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thérapie (2)

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On élargit son cercle de connaissances.

Sans entrer dans les détails, jusqu’à la fin de la semaine, ce fut comme des « just maried », pratiquant l’amour à haute dose, partout et tout le temps. Louis était insatiable du corps de sa mère et elle retrouvait une nouvelle jeunesse de sentir son fils qui lui apportait ce que son mari était incapable.

Vint le week-end où Monsieur avait à nouveau beaucoup de travail à l’extérieur avec sa secrétaire. En fin de matinée, Luce se présente alors que le père fait ses adieux à la famille, l’air abattu par la montagne de dossiers à venir, et pas que des dossiers de chaises!

– Bonjour Luce et au revoir, je me sauve, le travail m’attend, je n’arrête pas.

– Je sais Pierre que le boulot est tout dans la vie, mon patron m’invite aussi à aller travailler avec lui le week-end, qu’est-ce que c’est dur. Mais c’est comme cela quand on a des responsabilités, il faut les assumer, bon travail, j’essayerai de distraire Nicole pendant ce temps-là ! Le pire, c’est que dans ces cas-là, il n’y a pas que le travail qui est dur.

– Merci, mais je ne sais comment le dire, j’ai l’impression qu’elle est en train de revivre, je ne l’ai jamais vue aussi exubérante que ces derniers jours. Je serai bien resté si mon travail n’accaparait pas tous mon temps.

– C’est pas grave, dans ce cas, c’est moi qui profiterai de son exubérance et profite bien de ton travail…

– Qu’est-ce que vous voulez dire par là ?

– Rien, mais dépêchez-vous, sinon votre travail va s’impatienter. Lance-t-elle perfidement.

Une fois le père parti, Louis ne peut s’empêcher d’applaudir.

– Bravo, vous lui avez bien cloué le bec. Je m’excuse pour la dernière fois que l’on s’est rencontré d’avoir été un peu grossier.

– Ce n’est rien et vous avez tout le temps pour vous faire pardonner.

Sur ces entrefaites, arrive Nicole qui ne voulait pas assister au départ de son époux et l’attendait pour se manifester. Elle se précipite sur Luce et la prend dans ces bras.

– Je suis heureuse que tu aies pu venir, lui dit-elle en l’embrassant tendrement.

Louis, les yeux hors de la tête, regarde ces deux femmes qui s’étreignent comme des amantes, il n’en revient pas.

– Chéri, tu sais avec Luce nous étions dans le même internat de jeunes filles et on était très proche tout le temps, surtout ces derniers mois quand j’étais toute seule.

– Oui, mais tu n’as pas l’impression que vous en faites un peu trop ?

– Tu sais, c’est un peu comme pour toi, j’aime beaucoup Luce, mais laissons ceci, cela ne change rien de l’amour d’une mère pour son fils.

– Tout comme j’espère que l’amour d’une mère pour son fils ne change rien à l’amour de celle-ci pour sa copine, répond-il moqueur.

– Tu le dis si bien mon amour.

Pendant que les deux femmes s’affairent dans la cuisine pour préparer le repas de midi, Louis monte dans sa chambre pour jouer un peu à la console de jeux.

– Dis-moi un peu, j’ai l’impression que tu revis ma chérie.

– Tu ne peux savoir mon bonheur, je ne te l’avais pas dit, mais suite à un problème sexuel de Louis, sur demande de sa sexologue, j’ai dû faire des prélèvements de sperme, si au début je fus vraiment réticente, le manque de possibilités, la beauté de mon fils et la trahison de mon mari m’ont entraîné vers des actions que la morale réprouve fortement, mais qui sont fabuleusement délicieuses.

– Tu …

– Oui, j’ai consommé et je ne le regrette pas, quand tu me disais qu’avec mon mari tu n’avais pas dépassé le niveau du paillasson pour grimper aux rideaux, avec mon fils, j’ai pris la fusée pour sa turne. Je ne peux que te le recommander.

– Tu ne seras pas jalouse ?

– Non, la sexologue, à qui j’ai parlé de ces problèmes m’a formellement recommandé de lui faire varier les partenaires pour pas qu’il fasse une fixation sur moi, ce serait mauvais pour son développement. Cela aurait aussi l’avantage de desserrer la situation vis-à-vis de mon mari qui est quand même notre fournisseur de fonds à défaut d’être celui de plaisir.

… Pour ne pas l’effaroucher je pense que je vais m’absenter un moment pour te laisser le champ libre, cela me rendrait un bon service si tu te « sacrifiais », bien que j’ai l’impression avec ce que j’ai vécu que le sacrifice ne te sera vraiment pas désagréable.

– Je suis d’accord, mais à charge de revanche pour mon fils qui a aussi besoin lui aussi de franchir le pas.

Après un bon repas, Nicole annonce qu’elle doit se rendre en ville et demande à Louis de faire patienter Luce jusqu’à son retour. Il sent bien que cette histoire est un peu cousue de fils blancs et il se pose la question de ce que cela cache, mais finalement il fait confiance à sa mère.

– Pendant que tu es en ville, Maman, tu peux m’acheter une nouvelle paire de chaussette, j’ai troué les dernières que tu m’as achetées à l’entraînement.

– Oui, c’est déjà combien la pointure ?

– Elle n’a pas changé, du 45 fillettes.

Une fois Nicole partie, les deux s’installent dans le salon et Louis ne sait trop comment faire pour que Luce prenne patience, mais celle-ci a déjà son plan pour l’accrocher.

– Louis, tu ne ferais pas des cafés avec une petite liqueur ?

– Oui, certainement, que voulez-vous comme liqueur ?

– Tout d’abord, fais-moi plaisir, tutoie-moi et s’il y a un armagnac, c’est pas mal.

– Je crois qu’on en a, j’en prendrai aussi.

Pendant que Louis prépare les cafés, Luce enlève sa veste et ouvre un peu sa chemise laissant à la vue le haut de sa poitrine, pensant qu’elle va au moins susciter son intérêt. Elle suppute les chances d’aboutir à un résultat, Nicole est blonde comme les blés et elle est une vraie moricaude, noiraude à la manière indienne, un parfait contraste. Tiens-le voila qui revient.

Louis pose les cafés et verse l’armagnac dans des verres à liqueur et veut s’asseoir en face, mais Luce contrecarre ses plans en lui demandant de venir s’asseoir à côté d’elle.

– Comment vont les cours, c’est pas trop dure ? Tu es dans quelle branche ?

– Je commence l’automne prochain en économie à la fac. J’espère que tout va bien aller, au concours d’entrée, j’ai passé juste-juste.

– Si tu as des problèmes, fais-moi savoir, je l’ai faite aussi avant et il me reste quelque chose et j’ai pas mal de pratique.

… et comme tu t’es moqué un peu de moi la dernière fois au restau c’est comment avec les filles, ça marche ?

– Je pensais qu’on n’en reparlerait pas, mais bon, cela ne marche pas vraiment, elles ont souvent peur que je leur fasse mal.

– Comment cela, tu es brusque ?

– Non, au contraire, je suis le plus doux possible, mais dès qu’on flirte un peu et si elles mettent la main à l’ouvrage, une fois qu’elles ont touché l’objet, elles partent en courant.

– C’est vraiment bizarre, je n’ai jamais vu cela.

– Récemment nous sommes allés, maman et moi chez un sexologue, car j’avais des petits problèmes qui sont maintenant résolus, elle a affirmé que j’étais un peu trop fort à ce niveau.

– Surprenant, je serai tentée de te demander de le prouver, on n’est que les deux ici cette après-midi.

– Je veux bien, mais j’ai toujours un peu fantasmé sur les hindoues, alors cela doit être réciproque.

– Si on doit se déshabiller, il serait mieux d’aller dans ta chambre, non ?

– Pourquoi, on est les deux tout seul, qui commence, moi je suis un peu timide et toi tu es une femme libérée il me semble.

– Je veux bien, mais avec mon patron, il y avait une promotion à la clé

– Je t’offre ma première fois.

« Le salaud, il m’offre un panier percé, comme si je ne savais pas que son pucelage, il est parti entre les cuisses de Nicole et que c’est du réchauffé. » mais malgré tout, elle m’a dit que c’était un coup super, alors jouons le jeu.

– Et si on se déshabillait mutuellement ?

– C’est que je ne suis pas très au courant des finesses vestimentaires des femmes mûres, avec les jeunes filles, c’est simple, mais avec toi, je vais être gauche.

– Ce sera un excellent exercice, commence par dénuder le haut, pendant que je t’enlève ta chemise.

C’est ainsi que Louis se retrouve à torse nu alors que Luce arbore toujours son soutien-boilles. Avec sa mère, c’est simple, juste deux agrafes à décrocher dans le dos et on peut admirer le paysage, mais il a beau passer la main dans le dos, il ne trouve pas d’agrafes. Que faire ? Finalement elle a pitié de lui et lui dit que c’est un soutien-gorge qui se ferme devant.

– Tu vois, je t’avais bien dit que je me ferais piéger. Cela n’a pas manqué

La-dessus, il arrive à ses fins et peut admirer de jolis petits seins pigeonnants.

– J’ai envie de goûter pour voir s’ils sont aussi bons que ceux de ma mère.

– Ah ! Parce que tu suces les seins de ta mère ? Tu me disais que tu étais encore avec le label de garantie.

– Sucer ne veut pas dire consommer. De filles, j’en ai déjà dégusté plusieurs, mais je ne sais pourquoi, j’aime moins que de femmes plus âgées comme ma mère.

– Si tu veux, mais vas-y doucement, c’est délicat. Pendant ce temps-là, je vais m’occuper de ton oiseau, rare parait-il.

– Fais attention, c’est un oiseau moqueur, si on le chatouille trop, il a tendance à cracher sur les gens, surtout depuis que maman m’a fait son traitement.

– Quel traitement t’a-t-elle fait ? Demande Luce jouant la carte de l’innocence.

– C’est difficile à expliquer, en fait, je n’arrivais plus à juter et cela s’accumulait quelque part, me causant de grands maux de ventre. La sexologue a proposé que maman m’aide à évacuer ce trop plein et cela a marché super.

– Je suis trop curieuse, si tu ne veux pas me dire, cela ne fait rien, mais comment ta maman t’a aidé ?

– La première fois, c’était pas trop compliqué, j’étais horriblement excité par l’idée que maman allait me manipuler la bite et cela s’est débloqué rapidement et j’ai envoyé une belle quantité dans l’éprouvette.

– Et ensuite ?

– La fois suivante, me remémorant la gentillesse de maman, avant sa venue, je me suis manipulé et pris mon plaisir et quand elle a voulu faire la prise de sperme, je suis resté très passif et il n’y avait rien à faire, enfin, elle a fait quelque chose qui a eu un effet violent et cela m’a excité comme un soudard.

– Je suis curieuse de savoir ce qu’elle t’a fait !

– Elle m’a présenté ses dessous et à la vue de son entre-jambe, avec des poils qui dépassaient et son odeur merveilleuse, je n’ai pas pu m’empêcher de bander à nouveau, ce qui lui a permis de faire la prise suivante.

… Ensuite on s’est vu au restau, il y a eu encore deux prises et voila on en est là, la sexologue a étudié mes échantillons et a déclaré que tout est en ordre.

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