Madame Herbert (suite):
S’étant vu refusé l’envie qu’il avait de palper cette poitrine qui l’avait tant fait fantasmer lorsqu’il était élève, Guillaume s’était polarisé sur une autre action. Sous l’emprise de l’extrême excitation que la sensuelle masturbation de Rose lui avait prodiguée, il perdit toute retenue. La seule chose qui comptait pour son esprit enfiévré : libérer cette énergie qui lui gonflait les couilles ! Oubliant l’âge de sa partenaire et le respect qu’il lui devait, il l’obligea à se lever de son fauteuil, pour l’amener à la position qu’il avait choisie.
Forcée de reculer, Rose sentit très vite le bord de la table lui heurter les fesses. Aussi, lorsque Guillaume la saisissant par les épaules, la força à s’étendre sur le plateau de noyer verni, elle n’opposa pas de résistance, se prêtant de bonne grâce au désir de son invité. Ayant compris immédiatement le projet de son partenaire surexcité, Rose ressentit un long frémissement sensuel lui parcourut le corps. Il lui parut évident que Guillaume désirait la prendre là, à même la table de la salle à manger, tel un soudard d’une armée conquérante. Désireuse de sentir à nouveau un membre masculin la pénétrer, elle s’empressa d’écarter les cuisses, afin de montrer à Guillaume qu’elle était prête à l’accepter en elle.
Lorsque Guillaume s’était présenté au portillon de sa villa, elle avait vu dans cette visite, l’occasion d’assouvir le désir qui la perturbait depuis plusieurs jours. La parenté qui liait son jeune visiteur à son ancien amant, lui avait donné l’audace de lui demander d’assouvir son envie particulière. Son plan alors, était simplement de pouvoir contempler un sexe masculin en érection. Mais lorsque Guillaume l’avait forcé à se saisir de sa verge et qu’il lui avait demandé de le branler, elle avait accepté avec joie. Elle avait alors tout fait pour le faire jouir. Elle s’y était appliquée, retrouvant les gestes qui lui réussissaient lors des masturbations qu’elle pratiquait à son père.
Mais ce que Guillaume s’apprêtait présentement à lui faire subir, elle ne l’avait à aucun moment espéré. Qu’à son âge, un jeune homme plein de force comme l’était Guillaume, désire lui faire l’amour, était tout simplement inattendu. Sa raison l’incitait à rejeter cet acte du fait de leur différence d’âge, mais par contre, ses sens, embrasés par les différents attouchements pratiqués, la poussaient à accepter cette pénétration.
Fortement perturbée par la situation, Rose, dans un frémissement de tout son être, espéra que Guillaume lui fasse l’amour, qu’il la pénètre de son membre durci. Songeant qu’elle allait de nouveau sentir les chairs intimes de son sexe s’ouvrir sous la poussée d’une queue masculine, elle osa murmurer :
— Viens !… Prends-moi !…
L’émotion qui l’avait envahie était si forte, qu’elle sentit son vagin palpiter et libérer une nouvelle ondée.
Jugeant sa partenaire en position parfaite ; allongée sur le dos, les jambes pendantes hors de la table et largement écartées, Guillaume, lui saisit les chevilles, la forçant à replier ses jambes sur sa poitrine. Dans ce mouvement la robe se retroussa largement, dénudant le bas-ventre convoité. Guillaume demeura stupéfié.
Sous ses yeux stupéfaits, un spectacle irréel se présentait à lui. Tout le ventre et le pubis qu’il rêvait de contempler se trouvaient cachés par une culotte des plus étranges. Jamais il n’avait vu pareil sous-vêtement féminin, sauf peut-être, sur de vielles images érotiques. C’était là, une culotte féminine du début du siècle dernier… Serrée à la taille par un feston de dentelles, elle descendait très bas sur les cuisses qu’elle enserrait, formant comme une gaine. Mais ce qui faisait la particularité de ce vêtement et qui attira immédiatement le regard de Guillaume était la large ouverture située à l’entrejambe, laissant à nu le sexe féminin. Une épaisse toison encore étrangement brune par rapport à la chevelure blanc neige de Rose, bouclait entre les garnitures de dentelles de l’ouverture terriblement érotique de cette insolite culotte.
Morte de honte du fait de sa position plus qu’obscène que lui avait prendre son jeune partenaire, et malgré l’intense excitation qui faisait ruisseler son sexe, Rose ferma les yeux, attendant que Guillaume prenne l’initiative de la pénétrer. Etrangement, joint à la honte de s’exposer ainsi, elle ressentait une excitation fébrile à la pensée qu’elle allait subir les assauts sexuels de son jeune partenaire. Or, ne percevant aucun attouchement après plusieurs minutes d’attente, elle osa entrouvrir les yeux pour jeter un regard curieux en direction du jeune homme… Celui-ci, immobile, la queue braquée, semblait comme fasciné par le spectacle qu’elle lui offrait.
Mais, alors que, frémissante d’impatience, elle s’apprêtait à sentir les chairs intimes de sa chatte s’ouvrir sous la poussée du gland volumineux, une légère caresse, le long sa vulve la fit frissonner. Ouvrant les yeux, elle constata, surprise, que Guillaume ne se tenait plus entre ses cuisses, prêt à la pénétrer. Seule sa chevelure apparaissait à la jointure de ses cuisses. Devinant immédiatement ce qu’il s’apprêtait à lui faire subir, Rose sentit son bas-ventre se contracter de désir, tandis qu’il lui sembla sentir les chairs intimes de sa vulve se gorger d’un liquide brûlant. Émue, le cœur soudain emballé, elle songea qu’elle allait, après tant d’années, de nouveau connaître ce baiser très spécial que toute femme rêve de découvrir un jour.
Rose songea avec émotion qu’aucune langue n’était venue fureter entre ses grandes lèvres sexuelles depuis le décès de son amant, le père même de ce jeune homme, qui s’apprêtait à lui fouiller le vagin. Son mari s’était essayé à ce genre de caresse tout au début de leur lune de miel, mais avait très vite abandonné ce baiser au fil des mois, pour l’ignorer ensuite tout le reste de leur vie conjugale. Aussi s’attendant à ressentir cette caresse extraordinaire, tout son corps se tendait dans une offrande impatiente.
A genoux, le visage à quelques centimètres de l’épaisse toison que son hôtesse lui offrait du fait de sa position indécente, Guillaume souffla doucement sur les bouclettes emmêlées, les chassant de chaque côté de la fente sexuelle.
Sous le courant d’air qu’elle perçut le long de sa vulve enfiévrée, Rose poussa un petit gémissement où se mêlaient plaisir et impatience.
Saisissant les grandes lèvres sexuelles entre ses doigts, Guillaume les écarta largement l’une de l’autre, ouvrant le vestibule vaginal aux parois corail et luisantes de cyprine. Collant sa bouche à l’ouverture ainsi pratiquée, il enfonça une langue butineuse dans les replis vulvaires, se grisant du nectar qui s’y était déposé. Le nez écrasant le clitoris, Guillaume lécha avidement les faces internes de la vulve, tachant d’atteindre de sa langue le fond du vagin. Alors qu’il fouillait la cavité vaginale emplie d’une liqueur chaude et, quelque peu acre, mais exquise au goût, il perçut les mains de Rose lui agripper la tête. Des gémissements plaintifs lui parvinrent de plus en plus saccadés.
Heureux de procurer du plaisir à cette sexagénaire qui l’avait tant dorloté lorsqu’il était enfant, Guillaume décida de varier sa caresse. Abandonnant ses explorations linguales en profondeur, il remonta son léchage en direction des petites lèvres où il savait trouver ce bouton magique, dispensateur de plaisir. S’appliquant, il passa la langue avec application dans les replis où nichait le clitoris, l’obligeant à émerger de son abri.
A la crispation des doigts de sa partenaire dans ses cheveux, Guillaume comprit qu’il venait d’atteindre cet organe si sensible, que peu de femmes ne peuvent résister à son pouvoir sexuel. « Depuis combien de temps, n’avait-elle pas apprécié ce type de baiser ? », se demanda Guillaume en titillant de la langue, la petite bite de chair, qui apparaissait. La réponse lui fut donnée lorsqu’il sentit les deux cuisses de Rose lui enserrer la tête, lui maintenant solidement le visage plaqué à la chatte ruisselante.
— Oui !… Continue, l’apostropha Rose, d’une voix suppliante… C’est trop bon !… Encore !… Oh Ouuiii…
Lorsque la langue de Guillaume s’était enfoncée au cœur de son vagin en fusion, Rose avait aussitôt ressenti un frisson voluptueux lui parcourir le bas-ventre. De bonheur, elle en avait fermé les yeux, se centralisant toute sur ce plaisir qui l’envahissait. Ce plaisir dont elle avait été privée depuis si longtemps que même en puisant dans ses souvenirs, elle ne pouvait se remémorer les merveilleuses vagues de volupté ressenties. Mais quand cette même langue était venue s’attaquer à son bouton d’amour, l’effet avait été si fulgurant, qu’elle n’avait pu empêcher ses cuisses de se refermer, tel un piège à loups, autour du visage plaqué à son sexe.
Prisonnier, dans l’incapacité de se dégager de l’emprise des cuisses féminines contractées, Guillaume n’en continua pas moins son butinage érotique. Saisissant le clitoris fortement érigé entre ses lèvres, il l’aspira fortement, le pinçant délicatement. Un râle profond de sa partenaire l’informa de l’effet voluptueux que sa succion avait provoqué, alors que dans le même temps Rose sursautait violemment, le libérant de l’emprise de ses cuisses. Dégagé du fourreau sensuel qui le maintenait, Guillaume reprit ses caresses. Continuant d’exacerber le clitoris de sa langue, il infiltra son index accolé de son majeur entre les grandes lèvres sexuelles juteuses. Habilement, il rechercha cet endroit sensible sur la partie antérieure du vagin, le frottant avec insistance. Un nouveau soubresaut de la sexagénaire l’informa qu’il venait de localiser cette partie fortement érogène du sexe féminin. Alors qu’il continuait à frôler cette zone, qui avait l’air de tellement affoler sa partenaire, cette dernière s’exclama soudain :
— Guillaume !… Qu’est-ce que tu fais ?… Non, arrête s’il te plait… Tu me rends folle… Noonn… Chéri, je t’en supplie… Je vais… Je vais. Non !… Oh nooonnn…
Terriblement excité par les plaintes amoureuses de son ancienne institutrice, Guillaume sentit soudain un flot tiède lui tremper les doigts, avant de lui éclabousser le menton. Un nouveau râle de sa partenaire au summum de la jouissance lui parvint.
— Vient, maintenant !… Fais-moi l’amour… Prends-moi !… J’en ai trop envie…
Ressentant lui-même un intense désir, Guillaume décida d’abandonner les attouchements qu’il prodiguait au sexe de sa compagne. Se redressant, le bas du visage trempé de liqueur vaginale, il s’installa entre les cuisses, elles-mêmes moites d’une sueur érotique.
Découvrant entre ses jambes, son jeune partenaire qui venait de lui procurer ce merveilleux plaisir à l’aide de sa langue, la queue érigée prête à l’embrocher, Rose sentit son cœur s’emballer :
— Viens, gémit-elle les yeux fixés sur ce sexe masculin si longtemps désiré… Prends-moi… Fais-moi l’amour…
Et comme pour inciter Guillaume à la transpercer de son pal dilaté, elle écarta ses cuisses au maximum, ouvrant l’accès à sa chatte palpitante de désir.
Ne pouvant résister plus longtemps au désir qui lui gonflait les couilles, Guillaume plaça correctement sa verge tendue face au sexe féminin offert. Tel un aiguillon prêt à éjecter son venin, son gland frôla les grandes lèvres sexuelles luisantes de mouille. La sexagénaire, tenaillée par le désir, le fixait avec une telle intensité, qu’elle lui parut transfigurée, d’une beauté sauvage. Avec émotion, il referma ses mains autour de la taille de son ancienne institutrice ; cette taille si fine à l’époque, qui attirait déjà son regard, lorsqu’elle se déplaçait dans la classe. Ayant solidement immobilisé sa proie, prête à l’immolée à même la table vernie, il présenta son gland dilaté avec lequel il frôla la longue fente humide.
— Ho viens, gémit Rose sous cette caresse particulièrement affolante.
Obéissant à la supplication de son amante, Guillaume enfonça lentement sa verge dans le fourreau torride, prenant un plaisir indéfinissable à sentir les chairs chaudes enserrer son gland.
Avec une émotion accrue, Rose sentit le membre gonflé repousser ses chairs intimes, s’introduire graduellement dans sa chatte, jusqu’à atteindre enfin le fond de son vagin. Elle ne put retenir un gémissement de bonheur :
— Oh ouiii… Comme tu es long… Je sens ton gros bout au fond de mon ventre…
Pas habitué à ce que sa partenaire s’exprime dans un langage si correct lors de leur activité sexuelle, Guillaume se sentit quelque peu perturbé : il avait besoin que ces moments intimes soient accompagnés de mots et d’encouragements grivois. Désirant amener son ancienne institutrice à abandonner son langage convenable pour des mots plus graveleux, il la questionna :
— C’est bon ? Ma queue te ramone bien la chatte ?
— Oh oui !… Je la sens bien au fond de mon ventre…
Contrarié par la réponse de la sexagénaire, Guillaume décida de l’obliger à utiliser les mots qu’il désirait entendre. Pour cela, il se retira complètement du vagin qu’il venait d’investir.
— Oh, non, gémit immédiatement Rose… Reviens !
— Qu’est-ce que tu veux, interrogea vicieusement Guillaume ?… C’est ma queue que tu désires ?
Rose comprit aussitôt ce que demandait son jeune amant ; il en avait été de même avec son père trente ans plus tôt. Avec émotion, elle tenta de se remémorer les dialogues qu’ils échangeaient, Paul et elle, lors de leurs rapports amoureux. C’est d’une voix empreinte d’une mélancolie sexuelle qu’elle réclama :
— Je veux sentir ta queue dans ma chatte… Remets-la-moi !… Baise-moi !…
Heureux d’entendre enfin son ancienne institutrice s’exprimer dans un langage plus adapté à leurs activités amoureuses, Guillaume planta de nouveau son membre dans le sexe féminin.
— Oh, oui, gémit Rose, comblée… Vas-y ! Bourre-moi la chatte, s’exclama-t-elle, retrouvant les expressions qu’elle employait jadis.
Fouetté sexuellement par le nouveau langage de sa partenaire, Guillaume entama alors cette danse amoureuse aussi vieille que le monde. Dans un déhanchement rythmé, il fit coulisser sa queue entre les replis vulvaires de la sexagénaire gémissante. En amant consommé, il sut accélérer progressivement ses va-et-vient, déclenchant des gémissements de plus en plus prononcés chez Rose.
Le silence de la pièce fut bientôt troublé par les plaintes de plus en plus prolongées sexuelles de Rose. Chaque pénétration du dard masculin au plus profond de son vagin lui arrachait un râle de bonheur. Le va-et-vient de la bite dans sa chatte en émoi, éveillait en elle des sensations qu’elle avait depuis longtemps oubliées. Avec émotion, elle retrouvait ce plaisir d’être fouillée par une queue masculine, d’être pistonnée profondément : plaisir qu’elle ne pensait plus jamais ressentir.
Avec émotion, elle songea que c’était le fils de Paul, son amant d’antan, qui trente ans plus tard l’amenait à la jouissance, comme savait si bien le faire son père à l’époque. Cette pensée déclencha en elle un accès de désir qui lui embrasa soudainement les entrailles. Sous ce plaisir qui lui envahissait inéluctablement le bas-ventre, Rose se libéra du carcan respectable qu’elle s’était forgé au fil de ces années de veuvage. Sous une vague de volupté soudaine, et plus intense que les précédentes, ses dernières défenses se brisèrent. Se cambrant davantage, pour sentir le bout dilaté de la verge, l’atteindre plus profondément encore, elle lança son premier cri de femme amoureuse :
— Plus vite, rugit-elle… Encore… encore… Oui, c’est trop bon !…
Sous les injections sexuelles de sa partenaire, qui dénotaient un accès d’exaltation, Guillaume lui crocheta solidement la taille, avant d’accélérer ses coups de boutoir dans le vagin bouillonnant. Son bas-ventre claquait frénétiquement contre la croupe tendue par la position, qui, malgré le rempart de l’extravagante culotte, commençait à rosir. Rose, jusque-là si discrète, devenait une véritable femelle en rut. Le corps cambré, la tête rejetée en arrière, elle émettait des encouragements grivois, étonnant dans la bouche d’une ancienne institutrice, si réservée à l’époque.
Soudain, alors qu’il pistonnait allègrement le sexe féminin ruisselant d’un liquide extrêmement chaud, Guillaume sentit Rose se convulser. Une longue plainte s’échappa de ses lèvres ; plainte d’une femelle comblée sexuellement. Comprenant que la sexagénaire venait enfin d’atteindre cet orgasme qu’elle n’avait certainement plus connu depuis longtemps, Guillaume s’immobilisa, la verge entièrement plantée dans la chatte devenue soudainement brûlante.
Alors qu’immobile, il contemplait son amante transfigurée par la jouissance, Guillaume perçut une étrange succion au bout de sa queue. Se concentrant sur cette bizarre sensation, il lui sembla que le vagin qui enveloppait l’extrémité de sa verge se contractait pour aussitôt se relâcher, puis de nouveau se resserrer. C’était comme si le sexe féminin, doté d’une vie propre, pompait son gland pour le forcer à décharger sa semence. Jamais, lors des rapports sexuels qu’il avait avec sa femme, cette dernière ne lui avait palpé le gland de cette façon. C’était comme si Rose le masturbait à l’aide de ses muscles intimes.
Trouvant cette caresse étrange extrêmement voluptueuse, Guillaume demeura immobile, appréciant de se faire pomper la verge par le vagin féminin. Mais cet attouchement insolite qui lui procurait ce savoureux plaisir s’estompa rapidement. Le vagin exacerbé ayant retrouvé son calme, Guillaume n’en demeura pas moins fiché dans la chatte débordant d’un jus brûlant, alors que Rose, isolée dans une sphère de sensations voluptueuses, ne cessait de répéter :
— Je suis bien… C’était merveilleux…
Profitant de l’état de léthargie dans laquelle la jouissance avait plongé sa partenaire, Guillaume s’empressa de déboutonner la robe en jeans, pressé de contempler cette poitrine qui l’avait tant fait fantasmer dans sa jeunesse.
Malgré la torpeur qui l’avait gagné après son intense et extraordinaire jouissance, Rose eut conscience que son jeune amant déboutonnait sa robe. Mais le vagin encore palpitant autour de la queue qui l’emplissait toujours, elle n’eut pas la volonté de l’en empêcher. Au contraire, elle ressentit le pernicieux désir de sentir les mains masculines presser ses seins. Dans un murmure, elle réussit à murmurer :
— Chéri ! Qu’est-ce que tu fais ?
Ne tenant pas compte des défenses bien faibles de la sexagénaire, Guillaume écarta la robe déboutonnée. Le spectacle qu’il découvrit le désappointa. Quelques instants auparavant, il avait déjà été stupéfait en découvrant le type de culotte que portait son ancienne institutrice, mais le soutien-gorge qu’il voyait ne correspondait pas du tout à ce qu’il s’imaginait. Ce sous-vêtement qui maintenait la lourde poitrine ressemblait plutôt à une large brassière, recouvrant une bonne partie du torse féminin. Autant la culotte dans sa spécificité était très érotique, autant ce bustier n’avait rien de sexy.
Cependant, un détail attira le regard de Guillaume : ce vêtement, contrairement à un soutien-gorge, s’attachait sur le devant par une série d’agrafes. Aussi, profitant de l’immobilité de Rose toujours en pâmoisons, il s’empressa de dégager les attaches afin de dénuder cette poitrine tant désirée.
— Ho, non, chéri… Il ne faut pas, fut la seule réaction négative que Rose réussit à émettre, avec si peu de conviction, que Guillaume écarta vivement les deux côtés du vêtement faisant office de soutien-gorge.
Les deux seins dont il avait si souvent rêvé étant adolescent lui apparurent enfin. A l’inverse de ce qu’il appréhendait, ceux-ci lui apparurent encore très désirables. Certes, ils ne possédaient plus leurs fermetés ni leurs arrogances d’antan, mais leurs volumes importants compensaient les offenses dues à l’âge. Les deux masses mammaires, du fait de la position couchée de leur propriétaire, s’étalaient mollement de chaque côté du torse féminin, tel deux flans onctueux. Ne pouvant contenir plus longtemps le désir qu’il avait de tâter ces deux rondeurs qui l’avaient fait si souvent rêver du temps de son adolescence, Guillaume s’en saisit à pleines mains. Avec une intense émotion, il entreprit de les presser tendrement, les rapprochant l’un de l’autre, les réunissant, tels qu’ils devaient être du temps de leurs jeunesses. Les maintenant resserrés l’un contre l’autre, Guillaume entreprit alors d’exciter les tétons qui émergeaient au centre de leurs aréoles brunes. De ses pouces, il les frictionna longuement jusqu’à ceux-ci se redressent, telles deux petites bites.
Sous les ondes voluptueuses qui depuis ses seins se propageaient dans son bas-ventre, Rose retrouva sa lucidité. Découvrant son jeune amant penché sur sa poitrine, lui titillant les tétons, un immense sentiment de bonheur l’envahit. Et dans le même temps, elle prit conscience du membre masculin toujours planté dans son vagin. Agrippant son jeune amant qui venait de la faire jouir d’une manière exceptionnelle, par les cheveux, elle l’attira contre ses seins aux aréoles dilatées par le plaisir :
— Embrasse-les, gémit-elle…
Le visage plaqué contre l’une des larges aréoles brunes, Guillaume n’eut qu’à ouvrir la bouche pour aspirer le téton qui s’érigeait en son centre. Tel un nourrisson affamé, il entreprit de téter son amante, aspirant fortement tout le mamelon avec un réel plaisir. La bouche emplie par l’extrémité du sein, il saisit le téton entre ses dents, le mordillant délicatement. Au sursaut soudain qui fit se cambrer Rose sur la table, Guillaume sut qu’il venait d’accéder à un endroit particulièrement érogène de la sexagénaire. Ainsi encouragé, il continua de mordre l’excroissance fortement érigée. Chaque pincement un peu plus appuyé arrachait un râle de plaisir chez sa bienheureuse victime. Comme il persistait à téter le mamelon gonflé, éprouvant un réel plaisir à ouïr les gémissements de sa victime, celle-ci lui empoignant la tête, le repoussa, l’obligeant à abandonner sa succion.
— L’autre aussi, gémit-elle d’une voix plaintive… Il est jaloux…
Comme Rose le maintenant par les cheveux le força à appuyer sa bouche sur le deuxième sein laissé pour compte, Guillaume s’empressa d’aspirer l’auréole qui se présentait. Mais, ne voulant pas que le téton qu’il venait d’abandonner perde de son excitation, il le pinça entre le pouce et l’index le vrillant sur lui-même.
Mordillant le téton gauche, pinçant le droit, Guillaume s’ingénia à stimuler les deux excroissances de chair déjà fortement excitées. Les soubresauts de Rose se firent de plus en plus désordonnés, tandis que les râles qu’elle émettait se faisaient plus ardents.
Le corps traversé par des vagues sensuelles de plus en plus obsédantes, le bout des seins exacerbés par les différents attouchements dont ils étaient l’objet, Rose sentit le désir renaître au plus profond de son sexe dilaté par la queue qui l’obstruait. Le corps de son jeune amant allongé sur le sien, l’empêchait de tenter le moindre mouvement qui lui aurait permis de faire coulisser sa chatte le long de ce pal qui la clouait à même la table.
Mais le désir devenant de plus en plus intense à l’intérieur de son bas-ventre obligea Rose à trouver un remède à ses lancinantes envies. Se concentrant, dans un effort de volonté, elle força les muscles de son vagin à se contracter autour du gland qui le dilatait, pour immédiatement relâcher la pression. Pendant quelques minutes, elle réitéra ce type de caresse, forçant son vagin à presser et libérer la verge qui la pénétrait ; pression-relâchement, pression-relâchement, avec toujours le même rythme. Il y avait longtemps qu’elle n’avait pas exécuté ce genre de cajolerie vaginale, mais, elle constata, heureuse que ses muscles intimes répondaient toujours à ses injonctions. Elle se souvint avec émotion que c’était le père de ce jeune homme qui lui triturait les seins qui l’avait initié à ce type d’étreinte vaginale. La vie avait parfois d’étranges coïncidences.
Ressentant de nouveau cette étrange pression s’exercer autour de son gland toujours enfouit aux tréfonds du sexe de sa partenaire, Guillaume cessa aussitôt ces attouchements mammaires. Cette sensation d’être massé par le vagin dans lequel il était plongé lui procurait un sublime plaisir. Durant quelques minutes, il s’abandonna à cette affriolante caresse ; l’effet sur ses sens attisés était si prodigieux qu’il se laissa doucement glisser vers un bien être voluptueux.
Tout en poursuivant sa sensuelle masturbation vaginale, Rose dévisagea son jeune partenaire, curieuse d’y découvrir les effets des palpations de ses muscles intimes. A voir le sourire comblé qui illuminait le visage de ce dernier, elle comprit qu’il appréciait vraiment ce qu’elle faisait subir à sa bite. Aussi décida-t-elle de profiter de l’état d’excitation dans lequel il se trouvait pour tenter de l’amener à lui faire l’amour :
— C’est bon, mon chéri, questionna-t-elle, coquine ?… Tu aimes ?
— Huummm… C’est divin, s’exprima Guillaume… Comment fais-tu ça ?
— C’est mon secret… As-tu déjà connu ce genre de caresse ?
— Non, jamais… C’est vraiment merveilleux…
Amusée, elle songea qu’il serait bien étonné, si elle lui avouait que c’était son père qui l’avait initié à pratiquer ce type de masturbation. Dans un effort supplémentaire, elle força ses muscles intimes à presser plus fortement le gland qu’ils enserraient.
— Et comme ça, lança-t-elle, c’est meilleur ?
— Ho oui…
Jugeant au ton avec lequel Guillaume lui avait répondu qu’il était suffisamment échauffé, elle osa alors lui quémander :
— Baise-moi !… J’ai trop envie de ta queue… Je veux la sentir dans ma chatte…
Rose formula sa demande dans ce langage lubrique, que Guillaume semblait aimer entendre lors de ses rapports sexuels, espérant que cela l’exciterait suffisamment pour qu’il accepte sa requête. Aussi, lorsque celui-ci se redressa, la libérant de son poids, Rose éprouva un immense bonheur ; son jeune amant allait de nouveau lui pistonner le vagin et lui faire connaître de nouveau cette merveilleuse jouissance dont elle avait été privée depuis si longtemps.
Contrairement à ce qu’espérait Rose, si Guillaume s’était relevé, c’était surtout pour échapper à ce vagin suceur qui l’aurait irrémédiablement amené à éjaculer. Or, ce n’était pas ce qu’il désirait. Retirant sa verge gonflée à l’extrême, du sexe féminin par trop gourmand, et désirant continuer cet intermède sexuel différemment, Guillaume força sa partenaire haletante à quitter sa position allongée.
Debout face à son jeune amant qui l’avait fait jouir avec une réelle intensité, Rose fixa avec adoration le membre viril qui venait de la combler et qui se dressait toujours aussi orgueilleusement. Le prenant en main, elle demanda tendrement :
— Pourquoi tu n’as pas joui ?… J’aurais tant aimé recevoir ta semence en moi… Sentir ton sperme gicler au fond de mon ventre…
— Rassure-toi, lui sourit Guillaume. Ce n’est que partie remise…
— C’est vrai ? S’enthousiasma Rose, en s’accrochant des deux bras à son cou.
Avant que Guillaume ait pu faire un geste, il se retrouva bâillonné par les lèvres humides de la sexagénaire, qui fiévreusement lui viola la bouche de sa langue. De nouveau, un long baiser plein de passion réunit les deux amants, Rose collant étroitement son pubis contre la queue raidie de son jeune amant.
Tout en tentant de répondre au fougueux baiser de sa maîtresse, Guillaume empoigna les amples fesses sanglées dans l’extravagante culotte, pour les malaxer avec griserie. Le déhanchement de Rose se fit aussitôt plus accentuer contre sa queue, lui prouvant que la sexagénaire approuvait ses caresses. Mais suivant son idée première, Guillaume repoussa sa sensuelle complice, mettant fin au long baiser, pourtant délicieux.
— Oh, pourquoi, gémit Rose déçue.
Se rendant compte que du fait de sa position debout, ses gros seins, privés de leur soutien, s’affaissaient lourdement sur son torse, Rose s’empressa de glisser ses mains par en dessous pour les remonter et leur donner un certain attrait. Surtout ne pas montrer à son jeune amant les effets néfastes dus à l’âge et qui pourraient faire retomber l’excitation qui le maintenait en érection.
Ne se doutant pas du malaise qui perturbait son ancienne institutrice, Guillaume prit place dans le fauteuil que cette dernière avait quitté quelques instants plus tôt. Ainsi installé, la queue brandie tel un menhir gaélique il l’attira à lui, la forçant à s’asseoir sur ses genoux.
— Assieds-toi sur ma queue, décida-t-il.
Heureuse de se soumettre aux désirs de son jeune amant, Rose s’installa, jambes largement écartées, dans la position appropriée pour une pénétration assise. Le cœur battant d’une joie immense à la pensée d’être à nouveau pénétrée par ce merveilleux sexe masculin tant désiré, elle glissa sa main entre ses cuisses pour s’en saisir. Maintenant fermement la bite raidie en position verticale, elle la plaça correctement à la jointure des grandes lèvres de sa vulve palpitante. Après quelques secondes d’immobilité à apprécier ce contact sensuel, elle se laissa tomber de tout son poids, s’empalant brutalement sur le membre viril. Un petit cri lui échappa lorsque le gland dilaté lui frappa le col de l’utérus. Cette nouvelle position permettait au sexe masculin de s’enfoncer plus profondément dans son vagin.
S’accrochant alors aux épaules de son jeune amant, Rose, les reins cambrés, entama sa chevauchée sexuelle, d’abord lentement afin de sentir l’extrémité du gland venir s’écraser contre son utérus. Chaque choc lui procurait une onde de plaisir, lui arrachant un gémissement. La sensation qu’elle ressentait lors de ces heurts était nouvelle par rapport aux précédentes pénétrations. La position que Guillaume l’avait obligé de prendre permettait à sa verge de lui ramoner les moindres recoins de son vagin.
Ne se doutant pas des ravages que produisait sa queue dans l’esprit de la sexagénaire, Guillaume, confortablement installé dans le profond fauteuil, laissa sa partenaire agir à sa manière. Se concentrant sur le plaisir que lui occasionnait le va-et-vient voluptueux du sexe féminin brûlant le long de sa queue, il fixa les lourdes mamelles qui ballotaient à quelques centimètres de son visage. Libérant les hanches rebondies qu’il maintenait, il se saisit des deux seins, que la folle chevauchée sexuelle faisait tressauter lourdement. Refermant ses doigts autour des lourdes mamelles, il les pressa avec fièvre.
Alors que sa partenaire, tête rejetée en arrière, s’activait avec frénésie sur sa bite, lui trempant les couilles de sa liqueur vaginale, Guillaume entama un sensuel massage des masses mammaires. Saisissant les gros seins par-dessous, à la jointure avec le thorax, il remonta ses mains jusqu’aux auréoles gonflées par le plaisir. De ses pouces, il excita les tétons déjà fortement érigés, les titillant de ses pouces. Sous cet attouchement mammaire, Rose se cambra brusquement, offrant généreusement sa poitrine aux attouchements.
En plus des gémissements entrecoupés de râles de plus en plus prononcés de Rose, un bruit ressemblant à un clapotis s’éleva de la chatte pistonnée, excitant les deux protagonistes.
— Je suis trempée, réussit à murmurer Rose entre deux gémissements…
Guillaume dont les couilles étaient aspergées par un liquide brûlant ne put qu’acquiescer :
— Ce n’est pas croyable !… C’est un véritable déluge… Tu vas devoir changer ton fauteuil, j’ai les fesses trempées.
— C’est de ta faute, répliqua Rose, dans un murmure… C’est trop bon, ta queue au fond de ma chatte… Jamais je n’ai été baisé si profond… Hhhooo, oui… Je suis bien… Oui… Hhhooo…
Prise d’un délire sexuel intense, Rose se saisit des mains de son partenaire qui pressaient ses seins pour les forcer à rapprocher ses lourdes mamelles l’une contre l’autre. Haletante, elle quémanda d’une voix suppliante et dans ce langage érotique qu’elle avait retrouvé :
— Tête-moi… Bouffe-moi, le bout des seins…
Devant une demande si explicite, Guillaume ne put refuser, d’autant plus que Rose, dans sa folie érotique, lui avait collé l’un de ses tétons contre les lèvres. C’est avec un réel plaisir qu’il accepta cette offrande. En amant parfait, il aspira la totalité du large mamelon boursouflé, qu’il massa de ses lèvres, avant de pincer le téton entre ses dents.
Sous la morsure de son téton, Rose lança un petit cri où se mêlaient surprise et plaisir.
— Ho, oui… Encore…
Guillaume comprit que la sexagénaire, comme beaucoup de femmes, était particulièrement sensible aux mordillements de ses bourgeons mammaires. Aussi, les mains crochetées dans les hanches de sa cavalière, il continua à mâchonner les tétons, passant d’un sein à l’autre.
Grognant des encouragements, dans un langage imagé, Rose accentua sa chevauchée se démenant passionnément sur les genoux de son jeune partenaire s’empalant avec frénésie sur la bite qui l’embrochait. De sa chatte forée en profondeur, des jets de cyprine jaillissaient à chaque remontée de son bassin, aspergeant copieusement le bas-ventre et les couilles de son compagnon.
Sentant l’orgasme sur le point de l’envoyer dans les sphères de la volupté, Rose tint à en avertir son amant :
— Oh oui !… Ça vient, mon chéri… C’est extraordinaire… Oui…
Mais lors d’un mouvement un peu plus brusque qu’elle fit, Rose, la bite de son partenaire, malgré sa longueur étonnante, s’échappa de la chatte abondamment lubrifiée par les rejets de cyprine.
— Oh non ! S’exclama Rose contrariée.
Désirant retrouver cet instant magique qui allait la propulser vers ce septième ciel, vers ce lieu paradisiaque où plus rien n’existe, que le bien-être subliminal, Rose s’empressa de glisser sa main dans son dos. Saisissant le sexe masculin gluant de mouille grasse, elle le fit glisser le long de sa raie des fesses en direction de sa chatte palpitante d’un désir impatient.
Guillaume laissa la sexagénaire tenter de réinstaller sa queue dans sa chatte, tout en continuant d’exciter les tétons aussi raides que deux petites bites, en les mordillant à tour de rôle.
Comme Rose, impatiente, guidait le membre masculin en direction de son sexe ruisselant, l’extrémité dilatée du bourgeon de chair vint frôler son anus. A ce contact, une sensation étrange la saisit, lui procurant un frisson délicieux. Une pensée soudaine lui traversa l’esprit. Son cul pourrait-il accepter l’introduction du membre viril qu’elle tenait en main, comme il avait accepté celui de Paul, au temps où elle avait été sa maîtresse ? C’était en fait ce dernier qui l’avait initié à la sodomie, son mari ne lui ayant jamais proposé ce genre d’introduction.
Décidée de tenter l’expérience, Rose positionna la bite de son jeune amant face à son orifice anal et relâchant ses sphincters, elle appuya son anus sur le gland dilaté. Son orifice anal s’ouvrit d’abord légèrement, sans plus. Déçue, elle appuya plus fortement, forçant ses muscles à se relâcher. Soudainement, alors qu’elle commençait à désespérer d’arriver à ses fins, son anus, abondamment trempé par les rejets de cyprine, céda à la poussée du gland, lui-même bien lubrifié. Une fois que l’extrémité de la queue eut passé la corolle étoilée de l’anus, arrachant à Rose un cri où se mêlaient douleur et plaisir, le reste du membre viril s’enfonça dans les intestins de la sexagénaire ravie. Profondément empalée sur le pieu de chair de son jeune partenaire, Rose s’immobilisa, afin de s’habituer la colossale pénétration.
Surpris par la soudaine immobilité de sa partenaire, si ardente quelques minutes auparavant, Guillaume l’interpella :
— Alors ?… Fatiguée ?…
— Pas du tout !… Je me suis trompé de trou, tenta de plaisanter Rose… J’ai ta queue dans le cul… Humm…
Guillaume comprit alors pourquoi il lui avait semblé que sa verge était étonnamment comprimée. Voulant s’en rendre compte par lui-même, il glissa une main entre les cuisses de Rose, radieuse. Ses doigts trouvèrent instantanément la vulve accessible et abondamment trempée. Il n’y avait aucun doute, sa queue ne se trouvait pas à l’intérieur de cet orifice. Emoustillé, à savoir sa verge dans le cul de la sexagénaire, Guillaume ne put s’empêcher de s’exprimer dans ce langage particulièrement grivois qui l’excitait tant :
— Tu aimes avoir une queue dans le cul ?
— Oh oui !… Il y a si longtemps…
Comme Rose commençait à agiter lentement ses hanches, se réaccoutument à avoir un membre masculin coulisser entre ses fesses, Guillaume entreprit de lui stimuler le clitoris.
— Oh, oui, s’exclama Rose, soudainement envahi par une bouffée de chaleur.
Alors commença pour Rose une époustouflante sodomie. Agrippée aux épaules de son jeune amant, elle agita sa croupe dans une cavalcade effrénée. Son cul dilaté coulissait le long du membre viril, comme aux plus beaux jours de sa jeunesse. Mais au vu de l’état d’excitation qui était le sien, elle ne tarda pas à ressentir ces ondes dévastatrices, prélude à la jouissance. Sous ce plaisir qu’elle retrouvait enfin, elle tint à en faire part à amant :
— Oh, comme c’est bon… J’avais oublié ce plaisir que l’on ressent à avoir une queue dans le cul… Oui, branle-moi le clito… C’est merveilleux… Oui, oh oui… je vais partir… Oui… Rrrhhaaa !
Soudainement tétanisée, Rose s’immobilisa, le corps arqué, emportée par un orgasme fulgurant. Victime de la jouissance de la sexagénaire, Guillaume s’abandonna à son tour au plaisir, aspergeant copieusement les intestins de Rose de son sperme…..
A suivre…
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