Il a fallu que ce petit endroit gourmet ouvre juste en face chez moi. Peu de tables à l’intérieur, une terrasse sympa aux beaux jours. Une cuisine à base de tourtes et tartes, le tout fait maison, y compris confitures et douceurs.
A l’accueil, au service, aux fourneaux, une petite dame, propre sur elle, habillée bon chic, bon goût, bourge discret. Jolie, taille moyenne, frisottée, blondinette agrémentée de mèches blond plus. La trentaine dépassée et avec çà gracieuse, souriante. Elle parle doucement de façon à entretenir une discrète ambiance dans l’établissement. C’est bon, varié, agréable et surtout pratique pour moi. De plus cette restauration attire de nombreuses, jeunes et jolies femmes qui bossent dans le coin, au point que, c’est souvent plein. Je prends donc l’habitude de venir en fin de service. Finalement cet endroit devient ma cantine, sauf son jour de relâche. Voilà sans doute environ un semestre que je fréquente les lieux et la charmante, que nous avons sympathisé, qu’elle m’a vu venir avec plusieurs copines. Les mauvais jours arrivent, la terrasse n’est plus. A force de venir en fin de service elle a prit l’habitude de manger à ma table lorsque les derniers clients sont parti. Il se crée une sorte de copinage, de sympathique relationnel qui l’a poussé à se raconter. Son mari, riche paysan, belle maison, meublée décorée par ses soins, deux enfants en fin de scolarité, le bonheur. Mais elle s’emmerde, à fait financer son salon de thé par son homme et désormais elle revit.
J’adore les femmes, donc je ne supporte pas les voir tristounettes, je les fais rire, bien sûr, donc elles me trouvent sympa…etc. Et ça marche souvent. Cela permet quelques privautés, caresser une main, un avant bras, une sorte de mise en confiance. Seulement il faut faire très attention, il y a un danger potentiel. Tu risque tomber en amour, devenir con, casser des ménages, des familles. Faut pas le faire. Pose toi les bonnes questions, es tu vraiment amoureux, peut être t’aimes tu toi même ? Aimes tu, peut être juste le sentiment amoureux, tu aimes aimer ? Il est vrai que c’est agréable, le romantisme sommeille en nous, c’est culturel.
Penses aussi que c’est symétrique que les donzelles mariées ou pas, on toujours une petite fleur au fond de leur cœur. Si tu la joue trop bien tu arrose la petite fleur et la petite dame risque de tomber amoureuse. Bref, c’est comme ça que les embrouilles commencent, on croit toujours que la soupe est meilleure ailleurs jusqu’au jour ou tu vois que finalement on te sert toujours la même. A cause de ces bêtises 50% des couples se séparent ou divorcent.
Voilà, tu caresse le main l’avant bras et d’un coup elle penche la tête sur ton épaule et te dit «avec toi c’est pas pareil, qu’es-ce-que je suis bien.».Là mec, t’es dans la merde. Comme je t’ai dit, faut pas plonger. Sur le coup j’ai pris la petite dame par la main l’ai amené à l’abri des regards au fond de la cuisine, lui ai roulé la galoche du siècle, a lui couper le souffle, mes mains partout sur son corps puis sous ses fringues. Étonnée par cet assaut elle se laisse cependant aller au délice des caresses sur sa chair qui en était très à jeun murmurant parfois « j’espère que personne ne va rentrer » Ce que je prends bien sur pour un encouragement. Mes doigts sont déjà dans son intimité, et comme il est prudent de faire vite je les remplace par une intrusion rapide de mon sexe. La surprise, les circonstances, le manque font que l’explosion est rapide. Une rapide remise en forme des vêtements, je lui fais un baiser sur le front lui souffle que je reviens demain.
Le lendemain, elle s’installe à ma table comme d’habitude et je branche immédiatement la conversation sur les bienfaits du sexe, des rapports à l’arrache…etc… En évitant prudemment la romance. Dans ces conditions si cette jolie bourgeoise veut remettre ça je suis à sa dispose.
Eh bien oui elle veut remettre çà, mais il y a eu un problème de planning. Elle a tellement donné l’habitude à son mari et à sa famille d’être toujours là qu’elle doit inventer une connerie quelconque.
Eh bien, elle a trouvé la connerie qui lui permettra de se libérer le jour de fermeture su salon de thé entre midi et deux, et ce sera chez moi pour plus de discrétion. C’est ainsi qu’une fois par semaine elle débarque chez moi, avec des boites étanches remplies de nourriture confectionnée par ses soins. C’est sympa, on mange, on fait l’amour, on mange, on fais l’amour pendant deux heures une fois par semaine. Ça commence un peu à faire pépère mais c’est bien agréable. Elle est jolie, enjouée ne prend rien au sérieux, comme une partie de ping-pong où l’on ne compte pas les points, la peau est douce, lisse, super lisse même au point que je me demande si c’est vraiment naturel ou bien issu d’un cabinet d’esthétique. Non, c’est naturel. Les seins sont petits, bien ronds, la taille peu marquée, le pétard au format minimum, un peu garçon tout ça, mais j’y trouve beaucoup de plaisir. Elle est aussi gourmande de sexe que moi, nous nous entendons bien. Mais subitement le mari ordonne, sans raison apparente la vente du salon de thé. L’histoire s’arrêtera là et c’est très bien.
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