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Le chemin de l’école partie 6

Le chemin de l’école partie 6



Quand je me réveille, il a déjà quitté la pièce. Seule au milieu de ce lit qui n’est le mien, je culpabilise. Je m’en veux terriblement d’avoir fait ça à Romain. En même temps je ne regrette pas les instants que j’ai vécu avec Thomas : on a passé une bonne soirée, j’ai pris mon pied comme jamais, mais j’aime Romain. En descendant vers la cuisine pour rejoindre Thomas, je prends la décision ferle et définitive que cette nuit sera la seule, qu’on ne recommencera pas. Quand j’arrive à hauteur du bar, je vois une feuille pliée en deux portant mon nom. Je la déplie et lis les quelques lignes laissées de la main de Thomas :  » tu dois être affamée. Je suis allé chercher japonais. J’espère que tu aimes ça. Je reviens vite ». Des sushis au petit déj’ ? Il a craqué ou quoi ? Puis je vois l’heure sur le four : 12h40. Je pensais pas avoir dormi aussi longtemps. J’entends une portière claquer. Je jette un œil par la fenêtre : c’est lui.

Allez, il faut que je prenne mon courage à deux mains : après le déjeuner, je lui dirai que j’ai passé une nuit formidable, mais que ça ne se reproduira pas.

Quand il entre dans la cuisine, je suis debout à côté du bar. Il dépose les paquets sur la tablette et un baiser sur mes lèvres. Je trouve ça adorable, et j’en rougis. S’il le remarque, il ne dit rien. Il installe les repas sur la table basse et m’invite à m’asseoir sur le canapé. Nous mangeons en silence : je n’arrive pas à engager une conversation tant je redoute le moment où je vais mettre un terme à ces instants magiques. Il a doit ressentir mon malaise parce qu’il n’engage la conversation que lorsque nous avons fini de manger :

– Tu n’es pas bavarde aujourd’hui… ça ne va pas ?
– Si… enfin je sais pas trop… J’ai passé un super moment avec toi mais…
– Arrête, je sais ce que tu vas dire et je ne veux pas l’entendre. Tu peux me dire que tu aimes ton mec, que la nuit qu’on a passé était géniale mais qu’elle restera unique, je n’abandonnerai l’idée de t’avoir dans mes bras que lorsque j’aurais tout essayé ! Alors oui je vais te laisser aller rejoindre ton amie et ensuite retourner à ta vie avec lui, mais pas avant d’avoir fait ça.

Puis il retire les baguettes avec lesquelles je joue et se penche pour m’emmbrasser. Je sais que je devrais me reculer, le repousser, mais c’est plus fort que moi. Je suis irrémédiablement attirée par lui. Il ouvre le peignoir que j’ai enfilé en me levant. J’att**** son T-shirt et le tire vers le haut pour le retirer. Je le pousse arrière pour qu’il s’allonge sur le canapé, fais courir ma langue de la naissance de son sternum jusqu’à son nombril, j’ouvre son pantalon et le lui enlevé en même temps que son caleçon. Je n’en reviens toujours pas de la taille de sa queue. Je commence par déposer de petits baisers le long de sa verge puis sur ses testicules. Je remonte vers son gland du bout de ma langue. Il att**** mes jambes pour que je vienne placer ma chatte sur sa bouche. Il commence par embrasser l’intérieur de mes cuisses en caressant mes fesses. Puis sa bouche remonte jusqu’à embrasser mes lèvres intimes très délicatement. Ensuite il parcourt mon intimité du bout de sa langue, en allant et venant de mon clitoris gonflé par le désir jusqu’à mon anus. Il continue ainsi alors que je le suce de plus en plus fort.

Ce mec me fait des choses que je ne pensais jamais vivre. Il a vite compris que la clef de mes orgasmes est mon clitoris. Il joue avec celui ci passant des tendres léchouilles aux suçotements appuyés, voire aux morsures exquises. Il parvient à me faire jouir deux fois juste avec sa langue. Puis il me fait descendre du canapé et me conduit jusqu’à la table de la salle à manger. Il me fait poser le haut du corps sur le plateau froid et écarte mes jambes pour que je tende mon cul vers sa queue durcie. Il m’att**** par les hanches et enfonce sa bite au plus profond de ma chatte en feu. Il me baise comme une chienne et j’aime ça. J’aime qu’il me domine et mène la danse. A chacun de ses coups de reins, mon clitoris cogne contre le bord froid de la table. C’est sensation est un pur délice.

Il me demande de pendre appui sur mes mains afin que je redresse le torse et lui laisser libre accès à mes seins. D’abord il les caresse tendrement mais ses mains deviennent vite plus brutales : il ne les caresse plus, il les serre dans ses mains. Puis il att**** mes tétons entre ses doigts. Là aussi il commence par des gestes tendres en les faisant délicatement rouler entre ses index et ses pouces pour les faire durcir. Quand ils pointent bien, il les pinces de plus en plus fort et les tire pour me faire pousser des petits cris. Cette torture conjuguée à sa queue me martelant me fait jouir avec force une nouvelle fois. Il se retire alors vivement pour venir placer sa bouche sur ma chatte et boire mon jus.

Quand il se redresse, je le pousse jusqu’au canapé et le fais s’asseoir. Je lui écarte les jambes et vient me mettre à genoux devant lui. Il se laisse aller en arrière quand je prends sa queue en bouche. Il a le respect de ne pas appuyer sur ma tête quand je le suce. Il me laisse gérer le rythme et je prends un malin plaisir à varier les vitesses, à alterner entre fortes sucions et petits coups de langue. Alors qu’il tente de faire me revenir à lui pour me pénétrer à nouveau, je lui fais non de la tête. Je reprends mon action, agrippant son membre de ma main droite pour le branler tout en le suçant jusqu’à ce qu’il me gicle dans la bouche. A chaque spasme, je sens une nouvelle vague de sperme jaillir entre mes lèvres que j’avale goulument.

Nous passons le reste de l’après midi blottis l’un contre l’autre, nus sous une couverture polaire à regarder des séries à la télé. Vers dix-sept heures, c’est avec un pincement au cœur que je l’embrasse légèrement pour lui dire au revoir. J’espère ne croiser personne en sortant de chez lui. Sur le trajet jusque chez Sandrine, je pense beaucoup à ce que j’ai vécu avec Thomas. C’est génial, mais il ne faut pas que ça recommence. Je ne peux pas faire ça. Déjà que je « trompe » Romain avec Sandrine, je ne veux pas rajouter un inconnu à l’équation. Mais il est tellement adorable ce papa, et il l’air têtu… je ne peux pas compter sur lui pour m’aider à résister à la tentation, c’est lui la tentation.

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