tendis qu’elle déroule le latex le long de ma verge.
Ses mains se plaquent sur mes fesses, elle me guide à reculons, nos yeux ne se lâchant pas, jusqu’à la table de la salle à manger. Elle pose ses fesses dessus, passe ses jambes derrière mes cuisse, nos yeux toujours les uns dans les autres. Sa main att**** mon sexe, le guide à l’entrée du sien. L’expression de son visage change, ses yeux commencent à briller. Elle ressert lentement l’étreinte de ses jambes pour me faire entrer en elle le plus lentement du monde. Sa bouche passe du sourire à un O de satisfaction, son souffle s’accélère, elle tremble comme une feuille.
Nos yeux se lâchent, elle m’enlace, pose sa tête sur mon épaule. C’est le signal. Je commence de petits mouvements de bassin, lent. Elle me murmure qu’elle revit, que c’est trop bon.
Mes mouvements sont plus amples, elle s’allonge sur la table et relève ses genoux. Je place ses chevilles sur mes épaules, mes mains tiennent ses cuisses. Elle ne murmure plus. Entre de petits râles, elle lance des « continue », « oui » ou « c’est trop bon ». Mon pubis et mes cuisses s’empoissent de ses sécrétions. J’accélère.
Elle râle de plus en plus souvent, de plus en plus fort. Je lâche sa cuisse gauche, ma main droite ainsi libérée vient se poser sur son clitoris. Violent mouvement de bassin, elle crie sa surprise.
Je continue le va-et-vient, j’accélère la caresse. Elle ne peut plus articuler que des « ahhh ». De plus en plus fort. Son bassin accélère aussi, elle va jouir. Je lui souffle :« Laisse toi allez, je suis aussi sur le point d’exploser. » C’est tout ce qu’elle voulait entendre, les spasmes gagnent ses abdos, elle ne contrôle plus son bassin, je sens les muscles de son vagin malaxer mon pénis. Son souffle se coupe. Puis elle crie un « ahhh » de libération, je jouis et la fin du va-et-vient devient bestial, incontrôlable. Les spasmes gagnent tout son corps, mon bassin donne ses derniers mouvements. Je sors de son sexe, de petites flaques de mouille couvrent le bord de la table et le sol.
Elle se relève, pose sa tête sur mon torse et se met à rire : « Je ne vous ai même pas encore dit mon prénom… »

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