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Ma belle mere est une bonne infirmiere

Ma belle mere est une bonne infirmiere



Il y a déjà un certain temps, au printemps, il m’est arrivé un accident bête mais combien handicapant.
Voulant nettoyer les gouttières, mon échelle a glissé et je me suis cassé l’avant-bras droit et une
double fracture poignet et avant-bras droit gauche, une commotion cérébrale et je me suis retrouvé
en clinique alité avec une sonde dans la vessie, je ne pouvais pas me lever et je devais rester dans
l’obscurité.

Quelle catastrophe, je ne savais rien faire seul. En me contorsionnant, avec le bras droit je savais
à peine toucher mon nez. Besoin d’aide pour manger, besoin des infirmières pour me torcher le cul…
bref totalement à la merci de ceux qui voulait bien m’aider.
Mes fortes douleurs cérébrales étant passées, trois semaines plus tard j’ai pu rentrer chez moi.
Je me souviens que dans le courant de la troisième semaine d’hospitalisation, j’ai eu des érections
malgré la sonde et coïncidence… une infirmière est passée me faire des soins et m’avait dit le plus
naturellement du monde :
– Je vois que monsieur va mieux !
Gêner, je n’ai rien pu répondre

Une des premières choses que nous avons faite ensemble, Mélanie et moi, c’est une bonne baise.
J’étais heureux que ma belle queue fonctionne encore très bien malgré la sonde et que ma Mélanie
avait encore toujours une folle envie de baise. Connaissant son addiction au sexe, je lui ai demandé
comment elle avait réussi à satisfaire ses envies.

De retour à la maison, j’étais toujours incapable de me débrouiller seul, ma femme a pris une semaine
de congé pour m’aider.
Ma belle-mère est une très belle infirmière à domicile de 46 ans, seule suite au décès accidentel
de son mari. Nous vivons dans la même très grande maison, mais chacun possède sa cuisine et
sa salle de bain. Seules les chambres sont dans le même halle de nuit.

Belle maman avait songé à m’apporter une « robe de chambre » adaptée à ma situation,
avec beaucoup de boutons clips.
Mélanie m’enlève cette cape que je portais, sans qu’elle se rende compte que ma queue était
sortie de mon short afin que je puisse aller soulager ma vessie seule. Ma belle-mère l’ayant vu
immédiatement, n’a pas hésité un instant à remettre ma queue en place avec beaucoup de douceur
en me regardant dans les yeux et un petit sourire.

– Voilà, comme ça ta belle queue n’aura pas froid.
– Qu’est-ce que tu dis maman ?
– Tu déshabilles ton homme et tu le laisses avec son sexe à l’air
– Oh… je n’avais pas vu, désolé mon petit chou !
– Heureusement que belle maman était là !

Le mardi de cette première semaine, ma femme reçoit un coup de téléphone de son patron
pour lui demander de venir au bureau, ces jeudi et vendredi, car une délégation importante de
la maison mère allait se pointé, un peu à l’improviste. Elle me regarde et je lui fais signe de la
tête que oui et elle confirme sa présence.

Dans le courant de cet après-midi, belle maman est repassée chez nous en criant « vous êtes là »
certainement pour savoir si l’on baisait encore… !
Mélanie lui raconte qu’elle doit travailler après-demain et belle maman répond qu’elle est en congé
jusqu’à mardi prochain inclus et que si j’avais besoin d’aide, que je devais le demander.

Dans le courant de la soirée, je dis à Mélanie :
– J’espère ne pas devoir lui demander de torcher mon cul car j’aurai honte et ouf… pisser je
sais me débrouiller.
– Ne t’inquiète pas, maman est habituée à toutes ses situations, pour elle c’est de la routine
– Ok mais je serai quand même bien embêter…. !
– As-tu peur qu’elle découvre ta belle grosse queue ?
– Oui…et si je bande ?
– Tu lui expliqueras que tu bandes facilement.
– Elle est peut-être capable de me sucer la queue
– Hihi… tu te laisses faire…tu ne sais quand même pas te défendre et puis…. elle baise peut-être
mieux que moi. Avoue qu’elle est quand même pas mal pour son âge ?
– Oui c’est vrai…. si elle me le demande, je ne refuserais pas
– Le contraire m’aurait étonné !

Il est vrai que j’ai déjà bien souvent fantasmé sur ma belle-mère car elle a tout ce qu’il faut là
où les hommes aiment regarder et toucher.

Jeudi matin, avant que Mélanie s’en aille, j’ai heureusement été à la toilette et elle m’a torché le
cul… j’étais sauvé… !!!.
Vers 9H, belle maman arrive et me demande si tout va bien et si elle doit faire quelque chose pour
moi.

– Non rien de particulier, seulement remplir mon verre d’eau
– Et as-tu déjà pris une douche depuis que tu es revenu ?
– Heuuuu…. Non…. Pour pas mouiller le plâtre
– Moi j’ai tout ce qu’il faut pour te protéger.
– Hooo mais ça va, je demanderai à Mélanie de l’aide.
– As-tu peur de moi ?
– Heuuuu non
– Allez, à la douche chez moi, elle est grande et c’est plus facile que chez toi.

Elle est allée chercher le nécessaire dans sa voiture de service et nous somme allé dans sa salle de
bain. C’était pour moi la première fois que j’y allais et effectivement elle est très spacieuse, deux
pommeaux fixes et deux douchettes et un siège.

– Bon première chose, je vais enlever « ta belle robe de nuit » et puis mettre les protections.
– Oui mais tu vas me voir tout nu ?!
– Pas de soucis, j’en ai déjà vu des centaines de personnes nues et même toi hier avec Mélanie.
– Je ne t’avais pas entendu arriver.
– Et de plus je suis restée à vous regarder pendant toute la durée de la fellation et vous ne
m’aviez même pas vu !
– Oooh la voyeuse !!
– C’était un beau film xxx et puis….tout ce que je ne peux pas voir, tu dois cacher !

Je me retrouve nu, mi érection devant ma belle maman et très professionnellement elle place les
protections sur les plâtres.
En ouvrant le robinet, elle se trompe de côté et elle reçoit un jet d’eau de la douchette sur son
chemisier. Mouillé, il prend la forme de ses seins. Je peux même apercevoir ses tétons.

Je passe sous le jet de la douche, puis elle s’active sur ma chevelure. En me rinçant les cheveux,
elle me demande de moins gesticuler car je la mouille de plus en plus.
Effectivement, en ouvrant les yeux, je constate qu’elle est bien mouillée et ses tétons déforment
sérieusement son chemisier.

– Tu ne penses pas que tu devrais également te déshabiller, sinon tu seras trempée !
– Coquin, tu crois que je n’ose pas ?
– Ah si tu le fais, tu réaliseras une partie de mon fantasme.
– Tu fantasmes sur moi ?
– Beh, …maintenant tu le sais.

Elle sort de la douche et enlève d’abords son chemisier. J’aperçois au travers de son soutien-gorge
mouillé et transparent, une paire de tétons érigés sur des seins bonnet C certainement, car ceux de
Mélanie, bonnet B, sont un peu moins gros. Puis elle fait tomber sa jupe, sa culotte est blanche.
Moi qui croyais qu’elle allait continuer à me doucher en petite tenue, elle enlève son soutien-gorge,
glisse ses mains du bas vers le haut sur les seins en me regardant. Elle a des seins un peu lourd mais
ses tétons sont superbement bien places, magnifique à voir.

– Dis donc, tu m’es pas un peu beaucoup voyeur toi ?
– Ok, je me retourne

Elle entre dans la douche et me demande le gel douche. Elle me savonne avec les mains. Pas un seul
endroit n’est épargné par ses mains. Cette situation me donne une trique d’enfer et de plus elle me
demande d’écarter un peu les jambes pour qu’elle puisse passer plus facilement entre mes fesses.
– Ah ! ta position me permet de mieux te laver entre les fesses.
Un doigt s’attarde sur ma rondelle et je me penche un peu en avant. Toujours par derrière, elle me
savonne les testicules avec beaucoup de douceur, et sa main passe et repasse entre mes deux
orphelines et ma rondelle. Je ressens plus de caresses que de « nettoyage » et une vibration
m’envahis.

– Et en plus on dirait que ça te plait.
– Beh oui ! ça t’étonne ?
– Allez retournes toi que je m’occupe de la façade avant.

Non seulement ma belle maman était sans soutien-gorge mais totalement nue. Je ne sais pas si elle
avait déjà vu que je me payais une érection d’enfer. Elle me demande de donner le gel douche
et en le déposant à terre, elle se courbe et je suis face à son cul. Waouh j’ai cru que ma bite allait
exploser. Le pire c’est que de mes mains je ne sais rien faire et j’avais tellement envie de la toucher.
J’avance ma queue vers son entre-fesse, mais elle se redresse avant d’avoir pu la toucher. De sa
main inondée de gel douche, elle frotte sur mon torse et dépose du gel sur ma façade avant comme
elle dit. Elle ne dit rien et continue à frotter ses mains sur mon corps, ses seins balancent au rythme
de ses mains, ses tétons pointent vers le ciel.

Elle se met légèrement de côté et pour la première fois elle passe sa main sur ma queue et descend
immédiatement sur mes testicules. Elle empoigne ma queue d’une main et de l’autre elle caresse
mon gland avec la savonnée.

– Ça ne m’étonne pas que ma fille crie quand vous faites des galipettes. Une aussi grosse et
longue queue, c’est la première fois que je vois ça, elle est vraiment gâtée Mélanie.

Je ne dis rien mais ses mains qui entourent ma queue s’occupent plus à me masser la queue que de
la laver. Ses tétons durcis me donne envie de les toucher. J’y arrive avec sa complicité et du bout
des doigts de ma main gauche, je pince son téton, au travers de la protection en plastique, entre le
pouce et l’index et elle me laisse faire pendant quelques secondes.

– Bon maintenant je vais te rincer

Elle fait couler l’eau par la douche fixe et me frotte le corps de ses deux mains.
Du bras gauche, je parviens à la saisir et je l’attire sous la douche et je la colle contre moi.
Ses mains s’enroulent sur mon dos et nos lèvres se touchent. Elle me cale bien contre son corps et je
sens ma queue se frayer un chemin entre ses jambes, ses seins s’écrasent sur ma poitrine. Pendant
ce baiser fougueux, elle parvient à fermer le robinet. Je la sens écarter les jambes pour que ma
queue s’approche de sa grotte. Surement qu’elle est bien placée car son bassin fait des mouvements
de vas et vient.

Elle se met à genou dans la douche et gobe ma queue dans sa bouche. A chaque mouvement, je
sens ma queue s’enfonce de plus en plus loin dans sa gorge, c’est pour moi une première sensation
extraordinaire. Jamais Mélanie n’avait mis ma bite aussi loin dans sa bouche. Ses mouvements de vas
et vient de sa bouche sont de plus en plus rapide et parfois c’est sa langue qui s’enroule autour de
ma bite. Cette douceur est intenable et elle sent mon dard se gonfler de plus en plus. Elle tient ma
queue des deux mains et seul mon gland est encore dans sa bouche. Pendant que je lui envoie des
puissants jets de sperme dans la bouche, elle continue à me suce le gland, je crie de plaisir et la
supplie d’arrêter et elle me lâche rien, tout mon corps tremble, ma respiration est très forte et je lui
arrache ma queue devenue trop sensible.

Elle se redresse et vient m’embrasser avec du sperme dans la bouche.

– Viens, je vais t’essuyer car tu es encore tout mouillé
– Et toi, ne serais-tu pas trempée entre les jambes ?
– Je sais pas, contrôle si tu veux.
– Pas facile pour moi, si tu ne m’enlèves pas les protections.

Seul de la main gauche je parviens à toucher sa chatte du bout de l’index qui est le seul doigt avec
lequel je sais toucher sa chatte mouillée et surtout son clitoris qui pointe bien en dehors de ses
lèvres.
Elle me prend par la queue qui est en semi érection et me conduit dans sa chambre.

– Couche toi sur le dos me dit elle et occupe-toi de ma chatte.

Elle essaye de se placer en 69 sur moi, mais mes plâtres sont gênants. Elle trouve la parade en
plaçant son genou gauche à côté de ma tête et la jambe droite à terre, elle s’accroche à la planche
avant du lit et dépose sa chatte sur mes lèvres. Son pubis est très poilu, mais ses lèvres sont
totalement dégagées et sont clitoris est bien visibles.
Je m’active sur cette excroissance qui est très sensible à mes suçons et mes coups de langues.
Privé de mes deux mains je fais du mieux que je peux. Et cela porte ses fruits car ses coups de bassin
me font comprendre qu’elle monte en température. Son cul balance dans tous les sens, elle fait
même disparaitre mon nez dans sa chatte. Sa respiration s’accélère et devient de plus en plus
bruyante. Elle me barbouille la figure de sa cyprine abondante et crie : je vais éjaculerrrrrrr. Elle
balance sa chatte sur mon visage et je reçois un flot d’humidité sur la figure qu’elle continue à étaler.
Ouiiiiiiiiii, ouiiiiiiiiiiii ,ouiiiiiiiiiii c’est bon sont ses cris. Elle se calme tout doucement
et j’ai le visage totalement trempé de sa cyprine, je sens des coulées de chaque côté de la figure.
Elle s’approche de moi, m’embrasse et me dis :

– C’est la première fois que j’ai une vraie queue depuis la mort de mon mari.
– Je peux te dire que tu t’es donné à fond, tu m’as même mouillé totalement le visage.
– Oui, quand je suis très excitée, je lâche des petits jets.
– Et moi, regarde dans quel état tu as mis ma queue
– Attend je vais arranger ça !

Elle m’enjambe et place sa chatte près de ma queue gorgée de sang.
Elle gesticule son cul dans tous les sens et je sens mon gland entrer dans sa chatte détrempée.
Je la laisse faire et elle pousse jusqu’à on ne peut plus loin et je luis dis :

– Enfin ma queue dans ta chatte…ce moment attendu depuis longtemps.
– Et moi..mon dieu, j’ai réussi à la mettre totalement dans la chatte.

Elle se redresse et s’appuie encore plus sur mon pubis, elle frotte sur son ventre et me dis.

– Met ta main ici, on sent ta queue venir jusqu’ici.

Il est vrai que du bout de mon index je sentais ma queue dans son ventre.
J’ai les bras bien écarté pour pas la gêner avec mes plâtres, elle se penche sur moi et me présentent
ses tétons que je m’empresse de sucer.
Sa chatte s’active de plus en plus sur ma queue. Son fourreau chaud, humide et étroit me procure
une sensation d’excitation que je ne connais pas avec Mélanie, c’est peut-être l’interdit qui me
donne cette satisfaction.

Se redressant, elle commence à balancer son cul. Elle frotte son clitoris sur mon pubis. Ses seins
balancent au rythme de son bassin. Ma queue augmente encore de volume. Elle pose ses mains sur
mes cuisses et se penche en arrière. Ses mouvements s’allongent et je vois ma queue trempée de
cyprine blanchâtre entrer et sortir de sa chatte, on dirait que son clitoris surveille ses mouvements.

– J’en peux plussssss…. Je vais jouirrrrrr ….fait moi crierrrrr…..rempli ma chatte de ton jusssss.

Ses paroles m’excitent encore plus et moi aussi je suis au bord de l’explosion.
Elle crie et je vois un liquide sortir de sa chatte et s’étaler dans mes poils pubiens et mon ventre.
A mon tour je lui envoie 5 ou 6 jets au fond de sa chatte. Elle reprend une position plus avancée et
après quelques mouvements du bassin, elle s’affale sur moi. Elle veut m’embrasser mais sa
respiration est trop forte.
Pendant que nous sommes restés unis quelques minutes sans dire un mot et après que
son souffle s’est très lentement calmé, j’ai eu droit à des centaines de bisous
Viens le douloureux moment de la séparation de nos deux sexes, elle s’est relevée et je lui dis en
voyant son clitoris :

– Mais ton clitoris a encore doublé de longueur par rapport à tantôt
– Oui, après un plaisir intense, il devient encore plus gros et il le rester pendant des
heures durant, il est tellement sensible que je ne sais même pas mettre de culotte.
– Viens, présente le moi, je vais lui faire un baiser
– Un tout petit peu …pas plus … !

Elle me présente son clito et je l’aspire dans ma bouche.
Elle a crié et donné un violent coup de cul pour me l’extraire.

– Je te l’avais dit, on peut plus le toucher.

Nous sommes repartis tous les deux à la douche. Avec la douchette, elle me rince ma figure puis
s’occupe de ma queue ce qui a eu comme effet d’une nouvelle érection.

– Décidément, ça confirme ce que Mélanie m’a dit un jour, mais je ne savais pas que mon gendre
était un chaud mâle à ce point.
– Vous parlez de mes performances sexuelles ?
– Un jour, j’ai dit à Mélanie que je l’entendais souvent crier au lit, qu’elle devait être un peu
plus discrète et c’est alors qu’elle m’a donné quelques détails de ton anatomie et bien d’autres
confidences, tu serais étonné de savoir ce que je sais ou que j’ai déjà vu… bref Mélanie et moi
avons toujours été très complices.
– Et elle t’a plu… « mon anatomie » ?
– J’espère que ce ne sera pas la seule fois.
– Tu vas le lui dire que l’on a baisé ensemble ?
– Je suis même sure que cela va lui plaire, mais toi, tu ne lui dit rien!

Après qu’elle m’a essuyé, elle ramasse ses vêtements qu’elle avait jetés à terre. Je ne sais pas si elle
a fait exprès, mais elle s’est courbée juste devant moi, moi qui avais encore toujours une érection.
J’ai immédiatement présenté ma queue devant sa chatte

– Hoooo c’est pas vrai, encore ???

Et ma queue est entrée sans aucune résistance dans sa chatte.

– Attend, on retourne au lit
– Ouiiiii, je vais te prendre par derrière

Ma queue dans sa chatte, on est allé dans sa chambre, elle s’est mise à quatre pattes et j’ai laminé sa
chatte pendant quelques minutes en lui donnant des longs coups de queue. A chaque fois que ma
queue reculait, elle drainait du sperme et de la cyprine. Le tour de sa chatte ainsi que mes poils
étaient maculés de blanc.
Ses jambes se sont mises à trembler et j’ai compris que l’explosion était proche. J’ai accéléré mes
mouvements et tous deux avons criés de plaisir. Elle s’est laissée tombée sur le lit mais je n’ai pas pu
suivre à cause de mes plâtres. Ma queue remplie de sperme pendait dans le vide et des gouttes
tombaient à terre.

– Je vois le sperme couler de ta chatte.
– Tu en as mis tellement que cela va me couler le long des cuisses pendant le restant de la journée

Avec la douchette, elle m’a rincé la queue, qui ne s’est plus redressée et elle a fait de même pour sa
chatte.

Nous avons encore eu d’autres aventures aussi torrides.

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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