Cette fois c’est bon, je vais pouvoir jouir de ma petite sœur adorée autant que je veux. Je me lève et la fixe dans les yeux quelques secondes. Est-ce de l’excitation ce que je vois briller ?
Je l’embrasse et nos langues s’entremêlent. Tout en me collant à elle je plaque mes mains sur ses fesses et les caresses. J’en profite aussi pour resserrer encore plus mon étreinte. Je veux qu’elle sente ma virilité le long de sa cuisse, qu’elle voit combien je la désire.
Nous continuons à nous embrasser quelques minutes mais il est temps maintenant de passer aux choses sérieuses.
– Enlève ton débardeur sœurette.
– Pas ici, proteste-t-elle. Et si les parents venaient ici.
– Allons, tu oublies déjà notre marché ? Ne dois-tu pas être habillée comme je le désire ? Pour les parents, tu as oublié ce que m’man a dit tout à l’heure. Ils ne souhaitaient pas s’écarter du chemin.
Elle obéit finalement et relève lentement son débardeur. Je vois peu à peu sa poitrine apparaître dans un soutien-gorge blanc.
– Libère tes seins maintenant.
Elle comprend qu’elle n’a pas non plus le choix. Elle passe ses mains dans le dos et défait son soutien-gorge qu’elle laisse glisser et qui tombe à terre. Ses seins m’apparaissent maintenant nus. Ils sont bien ronds. Les tétons tendent vers moi, signe qu’elle doit apprécier la situation d’une certaine manière. Mes mains empoignent maintenant ses seins et commencent à les caresser, puis à les malaxer et même à agacer ses tétons. Ma bouche plonge alors sur sa magnifique poitrine et embrasse cette si douce peau. Je dépose quelques baisers, puis des coups de langue sur ses tétons. Je la sens frissonner.
– Maintenant, ma sœur chérie, il est temps de me montrer tes talents.
Elle comprend ce que je désire et se met à genoux. Elle caresse la bosse formée sur mon pantalon puis ouvre ma braguette. Elle descend mon pantalon, descend ensuite mon caleçon. Ma bite surgit alors et se tend à quelques centimètres de son visage. Elle la prend en main et commence doucement à me branler. Elle approche ensuite un peu plus son visage et ouvre légèrement sa bouche. Je peux sentir son souffle chaud sur mon gland et une goutte de pré-sperme s’échappe. Cette dernière est récoltée par un habile coup de langue qui manque de me faire défaillir. Après quelques nouveaux coups de langue, elle décide finalement de me mettre en bouche. Je vois une bonne partie de ma bite disparaitre entre les douces lèvres de ma sœur. Elle me pompe doucement tout en agaçant mon gland avec sa langue. Au bout de deux minutes environs elle me lâche et me regarde.
– Tu sais, la dernière fois. C’était la première fois que je sucer un gars.
– Je m’en suis douté sœurette.
– Et tu as aimé ?
– Bien sûr, sinon je ne t’aurais jamais demandé de recommencer. Tu t’es bien débrouiller pour une première fois.
– Merci, dit-elle en retenant un sourire.
Ma bite replonge entre ses divines lèvres. Je sens que je pourrais y passer des heures. D’ailleurs je vais y passer des heures maintenant que nous avons passé notre accord. Je me laisse aller aux vagues de plaisir qui m’inondent en pensant que je risque de connaitre souvent ce petit bonheur dans les jours qui arrivent.
– Tu vas encore m’obliger à avaler ta semence ? demande-t-elle.
– Peut-être. Aimerais-tu l’avaler ?
– Je ne sais pas, ça a un gout bizarre. Fais comme tu veux Nico. J’avalerais le sperme de mon grand frère si c’est ce qu’il veut.
– Oui, c’est ce que ton grand-frère veut.
– Ainsi soit-il !
Et la bouche de Maude replonge sur ma bite dressée. Elle me lèche la bite sur tout le long et me suce le gland. Elle a prit déjà un peu plus d’assurances depuis la dernière fois. Une main att**** mes bourses qui pendent et les masse tandis que l’autre main me caresse le bas-ventre.
Elle me lance des regards curieux pour surveiller l’évolution de mes réactions. Je l’incite à continuer d’un sourire ce qui la fait accélérer la cadence. Mon dieu, que c’est bon !
Toutes ces sensations qui grimpent en moi me rendent vraiment dingue. Ma demi-sœur me rend vraiment dingue. Cette situation est incroyable. Les vagues de plaisir me submergent et me font perdre la tête. Je n’ai conscience de rien d’autre que de la pression des lèvres de Maude sur ma chair et du doux frottement de sa langue. Plus rien autour n’existe. Il n’y a que moi et Maude. Les arbres, les buissons, les rochers, tout ça n’a plus d’importance. Nous pourrions être en ce moment dans une rue bondée de personnes que ça ne changerait rien, que je ne ferrais pas plus attention à ce qu’il y a autour.
Je sens que je vais bientôt céder. La pression est dorénavant trop forte. Mes jambes tremblent. Soudain, je m’abandonne et décharge ma semence dans la bouche de Maude. Elle semble avoir du mal à tout avaler. Je m’affaisse sur le rocher et puis nous nous regardons dans les yeux quelques longues secondes de silence.
***
Ce fut la première d’une longue série de fellations que me prodigua ma très chère sœur. Maude a tenu ses engagements sans jamais se plaindre, ou très peu. Je l’ai amené ainsi toujours plus loin. Au début, je me suis contenté de lui « offrir » ma bite le soir après les cours quand nous étions seuls dans sa chambre. Mais peu à peu, je me suis mis à exiger plus d’elle. Je lui ai demandé de porter des tenues de plus en plus sexys et je l’ai convaincu même d’abandonner de temps en temps les sous-vêtements, parfois la journée au lycée, parfois chez nous. Elle s’est montrée réticente au début mais je lui ai rappelé notre marché. J’ai bien remarqué, quand je passais discrètement ma main sous sa mini-jupe lorsque nous discutions avec des amis au lycée, ou lors des repas de famille à la maison, que la situation l’excitait beaucoup, bien qu’elle n’ait jamais voulu vraiment l’avouer. Sa chatte humide le faisait pour elle.
Elle m’a sucé tous les jours, parfois plusieurs fois dans la journée et je dois dire qu’elle est devenue rapidement très douée. Que c’est bon de pouvoir se faire sucer par sa petite sœur à volonté !
L’une des pipes les plus mémorables a été un soir dans le bus scolaire en rentrant de cours. Nous nous sommes installés vers le fond et très vite, les rangs devant nous se sont désertés au fur et à mesure que les autres élèves descendaient. Une idée a très rapidement germée dans ma tête et je lui ai demandé de me sucer. Elle a protesté un moment mais elle a fini par céder et a plongé sa bouche sur ma bite que je venais de sortir de mon pantalon. Je ne fus pas long à jouir et elle a avalé toute ma jouissance comme c’était devenu son habitude.
Une autre fois, lors d’un repas de famille au grand complet, elle s’est absentée pour aller aux toilettes et au moment de sortir elle m’a découvert derrière la porte. Je suis entré à mon tour, ai fermé la porte à clé derrière moi et lui ai ordonné de s’agenouiller. Cette fois, elle n’a pas protesté. Faut dire, ça faisait déjà une demi-heure qu’on se chauffait en se caressant nos sexes sous la table. La situation était très excitante, elle était en train de me sucer tandis que nos oncles et tantes, cousins, cousines ainsi que les grands parents étaient en train de manger dans la salle-à-manger. Il nous a fallu faire vite au risque que notre absence éveille les soupçons. J’ai passé ma main derrière sa tête pour la tenir est ai commencé a donné quelques légers coups de rein afin de lui imposer mon rythme. Je lui ai donc baisé la bouche, mais sans v******e. Heureusement, l’excitation liée au risque de se faire démasquer m’a fait jouir une nouvelle fois rapidement. J’ai expulsé plusieurs longs jets de sperme sur son visage et ses seins. C’était la première fois que j’éjaculais sur sa tête, elle ne s’en est pas plainte.
Et il y a eu aussi cette fois où j’ai convaincu mon beau-père de nous déposer, Maude et moi, au ciné pour aller voir un film. Après avoir acheté les places, j’ai dis à Maude d’aller enlever ses sous-vêtements (qu’elle portait ce jour-ci) dans les toilettes tandis que j’allais choisir des places dans la salle. J’avais bien l’intention de réaliser un de mes vieux fantasmes. J’ai choisi une place vers le fond et sur le côté droit, histoire de ne pas être trop embêté par les voisins. Ma sœur m’a rejoint peu après tandis que s’installaient d’autres personnes. Une mère et sa fille sont venus se posées dans la rangée juste devant nous. La fille devait être un peu plus jeune que Maude. Quoi qu’il en soit, j’ai décidé de ne pas me laisser importuner par les présences de ces gêneuses et dès les lumières éteintes, mes mains sont parties à l’exploration du corps de ma sœur. J’ai vu rapidement qu’elle m’avait obéit en ôtant ses sous-vêtements. Nous nous sommes embrassés pendant que les premières minutes du film se déroulaient, puis je lui ai murmuré à l’oreille de me sucer. Elle m’a fait signe qu’il y avait du monde devant nous mais je n’en avais rien à faire. Elle l’a comprit quand elle m’a vu déboutonné mon pantalon et sortir mon sexe. Elle a donc commencé à doucement me lécher le gland. Après plusieurs minutes, j’ai vu la jeune fille de devant se retourner et jeter un œil. Quand elle a comprit ce qu’était en train de faire Maude, elle s’est vite retournée. Puis, plus tard, alors que Maude était encore occupée à me donner mon plaisir, la fille de devant s’est levée pour aller au toilette. J’ai bien vu qu’elle nous a fixés du regard quelques secondes. Elle devait être surprise par le spectacle qu’on lui offrait. Bref, tout cela m’a bien excité et j’ai fini par libérer ma semence dans la divine bouche de ma sœur.
Pendant ce temps là, au lycée, Mélanie, la copine de Marc, a retenté plusieurs fois de me chauffer pendant les cours mais bizarrement, contrairement à la fois dernière, cela ne m’a pas fait grand-chose. Ce que je vis en ce moment avec ma sœur dépasse tout ce que j’aurais espéré. Je ne ressens absolument pas le besoin d’aller voir ailleurs. Je me sens bien avec ma sœur, c’est tout ce qui compte. Mélanie ne manque assurément pas de charme. Elle est très belle et très excitante, mais curieusement, ses tentatives de m’att****r dans ses filets ne m’atteignent plus.
Avec tout ça, nous arrivons aux vacances de la Toussaint. Comme nos parents travaillent, je me retrouve seul avec Maude toute la journée et je compte bien en profiter.
Nous sommes tous les deux enlacés sur son lit les yeux dans les yeux. Soudain, Maude brise le silence.
– C’est mal ce que l’on fait tout les deux, n’est ce pas ? me demande-t-elle presque en murmurant.
Je n’ai pas à demander de quoi elle parle pour le savoir.
– Disons que c’est en général mal vu, pourquoi ?
– C’est de l’i****te n’est-ce pas. Sucer son demi-frère, c’est de l’i****te. On n’a peut-être jamais couché ensemble, mais ça reste de l’i****te. Ce n’est pas pour rien que c’est mal vu. Peut-être, aurions-nous du ne jamais commencé…
Si je comprends bien, Maude a des remords.
– Tu regrettes sœurette ? Tu voudrais mettre fin à cela ?
– Il est trop tard pour faire marche arrière maintenant, déclare-t-elle. Nous sommes allés bien trop loin…Et, je dois dire, que malgré le fait que ce qu’on fait soit mal, j’aime ça.
– Vraiment ? fais-je étonné.
– Oui Nico, j’aime être à ton service, j’aime sentir ta bite investir ma bouche dès que t’en a envie, j’aime sentir ton sperme gicler dans ma gorge, j’aime être à ta merci, que tu me fasses gouter ton sexe dès que tu le désires, que tu promènes tes mains sur mon corps et que tu les introduises où bon te semble. J’aime que ce soit moi qui te donne du plaisir. J’aime faire tout ça pour toi.
Et bien, quels aveux ! Si avant je me demandais si elle y prenait goût, maintenant j’en ai la confirmation.
– J’avoue que j’ai un peu exagérer avec l’histoire de ces mecs qui m’emmerdaient, reprend-t-elle. Je crois, qu’au fond, je voulais que tu m’obliges à faire de moi ta petite pute. J’avais peur de faire le premier pas alors je me suis placé en position de soumission, pour que tu m’imposes de faire ce que je n’osais pas.
Je n’en crois pas mes oreilles. Et moi qui pensait l’avoir manipulé mais en fait c’était plutôt l’inverse. Bien évidemment, je ne lui en veux pas le moins du monde, bien au contraire. Il n’en faut pas plus pour me faire bander. En guise de réponse, je l’embrasse et commence à caresser sa poitrine délicatement. Tandis que nos langues s’emmêlent mes mains descendent plus bas, caressent son ventre, puis ses fesses et enfin s’engouffrent sous sa petite jupe pour atteindre une vulve humide. Elle frémit lorsque mes doigts câlinent ses lèvres intimes. Un doigt plonge à l’intérieur bientôt suivi par un second. Maude me lâche la bouche et commence à gémir. J’en profite pour embrasser et lécher ses deux magnifiques seins. Puis, pris par une soudaine impulsion, je me positionne la tête au dessus de ses cuisses.
– Que fais-tu ? me demandes-t-elle surprise.
– Je me rends compte que je me suis montré bien trop égoïste. J’ai envi de t’offrir tout ce que tu m’as déjà donné.
Je l’installe bien sur le dos et lui dit d’écarter les cuisses que je commence à masser délicatement. Je dépose quelques baisers sur ses cuisses de plus en plus proches de son sexe. Son odeur m’enivre. Ma langue engage un doux léchage sur son sexe. Elle parcourt ses lèvres et atteint le clitoris. Maude gémit de plus en plus fort. Sa main m’att**** les cheveux.
– Oh oui, c’est bon Nico. Continue !
J’introduis la langue dans son vagin et y récupère son savoureux nectar et retourne ensuite à son clitoris pour l’agacer, tandis qu’un doigt vient remplacer la langue dans son vagin.
Sa respiration se fait haletante, elle bouge de plus en plus et ondule du bassin. Un autre doigt rejoint le premier dans le bassin. J’accélère la cadence tandis que ma langue continue de s’acharner sur son clitoris. Mes doigts la fouille sans ménagement, de plus en plus vite et de plus en plus profond. Elle semble vraiment apprécier. Ils explorent sauvagement les moindres recoins de son vagin. Il y a de plus en plus de cyprine. J’ai l’impression d’avoir le visage inondé.
Maude gémit encore. Son corps vibre. Soudain, elle semble prise par de violents spasmes et elle lâche un léger cri, comme une plainte. Je crois que je viens d’offrir à ma sœur un orgasme.
Je relève la tête et observe son visage rougis par l’excitation. Elle semble reprendre son souffle. Elle me jette un coup d’œil, toute souriante.
– Merci Nico. C’était délicieux.
Je plonge sur son visage et l’embrasse langoureusement, lui faisant partager son goût. Ma queue est toujours terriblement dure. Elle m’en fait mal. Maude me la caresse doucement et me regarde avec une étrange lueur dans les yeux.
– Tu peux me baiser si tu veux, laisse-t-elle échapper.
– Je croyais que tu voulais offrir ta virginité à celui que tu aurais choisi, lui rappelle-je.
– C’est ce que je fais Nico. C’est toi que je choisis.
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