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L’ombre de Madame

L’ombre de Madame



Chapitre 4 : La nouvelle vie de Mathilde commence

Au petit jour, Corinne se lève en regardant sa soumise dormir comme une enfant heureuse. Déposant ses lèvres sur la joue de Mathilde, elle se laisse aller à de petites confidences amoureusement impudiques. Corinne lui confie combien elle l’aime, comment elle voit l’avenir de Mathilde, soumise, obéissante, lascive. Elle va même jusqu’à lui raconter ce qu’elle voit lui faire subir, exhibition, don de son corps à d’autres, jouissantes punitions, supplices divins. Mathilde, dans un demi-sommeil, a tout entendu et sourit d’allégresse. En son for intérieur, c’est exactement ce qu’elle veut, ne plus à avoir à penser, ne plus à avoir qu’à donner de sa personne, ne plus à avoir qu’à obéir aveuglément, à subir les envies aussi jouissives, aussi douloureuses de sa Maîtresse. Sa main s’active déjà entre ses cuisses. Elle ressent tout le bonheur que son sexe glabre lui procure, elle jouit en un très long soupire de félicité.

En bas, dans le matin naissant, dans la cuisine, Corinne prépare un déjeuner de princesse juste pour sa princesse docile. Quand Mathilde s’en vient, nue, excessivement belle, Corinne la laisse s’approcher et l’enlace dans un long baiser de feu.

– Mon amour, ne me quitte plus jamais, sois mon ombre où que j’aille.

– Je serai plus que ça, je serai une ventouse accrochée au corps merveilleux de ma céleste Maîtresse.

– Viens, ma chérie, viens déjeuner, tout est pour toi, ma douce.

– Pour moi ? Mais je ne mérite pas tant d’attention. Ce serait plutôt à moi de vous offrir pareil déjeuner.

– Pour une fois, cesse donc de jacasser et mange ! Après nous nous doucherons, tu m’habilleras, je t’habillerai et je te déposerai devant la boutique.

– Avec plaisir, exquise Maîtresse.

Après ce somptueux déjeuner, elle qui ne mange jamais le matin pour faire des économies, c’est sous la douche que cela se passe. Moment orgasmique s’il en est, les deux femmes sont à l’écoute du corps de l’autre pour le faire souffrir des plus merveilleux orgasmes saphiques. Puis, chacune habille l’autre lascivement, chaque effleurement est prétexte pour un baiser, un attouchement plus intime.

Dans la voiture, Mathilde laisse sa main s’égarer sous la robe de sa Maîtresse qui prend son pied juste en arrivant devant la boutique de Sylvie. Dernier baiser de feu jusqu’au retour de Mathilde dans le bureau de Madame. Madame qui claque la joue de sa soumise. Soumise qui s’empresse de baiser affectueusement cette main punisseuse. Toutes deux savent qu’elles vont manquer à l’autre.

Mathilde décide de ne plus être que la Kajira de Madame. C’est à genou qu’elle attend l’ouverture de cette boutique, en parfaite Kajira. Les deux boutiquières arrivent ensemble, main dans la main. Mathilde ne se relève pas en les voyant approcher la porte de derrière. À genou, elle baise les pieds des deux femmes, les remerciant pour leurs bontés de la veille.

– Ma belle, des femmes comme toi, j’en voudrais des douzaines. Clame Sylvie.

– Mademoiselle Sylvie, je tiens à vous remercier, tout comme vous, Demoiselle Isabelle, pour tout ce que vous m’avez offert hier. Maintenant, s’il vous plait d’abuser de ma personne, sachez que ma Maîtresse m’en a donné l’ordre formel.

– Alors entre. Pour commencer, tu vas te dévêtir entièrement pendant que moi et Isabelle, nous allons chercher tout ce que ta Maîtresse nous a demandé.

– Bien, Ô Maîtresse Sylvie.

– Je t’adore ma chérie, je t’adore.

– C’est vrai qu’elle est terriblement touchante ! Ajoute Isabelle restée silencieuse jusque-là.

Devant les sacs, la montagne de sacs, Mathilde n’en croit pas ses yeux.

– Il te faut tout essayer. Ensuite, qu’est-ce que ta Maîtresse ta commander ?

– Madame a délicieusement exigé que je me rende à cette adresse.

– Oh, un annelage. Cette petite garce de Corinne ne perd pas de temps, elle te veut et définitivement.

– Je ne demande que ça, Ô Maîtresse Isabelle. C’est même là mon vœu le plus cher. Je ne veux plus que lui appartenir sans concession.

– Comme je te comprends, ma chérie. Bien, nous allons commencer par tout ce qui est sous-vêtement.

Trois heures plus tard, tout a été soigneusement essayé, corrigé s’il le fallait encore. Puis, en guise de merci, Mathilde, toujours nue, s’agenouille devant Isabelle, glisse son visage entre ses cuisses et lui lèche sa chatte déjà humide. Deux orgasmes plus tard, c’est autour de Sylvie de subir cette soumise si superbement docile. Isabelle se joint à ce duo, les exclamations s’amplifient, débordent du magasin, envahissent la ruelle. Mathilde donne tout pour les rendre heureuse, heureuse elle-même de la tournure que prend sa nouvelle vie.

Enfin, vient le moment de les quitter pour sa mission suivante. C’est en taxi qu’elle s’y rend, une fois n’est pas coutume. Elle le paie même avec la carte de crédit restée dans la poche de son chemisier.

Quand elle entre dans cette boutique, elle se dit qu’elle s’est trompée. Un homme à torse nu s’approche d’elle.

– Mathilde je présume ? Bonjour, je suis Marc. Ta Maîtresse m’a demandé de mettre trois anneaux, un par sein, un dernier sur le capuchon de ton clitoris dont elle m’a dit le plus grand bien.

– Dois-je me dévêtir entièrement, Monsieur Marc ?

– Oui, tu retires tout.

– Bien Monsieur Marc.

Mathilde n’a plus l’intention de discuter demandes et ordres, elle exécute sans ne plus penser et c’est tout.

– Ah, il te faut encore choisir entre deux types d’anneau. Dans ce présentoir, il y a ceux que l’on peut retirer en tout temps et dans l’autre, ce type qui, eux, ne peuvent être retiré qu’à l’aide d’une petite pince coupante, comme celle-ci. C’est à toi que revient ce choix.

– Définitif pour plaire à ma Maîtresse.

– Elle savait que tu allais les choisir. Tu es une excellente soumise d’après elle et, tu vois, je n’en doute pas une seconde. Bien prend place sur cette chaise et pose tes jolies jambes sur ces étriers. Voilà, comme ça. Ça va, tu es bien installée ? Ton sourire me dit que oui. Dis-moi, connais-tu les chroniques de Gor ?

– Oh oui Monsieur Marc ! Je possède toute la collection chez moi. Je les ai tous lus sans exception et au moins trois ou quatre fois. J’ai même des livres qui expliquent ou complètent les Chroniques de Gor. Ce sont tous mes livres de chevet.

– C’est bien ce qui me semblait, tu vois. Je me suis aperçu que tu te comportais naturellement comme une Kajira. C’est très bien alors, continue sur cette route. Oh, je n’en dirai rien à ta Maîtresse, c’est à toi de le lui apprendre. Bien, que je t’explique, je vais tout d’abord faire quelques points avec ce petit feutre afin de bien placer parfaitement les anneaux. Ensuite, je désinfecte point par point et je les perce au fur et à mesure que je désinfecte. Tu as bien tout compris ?

– Parfaitement bien Monsieur Marc.

– Alors, je commence.

Si Mathilde ne crie pas, c’est que cet homme, suivant la demande du commanditaire, a anesthésié les emplacements des anneaux avant d’opéré. De plus, vu qu’il connait tout des Chroniques de Gor, elle se sent en confiance.

Deux petites heures plus tard, tout est terminé et Mathilde se sent fière d’appartenir davantage à Madame sa Maîtresse. En sortant de cette salle, après avoir sucer le vit et le cul en profondeur de cet homme fort doux, elle lui offre son anus en écartant largement ses belles fesses. Enfin, sur le départ, Mathilde s’arrête devant des colliers et des laisses près de la porte de la boutique.

– Maître Marc, puis-je vous demander le prix de ces deux articles ?

– Les deux, soixante en tout.

– Je les prends Maître Marc.

– Je te les emballe ?

– Certainement pas, céleste Maître Marc, je vais même les mettre promptement.

– Alors, permets-moi de te les offrir. Surtout si je les offre à une Kajira.

– Mille mercis, Divin Maître Marc.

Collier à son cou, la laisse pendante sur sa poitrine, bien à la vue de tous, elle hèle un taxi et y monte. Devant le siège de l’entreprise, ses sacs encombrants ses bras, elle réussit à payer ce chauffeur fort courtois.

Enfin, elle sonne à la porte du bureau de Madame, il est déjà plus de quinze heures. C’est debout, arborant fièrement son collier, la laisse qui pend, bien en évidence qu’elle s’avance devant sa Maîtresse.

– Oh ma chérie, comme tu es chargée. Alors, tout s’est bien passé ?

– Comme Madame l’avait commandé, parfaitement bien. Lui dit-elle, tout sourire.

– C’est bien alors. Et chez cet homme, Marc, comment s’est-il comporté avec toi ?

– Avec énormément de courtoisie et beaucoup de douceur. J’ai remercié Maître Marc en lui offrant mon cul et ma bouche. Il m’a même faite jouir.

C’est alors que Mathilde remarque quelques similitudes entre le visage de sa Maîtresse et celui de cet homme.

– Merveilleux. Bien, si tu me montrais le résultat, ma chérie

– Avec une immense joie, amour de Maîtresse.

La courte jupe glisse sur le sol en même temps que le chemisier s’ouvre et le soutien-gorge se relève, la culotte s’abaisse.

Madame ne peut s’empêcher de caresser les seins si merveilleusement gros et fermes. Elle titille même les anneaux qu’elle découvre, non sans une certaine fierté, définitifs.

– Décidément tu es une perle de soumise. Voyons le dernier. Oh mon dieu que c’est mignon. Sais-tu pourquoi ?

– Oui Madame, pour que Madame puisse y accrocher ceci !

– Waow, tu t’es même acheté une laisse et…quoi ! Aussi ce magnifique collier WOW ! Je suis très fière de toi, ma chérie, réellement très fière.

– Merci Divine Maîtresse, c’est tellement jouissif que de vous obéir. Je ne demande plus que cela, sublime Maîtresse. Cependant, il me plairait de porter une petite médaille sur l’anneau de mon clitoris. Il devrait même porter le nom de ma propriétaire, vous Madame.

– Pour la médaille, il te faut voir Marc. Mais moi, avant tout, j’exige que tu quittes ton minuscule logement insalubre au plus vite pour venir définitivement chez moi. Désormais, où je vais, tu es avec moi, collée à moi. Du reste, le mois prochain, nous nous rendrons en Grande-Bretagne pour visiter une fabrique que je veux acheter et tu fais partie de mes bagages.

– Madame désire aussi que je sois avec elle dans les lieux d’aisance ?

Madame hésite un court instant, se revoyant, soumise, obligée de boire ses Maîtres. Elle se souvient en avoir joui.

– Euh… Mais tout à fait, tu ne me quittes plus d’une semelle. Une seconde sans toi et je deviens comme folle. La preuve, je me suis fait un sang d’encre en te sachant dehors et seule.

– Que Madame se rassure, il en est de même pour moi ! Clame Mathilde en baisant la main de sa maitresse

Jouant avec les anneaux, Corinne parvient sans aucune difficulté à faire jouir sa soumise. Madame ayant écouté sa soumise, d’un sac noir, en sort une belle paire de menottes dorée.

– Ma chérie, tu te voulais menottée, enchainée à moi, alors voilà. Tu sais que je devrais te punir sévèrement, cruellement même ! À cause de toi, je me suis branlée comme la dernière des salopes en t’imaginant comme dans ce film, la secrétaire.

– C’est exactement comme cela que je veux être traitée au bureau, Madame. Vous servir votre thé, les bras écartés, fixés à cette barre qui enserre mon cou.

– Justement, j’ai tout ce qu’il nous faut. J’ai fait quelques petites folies en ton absence. À poil pour commencer. Tu vois cette barre ?

– Elle est sublime, Maîtresse. Oooh, il y a même le nom de Madame et le nom de sa pute. Madame est vraiment trop bonne avec sa salope.

– Broute-moi la chatte, sale putain. J’en crève d’envie.

– Oh oui, Ô passionnante Maîtresse, moi aussi mmmh !

Les mains de Madame viennent de plaquer le visage de sa soumise contre son sexe baveux de bonheur.

– Oh oui ma chérie, tu es une merveilleuse lécheuse de chatte, continue, ouiiii, continue. Fais-moi crever de plaisir. Lààà, comme çaaaaa, oooh que c’est boooon, ma salope. Enfonce tes doigts dans mon cul et donne-les-moi à lécher, sale pute. Ouiiii, j’aime…Oooh mon cul, il adore ça, plus profond, plus fort, ajoute tous tes doigts, ouiii comme çaaaaa… JE T’AIIIIIIIIIME !

Madame s’écroule sur Mathilde, vaincue par un violent orgasme. De sa bouche, elle lèche les doigts sales de sa soumise en la fixant amoureusement. Les spasmes de son orgasme continuent de secouer son corps. Mathilde découvre que sa Maîtresse lui a bien caché son jeu. Sans lui en tenir rigueur, elle s’efforce à continuer de donner d’elle-même afin que sa Maîtresse jouisse encore. Mais vaincue, Corinne n’y arrive plus, n’en peut plus.

– Arrête mon amour, je dois encore diriger cette boite.

– Bien Maîtresse ! Fait Mathilde, un peu déçue.

– Je vais retirer cette barre et…non, je vais faire pire. Donne-moi ta cheville.

En un clic de cadenas, voilà Mathilde solidement attachée à son bureau. En se relevant, Madame peut admirer ce sourire qui éclaire le visage transfiguré de bonheur de sa soumise de secrétaire.

– Si tu nous faisais du café, ma petite chienne.

Mathilde, sans répondre s’avance vers la machine à café. Le bruit de sa chaine trainant sur le sol, la met en trance, l’obligeant, pendant que le café coule, à se branler sur le coin de la table, sans ses mains, ouvertement, vulgairement, tout en fixant Madame. Jouissant rapidement, elle s’écroule à genou. Se relevant péniblement, Mathilde parvient à porter le café à sa Maîtresse.

– Tu m’épates ma chérie. Toi, tu peux te targuer d’avoir su te rendre essentielle, indispensable, vitale même et je n’ai qu’un regret, le même que toi, ne pas l’avoir fait plutôt.

– Ne regrettez plus rien Madame, vivons plutôt l’instant présent comme si tout devait s’arrêter demain.

– Encore une fois, ma chérie, tu as mille fois raisons. File travailler maintenant et ne bouge pas de ta place sans que je ne te l’ordonne. Lui dit Madame en lui retirant la barre pour la remplacer par les menottes

– Bien, irréfragable Maîtresse.

Délivrés de son carcan de métal, Mathilde se met au travail sans tarder. Très vite, elle s’adapte, travaillant d’arrachepied sur un rapport prévu pour le souper de l’entreprise. Puis, Mathilde sursaute, on vient de sonner à la porte. Sans ne plus tenir compte de la présence de sa secrétaire, Corinne appuie sur le petit bouton qui permet à son invité de pénétrer dans son bureau. Mathilde tremble, c’est son ancien chef.

À quelques pas d’elle, Madame et cet homme parlent de son successeur. L’homme s’insurge de l’absence de Mathilde qu’il juge irresponsable.

– Mon cher, ceci ne vous regarde plus. Il m’appartient d’utiliser les très grandes et précieuses compétences de cette merveilleuse femme à ma guise. Du reste, je regrette, venant de vous, le DRH, ne pas me l’avoir proposée avant pour un poste à la hauteur de ses compétences. Cela dit, il m’aura fallu découvrir les indélicatesses de mon secrétaire pour me rendre compte combien cette femme m’était précieuse et bien largement au-dessus du lot. Alors, si cela ne vous plait pas, mon cher Roger, il vous reste la démission. Maintenant, vous avez carte blanche pour trouver la perle rare qui la remplacera. Si je peux, pourriez-vous vous montrer impartial la prochaine fois que vous faites les évaluations des collègues féminins sous vos ordres. Car si je lis celui concernant Mathilde, il m’apparait clairement que vous faites preuve d’un sexisme inacceptable, d’une misogynie intolérable et c’est ignoble de la part d’un chef de votre rang. Si cette femme veut vous trainer devant le tribunal, sachez que j’appuierai le dépôt de sa plainte. JE NE VEUX PAS DE SEXISME DANS MON ENTREPRISE, C’EST ASSEZ CLAIR COMME ÇA ? Hurle soudainement Madame

– Oui Madame la présidente, tout à fait clair. Je vais faire tout ce qu’il faut pour.

– Bien, ne l’oubliez jamais à l’avenir ! Que cela ne se reproduise plus jamais car j’ai déjà le nom de la personne qui prendra votre place. Oui, mon cher, Mathilde, elle a tout ce qu’il faut pour diriger tout le secrétariat, les ressources humaines et ce, sans même un diplôme. Elle s’est faite à la force de son poignet, elle, sans être un lèche-cul, elle. Tenez, regardez ceci, ce rapport que je lui ai commandé. Il est clair, net, précis et je ne vous parle même pas de la tournure des phrases, de l’orthographe, pas une faute, rien. Ce rapport est parfait en tout point. Pour tout vous dire, il va même être présenté à l’assemblée des directeurs. Vous voyez, si j’étais une institutrice, c’est vingt sur vingt que je lui donnerai et même une belle prime car tout son travail est comme ce rapport, irréprochable. Trouvez-moi une remplaçante comme Mathilde et nous en rediscuterons devant un verre, mon cher Roger. Encore une chose, cette année, n’escomptez pas trop recevoir une prime, je préfère la donner à celle qui la mérite, Mathilde. Je ne vous cache pas que vous êtes sur le fil du rasoir. Mon cher, ne me décevez plus ou c’est la porte. Bonne journée, mon cher Roger.

– Excellente journée Madame.

Roger s’en va et pas content du tout. Il va devoir changer ses méthodes et perdre de son influence si ce n’est pas déjà fait ! Madame se lève, fait signe à Mathilde de la rejoindre à quatre pattes.

– Alors, ma chérie, comment tu te sens maintenant que j’ai fait l’éloge de mon adorable jouet d’amour ?

– Que Madame est folle d’amour pour sa chienne. Même qu’elle est folle tout court quand elle proclame que je suis parfaite.

– Et qu’a envie de faire ma douce petite chienne ?

– Là, vous faire jouir en vous léchant de partout. Mais, si Madame veut me pousser plus loin, j’aimerai beaucoup me faire exhiber par Madame, en pleine rue et en laisse.

– Tu es réellement une petite salope mais, une salope que j’aime plus que tout au monde. En tout cas, ce Roger n’a plus qu’à bien se tenir. Pour moi, ce n’est qu’un machiste de la pire espèce

– Madame ne me voit tout de même pas à sa place ?

– Et pourquoi pas ?

– Parce que je ne serais plus auprès de Madame.

– C’est un excellent argument, le meilleur qui soit même. Toi, je te garde même si tu as toutes les compétences pour remplacer cet avorton. Crois-moi, ces compétences, tu les possèdes toutes et je m’y connais.

La main de Madame se perd entre les cuisses de sa soumise pendant un long baiser. Très vite les deux femmes ressentent une irrésistible envie de faire jouir l’autre. Sur l’épaisse moquette, Mathilde attire sa Maîtresse et la baise de tout son corps. Rapidement, de petites clameurs inondent le vaste bureau heureusement insonorisé. De petites clameurs, les gémissements deviennent des rugissements, des hurlements jusqu’au moment suprême, l’orgasme qui envahit le corps de Corinne.

– Ma chérie, dans mon bureau, troisième tiroir, il y une ceinture-gode. Je t’en supplie, mets-la et baise-moi, encule-moi comme une chienne !

Mathilde s’empare de cette ceinture spéciale, la pose sur elle et s’envient baiser sa Maîtresse de partout, sexe, cul, bouche, elle plonge ce gode partout. Elle ne laisse aucune chance à sa Maîtresse d’échapper aux plaisirs que procure ce godemichet enfoncer dans le corps de Madame.

Madame qui jouit coup sur coup, chaque orgasme est encore plus violent que le précédent et…

– PUTAIN de téléphone ! S’écrie Madame. Mathilde s’empresse de répondre tout en enculant sa Maîtresse.

– Monsieur Roger, Madame.

– Qu’est-ce qu’il veut celui-là ? Plus fort, ma chérie !

– Il vous fait dire qu’il m’a trouvé une remplaçante digne de moi, Madame.

– Bien, qu’il lui fasse faire trois mois d’essai et j’exige un rapport précis et non-sexiste sinon, je l’éjecte comme mon secrétaire.

– C’est fait, Madame. Au revoir Monsieur Roger.

Près de Madame épuisée, Mathilde la relève, l’entraine se laver avant de l’habiller amoureusement.

– T’es qu’une salope, me faire jouir comme ça, c’est la toute première fois, sale garce.

– Que madame est bonne en insultant de la sorte sa chienne.

– Et toi alors, toi que j’aime, sale petite chienne.

– La chienne de Madame est prête à l’être davantage, mon amour de Suzeraine.

– Viens alors, j’ai besoin de me soulager, mon adorable petite salope

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