Histoires de sexe en groupe Histoires de sexe mobiles Histoires de sexe noir

Mathilde, ma belle-mère (1)

Mathilde, ma belle-mère (1)



Dans la grisaille de l’automne, le cortège funèbre avance lentement au gré des chevaux tirant le corbillard, une partie de ma vie partait vers sa dernière demeure. Mathilde, ma belle-mère qui m’avait tant donné. Une larme coulait discrètement sur mon visage, se mêlant au crachin de l’automne. Ma femme également triste marchait en pleur au pas tranquille des chevaux.

Dans ma mémoire revinrent brusquement les moments de folie que nous avions vécus.

Tout a commencé lors du bal des vendanges, mes parents avaient invité ma fiancée pour le repas de midi et ses parents pour les quatre-heures. Ensuite, entendant les flonflons de la musique champêtre, avec Lucette et sa famille, nous nous sommes déplacés sous le chapiteau où il y avait le bal.

Après avoir tourbillonné comme des fous sur des airs de valse musette,

C’est quand l’orchestre entama une série de slows que Lucette encore toute essoufflée par la valse me dit, lorsque je l’invitai, qu’elle préférait se reposer un peu. Mathilde, qui avait entendu sa réponse et dont le mari n’aimait pas danser, me dit alors :

– Si vous m’invitiez, Victor, je suis prête à remplacer Lucette !

Mathilde était une belle femme, rousse véritable avec une plastique parfaite, des seins ni trop gros, ni trop petit, une taille fine et des jambes qu’on avait envie d’en suivre le parcours. Mais c’est à ce moment-là qu’elle passa du stade de Belle-mère à celui de femme.

Alors que nous nous dirigions vers la piste de danse, main dans la main pour ne pas être séparés, je lui demandai :

– Voulez-vous vraiment remplacer Viviane ?

– Mais, bien sûr. Ce sont des slows, nous allons pouvoir danser doucement, au milieu de tous ces gens. Que dis-je doucement, langoureusement, pourquoi pas ?

Elle avait dit ça en riant, mais ce rire me parut un forcé.

Dans la foule des danseurs, collés l’un contre l’autre, avec peu de place, elle dansait en plaçant ses mains autour de mon cou, appuyant sa poitrine sublime contre et mes mains étaient bien dans sa chute de reins, ses seins bien fermes contre mon torse .

Je sentais sous mes doigts, le corps chaud de Mathilde collé contre le mien et la fragrance de son parfum naturel de rousse m’étourdissait, sa plastique parfaite de femme mure produisait sur moi un effet que je redoutais, surtout que nous étions très serrés par la foule des danseurs et que doucement elle frottait son ventre contre moi, ne me laissant pas indifférent.

Dans mon oreille, elle me murmura en se déhanchant encore plus :

– Victor ! Est-ce que je remplace bien ma fille?

– Comment cela ?

– Cette chose dure qui frappe régulièrement mon ventre, ce ne sont pas vos clés, dit-elle en descendant une main pour contrôler.

Sa main parcourait lentement la longueur de mon sexe, créant encore plus un effet dévastateur au niveau de mon pantalon, à mon tour, je ne puis m’empêcher d’empaumer un de ses seins et étant hors de vue du reste de la famille, je me suis permis de l’embrasser sur la joue, mais elle tourna la tête en m’offrant ses lèvres, baiser qu’elle me rendit avec fougue.

– Alors, êtes-vous satisfait de mon remplacement ?

– Mathilde, j’ai horriblement envie de vous, de jouir de votre corps !

– Soyez patient, moi aussi j’ai envie de vous, c’est pas tous les jours qu’on peut se retrouver dans les bras d’un jeune homme fougueux, mais soyez patient.

On continuait à danser en se caressant mutuellement. Je sentais la pression monter et friser la barre rouge.

– Mathilde, si vous continuez, je ne vais pas être présentable au retour de la danse.

De suite elle arrêta son massage et nous finîmes bien sagement notre danse, mais le ver était dans le fruit. Je sentais que tant elle que moi, nous n’attendions qu’une occasion pour concrétiser notre attirance. De retour à table, je repris ma fiancée pour refaire un tour de danse, elle avait repris son souffle.

Sentant mon excitation qui ne s’était pas trop calmée, elle me demanda :

– Chéri, c’est moi qui t’excite comme cela ?

Je ne pouvais décemment lui avouer que c’était sa mère qui m’avait mis dans cet état et je lui confirmais que son charme en était responsable. Du coup, elle se colla encore plus contre moi et m’offrit ses lèvres avec passion, je savourais aussi son baiser, mais je ne pus danser à nouveau avec Mathilde, Lucette m’accaparant toutes les danses jusqu’à la fin du bal.

Nous rentrâmes chacun de notre côté et à la fin de la semaine, je reçus une invitation à dîner chez ma fiancée. J’arrivais avant l’heure du repas, même bien avant et oh surprise, Mathilde était seule devant ses fourneaux et nous fondîmes dans les bras l’un de l’autre. Elle portait une très jolie robe mettant en valeur sa poitrine que je m’empressais de saisir et à embrasser.

– Grand fou, soyez raisonnable, même si nous avons le temps de faire des folies, Marcus et Lucette sont allés au marché et ne rentreront pas avant une bonne heure. Viens, nous serons mieux dans la chambre, me dit-elle en me prenant par la main.

… Déshabille-moi !

Je commençais à enlever le haut, dégrafer le soutien-gorge en mettant à nu sa belle poitrine que je m’empressais de caresser.

– Suce-les, cela fait longtemps que Marcus ne s’en occupe, m’ordonne-t-elle.

Je ne me fais pas prier deux fois et avançant mes lèvres vers les deux magnifiques fraises qui ornaient ses seins, je commençais à les picorer, les lécher et je sentais bien que la marmite bouillonnait, elle commença à détacher ma ceinture et à descendre mon pantalon pour finalement libérer mon sexe qui n’en pouvait plus d’attendre. De mon côté, je ne restais pas immobile et entrepris l’effeuillage complet de Mathilde qui était vraiment une vrai rousse et son magnifique pubis était orné d’un joli buisson couleur feu. Il dégageait une odeur suave qui mettait ma trique dans un état de plus en plus difficile à contrôler.

– Viens me dit-elle en écartant ses jambes, cela fait depuis jeudi que je rêve de ce moment, de sentir une queue bien vivante dans moi.

Me mettant à genoux sur le lit, je présente mon sexe devant le sien qui me semble luire de plaisir, doucement je m’enfonçais dans ce puits chaud et doux, lentement ma queue plongeait et quand j’arrivais au fond, je suis resté immobile jouissant de ce moment de pur bonheur, Mathilde resta un moment aussi immobile savourant ce bâton de chair qui était en elle, mais progressivement, elle mit en route ses hanches dans un mouvement chaloupé et sa vulve massait toute la longueur de mon sexe. Je me mis aussi en marche retirant et plongeant dans cet antre béni, après de nombreuses minutes, il y eut crispation et d’un coup Mathilde se cabra, faisant l’arc avec son dos pour me sentir encore plus profond et épuisée, elle retomba, elle venait d’avoir un orgasme, de mon côté, je ne résistais pas plus longtemps et violemment je l’éperonnais sans relâche jusqu’à ce que jaillisse du plus profond de moi, le produit de ma jouissance.

Mathilde se leva subitement et annonça :

– Il faut qu’on prenne une douche, que je change les draps, cela sent un peu trop ce que l’on vient de faire et il ne faudrait pas que Marcus ou Lucette s’en aperçoivent et ensuite il faut préparer le dîner. Ils ne doivent jamais l’apprendre.

– Évidemment ! Je réponds. Mais quand recommence-t-on ?

– Sois patient, me répond-elle magnifique dans sa nudité de femme mature avec son sexe roux et ce filet blanc qui coulait, rappelant que j’étais passé par là.

Une semaine s’était passée depuis le bal et nous profitions avec Lucette pour faire des promenades dans la campagne environnante. Souvent, nous bifurquions vers un petit bois avec une gentille clairière et je m’appliquais à lui faire découvrir le plaisir des sens. J’aimai ses petits seins ornés chacun d’une fraise des bois que j’adorai sucer. Si je me relevais sans honorer l’autre, elle me rappelait à son bon souvenir.

– Et l’autre, il va être jaloux.

Mais c’était plus dur d’essayer de remonter ses jambes pour atteindre sa petite culotte et quand rarement je l’atteignais, elle refermait ses jambes pour m’empêcher d’aller plus loin. Il faut dire qu’en ce temps-là, on était très à cheval sur la virginité de la promise et qu’une naissance qui arrivait en deçà des 9 mois après le mariage était regardé comme honteux. Je n’insistais pas évidemment, mais parfois elle m’autorisait à lui caresser sa fentine et son petit bouton, ce qui lui permettait de bien jouir, mais malgré mes sollicitations, ce n’était pas réciproque et je rentrais assez frustré.

J’essayais bien de compenser avec Mathilde, mais elle restait très distante, ne m’accordant rien.

Je l’avais dans la peau, je ne pouvais faire autre chose que de la désirer. Lucette devait reprendre son école en demi pensionnaire, pour finir son bachot, Marcus était bien pris par son travail dans les vignes et Mathilde travaillait à la mairie le matin, quant à moi, j’étais encore en vacances : la rentrée universitaire n’ayant lieu qu’une quinzaine de jours après. Le dimanche avant la reprise des cours de Lucette, j’ai reçu une invitation pour le repas de midi, une fameuse goulasch segedin, malgré notre appétit féroce devant la succulence du plat, il en restait suffisamment pour le lendemain et Marcus annonça qu’il la prendrait et ne rentrerait pas à midi. Avec Mathilde, on s’est regardé et on s’est compris. Le lundi allait être chaud.

Après que Lucette fut partie pour son école et Marcus pour son travail, je me précipitais chez Mathilde, excité comme pas possible. Tout de suite, j’ai couru vers elle et je l’ai prise dans mes bras. Qu’elle était belle dans son chemisier et sa jupe ample qui dévoilait ses mollets.

– Enfin me dit-elle en répondant à mes baisers passionnés. Viens, ne perdons pas de temps, je suis si impatiente de sentir ta passion.

En montant derrière elle, je ne pouvais m’empêcher d’admirer sa croupe voluptueuse qui valsait devant moi. Mon attente faillit me jouer un mauvais tour, j’étais prêt de l’explosion en arrivant dans la chambre nuptiale.

– Déshabille-moi, me dit-elle, me faisant prendre mon mal en patience et apprendre à son mâle de patienter.

– Je n’en peux plus de désir de toi, lui fis-je remarquer.

Après l’avoir déshabillée complètement, elle commença à son tour à s’occuper de moi. Après l’épluchage de mes vêtements, elle s’approcha de mon torse et subitement elle me prit un téton dans la bouche et le suça violemment, puis le mordit, je ne tenais plus en place, il fallait que je purge mes coucougnettes.

– A mon tour, lui dis-je en commençant à lui lécher les seins et par mimétisme, je lui fis un gros suçon sur la poitrine et également lui mordis ses mamelons.

– Aïe, fit-elle, mais continue c’est trop bon et elle appuya ma tête contre sa poitrine pour que je continue le traitement. N’oublie pas l’autre.

Mais j’avais une autre idée, entre ses jambes, il y avait à boire et à manger et c’est ça qui me préoccupait maintenant et lentement, j’avançais ma bouche vers son nombril pour l’embrasser, le lécher créant des mouvements incontrôlés du bassin de Mathilde. Brusquement, je mis ma tête entre ses jambes et mes lèvres sur son gros bouton.

– Non pas cela, je ne l’ai même pas permis à mon mari. C’est sale !

Mais je passais outre son refus et continuait à sucer son bouton et finalement elle ouvrit tout grand le compas de ses jambes, m’offrant la source de son plaisir à boire.

– Continue, je ne savais pas que c’était si bon, encore.

Elle avait des mouvements de plus en plus désordonnés et rapidement elle partit dans son plaisir m’inondant la figure de sa cyprine. Cela ne faisait pas mon affaire, il fallait que je la prenne. Je remontais le long de son corps, jusqu’à ce que mon sexe se trouve en face du sien, bien lubrifié par mes baisers. Je commençais à m’enfoncer tranquillement et arrivé au fonds de sa tanière brûlante, sentant qu’elle aussi avait atteint des sommets de jouissance, je ne pus me retenir et inondais sa caverne et badigeonnais ses ovaires de la crème de mes couilles. Elle me les prit et les serra assez violemment à m’en faire mal, mais après cela, elles étaient complètement essorées.

Nous couchant l’un à côté de l’autre, nous avons commencé à nous agacer les sens, refaisant monter la température. Brusquement, elle se pencha sur ma bite et elle déclara :

– Je ne l’ai jamais fait complètement, j’ai toujours trouvé cela pas bien. Mais maintenant avec toi, j’aimerais bien essayer, ne te fâche pas si par hasard je n’avale pas ton présent.

– Pourquoi je me fâcherai ? C’est un merveilleux cadeau que tu me fais.

– Pas si grand que celui que tu m’as fait avant de me prendre. Je n’avais jamais connu cela.

L’après midi avançait à grand pas entre étreintes et léchage, je tentais doucement de lui faire connaître les joies de Sodome, mais je reçus une fin de non-recevoir claire et net :

– Que ce soit ton doigt ou ta queue, jamais je ne te permettrais de franchir la porte de mon cul. Tiens-le-toi pour dit ! Ne recommence jamais.

– Oui, j’ai pris note.

On a fini les épanchements amoureux et il a fallu un peu changer les draps, aérer et je suis parti avant que les autres reviennent. La suite de la semaine fut morne et lundi, je recommençais la fac en m’éloignant de mes amours.

Je me morfondais profondément en pensant toujours à Mathilde quand je reçus un téléphone de Lucette pour me demander si je pouvais héberger sa mère pour une nuit, car elle devait passer chez le médecin et elle ne pouvait pas arriver à temps pour son rendez-vous.

– C’est pas grave ? Demandais-je

– Non, c’est juste un contrôle, ne te fais pas de soucis.

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire