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une soirée pas comme les autres

une soirée pas comme les autres



Il est 20h, ce soir de décembre. Je rentre d’une réunion associative en voiture. Je suis seul, ma femme m’attend à la maison, je l’avais prévenue que je rentrerais pas avant 22 h. La réunion, par manque de participants n’aura duré qu’une demi-heure. Personne dans cette ville 2000 habitants. Le feu passe au rouge, je m’arrête… en écoutant nostalgie. Je viens d’avoir 69 ans. Un coup a la vitre de la voiture me fais sursauté. Un jeune homme me regarde. Je baisse la vitre.
– Vous pouvez me déposer chez moi, s’il vous plait, je suis a pied.
– Bien sur, monte.
Le gamin, était à la réunion. Il est jeune, juvénile, cheveux courts. Un grand pull trop long pour lui
– tu habites où ?
– Dans les H de la rue Neuve.
– Oui je vois.
Le feu passe au vert et je démarre. Pas un mot jusqu’à son quartier.
– Laissez moi là, je suis dans le bâtiment en face.
J’arrête sur un parking
– Je ne sais comment vous remercier.
– Pas de problème. Ce n’est pas loin.
Je le regarde, il est assez mignon, avec un joli sourire. Je pose ma main sur sa cuisse.
– Allez bonne soirée mon bonhomme.
– Bof vous savez je ne suis pas pressé, mes parents ne m’attendent pas avant 10h.
– Ma femme aussi, mais on ne vas pas rester à ce geler dans la voiture pour attendre 10h à discuter.
– Oui si vous voulez, on peut discuter dans le sous sol, c’est tranquil, il n’y à personne à cet heure.
– Ben, c’est-à-dire que…
– Que… Moi j’aime bien discuter avec les papys comme vous.
– Ah !
Le gamin pose sa main sur ma cuisse.
– Si vous voulez, je vous fais une petite pipe, j’aime bien
– Mais tu me dis ça comme ça, sans me connaître ?
– Ben oui, vous auriez pas fais le premier pas et j’ai envie de sucer un homme mur.
– Et tu fais ça souvent ?
– Non, mais je l’ai déjà fais et j’aime bien. Allez venez vite.
Il sort de la voiture. Je le regarde. Et si c’était un piège… Il est bien jeune pour faire cela comme ça. Mais l’envie de cette jeune bouche est plus forte. Je sort de la voiture, ferme la portière et commence a le suivre a distance sur mes gardes. Il entre par une porte dans l’ombre d’un escalier. Allume une pile, me fais signe de le suivre dans un long couloir. Il ne fais pas froid. Il ouvre une porte avec une clé et entre. Je le suis. Il ferme la porte et allume la lumière d’une vieille ampoule. Il remballe sa pile électrique et me dit.
– Je viens ici des fois avec les copains, c’est le cellier de mes parents, ils y viennent jamais.
– Ah et tu fais quoi ici à ton age ?
– Ben… on se branle, on se suce et des fois quand je peux, j’invite des gens comme toi, mais c’est rare, mais tu me plais et j’ai très envie.
En disant cela il a ouvert ma braguette et plongé sa main dans mon slip. Ma bite est encore molle, mais sous ses jeunes doigts elle gonfle vite. Il la sort et se met a genoux. Il caresse mes couilles pendantes, descends mon pantalon, remonte mon pull, regarde ma bite mi molle et ouvre sa bouche. Il m’embouche comme un pro, ce n’est pas la première fois et il suce a fond. Enfonçant ma bite au fond de sa gorge, aspirant, caressant mes boules, la jeune pute aime cela et ça se sent. Il lâche ma bite pour lécher mes couilles, passe sa langue dessous. Je me retourne, me penche en avant pour lui offrir mon cul a son regard. Il plonge sa tête, écarte mes fesses et passe sa langue sur mon anus. Ma bite et gonflée, je me retourne, il saute dessus et l’embouche de nouveau. Pendant un bon quart d’heure il va me lécher. Je lui demande d’arrêter, car j’ai envie de jouir. Il me demande de jouir dans sa bouche. Ce que je fais, lui tenant la tête, la bite au fond de la bouche, je gicle. Je ne le lâche pas et il avale goulûment.
Il se relève, les yeux excités, la langue sortie, il me montre qu’il a tout avalé. Je le traite de jeune salope. De petit enculé. Il rigole.
– Salope ok, mais pas enculé… pas encore. Mon ptit cul est vierge et je ne veux pas encore être enculé, on verra ça plus tard.
– Pas de problème, ma petite salope. Déballe moi ta bite, je vais te sucer aussi, pas de raison.
– Oh oui monsieur, sucez moi, j’ai aussi envie de jouir.
Il défait son pantalon, le laisse tomber au sol. Le balance plus loin. Il retire son pull, il est juste en slip, en chaussettes et baskets. Je caresse la bosse de son slip, lui veut m’embrasser. Je lui tends mes lèvres, il me prend la bouche et la fouille de sa langue. Elle sent le sperme. Ca m’excite… ma main glisse dans le slip et enserre sa jeune bite fine. Je la serre très fort. J’ai envie de la sentir dans ma bouche. Il se recule, défait son slip et me tends sa jolie bite. Je ne vais le sucer que quelques instants, il jouit très vide, un foutre clair, que je me dépêche de mettre en bouche, puis a mon tour tout en le masturbant encore, je lui tends ma bouche qu’il prend, je lui redonne son foutre qu’il avale de nouveau.
– C’est la première fois que j’avale mon sperme. Et vous savez me faire jouir, c’est mieux qu’avec les copains ou les filles de l’immeuble. J’ai envie de recommencer.
– Alors je vais te branler, tu jouira dans ma main et tu léchera ton sperme petite pute.
– Oui Monsieur, je suis votre putain et je vais jouir dans votre main et tout nettoyer. Branlez moi fort Monsieur.
Je lui caresse les fesses, les écartes doucement en le caressant d’une main. De l’autre je branle sa queue qui est de nouveau toute dur. C’est beau d’être jeune, ça durci vite. Je le sens se raidir, déjà il va jouir, je n’ai que le temps de tendre ma main sous sa bite. Le sperme coule dans ma paume, je serre sa queue qui se vide jusqu’à la dernière goutte. Je lui tends ma main, qu’il saisit. Il la porte à ses lèvres et aspire son sperme. Sa langue nettoie ma paume et en quelques instants, c’est clean. Je continue de le branler doucement en passant mon pouce sur son gland. Il me sourit en tremblant.
– Putain, j’ai joui comme jamais. Ok que c’est bon de ce faire branler par un homme.
– Tu sais les femmes branlent aussi bien a petite salope !
– Oui mais les vieux m’excitent. J’adore regardez sur Internet des vieux salops avec leurs grosses couilles qui pendent et leurs bites molles.
– Alors tu es un peut comme moi, car j’aime ce qui pends aussi.
Je regarde ma montre, il est presque 22h. Il va falloir que j’y aille. Je réalise ce que je viens de faire avec lui.
– On ne se réalise plus, ok, il faut garder cela pour nous. C’est petit ici, tout le monde ce connais, faut pas d’emmerdes.
– Ok compris Monsieur, on se reverra à la réunion dans trois jours ?
– Oui bien sur, a la réunion et soit sage en attendant.
– Je sens que je vais faire de beaux rêves.
Il s’approche de ma bouche me tends sa langue en caressant ma braguette.
– J’ai encore envie
– Chut, calme toi.
Lui dit je en tâtant sa bite qui re-durci déjà. Il faut rentrer chez toi et moi chez moi. Je lui tends son pantalon en empochant son slip.
– Ce sera mon cadeau de souvenir.
– Et moi j’ai quoi comme souvenir ?
– Cette soirée.
Je repars vers le couloir sombre en espérant de ne rencontrer personne. Je traverse la rue, monte dans ma voiture et démarre. Je regarde vers l’escalier. Il est là. Puis monte les marches et rentre dans le petit immeuble.

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