Nous devenons un couple presque normal
Ma belle-mère Béatrice, âgée de 71 ans, prend plus de liberté avec son mari. Elle profite qu’il soit moins actif qu’elle car encore plus âgé et replié sur son intérieur et sa télé pour continuer progressivement à s’émanciper. Béatrice prétend passer de temps à autres des nuits chez ma belle-soeur ou mon ex-femme pour les aider, car ma belle-soeur est divorcée et je suis séparé d’Anne, mon ex-femme (sans procédure de divorce).
En réalité, Béatrice vient passer la plupart de ses nuits hors son domicile chez moi. Au cas où son mari l’appelle, elle répond par son portable, et ce petit jeu est quasiment sans risque car il ignore quand exactement sa femme vient chez les uns ou les autres.
Je suis toujours heureux de préparer son dîner, de papoter, lui faire l’amour parfois et d’enlacer son petit corps chéri dans mon grand lit. La situation est incroyable: je faisais lit à part avec ma femme, et voila que je fais lit commun avec ma belle-mère. Je continue de m’occuper de son linge, sa lingerie, et d’enfiler chaque matin la culotte et parfois le string que Béatrice a porté la veille. Comme je pars tôt travailler les jours de semaine, elle continue de dormir quand je la quitte le matin et vaque dans mon studio plus tard avant de rejoindre sa maison située quasiment en face.
Etant totalement soumis – pas seulement sexuellement – à ma belle-mère qui a un caractère bien trempé, je continue de la laisser décider de tout. C’est bien simple, ma Déesse a accès à mon compte bancaire, elle possède une carte de débit, et je lui laisse gérer ses dépenses depuis mon compte. Elle n’a pas besoin d’argent car son mari a une retraite confortable, mais mon abandon volontaire à Elle pour tout me comble.
Je lui demande de régler toutes ses fringues, ses produits de toilettes, des bijoux avec mon compte. Je veux la gâter, elle en profite et j’aime cela tant que je ne suis pas en négatif.
Une marque indélébile
Un jour où nous regardons une émission de télé-réalité, nous y voyons une fille portant des tatouages. Une conversation s’engage entre nous:
– Jean, cela fait un moment que j’y pense, pourquoi ne te ferais-tu pas tatouer ?
– Pardon? ce n’est pas du tout mon genre. Je n’y ai jamais pensé, et je ne vois pas ce que je pourrais choisir comme dessin. Vraiment, je ne suis pas du tout intéressé. De plus ça doit faire mal. Pourquoi voudriez-Vous que je me fasse tatouer ?
– En fait, je pensais à un petit texte plutôt qu’un dessin. Quelques mots qui diraient ton amour pour moi.
– Oui je serais toujours heureux de Vous prouver mon amour total pour Vous, mais que diraient ces mots? où serait ce tatouage? et Vous, feriez-vous la même chose? (je suis interloqué par cette idée, mais je veux plaire à ma Maitresse à tout prix).
– Je verrais bien un message comme « A ma belle-mère adorée » (me dit-elle de sa petite voix aigue en souriant), ou bien « à Béatrice mon amour ». Moi, je ne veux pas de tatouage, c’est mon idée pour toi exclusivement. Je veux un engagement indélébile de toi.
– Que diriez-Vous de « Soumis à ma belle-mère adorée » ?
– C’est bien mais il faut alors que ce message soit dans un endroit discret. Que dirais-tu de tes petites fesses ? ainsi tu pourras aller à la piscine, mais tu ne pourras pas avoir d’autre femme que moi tant que je serai là. Car tu comprends bien qu’aucune femme voyant ce tatouage et les vidéos dégueulasses que j’ai de toi ne voudrait une liaison avec toi.
– Bien sur Béatrice. J’ai bien compris l’intention. Vous voulez m’enchaîner à Vous par des liens que j’accepte car je Vous aime à la folie. Je suis heureux avec Vous comme jamais.
Elle gère ma libido
Comme nous devenons progressivement un petit couple, il m’arrive maintenant d’avoir envie d’une relation normale, plus calme que lorsque nous nous voyions en douce et que mon désir d’elle était explosif. Bref, notre relation a tendance à se banaliser et je n’ai parfois plus envie de scènes torrides de soumission, de gestes salaces exacerbés par notre désir sexuel. Je continue nos rituels de lingerie et tous nos gestes tendres. Mais il m’arrive de moins bander et cela ne plait pas à ma belle-mère car je comprends qu’elle interprète cela comme un risque que je me détache d’elle à terme.
Dans ces périodes là, suite à des discussions sur l’entretien de notre flamme, car nous nous confions tout, nous avons mis au point une méthode qui marche. Béatrice me demande alors de porter ma cage de chasteté le soir et la nuit, qu’elle soit là ou pas. Au bout de quelques jours d’abstinence totale, elle me demande des caresses, des gestes, des mots érotiques, d’affection, d’amour de de dévotion. Cela est infaillible: ne pas éjaculer pendant plus de 5 jours finit par me « porter sur le système » et je retrouve alors tout mon désir et ma passion pour elle, parfois pour une longue période.
Un jour où je me languis d’elle après une semaine de chasteté, je la retrouve chez moi en petits talons, bas auto-fixant noirs, en petite culotte noire et soutien-gorge seins-nus. Elle me demande d’aller me déshabiller, de poser ma cage et d’introduire un de nos plugs dans mon anus. Quand je suis prêt, elle m’embrasse puis pince mes tétons avec deux pinces à linge rouges. Elle sait que ces pinces sont plus douloureuses que les pinces à chaînette faites pour les jeux érotiques, mais je finis par oublier la douleur.
Béatrice s’assied sur mon fauteuil, les jambes écartées. Elle pousse sur le coté l’entrejambe de sa culotte et je comprends qu’elle attend ma bouche. A genoux, je lui prodigue toutes les caresse qu’elle attend de mes lèvres et de ma bouche sur sa chatte poivre et sel. Elle a préparé sa petite caméra et filme le bas de son ventre et moi en gros plan. Je sais qu’elle pourra utiliser cela si je la quitte.
Mon désir d’elle est soudain et violent. Ma cage me fait mal mais cette douleur est sublime. Je sens le plug dans mon cul et les pinces. Oui je l’aime et la désire, c’est si bon de retrouver une passion d’elle exacerbée… je fonds littéralement, un filet de liquide visqueux coule de la petite fente de la cage où mon gland est congestionné. Je lui pince délicatement ses tétons et caresse son corps tandis que ma bouche est collée à sa vulve.
Ma belle-mère jouit plusieurs fois.
Enfin, elle m’écarte de sa chatte et m’autorise de retirer ma cage. Mon sexe endolori se déploit en quelques secondes. Je suis fou de désir. Elle retire sa culotte, décolle son protège-slip sale qu’elle pose par terre, et me demande de le lécher à 4 pattes tandis qu’elle me filme sous toutes le coutures. Je suis humilié dans cette position mais je le fais de bonne grâce.
Enfin, elle pose la caméra, se met à quatre pattes sur notre lit et je peux enfin m’introduire en elle dans notre position favorite. En quelques minutes de va-et-vient, j’explose enfin de jouissance dans sa tendre chatte. Comme souvent, je dois ensuite m’allonger et elle vient poser son entrejambe sur ma bouche quelques instants. Je la nettoie. Nous sommes repartis pour une période de désir et d’abandon torride.
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