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La quatrième femme de ménage est la

La quatrième femme de ménage est la



De longs mois se sont écoulés depuis que je vous ai relaté mes aventures avec mes bonnes (toutes vraies – les histoires comme les bonnes). Esmeralda est toujours à mon service. Je m’étais juré d’aller jusqu’au bout avec elle, quelles qu’en fussent les conséquences…Contrairement à ce que certains critiques ont fait remarquer (je remercie d’ailleurs tous ceux et toutes celles qui ont bien voulu donner leur opinion sur mes récits), il n’est jamais entré dans mes intentions d’entretenir une relation qui eût pu mettre ma bonne dans une position avilissante. Seul le plaisir, le désir et l’érotisme m’intéressent et en cherchant à partager mes pulsions, je respecte et flatte, sans perversité. C’est en tout cas mon vœu le plus cher. Tout ce qui est écrit ci-dessous est vrai. Seuls les noms et certains dialogues, dont j’ai oublié le phrasé exact, ont été adaptés.

Toutes mes tentatives d’aboutir avec Esmeralda s’étaient révélé vaines (voir mes aventures avec mes bonnes 03). Les semaines passèrent, puis les mois. Mon attirance pour elle avait singulièrement diminué, par lassitude sans doute car elle demeurait toujours aussi mignonne. Entre-temps, nous avions regagné la maison, que nous avions retapée et même réaménagé à tous les étages. Nous étions en décembre, à l’approche des fêtes; je me délectais à l’avance des quinze jours de repos que je m’étais octroyés: au programme, farniente, comme disent les Italiens. Farniente ou plutôt détente et jeux divers (ou est-ce d’hiver?). Esmeralda allait abattre ses 8 heures de travail jusqu’à l’avant-veille de Noël et j’allais donc pouvoir organiser mon baroud d’honneur avec elle. Car en effet, j’avais décidé que si je n’arrivais pas à susciter son désir cette fois-ci, je jetais l’éponge définitivement.

Ce lundi-là, Esmeralda était arrivée plus tôt que d’habitude, vers 7 heures 30 du matin. J’étais à peine réveillé, un peu bougon mais somme toute plutôt heureux de la savoir chez moi. J’allais enfin pouvoir conclure, positivement ou négativement. Je dors nu et mon érection matinale me fit sourire lorsque j’enfilai mon peignoir. Mon sexe bandé dodelinait tel un métronome au rythme de mes pas. Je profitai de cet état pour descendre jusqu’à la cuisine, où Esmeralda avait commencé à faire la vaisselle. Mon peignoir d’été trahissait servilement mes desseins coquins. La maison est bien chauffée et la vue d’Esmeralda, avec son visage si mignon et ses galbes flatteurs contribuait à maintenir mon sexe raide comme un manche de brosse. L’excitation me gagnait peu à peu, tout comme l’anxiété, d’ailleurs…

Lorsqu’elle se tourna vers moi pour répondre à mon « Bonjour! » enjoué, je vis qu’elle avait noté immédiatement mon érection. Il faut dire que je n’avais pas fait grand’chose pour la cacher. Je fis mine de rien et m’approchai de la machine à café. Par la vitre du four, situé juste à gauche, je vis qu’Esmeralda me regardait de dos, semblant détailler mon physique. Malgré ma « boule dans la gorge », je parvins à prendre conscience qu’elle était nettement plus disponible qu’il y a quelques mois. Lentement, alors que les premières gouttes de café coulaient dans un silence quelque peu pesant, je regardai Esmeralda dans les yeux et lui dis :

— Vous êtes radieuse aujourd’hui !

Ses yeux se plissèrent légèrement, ses joues rosirent et je vis qu’elle appréciait sincèrement mon compliment. Elle ne répondit pas tout de suite. Elle avait du mal à fixer mon regard et je cessai de la regarder dans les yeux. Son regard rejoignit furtivement mon bassin, quelques fractions de secondes, plusieurs fois, du sol au bassin, du bassin vers mon visage.

— Vous avez bien dormi, Monsieur? me demanda-t-elle avec une voix presque cassée.

L’émotion, sans nul doute. Je jouissais de cet instant magique.

— Très bien, Esmeralda, merci. Les hommes sont comme des ours, ils ont besoin de beaucoup de sommeil pour être en forme, ajoutai-je.
— Vous avez l’air en forme, répondit-elle, cette fois d’une voix plus assurée.

Je souris puis ne pus m’empêcher de rire. Mon rire devint bien vite communicatif. Nous étions là, pris d’un véritable fou rire. Nous étions à un mètre l’un de l’autre; dans nos éclats, je vis qu’elle ne pouvait s’empêcher de regarder la bosse volumineuse que formait mon sexe et mes bourses. Elle riait fort mais je sentais aussi poindre l’émoi et l’excitation. Mon fou rire m’avait fait perdre mon érection mais ma queue restait gonflée, à demi érigée, dardant nonchalamment. Soudain, je me demandai si elle ne riait pas par moquerie. Dans mon esprit, tout bascula, j’en perdis mon excitation; je baissai la tête pour regarder mon sexe qui tendait le tissu de mon peignoir. À voix haute, je dis :

— Oh, mince, je suis désolé Esmeralda, j’espère que je ne vous ai pas choqué !

Je n’osais la regarder. J’entendis sa réponse :

— Ce n’est rien, Monsieur.

Sa voix était douce et quand enfin je relevai la tête, je vis qu’elle souriait timidement. Tout en recouvrant mes esprits voire mon excitation, qui revenait au pas de charge, je pris ma tasse de café et m’en allai au salon. La cuisine est ainsi conçue que par le jeu des vitres intérieures et extérieures, on y voit parfaitement ce qui se passe au salon, sans qu’il y ait face à face. Je m’assis dans un fauteuil club choisi pour son emplacement idéal et, le cœur battant, entrepris de défaire mon peignoir tout en sirotant mon café. Malgré mes quarante ans, mon corps demeure sec et musclé, ignorant les sévices de la vie sédentaire. Je m’entraîne trois fois par semaine pour entretenir ma condition physique et, à cet instant, dans le salon, je me remerciai d’être aussi svelte et musclé. Dans la cuisine, Esmeralda avait fini la vaisselle et entreprenait la pile de linge propre à repasser. Le bruit de la planche à repasser, l’eau versée dans le fer chaud, le calme, ailleurs, la maison semblait si propice à aller plus loin. J’avais desserré le nœud du peignoir dont les pans ne couvraient plus que mon sexe et mes bourses lourdes. Ma pilosité pelvienne, abondante, formait un paysage surréaliste dans les frêles plis du tissu.

J’attendais mon heure, presque patient désormais. Je l’avais allumée, c’est sûr. Maintenant, le scénario se poursuivait calmement. Esmeralda jetait de temps à autre un coup d’œil vers moi, par la vitre de la salle à manger, adjacente. Je vis soudain qu’elle avait au moins un doute sur ma nudité car ses regards se firent plus fréquents et plus longs. Sans doute attisée par la curiosité (je penchai pour le désir), Esmeralda vint dans le salon pour un poser une question de détail sur le rangement du linge. Ses yeux semblaient nourris d’un feu. Elle bégaya légèrement en posant sa question. À nouveau ses regards sur mon corps, comme une bille de billard électrique. C’était fascinant et, malgré l’anxiété qui demeurait en moi, je sentis ma queue se dresser lentement. Je fis mine de me couvrir mais à peine avais-je esquissé le geste que ma tasse de café se renversa sur ma cuisse. Je sursautai et me levai d’un bond tout en retirant mon peignoir. Esmeralda avait poussé un cri mais je ne sais si ce fut à cause de la tasse ou de ma nudité. Le café était tiède et je n’avais donc rien ressenti sinon le liquide coulant sur ma cuisse. Esmeralda courut à la cuisine chercher une serpillière; lorsqu’elle revint, j’étais debout, nu comme un ver, exhibant ma virilité, lourde et épaisse. Esmeralda regarda ma bite et mes couilles, mon ventre, mon torse. Elle semblait captivée avec, dans la main, l’étoffe. Je tendis le bras vers elle, sans bouger. Elle sembla soudain se réveiller et étendit son corps et son bras aussi fort que possible pour me donner la serpillière sans trop avancer vers moi.

— Merci, Esmeralda » lui dis-je avec le sourire.
— Vous avez mal, Monsieur ? répondit-elle.
— Ça ira. Maintenant, je n’ai plus de secret pour vous, n’est-ce pas ? ajoutai-je non sans une pointe de coquinerie.
— Monsieur…je m’excuse, Monsieur…

Son accent sud-américain était revenu. Elle m’excitait de plus en plus.

— Ce n’est rien, Esmeralda, rien du tout, pas de problème ! la rassurai-je.

Je la vis faire mine de se retourner pour s’en aller à la cuisine lorsque son mouvement se figea. Et de raison! Je bandais comme un cerf, la hampe plaquée contre mon ventre, le gland décalotté cachant entièrement mon nombril. Nous restâmes ainsi, figés, pendant plusieurs secondes. Je ne savais que faire sinon lui sauter dessus et la couvrir …ce dont je ne voulais pas. En tout cas pas à cet instant. Esmeralda s’en fut presque en titubant. Je montai dans la salle de bains et pris une essuie dont je m’entourai le bassin puis redescendis tout aussitôt rejoindre Esmeralda dans la cuisine. Il était bien trop tôt pour boire de l’alcool mais je pris quand même deux petits verres et y versai un fond de vodka pour moi, un plein verre pour elle. Je revins à la cuisine. Elle tremblait légèrement.

— Esmeralda, nous avons eu une grosse émotion, voici de quoi nous remettre d’aplomb!

Je lui tendis son verre. Elle parut hésiter jusqu’à ce que je porte le toast et vide mon verre. Elle fit de même, d’un cul sec

Je la vis se détendre dans la seconde qui suivit. Je me sentais bien, relax, elle aussi: l’ambiance était parfaite. C’est à ce moment-là que la sonnette retentit (à croire que j’en rajoute alors que pas du tout!). C’était ma belle-sœur, Carine. Elle avait un faible pour moi, sans toutefois jamais réellement le laisser transparaître. Pour moi, Carine faisait partie intégrante de ma famille et mes pensées étaient fraternelles, rien de plus. Pourtant, elle avait du charme et un corps qui semblait très bien proportionné. Frustré et un peu sur les dents, je filai au dernier étage, non sans avoir dit à Esmeralda que j’allais prendre ma douche. Elle acquiesça et enclencha l’ouvre-porte. D’en haut, j’entendis les deux femme parler. Carine venait déposer du linge pour sa grand-mère selon un accord conclu entre elle et moi. J’entendis Esmeralda indiquer à ma belle-sœur que je prenais ma douche. En quatrième vitesse, je plongeai sous la douche. Comme notre maison est pourvue d’un ascenseur, j’eus le loisir d’entendre que ce dernier, que je n’utilise que rarement, montait au 4e, où je me trouvais.

— Pierre ? Pierre ?

J’entendis la voix de Carine qui m’appelait.

— Je vais prendre une douche, Carine, attends-moi, j’en ai pour quelques minutes ! criai-je par la double porte battante de la salle de bain.

Dans ma précipitation, j’avais laissé cette dernière légèrement entr’ouverte (vraiment sans la moindre idée derrière la tête, je le jure). Je passai sous la douche, qui est pourvue d’une large porte vitrée. Je faisais dos à la porte battante. Alors que je me rinçais les cheveux en me retournant pour prendre un savon, je crus voir une ombre derrière la porte battante. À mille lieues de penser que ma belle-sœur pouvait vouloir m’espionner, je n’y accordai pas plus d’attention. Je finissais ma douche lorsqu’à nouveau un mouvement de lumière se fit derrière la porte de la salle de bains.

— Je rêve, là ou quoi ? me dis-je.

J’appelai ma belle-sœur. Après plusieurs secondes, je finis par entendre Carine me répondre d’une voix étouffée :

— Je…je fais ton lit.
— Ah, merci mais la bonne va s’en occuper, tu sais.
— Ça va…j’ai presque terminé ! me répondit-elle.

Il faisait sombre dans la chambre, contrastant avec la lumière forte de la salle de bain. J’ouvris la porte de la douche pour prendre un essuie lorsque j’eus la certitude que Carine, debout à l’opposé du lit, juste en face de moi, me scrutait. Mon sang ne fit qu’un tour… »Quelle ironie, merde! » m’exclamai-je intérieurement. « Quand je pense à tout ce que je fais pour qu’Esmeralda s’excite… et voilà que ma chère petite belle-sœur vient se rincer l’œil sans que je n’ai à lever le petit doigt! ». Je sentis mon cœur accélérer son rythme. Naturellement, je ne fis rien pour me cacher ni pour montrer que je savais que Carine me regardait. Je me séchai les cheveux tout en faisant quelques pas, cachant mon visage mais sans rien perdre de cette petite voyeuse. À nouveau, mon sexe commença à se tendre, lentement. Ma queue est épaisse naturellement et l’afflux de sang lui donne une consistance bien ronde et lourde. J’avais l’impression d’être un acteur de peep-show… Au bout d’un moment, je dus bien me résoudre à passer un peignoir, ce qui je fis lentement. J’ouvris enfin la porte battante et vis Carine qui finissait de faire mon lit.

— « Ah, tu es là, Carine » dis-je innocemment.

Elle me regarda un peu embarrassée; dans la pénombre je vis pourtant à quel point son visage était écarlate. Nous discutâmes pendant plusieurs minutes ainsi puis me vint une idée assez diabolique.

— « Dis-moi, Carine, en sommes toi et moi, on est comme frère et sœur, non ? »
— « Oui…en quelque sorte » répondit-elle avec un sourire en coin.
— « Alors, pas de gêne entre nous » et j’ôtai mon peignoir devant elle.

Carine eut un petit cri et dit :

— « Oh….Pierre! ».

Elle me fixa, tout comme Esmeralda plus tôt. J’étais aux anges et en même temps presque ivre d’émotion et d’excitation. J’éclatai de rire et renfilai mon peignoir en lui disant.

— « Bon, maintenant, tu sais tout de moi mais moi, je ne sais rien de toi! ».

Tout d’un coup, l’ambiance s’alourdit. Malheureusement pas dans le sens que j’escomptait.

— « Et puis quoi encore » s’exclama Carine, visiblement courroucée.
— « Hé, attends, Carine, c’était une simple blague ».

Elle se calma mais je sentais bien que je ne pourrais pas aller un millimètre plus loin. Nous descendîmes ensemble par l’escalier en devisant de choses et d’autres puis Carine pris congé et s’en alla.

Toujours en peignoir (et oui, le moins que l’on puisse dire, c’est que je n’avais pas eu beaucoup l’occasion de m’habiller ce matin-là!), je vins m’asseoir dans le salon, histoire de souffler un peu et de digérer mes frustrations. Dans la cuisine, Esmeralda avait finit le repassage. Elle préparait le déjeuner. Je regardai l’horloge qui indiquait 10 heures à peine. Je demandai à Esmeralda si tout allait bien. Elle s’était recomposée et me répondit d’un franc « oui, oui, Monsieur, très bien » qui me donna le frisson. « Que faire, maintenant? » me dis-je.  » Je ne vais tout de même pas tout arrêter là, zut, je suis excité comme c’est pas permis; il faut trouver l’ouverture, à nouveau ». Sur ces conclusions bien senties, j’allai m’habiller.

Au bout d’une demi-heure, je redescendis et pris place au second étage, dans mon bureau. Toujours sur ma faim, j’allumai mon ordinateur et me connectai sur Internet. Bien entendu, j’en vins très vite à surfer sur des sites érotiques et pris la peine de rendre visite à Revebebe. Je choisis quelques histoires au hasard des critères. À nouveau, l’excitation me gagna. Je défis la braguette de mon pantalon, ouvris ma ceinture et commençai à me caresser d’une main distraite, en lisant. J’entendis Esmeralda monter avec l’aspirateur. Lorsqu’elle arriva sur le palier, j’avais pu cacher ma tenue. Elle me regarda et me dit qu’elle allait aspirer à l’étage, me demandant si cela ne me dérangeait pas. Mon bureau donne sur le couloir, couvert d’une épaisse moquette de laine qui requiert un entretien fréquent. La chambre d’amis, juste à droite en était pourvue également. Esmeralda besognait à quelques mètres de moi. J’avais tout le loisir de détailler ses formes. Son jean’s 501 (comment peut-on en porter un lorsqu’il fait si froid dehors!) bien serré mettait en valeur son joli cul rond. Son chandail bien au corps dévoilait une petite poitrine que je soupçonnait être légèrement pendante. « Qu’importe », me dis-je… »Quel bien joli cul ». À mesure que je la voyais marcher, se retourner, se baisser, se relever, comme dans une danse domestique, je sentis un désir inextinguible monter en moi. Je m’étais juré vouloir m’en tenir à l’exhibition, voire une pipe, si Dieu le veut mais pas au-delà. Je perdais pied dans mes résolutions que je trouvaient presque grotesques maintenant.  » Je n’en peux plus, tant pis, advienne que pourra!!! ».

D’un bond, je me levai, débraillé, la bite à l’air. En quelques pas, j’étais près d’elle. Elle se retourna, me vit, pâlit et laissa tomber le manche de l’aspirateur. Debout, les yeux fermés maintenant, elle semblait attendre. Je pris ses mains et l’attirai vers moi, très doucement.

— « Oh, Monsieur…Monsieur…Monsieur » murmura-t-elle.

Je mis mon bras autour de ses épaules et la guidai vers la chambre d’ami. Là, toujours lentement, je la fis se coucher sur le lit. Ses yeux à demi-clos me scrutaient. Les bras écartés, offerte, immobile, elle attendait. Je repris ses mains dans les miennes et l’amenai à s’asseoir sur le bord du lit. Je baissai mon pantalon et mon slip, pris ma queue et la guida vers sa bouche. Elle fixait ma bite et mes couilles, sans bouger. J’approchai ma queue de ses lèvres, jusqu’au contact. Elle n’ouvrit pas les lèvres. Je poussai ma bite légèrement en avant et, enfin, la délivrance… Sa bouche s’entrouvrit puis s’ouvrit largement; elle avança la tête, ses boucles noires cachant presque ses yeux, et se mit à me sucer. Mes jambes tremblaient. Ses mains s’agrippèrent à mes cuisses puis vinrent toucher mes couilles lourdes dans un geste hésitant. Je ne pouvais m’empêcher de faire jouer mon bassin d’avant en arrière, dans un mouvement lent de va-et-vient. Elle me suçait et me caressait les couilles avec candeur et inexpérience. Cela m’excitait encore plus.

Après un temps que j’ai oublié depuis, je me déshabillai entièrement et entrepris de la déshabiller aussi. Elle était totalement passive mais dans ses yeux brillait le désir. Une fois nue, Esmeralda se coucha, dolente. Je détaillais ses formes, sa peau sombre d’indienne d’Amérique du sud, sa toison développée, ses petits seins aux aréoles brun foncé dont les longs tétons dardaient. Je bandais comme un fou et j’avais le plus grand mal à ne pas la prendre comme un soudard. Je m’agenouillai entre ses cuisses que j’écartai lentement. Nos regards se croisèrent. Elle ne semblait pas comprendre où je voulais en venir. Docile, pourtant, elle écarta les cuisses plus encore lorsque je commençai à la lécher. À peine ma bouche était elle entrée en contact avec sa chatte, elle se mit à soupirer et à murmurer des mots que je ne comprenais pas. Ma langue fouillait sa chair intime d’où sourdait un musc très parfumé, presque âcre et très abondant. Je titillai la hampe de son clitoris et elle eut un petit spasme, doublé d’un cri rauque; ses mains se glissèrent sur mes joues, me caressant doucement le visage. Elle criait en secouant la tête; ma queue plaquée contre sa cheville droite imprimait un mouvement à sa jambe, me donnant accès mieux encore à ses trésors poivrés. Je me relevai enfin et me couchai sur elle. Je l’embrassai goulûment à pleine bouche. Sa bouche, un peu froide, se donna mais ses mains me bloquèrent aux épaules quand je voulus m’introduire en elle.

— « No…No…Monsieur..Pas…Pas de pilule » me dit-elle entre deux soupirs.
— « Meeeerde… pas de préservatif!! » je ne pus m’empêcher de le dire à voix haute…

Je n’en pouvais plus, je la voulais, à fond. Sans attendre je la pris par les épaules et la retournai sur le ventre. Là, son cul magnifique, exposé sans pudeur, me fit chavirer. Sans attendre, je plongeai la tête entre ses fesses et crachai un flot de salive. Je me redressai sur les genoux, la fis brutalement se mettre sur les siens et je plaquai mon gland à l’entrée de son cul. Maintenue fermement par ma main gauche à sa nuque, Esmeralda comprit tout de suite. Elle voulut se débattre et lançait des imprécations :

—  » Non, Monsieur, Non, pas là, pas là!! ».

Je lui caressai rapidement les fesses et poussai mon gland dans son petit cul. La salive aidant, le gland entra immédiatement dans sa rondelle. Elle eut un cri, bref et sec puis se cambra avant de se détendre. Je la pris alors par les hanches et continuai d’enfoncer ma grosse queue dans son cul. Quelle extase! Son cul ferme commença à répondre à mes sollicitations. Elle se cambra un peu plus et je pus engager jusqu’à la garde, fermement, avec infiniment de douceur. Ses « Non » avaient fait place à des cris de plaisir. Je commençai mon va-et-vient lent. L’étreinte de son anus était forte, sublime. Ses cris plus stridents à chaque poussée, ses soupirs plus rauques à chaque dégagement. Je n’allais pas poursuivre longtemps…Je tentai une accélération soudain qui la fit hurler. Ses propos étaient incompréhensibles mais disaient son excitation et son plaisir. Ses spasmes contractaient ma bite et je sentis le plaisir monter. N’y tenant plus, je la pilonnai comme un a****l en rut. Mes couilles, trempées de sueur et de musc, venaient frapper sur l’intérieur de ses cuisses, toujours plus vite, toujours plus sonores. Les claquements venaient à un rythme hallucinant.

Soudain, je sentis l’orgasme, j’enfonçai ma bite à fond dans son cul et déversai mon foutre en longs jets dans ses entrailles en une succession de cris rauques. L’ultime jet nous terrassa. Pendant de longues minutes, nous restâmes collés l’un sur l’autre dans un mélange de sueur, de musc et de foutre, qui dégoulinait maintenant entre ses cuisses. Nous reprîmes nos esprits. Je fus le premier à me lever et à lui apposer un baiser tendre sur la nuque. Après mes ablutions, je la conduisis vers la salle de bains. Là, Esmeralda, le visage défait et épanoui à la fois, pris pour la première fois une douche chez moi. En fumant une cigarette, je la regardai se laver. Elle ne dit mot. En sortant de la douche, je lui tendis un peignoir sec et un essuie.

— « Merci, Monsieur » parvint-elle à me dire.

Je voulus l’embrasser mais elle se détourna. Déçu, je voulus lui dire quelque chose mais elle me devança:

— « Il vaut mieux non, Monsieur. Je vais aller travailler. Il y a encore beaucoup choses à faire dans la maison ».

La déception passée, je me dis qu’après tout, c’était sans doute mieux ainsi.

Car jusqu’à aujourd’hui, 3 semaines plus tard, et sans doute pour toujours, nos relations sont professionnelles, exclusivement.

Merci à ceux qui m’ont suivi durant ces quatre récits, tranches de ma vie, dont je referme ici le chapitre. Oui, je sais, quid de la belle-sœur? Je ne sais pas. En y pensant, peut-être vais-je un jour passer au fait?

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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