Weekend Surprise – Chapitre 4
La journée, fut très longue, au sortir de mon Rdv avec Madame Blanc, j’eue une très longue dispute avec Anaïs, elle avait été témoin de notre entretien et la perspective d’ajouter 200000€, à notre portefeuille, l’argent ne pouvant décemment pas être justifié sur les comptes de l’entreprise, avait fait tourner la tête à Anaïs.
Je ne suis pas un saint non plus et oui je devais admettre que ma déontologie vacillais également. Il fait croire que des incorruptibles n’existent pas, il y en a juste des plus chers que d’autre …
Dans l’après midi, j’avais reçu Mr Blanc qui avait insister pour que je m’occupe de sa « salope » de femme selon ses termes … Si seulement il savait … L’entretien fut pénible et Mr Blanc était manifestement ce que l’on appelle un connard, ce qui était pas ma conscience. M
Je me donnait finalement la permission de discuter affaire avec Madame Blanc, je composais son numéro de téléphone et après avoir eu son assistante à la voix étonnement douce Julie, je lui confirmais ma venue, pour ce soir, accompagnée bien entendu.
– Ce sera un grand plaisir de dîner avec vous et votre amie, je suis certaine, que nous allons passée une soirée très intéressante tous les trois … Peut être que votre demoiselle me montra sa tête cette fois ci … Mon assistante va vous envoyer les détails pour ce soir.
Elle raccrocha avant même que je pu réaliser ce qu’elle venait de me dire, avait elle compris qu’ Anaïs se cachait sous mon bureau ce matin ? Elle donnait l’impression que oui … J’étais mortifié et de plus en plus gêné pour ce soir, en tout cas il y en avait une qui s’en réjouirais. Je sortais de mon bureau pour annoncer la nouvelle quand je vit Tom continuant son numéro avec Anaïs.
– Allez viens, ça peut être sympa, en plus je sais que tu aime le foot, on en a déjà parlé, le cocu de la semaine dernière peut m’avoir des places en loges au parc, tu ne seras pas déçu et après on pourrais allez se balader si l’idée t’en prends.
Je regardais Anaïs sourire et se laissant séduire ça m’agacait …
– Je sais pas, ça pourrais être sympa effectivement, après j’avais peut être une soirée de prévue avec une copine, mais elle est trop prude pour se lâcher.
Le reproche m’était directement balancer en pleine figure, Anaïs me dévisageait, ce qui fit remarquer à Tom ma présence. Je décidait d’intervenir, la situation me retournait les nerfs.
– Dis moi, on es associé depuis le début pourtant on est rarement sorti ensemble ! Pour ce soir j’ai une soirée mais je profiterais bien de tes places à l’occasion !
Tom ne m’écoutait quasiment pas il louchait sur le chemisier d’ Anaïs qui avait compris que j’acceptais le dîner. C’est Anaïs qui prit la parole.
– En tout cas c’est très gentil à toi Tom, et je viendrais une prochaine fois promis, on doit bien s’amuser avec toi …
Tom souriait d’un air béat, ou plutôt carrément con, il passa à côté de moi et me dit sur le ton de la confidence.
– je sais que tu es contre les rapports entre collègue et tout et tout, mais cette salope d’Anais je vais la retourner tu n’imagines pas ! Désolé mais regarde comment elle me bouffe des yeux ! Et bientôt ça sera ma bite !!
…….. Je prit une bonne inspiration, compta jusqu’à 5 et fit le mec amuse des propos graveleux de son collègue, je prit mon manteau et parti je devais m’aérer, mais Tom ne perdait rien pour attendre, mais quel connard …
Julie l’assistante de Madame Blanc nous laissait le choix entre un grand restaurant de la capitale, ou un dîner directement chez l’habitante, j’en parlait à Anaïs qui choisi le dîner intimiste. Je lui expliquait qu’il était possible que Madame Blanc nous est surpris ce matin, la situation semblait l’amuser.
Nous arrivâmes à l’adresse indiquer, un grand immeuble du faubourg St. Honore, et nous montâmes au dernier étage.
Sur le pas de la porte nous attendait l’assistante de madame Blanc, un petit bout de femme, très belle, elle ne devait pas dépassé le mètre soixante mais avait le physique proportionné, des petites fesses et des petits seins pointait sous son chandail blanc, des cheveux châtains mi longs lui retombant sur les épaules, un visage mutin avec des lunettes cachant un regard coquin d’une extrême rareté, je ne connaissait pas cette femme mais je savais qu’au lit, elle ferait du dégât, elle me fit penser à cette actrice qui jouait le rôle de Bénédicte dans la série Hélène et les garçons, les deux femmes auraient clairement pu être sœur.
Elle nous fit entrée et nous fis nous asseoir dans le salon principal.
La demeure était juste somptueuse, je ne savait pas qui était madame blanc ni d’où lui provenait sa fortune mais je comprenait maintenant qu’elle était à l’abri de la pauvreté et ce pour plusieurs génération.
Madame blanc fit son entrée dans une robe de soirée noire, très moulante, il faut dire que malgré ses cinquante années elle avait un physique de rêve, ancienne athlète de bon niveau elle n’avait jamais cessé le sport et cela se voyait, il faut croire aussi que le temps ne s’écoule pas de la même manière chez les riches …
Nous primes un apéritif ou nous avons discuté de banalité puis nous nous sommes installé pour le repas, Anaïs vint à ma gauche, quand a madame blanc, elle nous fit face.
– Je tiens encore à vous remercier Madame Blanc pour ce dîner, mais par soucis d’honnête je vous annonce aussi que je n’ai pas encore décidé de ce que je ferais ou non vous concernant.
– Premièrement appeler moi Christine, et depuis la petite scène de ce matin sous le bureau, elle nous fit un clin d’œil, je penses que nous pouvons nous tutoyer, par pitié plus de madame blanc, madame blanc c’est ma belle mère et dieu merci vous avez la chance de ne pas la connaître, quand a notre petite affaire, ce matin vous refusiez puis vous êtes ici et vous hésite … Je penses que d’ici la fin du repas nous fêterions notre nouvelle accord …
Je rougissait à vue d’œil, Anaïs bien qu’amusé gérait mieux la situation que moi.
– c’est gentil mad… Christine, mais nous n’allons pas trop tarder non plus puis votre mari…
– Mon mari ne sera pas la de la nuit il est en affaire, ne vous embêter pas avec des détails et profiter de la soirée, pendant qu’elle me parlait je senti son pied remonter le long de ma jambe et commencer à me masser l’entrejambe.
Christine me dévisageait son verre de bordeaux au lèvres, elle s’amusait très clairement de la situation.
– Pour notre affaire, j’avais parlé de 200000, toi Anaïs tu as du entendre aussi, puis vous m’avez bien excité et amusé ce matin, je préfère changer mon offre en 200000 chacun … Comme vous pouvez le constater, je peux me le permettre et j’aime a penser que ce n’est pas le seul accord que nous ferons tous les trois ….
Elle continuait en même temps ses vas et vient et j’avais du mal à de pas transparaître mon embarras. Anaïs se pencha à mon oreille et me susurra
– Écoute elle nous fait clairement du rentre dedans, et on en a déjà parlé, c’est une expérience qui me plairait, alors oui ce n’est pas sa petite assistante, je t’ai vu la mater, mais franchement j’aimerais être gaulée comme elle a son âge …
– Anaïs je comprend et oui on en a déjà parlé mais tu te sentirais prête comme ça, d’un claquement de doigt ?? Et pour être honnête depuis le début du dîner elle me fait du pied, et ce n’est pas ma jambe qu’elle vise …
S’en était trop pour Anaïs qui demanda si nous pouvions trouve une pièce ou elle et moi pourrons discuter seul à seul d’un accord, d’un signe de main, Christine fit venir Julie qui nous conduit à un bureau jouxtant la salle à manger. Anaïs prit soin de refermer la porte derrière elle me sauta littéralement dessus, me fit tomber à la renverse, elle prit ma main qu’elle guida jusqu’à son intimité qui était totalement trempée. Il était sur que sa décision elle l’avait prise, elle voulait juste profiter à fond, elle m’abaissa le pantalon, et vint s’empaler directement sur moi, j’essayais de protester, mais au moindre petit mouvement elle continuait à me plaquer au sol, c’était une furie qui s’activait sur mon sexe, dans un bureau d’une riche héritière ou je ne sais quoi …
Elle se mît ventre sur le bureau, fesses relevées et me supplia de le prendre, je me mît derrière elle et commença à me guider vers son vagin,
– Non pas ce soir, je veux que tu me défonce, je veux plus savoir ou je suis, elle prit mon sexe et le guida vers son anus, elle poussa et me fit entrer sans la moindre préparation …
Elle se retourna, me toisa d’un regard a****l, et sans desserrer les dents elle me dit,
– Maintenant … Tu .. Me .. Défonces ..
Je la prit sans me faire prier, j’en oubliais toute pudeur, ni ou j’étais ni pourquoi j’étais présent, une seule chose comptais, le plaisir, simple, brut, le pur plaisir.
Je la lima et la Lima encore, chaque coup de butoir était plus fort que le précédent, les objets tremblait et tintait, Anaïs avait les yeux révulser le visage rouge, en apnée totale, sa bouche était grande ouverte mais aucun son n’en sortait, juste un simple hocquement à chaque fois que je m’enfonçais en elle.
Je releva la tête juste à temps pour voir Christine nous observer, sa robe était relevée, avec sa main droite elle se masturbait en nous observant, sa tête en arrière elle prenait autant de plaisir que nous.
Anaïs la fixa et un sourire lubrique se dessina sur son visage, je n’avais jamais aperçu ce sourire, Christine lui répondu par le même. Christine fit le tour du bureau vint me rejoindre et commença à masturber Anaïs qui ne se priait plus pour faire du bruit. Elle me regarda intensément et m’embrasse fougueusement, sa langue vint caresser la mienne puis elle nous,
– Allez les jeunes, suivez moi j’ai des pièces bien plus adaptées à notre soirée …
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