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Vacance chez mon oncle. (3)

Vacance chez mon oncle. (3)



J’ai passé l’après-midi au centre commercial avec mon oncle Arthur. Il tenait à ce que je sois présentable pour le repas de ce soir. Il avait insisté pour m’offrir une chemise et une boîte de préservatif. « Pour la voisine » m’avait-il dit en faisant un clin d’œil.
Avec mes récentes découvertes sur lui et Maria, je me demandais bien pour qui était ce repas… Arthur voulait bien faire, mais je le jugeai un peu trop envahissant par moment.

Nous passions le reste de l’après-midi à cuisiner le repas, il en profita une nouvelle fois pour me questionner.
« Tu comptes tenter quelque chose pour la voisine ?
— Euh… Je sais pas, elle m’a jamais regardé…
— Tu ne t’es jamais vraiment fait remarquer non plus !
— Et toi ?
— Moi ? Elle est bien trop jeune !
— Idiot, dis-je en rigolant, je parlais de Maria. »
Il posa son couteau pour aller égoutter les légumes.
« Maria est une femme agréable, c’est vrai, mais ce n’est pas elle… Et puis, si nous étions ensemble, ça ferait d’elle ta tante, ce ne serait pas bizarre que tu coures après sa fille ? »
Je sentis le feu me monter aux joues. Si, ce serait bizarre, encore plus avec les relations que nous avons eues ces derniers jours… Et celles que j’espérais continuer à avoir avec elle.

La sonnette s’activa à dix-neuf heures trente. Nos invitées étaient arrivées. Je descendis les marches vêtu d’un pantalon noir et d’une chemise bleue, les cheveux bien coiffés sur le côté.
Arthur faisait la bise à Maria, je les voyais ainsi collés l’un l’autre, j’en éprouvai une forme de jalousie…
Maria portait les mêmes talons aiguilles que la veille, accompagnée d’une robe sombre et élégante, avec un décolleté laissant apparaître le galbe de ses deux gros seins.
Elle colla ses seins sur mon torse et me fit la bise. Enhardi par cette tenue je lui soufflai un léger « bonsoir maîtresse » à l’oreille. Elle me fit un clin d’œil avant de s’écarter.
Jessica était venue, elle portait également une robe, ajusté au corps et de couleur or qui allait parfaitement avec sa chevelure blonde et ses yeux verts. Ses seins en melon étaient aussi mis en valeur par un décolleté.
« Salut James, ça faisait un bail, tu restes longtemps ?
— Tout le mois, comme chaque année. »
Elle sourit et me fit une bise. Mon oncle invita nos magnifiques invités à prendre place à la table de la cuisine.

Maria s’assit à ma gauche, face à mon oncle, et Jessica face à moi. Sitôt assis, je sentis la main de Maria glisser sous la table et venir se plaquer sur ma cuisse. Je voyais de l’excitation dans son regard et j’aimais cela.
Mon oncle ouvrit une bouteille de vin blanc et nos trinquâmes à un été chaud et ensoleillé.
Nous bûmes ainsi plusieurs verres, discutant de banalité, les études, le travail, la vie… Mon oncle me fit un clin d’œil et dévia le sujet vers les relations. J’appris ainsi que Jessica était de nouveau célibataire. La main de Maria caressait ma cuisse tout ce temps, provoquant une forte érection.
Arthur me demanda de l’aider pour apporter les plats. Maria avait son regard joueur, elle connaissait la réaction que ses caresses avaient produite. Elle me défiait du regard, je lisais presque en elle : « vas-tu te lever et exhiber ça devant ma fille ? »
Je reculai ma chaise et me levai l’air de rien, avec cette érection apparente. Mes joues devaient rosir malgré moi quand je surpris Jessica, les yeux fixés sur mon érection. « Vous voulez jouer maîtresse, alors jouons » pensais-je.
Arrivé de l’autre côté de la cuisine, j’hasardai un regard vers elle et la vis sourire, ce jeu lui plaisait assurément.

De retour à table, je retrouvais la main entreprenante de Maria. Cette fois elle ne se contenta pas de me caresser. Je la sentis défaire sans mal ma ceinture et ouvrir ma braguette. Sa main chaude se posa délicatement sur mon sexe en érection. L’air de rien, elle continuait à discuter avec mon oncle. Elle tenait sa fourchette de la main gauche et mon sexe de la main droite, une masturbation lente pour que personne ne remarque les mouvements de son bras.
Je prenais sur moi pour ne rien laisser paraître de la situation, et pour ne pas jouir. La table n’étant pas très grande, les jambes de Jessica se trouveraient arrosées de sperme en cas d’éjaculation, Maria le savait sans aucun doute. Cette fois je n’avais pas d’autre choix que de me retenir, sans quoi nous provoquerions certainement un scandale.

Au milieu du repas, Jessica fit tomber sa fourchette du côté d’Arthur et se pencha instinctivement en dessous de la table pour la récupérer. Je voulus croiser les jambes, mais Maria ne retira pas sa main, espérait-elle que sa fille voit ce qu’il se passait sous la table ? J’en étais convaincu, mais ce n’était pas pour m’aider à conclure avec elle, non, elle voulait marquer son territoire…
Lorsque la tête de Jessica réapparut quelques instant plus tard d’en dessous de la table, ses joues étaient en feu, elle nous dévisagea tour à tour. Je me sentais horriblement mal à l’aise. Maria se contentait de sourire et continuer ses lents mouvements de la main.
« Ça va Jessica, demanda mon oncle, t’es toute rouge d’un coup ! »
Mon cœur se serra dans ma poitrine.
« Ça va, ça doit être à cause du vin. »
Je fus soulagé d’entendre sa réponse.
Maria s’amusa tout le long du repas à m’emmener au bord de l’orgasme, sans pour autant me laisser jouir. C’était une véritable torture. Je voulais jouir, je n’en pouvais plus de cette situation !

La fin du repas sonna la fin des caresses de Maria. Arthur se leva pour débarrasser. Par politesse, Jessica alla l’aider, nous laissant seuls.
« Maria, vous êtes folles !
— ah bon ?
— Jessica nous a vus !
— Et alors ?
— Et si elle en avait parlé ? Vous imaginez le scandale que ça aurait pu être ?
— Ton oncle a eu le même traitement que toi. »
Je fus choqué de l’entendre, le même traitement ? Mais elle ne pouvait pas l’atteindre…
« Jessica ?
— T’es bien innocent mon petit pervers… Elle a été longue à ratt****r sa fourchette, tu ne crois pas ? »
Elle avait été longue en effet, mais je pensais que c’était dû à ce qu’elle avait surpris sous la table.
« Donc votre fille couche avec mon oncle ?
— Apparemment oui. Tant qu’elle ne te touche pas, ça m’est égal. Toi, tu es mon jouet, tâche de t’en rappeler.
— Oui… maîtresse. »
Arthur choisit ce moment pour réapparaître à table.
« Et si tu allais montrer à Jessica les travaux qu’on a faits l’été dernier ?
— Je ne t’imaginais pas bricoleur James, tu me montres ? Je n’ai jamais vu ta chambre… »
Arthur me fit un nouveau clin d’œil. Je ne savais quoi en pensait, il couchait avec elle, malgré mes sentiments…
Maria me jeta un regard noir tandis que je me levai de ma chaise.

Jessica grimpa les marches, me laissant à l’arrière, elle tordait lentement des fesses devant moi.
« Alors, elle est où ta chambre ?
— Dernière porte à droite. »
Elle s’y dirigea directement, ses fesses avaient un effet hypnotique sur moi, je la suivais, les yeux rivés sur elle.
Elle ouvrit la porte et entra. Elle alla aussitôt devant la fenêtre. Je la vis observer dehors, vers chez elle…
« La vue est belle, tu ne trouves pas ?
— À part les arbres et les champs, on ne voit pas grand-chose.
— Ah bon ? dit-elle en me regardant. Pas même une jeune fille allongée sur un transat ? »
Je ne sus quoi répondre, rouge de honte, je baissai la tête.
« Viens ici. »
Elle m’attrapa la main et me poussa avec force devant la fenêtre.
« Alors, tu ne trouves pas que la vue est belle ?
— Si, si elle l’est…
— Elle l’est peut-être plus quand je me promène seins nus, quand je me caresse sur ce transat à côté de la piscine ? »
Elle colla son corps contre mon dos, je sentis sa main se diriger vers mon sexe, toujours en érection. Elle me caressait par-dessus mon pantalon.
« Combien de fois ai-je été l’objet de tes fantasmes, devant cette fenêtre ? Il y a longtemps que je le sais, au début j’ai trouvé ça dégoûtant… »
Elle sortit mon sexe de mon pantalon et entama une lente masturbation.
« Dégoûtant, répéta-t-elle, puis j’ai trouvé cela excitant. C’est ça que tu fais pas vrai ? Devant ta fenêtre, c’est comme ça, de haut en bas, sur cette bite ?
— Oui… Je suis désolé…
— Désolé ? Je ne te crois pas. Tu dois plutôt être ravi en ce moment, depuis le temps que tu te branles devant moi, cette fois je suis là, dans cette chambre, avec toi devant cette fenêtre… ça ne te plait pas ? »
J’avais envie de lui dire que oui, de la prendre ici, sauvagement devant cette fenêtre… Maria me le ferait payer amèrement… Mais même si je résistais aux avances de Jessica, me croirait-elle ?
« Si, ça me plait, mais je ne peux pas…
— À cause de ma mère ? Tu es son nouveau jouet, c’est ça ?
— Son jouet ?
— Ne fais pas l’innocent. »
Elle me masturba plus rapidement.
« Je sais bien comment est ma mère… Je suis habitué. Elle aurait pu cacher ce que j’ai vu sous la table, mais elle ne l’a pas fait. Elle marque son territoire.
— C’est vrai, mais elle a peut-être pensé que tu serais trop occupé pour le remarquer. »
Jessica stoppa ses mouvements. Elle lâcha mon sexe et recula.
« La salope… J’étais persuadé que tu ne le verrais pas, et pourtant elle a osé te le dire.
— Oui, je pense qu’elle me l’a dit pour que je n’aie pas envie de toi.
— Et donc ? Ça a marché ?
— Non… »
Elle se mit au milieu de la chambre et tira sur la braguette de sa robe, en un clin d’œil, elle était nue devant moi.
J’admirai la beauté de ses seins, de sa peau lisse, de ce vagin si parfait… Je fantasmais sur cette situation depuis des années, et pourtant, maintenant que le rêve était réalité, que Jessica se trouvait nue dans ma chambre. Je ressentais une hésitation, je n’osai pas bouger.
« Je te plais ?
— Beaucoup, mais…
— Il n’y a pas de mais. »
Elle se rua sur moi et m’embrassa fougueusement, je la laissais faire.
« De toute façon, même si tu repartais la queue entre les jambes, ma mère ne te croirait pas, alors autant en profiter. »
Elle ma plaqua contre le mur et s’agenouilla. Je sentais la douceur de ses lèvres entrer en contact avec mon gland, elle m’aspirait complètement. J’étais aux anges, résolu à assumer n’importe quel châtiment que Maria voudra m’infliger. J’attrapai la tête de Jessica et enfonçai davantage mon sexe dans sa bouche, elle l’accepta sans effort, je contrôlai le rythme. Je voulais défier Maria en baisant sa fille malgré son interdiction.
Je caressais ses cheveux pendant qu’elle avalait mon sexe, je sentais la pression monter, mais ça m’était égal, l’excitation était telle que j’aurai pu continuer toute la nuit. Dans un dernier coup sec, mes doigts se cramponnèrent à son crâne et je me déversai en elle. Je l’empêchai de se retirer, la contraignant à avaler chaque goutte de sperme que je lui offrais.
Quand enfin je lâchai mon emprise, elle se releva, du sperme dégoulinait de sa bouche, elle me fixa d’un regard noir avant de me gifler.
« Connard ! »
Visiblement, je l’avais énervé. Je me sentis mal quelques instants, je n’aurais pas dû agir ainsi… Quelque chose en moi s’était éveillé, une envie, un désir insatiable de sexe, de faire de Jessica mon jouet, et d’en user comme sa mère usait de moi…
Je restai debout contre la fenêtre, le sexe encore raide. Jessica me dévisageait, elle se pencha et ramassa sa robe.
« Tu vas où ? demandai-je d’une voix froide.
— Je me casse d’ici !
— Pas question. »
J’agrippai son poignet, je la tenais fermement, sans pour autant lui faire mal.
« Lâche-moi ou je crie.
— Je compte bien te faire crier oui. Tu fais ta salope depuis tant d’années, et tu t’étonnes que je te traite comme telle ? C’est peut-être pour ça que tu ne peux pas garder un mec, peut-être qu’ils ne savent pas comment te baiser ?
— Parce que tu crois savoir toi ? Toi le ringard bon qu’à se branler devant une fenêtre ? »
Je la projetai sur le lit et m’installai sur elle. Je reniflai son parfum.
« Tu sens bon.
— Décide-toi, tu veux me baiser ou me renifler ?
— Finalement, tu en as envie toi aussi. »
Je l’embrassai, elle ne se débattait pas. Elle gigotait sous mon corps, elle passa ses jambes par-dessus moi et mit son bassin en position.
« Je veux voir si t’es capable d’assumer. »
Elle avait le même air de défi que sa mère. Je rigolai quelques secondes, puis m’enfonçai en elle d’un geste sec, lui arrachant un petit cri.
« Ah ! Salop.
— Ah ! Salope. »
Je me mis en mouvement sans ménagement. Son vagin était plus étroit que celui de sa mère, je m’enfonçai en elle, admirant ses seins bondissants à chacun de mes coups de reins. Depuis le temps que j’attendais ça !
Je restai dans cette position plusieurs minutes, j’en profitai pour titiller ses tétons, les mordiller, elle réagissait à chacun de mes mouvements en se laissant faire bien sagement. Je ralentis le rythme, ne voulant pas jouir trop tôt.
« T’es déjà fatigué ?
— Oh non ! J’en ai pas encore fini avec toi. »
Je me retirai d’elle et la retourna. Elle se cambra instinctivement, m’offrant une vue incroyable sur sa chatte en feu, dégoulinante de mouille, et son anus… Le fruit défendu que m’avait interdit Maria…
Je m’agenouillai derrière elle et nettoyai son vagin avec de rapides coups de langue, elle commença à gémir. Je sentais la chaleur de ses lèvres sur ma bouche, je m’attardai quelques instants sur son clitoris gonflé, les gémissements se firent plus fort, mais je ne voulais pas la faire jouir tout de suite, je stoppai tout et m’insérai d’un coup sec dans son vagin. Elle protesta entre deux gémissements.
« Ce n’est pas ça que tu veux, salope ?
— Si… mais.
— il n’y a pas de mais. »
Je lui claquai les fesses sur ces mots. Je prenais plaisir à l’utiliser ainsi, à en faire mon objet. J’imaginai Maria en bas, enragée en entendant les gémissements de sa fille, quoi qu’elle fût peut-être préoccupée par ses propres gémissements…
Je claquai de nouveau le cul de Jessica, elle poussait un petit « ah ! » à chaque claque, j’aimais entendre ce cri s’échapper d’elle.
Je la bourrinais avec force, il n’y a pas d’autres mots pour le décrire. Mes testicules tapaient contre les lèvres de son vagin, mon sexe s’engouffrait profondément en elle. Je caressais tendrement ce cul jeune et ferme entre deux fessés.
La vision de son anus me donnait de plus en plus envie, je cédai à la tentation. Je salivai sur mon index et le fis tournoyer autour de son anus. Elle se redressa.
« Non, haletait-elle, pas là… s’il te plait… Pas là.
— Tu n’aimes pas ça ?
— Jamais… essayé…
— C’est l’occasion alors. »
J’enfonçai mon doigt en elle, lui arrachant un cri si fort que je pus affirmer que toute la rue l’avait entendu.
« Enculé ! m’insulta-t-elle.
— Techniquement, murmurais-je à son oreille, ce soir ce sera toi l’enculée. »
Je la sentais réticente, elle tremblait, elle tentait de faire ressortir mon doigt, de s’échapper… Je renonçai bien malgré moi à la sodomiser. Non, c’est non…
Je retirai mon doigt et repris mes occupations dans son vagin.
« Merci, souffla-t-elle.
— Mon plaisir ne doit pas être au détriment du tien… Je ne veux pas te forcer. Je veux beaucoup de choses de toi, je veux t’aimer, te baiser, te faire jouir autant que possible, mais pas te forcer. Si je goûte à ce plaisir, ce sera parce que tu me l’auras offert. »
C’était une limite que je ne voulais pas franchir, je l’aurais définitivement perdue sinon… J’avais beau le penser, je n’étais pas comme Maria, je n’étais pas fait pour diriger et faire subir mes fantasmes aux autres…

Jessica voulut changer de position, elle m’allongea et vint s’installer sur moi.
« Maintenant, je contrôle.
— Prends ce que tu veux chérie. »
Elle s’empala sur mon sexe et entama de lents va-et-vient qu’elle accéléra progressivement. J’attrapai ses fesses, ses seins, je parcourrai et caressai son corps délicatement. Je m’arrêtai enfin sur son visage, à l’instant où j’allais jouir, elle était souriante, rayonnante. Je réalisai alors que je ne l’avais jamais vue heureuse… Nos regards se croisèrent en cet instant de jouissance, elle n’eut besoin d’aucun mot, je compris son regard, j’avais gagné mon pari, elle m’appartenait.

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