Ce matin là, je me suis réveillée d’excellente humeur. Après avoir pris une douche revivifiante et un copieux petit déjeuner, je me rue sur mon téléphone et appelle des copines pour les inviter à venir passer la journée avec moi. Deux d’entre elles me répondent positivement. En attendant leurs arrivées, je me précipite dans mes placards pour y trouver mes vêtements du jour. Rapidement, je fixe mon dévolu sur un ensemble « collégienne » que je n’ai pas porté depuis déjà quelques temps et une paire de ballerines. Je file dans la salle, histoire de me maquiller et me coiffer. Mes deux amies arrivent quasiment ensemble. Au premier coup de sonnette, je me précipite pour leur ouvrir la porte. A ma grande surprise et à la leur, nous remarquons toutes les trois, que bien n’habitant pas ensemble, mes deux copines portent la même tenue. Toutes deux portent un short en cuir noir, un bustier blanc pour l’une, rouge pour l’autre, le même blouson et sont chaussées des mêmes cuissardes assorties à leurs bustiers. Petite précision la fille au bustier blanc se prénomme Bianca tandis que celle au bustier rouge se prénomme Coralie. Comme il est encore relativement tôt dans la matinée, je leur propose de prendre un café avec moi. Je file donc dans la cuisine et en revient avec un petit plateau que je pose sur la table basse. Nous papotons de tout et de rien quand Coralie me dit : « depuis le temps que tu nous bassines avec ton copain Philippe, tu pourrais le faire venir et, ainsi, nous le présenter ». « Excellente idée » renchérit Bianca. Je prends mon téléphone et l’appelle. Très rapidement, sa voix se fait entendre. Je lui parle de ma proposition. Il a l’air enchanté car il me répond « je suis là pour midi ». Je jette un regard complice à mes deux copines et nous élaborons un traquenard pour mon Philou. Le pauvre, s’il savait ce qu’on lui réserve. Pour fêter cette rencontre, je mets du champagne au réfrigérateur. La matinée se poursuit tandis que nous peaufinons notre plan machiavélique. A l’heure dite, mon Philou sonne à ma porte. Après une chaude accolade, où nos bouches se collent et où nos langues se mêlent, et où ses mains baladeuses, palpent mes petites fesses, je le fais entrer dans le salon et le présente. Mes deux copines se présentent à leur tour avant que lui faire une place dans le canapé. Comme si de rien était, je me dirige vers la cuisine pour y récupérer la bouteille de champagne. Bianca se propose pour m’aider à récupérer les verres. Très à son aise, comme d’habitude, il a posé sa main sur la cuisse de Coralie. Celle-ci le laisse faire, entrouvrant ses jambes pour que le coquin s’aventure toujours plus loin vers son entre jambes. « Ne te gênes pas, surtout, fais comme si je n’étais pas là » que je lui dis. Il semble surpris comme un gamin prit sur le fait, les doigts englués dans la confiture. Me tournant vers Coralie, je lui dis : « et toi, ma salope, ne te gênes pas, laisses toi faire tant que tu y es ». Ce petit rappel à l’ordre n’est en fait qu’un prétexte. Dans ce laps de temps, Bianca a ouvert la bouteille de champagne et servi le breuvage après avoir mis dans le verre de Philou, un petit cachet qui se dilue très rapidement sans laisser de trace apparente. Nous continuons à discuter comme si de rien n’était jusqu’à ce que Philou me dise : « ma salope, je ne sais pas ce que j’ai mais je me sens pas bien, tout à coup, je vais aller m’allonger quelques minutes, le temps que ça passe », ce à quoi je lui réponds : « tu sais où est mon lit ». Nous attendons un peu et alors qu’il est parti très loin au pays des rêves, nous entrons en action. En un tour de main, il est nu comme un vers, à notre merci. Je commence par passer à sa taille un porte-jarretelles du plus beau rose. Bianca lui enfile une paire de bas blancs. Coralie a la tâche la plus ardue, lui faire enfiler une ravissante robe à carreaux roses et blancs. Nous décidons à présent de le maquiller. Il a un sommeil agité mais il ne se réveille pas. Nous en profitons. Rien ne lui est épargné, le cache barbe, le fond de teint, les fards, le mascara. Tout, absolument tout est fait pour qu’il se réveille sissy. Une perruque blonde recouvre ses cheveux argentés. Pour achever sa féminisation, nous le chaussons de bottines à talons blanches. La première partie s’est magnifiquement déroulée. Nous quittons la chambre non sans fermer la porte à clé. Philou est désormais à notre service. Nous regagnons le salon où nous finissons de boire le champagne en nous demandant quel prénom nous allons bien pouvoir lui donner. Je propose Philomène mais ça ne convient pas à mes deux amies. Bianca a alors une idée qui nous ravit toutes les trois. « Puisque nous l’avons habillé de rose, je vous propose de le prénommer Rosine ». Fou rire général. Dans le même temps, nous percevons, venant de la chambre un hurlement. Rosine tambourine à la porte comme une malade. Sans nous presser, nous nous dirigeons vers le fond du couloir. J’ouvre la porte et au moment où Rosine sort, Coralie la mitraille aves son appareil photos. A première vue, Rosine n’est pas contente. Je prends le risque et lui dis : « Depuis le temps que tu me parles de ton désir de féminité et de servitude, tu es servie, ma chérie. Avec mes copines, nous allons t’éduquer à être une parfaite soumise. Pour la journée, tu te prénommes Rosine et tu vas nous servir ». Un signe de rébellion fait son apparition chez Rosine, vite calmé par Coralie qui la menace de divulguer les photos qu’elle vient de faire. Très vite, notre soubrette se radoucit. Je la guide pour ses premiers pas en talons. Au bout de quelques minutes, elle a trouvé son équilibre et arrive à se déplacer seule. « Rosine, allez donc nous préparer quelque chose à manger, toutes ces émotions nous ont donné faim » dit Coralie. Je laisse mes deux amies dans le salon tandis que j’indique à Rosine où est rangé tout ce dont elle a besoin. Quand je rejoins mes copines, elles n’ont pas perdu de temps. Elles sont en train de se rouler des pelles en se caressant. Très vite les bustiers tombent au sol, rejoints par les shorts. Les mains se font inquisitrices, partant à la découverte des globes fessiers, des chattes et des clitos. D’un air conquérant, je me jette dans la bataille. Nous voici parties dans une partie de jambes en l’air effrénée. Chacune caressant les deux autres. Quand Rosine pointe son nez, nous sommes étroitement emmêlées les unes dans les autres. Se sentant de trop, Rosine retourne vers les fourneaux en nous lançant : « Mesdames, le repas sera prêt dans un petit quart d’heure ». Nous décidons d’interrompre nos jeux mais en restant dans nos tenues pour passer à table. Entre temps, Rosine a dressé la table en disposant quatre assiettes. Bianca l’appelle et lui dit d’un ton sec : « c’est pour qui la quatrième assiette ? ». « Pour moi », répond timidement Rosine comprenant qu’elle vient de commettre une boulette. « Tu ne comptes tout de même pas manger avec nous » lui lance Coralie et d’enchaîner « Toi, tu manges dans la cuisine et si l’on a besoin de toi, ce sera pour que tu passes sous la table et que tu t’occupes de nous ». Rosine cherche désespérément mon soutien, mais voyant qu’il ne vient pas, ôte son assiette et retourne dans la cuisine. Le repas est rapidement évacué et nous replongeons avec délectation dans nos jeux saphiques. Tout y passe. Nous explorons toutes les possibilités qu’offre un trio tel que le nôtre. Nous nous suçons mutuellement. Nous nous empalons les unes dans les autres, changeant de partenaires au gré de nos fantaisies sous le regard de notre soubrette, qui se pose plein de questions mais n’ose pas nous interrompre. Arrive le café. Bianca et Coralie désirant un nuage de crème, c’est à la source qu’elles vont se servir en branlant notre sissy au travers de sa lingerie. Cette dernière est tellement excitée qu’elle ne met pas longtemps à cracher son jus de femelle. Ce court répit nous a requinquées. Nous voilà reparties dans nos dépravations. Je m’absente quelques minutes du salon pour aller dans ma chambre, récupérer quelques godes et autres vibromasseurs. Les filles se jettent dessus comme des affamées. Et c’est reparti. Nos jeux se font torrides, voire carrément démentiels. Bianca déchaînée appelle Rosine et lui intime l’ordre de se mettre à quatre pattes, visage au sol, rein cambrés. Elle baisse la culotte de Rosine, att**** le gel, en tartine le cul de Rosine. Nous nous interrompons quelques instants pour voir où notre copine veut en venir. Elle commence alors à écarter son trou du cul. Elle y plante un doigt puis un second et entame un va et vient dans le cul de Rosine qui se tortille pour échapper à cette caresse qu’elle considère comme contre-nature. Coralie et moi, bien au contraire, encourageons Bianca à aller encore plus loin. Rosine gesticule pour éviter cette humiliation. Excitée, Bianca accentue encore son emprise en plantant quatre doigts dans la chatte de notre soumise. Plus elle se débat, plus la perversité de Bianca monte en puissance. Au bout d’un certain temps, durant lequel Rosine s’est mise à geindre, la main entière disparaît dans ses entrailles. Quand elle en ressort, le cul de Rosine est tellement dilaté que Coralie décide de prendre la succession de Bianca et plante dans le cul de notre petite pute, le goulot de la bouteille de champagne restée sur la table basse. Les gémissements laissent peu à peu leurs places à des hurlements d’horreur suivis par des feulements de bonheur. Le clitoris de notre pute forme une bosse énorme dans sa culotte. Cette salope commence à trouver son plaisir à être ainsi humiliée par trois donzelles complètement déjantées. Sans même avoir à se toucher, elle crache son jus qui se répand sur le parquet. « As-tu déjà goûté ton propre sperme » demande Bianca. « Non, jamais », répond Rosine. « C’est l’occasion rêvée pour tester » que je dis, avant que d’ajouter « Tu as pollué mon plancher, nettoies ton jus de ta langue, chienne ». Contre toute attente, tu t’exécutes, obéissant aux ordres de chacune d’entre nous. Dans la folie de cette première partie de journée, Bianca me dit : « Mais au fait les filles, il me semble qu’Esméralda organise une soirée, chez elle, on pourrait y aller, non ? » « Ce serait une très bonne idée » renchérit Coralie. Aussitôt dit, aussitôt décidé, je prends mon téléphone et appelle notre amie sous le regard effrayé de notre petite salope. Dès la première sonnerie, elle répond. Je lui explique la situation. Elle se dit ravie de nous accueillir toutes les quatre, car il y avait plus d’hommes que de filles prévus. A peine la conversation terminée, je m’adresse à Rosine pour lui annoncer qu’elle va vivre sa première soirée de femelle. Elle rechigne mais une paire de claques de Bianca, lui fait comprendre qu’elle n’a pas son mot à dire. Nous l’entraînons de ce pas vers la salle de bains. Pour cette première sortie, il est impératif que notre Rosine soit la plus attirante et désirable possible. Que les hommes ne regardent et ne s’occupent que d’elle. Qu’elle soit la star de la soirée. Sous le regard de Bianca, Rosine est contrainte de se démaquiller. Pour nous, direction le petit dressing, où Coralie et moi, bataillons pour trouver quelques vêtements s’adaptant à la carrure de notre Rosine. L’étape du démaquillage effectué, Bianca lui intime l’ordre de se raser. Quand elle ressort de là, elle est toute belle. Pendant ce temps là, nous trouvons une jupe droite en cuir, fendue sur les côtés, un corset rouge vif, des bas noirs mais à couture rouge et des escarpins à hauts talons bicolores. Direction la chambre pour le nouvel habillage. Quand elle découvre ce que nous lui avons trouvé, Rosine refuse catégoriquement de revêtir sa nouvelle tenue. Nous lui faisons comprendre que soit elle porte ça, soit elle sera complètement nue sous un manteau de cuir. Après avoir reçu quelques claques, elle finit par se rallier à notre décision. La pose du corset n’est pas sans simple car elle y met de la mauvaise volonté. Nous finissons par la coucher en travers du lit. Coralie lui maintient les bras au-dessus de la tête, tandis que je m’assois sur ses jambes. Cela devient, pour Bianca, un jeu d’enfant que de serrer les lacets du corset. Quand nous la libérons, et qu’elle se relève, Rosine a bien perdu deux tailles. Se voyant dans le miroir, elle commence à apprécier sa nouvelle image. Le reste de l’habillage se fait quasiment sans anicroche car plus le temps passe et plus Rosine prend du plaisir à sa transformation. Habillée, retour à la salle de bains pour lui appliquer son nouveau maquillage. La tenue de Rosine étant rouge et noire, nous décidons que son visage serait en harmonie. Bouche très rouge, cernée d’un trait de crayon noir. Pareil pour les yeux dont les paupières se fardent d’un dégradé de rouge, vif du côté du nez, pâle côté coin des yeux. Comme si cela ne suffisait pas, nous appliquons sur toutes les parties de sa peau visible des paillettes dorées. Quand elle sort de là, Rosine est métamorphosée. Elle ne se reconnait pas mais elle apprécie. Une dernière retouche à nos maquillages et nous sommes prêtes à rejoindre la soirée. Comme convenu, un taxi aux vitres teintées nous attend devant ma porte. Nous nous y engouffrons et il démarre. Coralie indique au chauffeur l’adresse où nous nous rendons. Près de quarante minutes plus tard, nous voici arrivées devant l’entrée du pavillon d’Esméralda. Elle nous accueille sur le pas de la porte et nous invite à nous mettre à l’aise dans le vestibule avant que de pénétrer dans le lieu où se déroule les jeux. Comme il fallait s’y attendre, Rosine se montre quelque peu hésitante. Etant connues des lieux et des habitué-e-s, notre entrée passe quasiment inaperçue. Esméralda la prend à part et grâce à ses paroles, Rosine se détend et nous rejoint. Là, par contre, le silence se fait et une vingtaine de paires d’yeux se fixent sur la nouvelle entrante. Très vite, un premier cercle se forme autour de nous quatre. Des mains se font aventureuses sur les fesses de Rosine. Contrairement à ce que nous craignons, non seulement, Rosine ne proteste pas mais en plus, elle se penche en avant, cambrant bien ses reins, se laisse caresser et répond favorablement aux sollicitations de tous, que ce soit des hommes, des femmes ou d’autres travesties. Pour une première, quelque peu improvisée, Rosine s’en sort magnifiquement bien. Lorsqu’un premier homme veut l’entraîner vers une des chambres, elle me demande de l’accompagner. Le monsieur est d’accord. Notre trio s’éloigne. Dans la chambre, j’explique au monsieur que pour Rosine, c’est son dépucelage. Il comprend très bien la situation et promet de se comporter en gentleman. Cet arrangement étant compris, je ne peux m’empêcher de passer la main sur la bosse qui orne sa braguette. Très vite, j’ai sa queue sur ma langue. J’entreprends de le sucer sous le regard de Rosine qui n’en perd pas une miette. La tige est maintenant bien droite, je cède ma place à Rosine et lui dis : « Tu as vu ce que je viens de faire, maintenant c’est à toi de poursuivre ». Rosine, se positionne entre les jambes de l’homme et commence sa première pipe. Là encore, elle ne se débrouille pas si mal que ça. A croire qu’elle a fait ça, toute sa vie. Il décide de s’allonger sur le lit après avoir retiré pantalon, slip et chaussettes. Rosine me tend ses fesses. J’att**** un flacon de gel et lui en tartine son œillet. Sa chatte retrouve instinctivement les réflexes qu’elle a enregistrés plus tôt dans la journée. Après lui avoir mis deux doigts, je guide le mâle vers ce trou. Il y plonge sans difficultés. Après de nouveaux va et vient, son dard est entièrement gobé par Rosine qui commence à geindre. Croyant lui faire mal, l’homme s’interrompt. Rosine lui fait comprendre que non seulement, elle ne souffre nullement mais elle aimerait être prise plus énergiquement. Il change à nouveau de position et vient s’agenouiller contre les fesses de Rosine. Ne voulant pas être de trop, je me saisis de la verge et la dirige vers le cul de Rosine. Très vite, les mouvements reprennent. D’abord lents, ils se font longs. De doux, ils se font violents mais Rosine tend son cul comme une vieille habituée et elle pousse de petits cris de contentement. L’homme quant à lui est ravi de trouver une partenaire aussi enjouée. Il finit par se retirer pour exploser sur les globes fessiers de Rosine. Ce jus ne pouvant se perdre, je me précipite pour le lécher, le prendre en bouche avant que de le régurgiter dans la bouche de Rosine qui en bonne fille, se fait un plaisir de l’avaler. Je quitte la chambre et rejoint les autres, le pouce levé en signe de victoire. Quand, à son tour, Rosine nous rejoint, elle est accueillie par des applaudissements nourris. Ce sera là, la première d’un certain nombre d’absence que vivra Rosine, cette nuit là. Je vous rassure, amis lecteurs, nous autres ne resterons pas inactives non plus. Un certain nombre de figures possibles et imaginables ont été testées au cours de cette nuit.
C’est au petit déjeuner, que Rosine, que nous avions quelque peu délaissée, tant elle avait eu de demandes auxquelles elle n’avait pas su ou pas voulu refuser, fit sa réapparition dans la cuisine. Elle était intégralement nue et tenait la main d’une fille. A notre grand étonnement, et sans aucune pudeur, elle nous raconta sa nuit et le coup de foudre qu’elle avait eu pour la demoiselle avec laquelle elle avait fini la nuit. Son récit terminé, elle se précipita sur moi et me roula une gamelle. « Je te dois bien ça, ma chérie. Tu viens de me faire découvrir mon vrai moi. Philippe, le macho est mort et enterré. Longue vie à Rosine ».
La matinée était déjà bien avancée quand un taxi vint nous chercher pour effectuer le trajet retour. Rosine, se colla contre moi et n’arrêta pas de me caresser et de m’embrasser à pleine bouche. Arrivées devant chez moi, je demandai à Coralie et Bianca si elles voulaient monter, ce à quoi elles nous répondirent dans un grand sourire qui en disait long « Non merci, c’est gentil, mais on va vous laisser seules toutes les deux.
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