Histoires de baise Histoires de sexe en groupe Histoires gays

Mûres20/Edna,76 ans, ne suce pas

Mûres20/Edna,76 ans, ne suce pas



Une femme qui serait très ouverte pour du sexe sans tabou, c’est Edna
-La petite dame toute frêle, très âgée, qui était chiropraticienne?
-Je ne peux le confier qu’à toi, me dit cet ami, maître d’école fraîchement retraité, qui pratique régulièrement l’échangisme avec sa copine, et qui m’a montré plein de sites érotiques.
Edna est une douce et discrète vieille dame qui habite dans un petit studio. J’avais accompagné mon ami qui devait lui remettre quelque chose, et cette dame nous avait servi un café dans de jolies tasses peintes, servies sur une table couverte de napperons en dentelle. Elle-même semblait en dentelle. Elle était versée dans les médecines parallèles, et pratiquait encore à l’occasion quelques séances de massages d’un genre tout à fait sérieux, pour quelques rares connaissances.
Sa voix était douce, posée. Elle semblait cultivée. Sa corpulence était mince, ses cheveux blancs coiffés de manière discrète, mais avec une touche de féminité. Ses yeux gris exprimaient le calme et la patience.
Je me plaignais avec mon ami de la difficulté que nous rencontrions à trouver de vraies occasions de nous dévergonder en privé, de vivre des moments d’échangisme, de candaulisme, de trouver des lectrices de textes pornos pour nous exciter.
Je ne m’attendais pas à ce qu’il qualifiât cette dame de femme libérée, cette gentille grand-mère au léger accent hongrois, qui semblait se nourrir de biscottes, de petites graines, ne boire que du thé et se purifier d’huiles essentielles.
D’après lui, elle prodiguait des massages extraordinaires.
Sous le sceau du secret le plus absolu (il était en instance de divorce), il m’avoua que les mains de cette dame lui avaient plusieurs fois procuré de très agréables sensations, et pour nommer les choses clairement, d’excellentes branlettes.
Edna se plaignait elle-même de l’incompréhension et du secret qui entourait l’érotisme du troisième âge, et que les hommes ne la regardaient plus avec désir. Mon ami prétendait qu’elle aimait le sexe, mais ne pouvait se laisser aller d’aucune façon, si ce n’est par la complicité malgré tout amicale, quoique sexuelle, avec cet homme quinze ans plus jeune qu’elle.
-Et si tu lui parlais avec tact, toujours sous le sceau du secret, penses-tu qu’elle serait intéressée par moi? demandai-je.
Mon ami fut un instant surpris. Pour le coup, on naviguait encore plus loin des rives de la convention, puisque j’avais 23 ou 24 ans à l’époque, et la dame facilement 75, si ce n’est pas plus.
-Ce n’est pas sûr, mais je vais lui demander. Elle sera peut-être ravie, mais n’aurait même pas osé imaginer que cela pouvait t’intéresser.
Je le suppliai d’intercéder en ma faveur.
Je ne désirais soudain rien tant que de confier ma bite aux mains de la gentille dame silencieuse et douce, et de lâcher mon sperme avec une force a****le au cours d’un massage dans l’atmosphère feutrée de ce petit studio, qui se révélait être un cocon de vice tranquillement assumé.
Le lendemain, j’avais un rendez-vous pour un massage. J’étais fou de joie. C’était tellement spécial, tellement inattendu. J’avais la tige en feu. Je ne pus m’empêcher de me branler chez moi, sûr de pouvoir sans peine gicler une demi-journée plus tard en me faisant toucher par Edna.
Depuis le moment où elle ouvrit la porte, et ou je me couchai, en slip, sur la table de massage, à la lueur des bougies, pas une fois elle ne se comporta comme une coquine qui reçoit un amant.
Après un quart d’heure d’attouchements très professionnels et apaisants, ses doigts se posèrent sur l’ouverture de mon slip.
-Je peux, n’est-ce pas? dit-elle de sa voix douce et légèrement chantante.
Sa main s’enfila dans mon slip, et se plaqua sur ma queue, qui réagit immédiatement.
Tremblant, je soulevai le bassin pour me dévêtir entièrement.
La vieille dame me branla lentement. C’était incomparablement meilleur que les secouées mécaniques des prostituées. Elle allait me traire la bite en quelques minutes. Sa main était chaude, consciente du bien qu’elle me faisait. Ses doigts fins me serraient légèrement, mais de manière continue, enveloppante.
-Restez allongé. J’aimerais la sentir. Fermez les yeux.
Que craignait-elle? Que l’image d’une dame âgée qui s’assoit sur ma bite me fasse débander?
Du coin de l’oeil, je la vis enlever son pantalon de fin tissu beige, qu’elle posa sur une chaise. Ses jambes étaient blanches, très minces. J’avais l’impression de basculer dans un rêve lorsqu’elle fit glisser sa culotte d’un geste rapide et décidé.
La vielle dame étai cul nul. Ce n’était pas du cinéma, j’étais réellement en train de vivre une scène porno avec une grand mère toute fine, les fesses à l’air, dans lesquelles ma bite allait gicler. Je serais un baiseur de vieilles.
Elle avança une sorte d’escabeau, et grimpa sur le lit de massage en me tournant le dos. Je vis ma queue disparaître entre ses petites fesses blanches, et surtout je sentis sa chatte toute serrée s’ouvrir à chaque mouvement, tandis que ma queue gagnait rapidement du terrain dans le vagin de Madame Edna.
Mon gland projeta des giclées enthousiastes dans le con de la petite dame.
Oh! Elle était contente! Elle soupirait.
Quand elle se releva, un gros paquet de foutre se répandit sur ma cuisse.
Elle me tendit des mouchoirs en papier humide, et disparut dans la salle de bain, son pantalon à la main.
-Il ne faudra pas parler de ce moment, me dit-elle en revenant, tandis que je me rhabillais. C’est juste comme ça.
Elle m’assura que je pourrais revenir.
D’une semaine à l’autre, je me branlais comme un dingue en pensant à Edna. Jamais elle ne me suça. Elle trouvait peut-être que cela faisait trop pute. Elle mettait un point d’honneur à me prodiguer chaque fois un massage de type classique, même quand je l’attendais tout nu, le sexe arqué.
Ce qu’elle voulait, c’était un gode vivant. un coup de queue avec une bonne giclée pour arroser sa vieille chatte.
Je trouvai les bordels bien fades, avec leur cheptel de filles standardisées. j’aurai voulu baiser des ménagères de tous les âges, qui auraient attendu le client en lisant un journal, dans leur habit de tous les jours, et qui m’auraient invité à les suivre dans une chambre à couchée ordinaire. Elles m’auraient excité par la variété de leurs diverses corpulences. En se déshabillant, j’aurai vu de grosses mamelles débouler des soutien-gorges qu’on retire, j’aurai tripoté de petits nichons timides, j’aurai suçoté de petites fentes acides, ou bouffé de grosses touffes.
Je n’ose même pas imaginé à quel point j’aurais joui si j’avais pu embrocher Edna par le cul, après avoir très précautionneusement amadoué son petit trou, et comme récompense après un labeur aussi minutieux, me sentir gicler par saccades entre les fesses de la petite dame.

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire