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Domination d’une servante

Domination d’une servante



J’avais rejoint à Cherbourg comme il me l’avait demandé. Maître avait réussi à maîtriser son excitation toute la journée. D’une part il craignait d’être en retard à cause des gréves de ces fainéant de la SNCF. Il m’avertit qu’il rentrerait tard et comme il en était contrarié, il me punirait. Lorsqu’il arriva dans la chambre, je l’attendais soumise en position. Le maître paru satisfait du résultat. Il s’approcha de moi, me caressa le visage, mit un doigt dans ma bouche entrouverte, puis me gifla d’un coup sec. Je lui demandais la raison de la gifle.
« A cause de toi salope, j’ai bandé pendant la conférence, ce qui a diminué mon attention professionnelle. »
Il défit sa braguette, sortit son sexe et s’approcha de ma bouche que j’ouvris docile. Il me baisa la bouche et déchargeât son breuvage masculin. Lorsque la dernière goutte fut avalée, je lui nettoya le gland trop consciencieusement, à tel point que la verge se gonfla à nouveau.
«  Redonnez moi à boire votre nectar, maître »
Il fit semblant de ne pas avoir entendu et lui me fit signe d’aller sur le lit. Lorsque je fut agenouillée le cul bien positionné, j’ouvris mes fesses et sentit le gland du maître forcer l’entrée étroite. Je demandais à mon maître la permission de prendre une douche ; il refusa et me dit :
« Tu va subir ta punition maintenant. Tu suceras les clients de l’hôtel qui en auront le désir. »
Maître fit une petite pancarte sur laquelle il inscrivit :
Je suis une salope qui adore sucer!-
Il accrocha le tout à mon cou de soumise. 
Je sorti de la chambre, à quatre pattes, la pancarte autour du cou, et déambula à l’étage.
 
J’étais horriblement gênée et avait peur mais mon maître surveillait, sur le pas de la porte. 
Un homme passa, lu, l’écriteau et se mit à rire. Un homme s’arrêta et réfléchit mais s’en alla. Un jeune couple sembla intéressé. L’homme s’approcha du maître et lui demanda :
« c’est une plaisanterie ?
Le maître lui répondit :
« Ma chienne adore faire des pipes. Elle est à la disposition de tout le monde. »
Il fit entrer le couple, ainsi que sa chienne dans la chambre.  
« Pendant que ma chienne vous sucera, je baiserai votre salope. » dit le maître.
« Avec grand plaisir mon cher. Elle est à votre disposition. »
Je suçais avec tout mon art afin que mon maître fut fier de moi. Lui, encula si fort la femme qu’elle hurla de plaisir et de douleur. Lorsque le couple nous quitta, maître s’approcha de moi sa soumise et me caressa  tout en me félicitant. L’homme avait laissé une invitation. C’était un châtelain et il souhaitait notre présence lors de son retour au château.
Mon maître et moi nous y rendâme. Il y avait effervescence au château. L’ambiance était très médiévale. Maryaline, la jeune soubrette, était en transe. Elle n’avait jamais vu le seigneur mais était amoureuse de lui après avoir entendu ses exploits sexuel. Il avait fière allure, avec un regard ténébreux. Mon Maître et moi admirions cette Maryaline. Elle était resplendissante du haut de ses 18 ans et mon Maître imaginait déjà tous ce qui pourrait lui faire subir avec moi. Célestin, le vieil intendant du château, vint la houspiller :
« Petite cruche, la chambre de Monsieur et de nos hôtes ne sont pas prête et toi tu reste là à rêvasser ? Tu mérite une bonne punition. On verra çà tout à l’heure ! »
Elle lui répondit :
« Je ferais çà tantôt Monsieur. »
Cette petite n’était pas très obéissante et mon Maître eu un sourire qui en disait long sur son envie de la corriger lui même. Célestin lui servait de parrain, mais elle le rendait fou par son insolence et son manque d’ardeur au labeur.
Célestin lui cingla les fesse avec sa cravache en lui disant :
« Tu prépare immédiatement les chambre et rempli la baignoire du maître afin qu’il puisse se détendre à son arrivée ! »
Il fini sa phrase en lui cinglant le cul une deuxième foi faisant pleurer la pauvre enfant. Mon Maître ne put s’empêche d’applaudir devant ce superbe spectacle. Mais Maryaline, l’effrontée, lui tira la langue et s’enfuit dans la campagne. Décidément cette petite méritait une sévère correction. Célestin rattrapa La sauvageonne qui riait à gorges déployées. La rage submergea Célestin. Il lui souleva sa jupes et commença à la fesser. Les coups pleuvaient mais la diablesse ne demandait pas grâce et continuait à rire. Il augmenta la force de sa main et l’on pouvait voir les fesses roses de Manon virer au rouge écarlate. Célestin s’arrêta un moment essoufflé. Entendant le bruit de la voiture du seigneur approcher, elle se mit à crier :
« Au secours. Arrêtez ! Je vous en supplie ! … Pitié ! … Je n’en peux plus !»
La voiture stoppa à leurs hauteur :
« Mais que se passe-t-il donc ici ? Pourquoi tel spectacle devant mes hôtes ?»
 Aussitôt, Maryaline se cambra de façon à montrer davantage ses fesses. Célestin, aussi rouge que l’étaient les fesses de la demoiselle, s’expliqua.
« Si tu n’es pas très obéissante, c’est que tu n’as pas été dressée correctement. Je veux que tu me donnes le bain dans une heure ! Tu m’expliquera ta désobéissance et mes amis déciderons de ton châtiment ! »
A ce moment-là Maryaline, toujours les fesses à l’air eu un sourire se disant qu’elle avait gagné les grâces du seigneur. Mais elle ne pouvait s’attendre et imaginer ce qu’il l’attendait. Mon Maître était au ange. Ils allaient bien s’amuser avec cette soubrette et je savais que je ferais partie du jeux. De retour au château, Maryaline s’activa dans la chambre du maître puis l’attendit. Lorsqu’il entra dans la pièce accompagné de mon Maître et de moi même, Maryaline se sentait aussi petite qu’une souris. Le seigneur s’assit et demanda d’un ton ferme à Maryaline :
« Otes mes botte et mes habits de voyage ! »
Elle s’acquitta de sa tâche avec maladresse tant elle était troublée. Lorsqu’il fut nu, il lui dis :
« Met toi nue que mes hôtes pisse te contempler à souhait ! »
Elle devint rouge mais s’exécutât et nous dévoila ses charmes. Ses fesses étaient encore rouge de la cuisante fessée et mon Maître en sourit.
Le seigneur grimpa dans la baignoire et demanda à la servante :
« Lave-moi petite gourde ! Ensuite tu t’occupera de mes amis ! »
Maryaline docile et fébrile, se mis à le laver. Elle avait déjà vu d’autres hommes nu mais le seigneur s’était différemment et en plus être nue et le faire devant ces inconnus la rendait très mal à l’aise. Son regard se posât sur le sexe du seigneur. Elle eût un petit mouvement de recule. Son sexe paraissait démesuré.
« Tu n’en a jamais vu d’aussi grosses Maryaline ? Tu y goutera tout à l’heure ! Pour l’instant pendant que je me lave, montre nous ton cul rougi par la fessée de Célestin et cambre bien ton cul! »
Allongé dans le bain, il se délectait du spectacle.
« Mes amis, que dites vous de cette gourgandine ? »
« Elle semble bien agréable mon cher ami et elle me donne l’envie de la sauter dans cette position. »
« Maryaline ! As tu souvent été fessée et ce que ressens tu à ce moment-là. ? »
« C’est la première fois que la chaleur provoquée par la fessée irradie tout son corps. »
« On peut avoir beaucoup de plaisir à recevoir des punitions corporelles et mes amis et moi allons te faire découvrir des mondes inconnus. Met toi à plat ventre sur les genoux de mon hôte !»
A sa demande elle vint près de lui et se mit dans la même position que tout à l’heure. Mon Maître passa délicatement une main sur les fesses qui avaient perdu un peu de couleur. Un doigt s’insinua délicatement entre les deux globes. Maryaline eut un mouvement de recul. Elle reçu une claque sur les fesses.
« Connait tu le plaisir de la pénétration à cet endroit-là ? »
« Non Monsieur. »
Le seigneur, pendant que mon Maître s’occupait de Maryaline, me fît venir à lui. Il se mi à farfouiller et tripoter ma chatte sous ma robe me faisant émettre de petits gémissement de plaisir. Je sentais ma chatte couler sur sa main inquisitrice.
Mon Maître, lui reprit son exploration tout en continuant à lui parler. Un doigt vint pénétrer le conduit étroit de Maryaline.
« Sens-tu Maryaline mon doigt en toi ? Ferme les yeux et laisse-toi guider par le désir qui va poindre. Je t’ouvre, je rentre et sors. Je te prépare à la pénétration de ton seigneur. »
Maryaline respirait fort et découvrait quelque chose d’inattendu. Mon Maître remarqua qu’elle mouillait déjà. Il trempa deux doigts dans la vulve de la servante, puis les enfonça fermement dans son anus.
« Tu vois, petite oie blanche, maintenant deux doigts sont en toi qui écartent bien l’entrée, qui prennent possession de ton abri caché. Aimes-tu cela ? »
« Oui, Monsieur, j’aime ! »
En même temps, le seigneur s’occupait de mon trou du cul et y rentrant ses doigt sans douceur. Je grimaçais sous ces assauts mais docile le laissait faire pour le grand plaisir de mon Maître. J’étais là pour contenter le seigneur sans restriction et pour le plaisir de mon Maître. Maintenant trois doigts vinrent se glisser dans l’intimité de Maryaline qui haletait comme une chienne. « Veux-tu que j’arrête petite ? Dis cher amis Michèle vous convient-elle ? Son cul est il aussi accueillant que cette gourgandine ? »
« Elle est parfaite cher amis. »
« Alors,,,Tu répond petite garce ? »
« Je vous en prie, continuez ! J’en veux davantage ! Je veux recevoir mon seigneur comme il se doit dans mes fesses ! »
le seigneur alors de lui répondre, me mettant quatre doigts dans les fesses :
« Non, ma jolie soubrette. Aujourd’hui tu as fais la connaissance de l’investigation de ton anus par les doigts de mon ami. C’est lui qui te fera jouir et t’enculera pour me faire le passage. Je te baiserais quand j’en aurais décidé et lorsque tu seras à moi cérébralement. »
Mon maître reprit le jeu des va-et-vient avec ses trois doigts tout en lui massant le clitoris. Le plaisir fut si fort qu’elle en cria. Mon Maître retira ses doigts et les présenta à la bouche de la soubrette qui fit une moue dédaigneuse. Le seigneur lui dit :
« Tu dois apprendre à accepter tout ce que je te demande si tu veux connaître des délices inimaginables. Alors suce les doigts de mon ami ! »
Elle s’exécuta alors puis fit remarquer au seigneur qu’il n’avait pas joui et qu’elle en était triste.
Le seigneur abandonna l’investigation de mon cul et se leva de la baignoire, le sexe dressé bandant comme un âne.
« Crois-tu que mon ami se serait aussi bien occupé de toi si tes charmes n’avaient pas eu d’effet sur moi ? Regarde mon sexe ! Je vais te montrer à quel point tu as exacerbé mon désir et t’en remercier. »
Sur ces paroles, il me saisit la tête et porta ma bouche à son énorme chibre que je me mis à sucer avec gourmandise. « Fait de même à mon hôte. Regarde comme lui aussi à besoin de tes lèvres pour soulager sa raideur ! »
Maryaline un peu dégouté se mis à sucer mon Maître. Puis, quand il sentit la jouissance prête à exploser :
« Venez cher amis jouir avec moi sur cette petite salope ! »
Le seigneur sortit de ma bouche, il s’approcha de Maryaline qui continuait à pomper mon Maître et de concert, le seigneur déversa sur son visage des jets tièdes et blanchâtre alors que mon Maître se lâchait au fond de la gorge de la soubrette qui ocquetait et déglutissait péniblement cette liqueur crémeuse.
« Garde sur toi cette marque de mon affection jusqu’à demain. Je veux que tout le château sache que je t’ai béni de ma semence. Vas maintenant ! Je veux rester seul avec mes amis.  Nous continuerons ton éducation demain. Nous te ferons connaître le plaisir du fouet. Michèle ici présente en sera l’exemple avant ton tour. »
Une foi Maryaline parti, Je due m’occuper des deux hommes et leur refaire prendre vigueur.Ils me prirent à tour de rôle tout en me faisant rougir les fesses et se vidèrent en moi. Maryaline, quant à elle, ne dormit guère cette nuit là. Elle n’avait jamais ressenti pareille chose et avait l’impression d’être devenue une femme.Toute la journée elle s’affaira dans le château mais ses pensées vagabondaient sur la promesse d’une nouvelle expérience. A l’heure dite elle fut dans la chambre. J’étais attachée nue en croix aux montants à baldaquin du lit. Mon Maître et le seigneur l’attendaient debout, un fouet à la main. Lorsqu’elle vit l’objet, elle eut un sursaut d’appréhension. Alors, d’une voix ferme, il lui expliqua :
« La punition que tu va subir aprés la démonstration sur Michèle, n’en est pas vraiment une car tu va voir comme Michèle va jouir de la douleur que nous allons lui infliger. La douleur que tu ressentira se transformera en jouissance explosive. A genoux servante ! »
Elle s’agenouilla, comme il le lui avait demandé, et baissa la tête. Le seigneur s’approcha, souleva sa jupe à l’aide du manche du fouet, puis il recula.
« Regarde Michèle et apprend ! »
Le fouet commença sa danse. Des petits coups secs rapprochés, un coup long espacé d’un autre. Une foi mon Maître, une foi le seigneur. Je criais de douleur à chaque coup et mon corps se tordait sous les cinglades. Confusément le plaisir prenait le dessus sur la douleur et je sentais la cyprine couler sur mes cuisses. Je finis par hurler non de douleur mais dans un orgasme violent.
« Tu vois Maryaline comme Michèle a jouit ? A ton tour ! »
Je fus détachée et allongée délicatement sur le lit mon corps zébré des trace du fouet. Ils attachée Maryaline comme je l’avais été. Ils la palpèrent. Maryaline gémissait légèrement sous ces caresses. Puis vint le temps de la punition. Les coups se mirent à pleuvoir. Maryaline se tortillait sous la douleur cuisante des lanière mais serrait les dents pour ne pas crier. Quelques larmes s’échappaient de ses yeux. La douleur était insupportable. Le fouet s’arrêta 2, 3 minutes et les deux hommes en profitérent pour apprécier les traces sur la peau de la soubrette sans qu’une parole ne vienne perturber ces instants magiques. Puis reprit de plus belle les coups reprirent n’épargnant aucune parcelle de son délicieu corps vierge. La douleur devint insupportable alors qu’une lanière frappait un téton de sa jolie poitrine. Maryaline hurlât qu’ils cessent. Le fouet s’arrêta à nouveau. A ce moment-là Maryaline sentit une chaleur venu de son intimité et remonter tout le long de son corps. Un plaisir inattendu s’éveillait en elle. Le seigneur plongea sa main dans la moiteur de Maryaline. Sa main maculée de mouille me fut présentée et je léchais la mouille de cette jeune suppliciée avec délectation. Il me mis alors sa main dans ma chatte trempée et la fit gouter à Maryaline qui a son tour la léchât.
«  Veux-tu que j’arrête Maryaline ? »
«  Non, mon seigneur ! Continuez à me punir ainsi ! »
La pauvrette qui avait pris sur tout le devant du corps, allait subir la même chose mais côté pile. Mon Maître posa le fouet et prit un martinet. Les lanières caressèrent les fesses de la jeune servante qui haletait de plaisir et d’angoisse. Les lanières du martinet commencèrent à claquer sur le cul qui se trémoussait au rythme de la flagellation. Mon maître s’arrêta pour laisser la place au seigneur. Il sortit sa verge gonflée par le désir et se masturbait au dessus de moi alors que le seigneur fouettait Maryaline. Une jouissance commune les submergea tous deux. La semence jaillit sur le cul meurtri de Maryaline. Alors que mon Maître m’aspergeait le visage et les seins. Le seigneur détachât Maryaline et lui demanda :
« Retourne toi et va vers le grand miroir pour contempler mon chef d’œuvre. N’est il pas magnifique ton cul et ton dos colorées et magnifiquement zébrées, dédicacées par l’artiste ? »
« Seigneur, pourquoi ne me caressez vous pas ? »
Lui baisant les lèvres :
« Chaque coup de martinet ou de fouet sont la plus troublante des caresses et qu’elle ne devait jamais l’oublier. Demain je t’enverrai Celestin qui te donnera mes consignes. »
A contre cœur, nous dûmes quitter notre hôte mais il nous jura de nous faire part de l’évolution de l’éducation de Maryaline. 
Le lendemain Maryaline était à la fois heureuse et triste. Heureuse d’avoir été choisie et éduquée par le seigneur, triste qu’il ne souhaite pas la voir aujourd’hui. Le soir elle attendit dans sa chambre que Célestin vienne lui donner les ordres du seigneur et Maître. Célestin était là. Il entra et lui dit :
« J’agis au nom de notre seigneur. Il veux que tu t’éttende nue sur ton lit et que tu écarte tes cuisses pour que je puisse te pénétrer. »
Elle refusa, car elle voulait être fidèle à son Maître. Celestin la rassura et lui expliqua :
« Je dois dois te baiser par l’intermédiaire de notre Maître ! Se n’est pas vraiment moi mais lui qui te sautera par mon intermédiaire. Il n’y a pas d’infidélité puisque c’est notre seigneur qui le veut !  Tu dois accepter tous ce que le Maître souhaite. Être prise par un ou plusieurs hommes devant lui et même goûter aux sexes de femmes si tel est son désir. Dalleurs, le maître a dit que tu ne devais pas te refuser à ton amoureux Pierre. Le maître a toujours raison et il agit dans ton intérêt. Ce soir, ma queue va t’enfiler mais c’est celle du maître que tu sentiras en toi »
«  Celle du maître ? Je ne l’ai jamais eu en moi ! »
«  Et bien, ce soir, tu vas la connaître. »
Et ce disant, il la chevaucha et la pénétra d’un simple coup de reins. Maryaline fut ébranlée. Ses yeux étaient fermés et elle voyait le visage du maître penché sur elle. Quel prodige ! Elle joui très vite et son cri fut rejoint par le grognement de Célestin qui se répandait en elle. Il se dégagea presque aussitôt pour prendre un objet ainsi que la corde qu’il avait déposée sur une chaise. Il s’approcha de Maryaline et commença à lui attacher les poignets aux barreaux du lit, ainsi que les chevilles aux colonnes de lit. Elle était anxieuse mais se laissait faire. Célestin lui montra l’objet.
« Qu’est-ce que c’est ? On dirait une grosse verge ! » demanda-t-elle.
«  On appelle ça un godemiché. C’est la reproduction exacte de la hampe de notre seigneur. Il va te donner beaucoup de plaisir. »
Il s’assit à côté d’elle sur le lit et, sans précaution, commença à enfoncer l’engin dans sa chatte bien graissée. C’est très différent comme sensation que celle donnée par un sexe d’homme, pensa-t-elle. Par contre, l’excitation était aussi grande. Après avoir fait pénétrer le godemiché sur une bonne moitié, il commença à le faire aller et venir et elle commença à se tordre de plaisir.
«  Je n’en peux plus, c’est si bon… !!! »
Son corps tendu frémissait. Célestin retira l’engin brutalement. Manon le supplia de l’y remettre. Il s’exécuta en l’enfonçant à fond et se leva prestement :
«  Voilà. Il va rester planté là toute la nuit et demain matin ma queue prendra sa place. Dors bien ma jolie salope ! »
Maryaline dormit très mal. Attachée, elle ne pouvait pas bouger. Elle sentait l’objet la remplir entièrement sans pouvoir toutefois la satisfaire. Elle maudissait Célestin. Le jour arriva. Des servantes vinrent délivrer Maryaline et elle put se laver. Elle ne pensait plus à la promesse de Célestin. Le seigneur avait donné l’ordre de laisser Maryaline se reposer toute la journée. Comment pouvait-elle être fidèle à son maître en se faisant prendre par d’autres hommes ? Le soir arriva bien vite et Maryaline fut appelée et conduite dans la chambre du seigneur. Il n’était pas seul. Célestin était là. Le maître la remercia :
« Tu es très docile Maryaline et je suis très satisfait de tes prestations. Il va être temps de gouter à ma queue chère demoiselle. »
«  Serais je fouettée Seigneur ? »
« C’est un peu tôt car tu es encore marquée par la dernière flagellation.Célestin déshabillez moi cette jouvencelle ! »
Nue elle s’allongeât en travers du lit. Célestin introduisit son sexe et commença à se mouvoir en elle. Maryaline ouvrit la bouche et poussa un gémissement. Aussitôt le maître, d’un geste preste, y fourra son membre raide.
 «  Tu peux en prendre deux en même temps ma chienne ! Allez, suce Maryaline ! Goûte ton maître et régale-moi comme nous te régalons. »
Le valet la pistonnait à présent sauvagement. Dans la tête de la jeune fille, les sensations se bousculaient. Le sexe du maître devenait de plus en plus gros et dur dans sa bouche. Maryaline avait l’impression d’étouffer. Les deux hommes déchargèrent en même temps, ce qui provoqua la jouissance de la soubrette. Célestin quitta la pièce. Le seigneur s’assit dans un fauteuil face à Maryaline.
«  Nous avons à discuter ma chère. Tu as réussi les premières étapes de ton dressage. Veux-tu m’appartenir corps et âme ? »
« Oui, mon seigneur et maître. Je le désire ardemment. »
« La dernière étape est la plus difficile. Si tu m’obéis, je te ferai ma chienne de compagnie. Célestin t’en a parlé hier. Tu dois te donner à d’autres hommes selon mon désir ou mon accord. Es-tu d’accord ? »
«  Oui maître. »
« Dis-moi, Maryaline. Y a-t-il un homme ou une femme qui te fasse horreur ? »
«  Oui, maître. Dans le village on l’appelle le monstre tellement il est laid et sale. Il travaille dans une ferme. Son occupation principale est de nettoyer les étables et la porcherie. On dit que la nuit, il enfile des truies car aucune femme ne veut de lui. »
«  Et bien, Maryaline, si tu veux être ma chienne, demain après-midi tu vas aller chercher cet homme, l’amener au même endroit où je t’ai vue le cul nu, fessée par Célestin, et tu vas le sucer. S’il veut davantage, tu dois le laisser faire. J’assisterai caché à votre entrevue. »
Maryaline, médusée, ne savait pas si c’était réel ou si elle rêvait. Il lui était impensable d’accéder au désir de son maître. Mais si elle refusait elle le perdrait. Une fellation pensa-t-elle, en fermant les yeux et le nez je dois pouvoir y arriver.

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