Histoires de sexe hétéro Premières histoires de sexe

Belle-fille voilée et son beau-père 4

Belle-fille voilée et son beau-père 4



Sans m’en rendre compte, je lui dis : « Smail », il m’a souri, puis il m’a dit : « maintenant, je suis devenu Smail, n’est-ce pas, alors adieu ‘mon beau-père’, alors tu seras « kahba diali », ma pute ». J’ai rougi, « allez, dis-le », je lui dis : « oui », il m’a dit : « alors, tu aimes ce mot ? », je lui dis : « oui, mais seulement de ta part ». Après un instant, je lui dis :

« Beau-père, parle-moi grossièrement !

— Non, je n’aime pas que tu m’appelles « beau-père », depuis cet instant, toujours Smail !

— Oui Smail !

— Alors, tu aimes être ainsi ?

— Oui, J’aime être traitée de tous les noms… ! »

Je le branlais en même temps, aussi vite que je pouvais, en souhaitant que mes paroles aident mon beau-père à jouir.

« Tu vas être ma pute, maintenant, Taous, tu aimes vraiment être ma soumise ! »

Je lui répondis, sans perdre de temps :

« Je serai ta pute, s’il te plaît, je te demande seulement de me baiser quand j’en aurai besoin et quand tu le voudras !

— Je ferai tout ce dont tu as besoin ou que tu veux, Taous ! »

Il m’enlaça de son corps tremblant et, doucement, caressa mon cul et mes cuisses.

Il a taquiné sur ma position sur le lit, il matait mon cul bien proportionné.

« Tu peux enlever cette chemise de nuit, venir ici et finir la pipe de ton homme, pendant que je mange ta chatte en feu ! »

J’ai sauté sur lui et posé ma chatte sur son visage, je commençais à faire des choses sans même m’en rendre compte, je commençais à prendre des initiatives, qu’étais-je devenue ? Il rit en poussant son museau dans ma chatte et commença à lécher.

« Sous mes cuisses, tu es une chienne sacrément en chaleur, Taous ! »

Je lui dis : « je suis ta chienne en chaleur ». Je gémis tout en le suçant avec ma bouche, lui, tâtant avec la sienne, ma vulve baveuse.

Je grognai quand sa langue me fouilla et s’enfonça dans ma chatte qui coulait.

Je criais, je ne pouvais pas tenir très longtemps dans cette position et m’assis en haut, sur son visage, en plaquant ma chatte sur lui, en heurtant sa langue plus profonde. Il tenait mes cuisses comme il enfouissait sa longue langue aussi loin tant qu’il pouvait dans ma chatte baveuse. Je m’agitais et bougeai d’arrière en avant, de tous les côtés comme je le pouvais. Mes gémissements remplirent la chambre et je lui fis vite comprendre que je ne tarderais pas à jouir.

Je criais quand sa langue me prit dans des endroits dont je n’avais jamais rêvé.

Je ronronnai, en me balançant sur son visage, en sentant sa langue lécher les parois intérieures de ma vulve. Je gémis en sentant m’échauffer profondément la chatte. Je saisis mes deux seins et les serrais très fort, à me faire mal.

Je hurlais, le feu qui était dans son vagin arriva, maintenant, dans mon cœur et monta dans ma tête et jusqu’aux extrémités de mon corps.

Je hurlais plus fort qu’auparavant, j’écartais mes jambes, je poussais ma chatte jouissante contre son visage.

Il appréciait mes muscles qui se serraient autour de sa langue.

Il caressa mon cul, j’entendis qu’il me chuchotait des choses dégoûtantes dans mes oreilles.

Après quelques minutes, je me soulevais de lui et tombais à plat sur lui.

Je me serrais contre lui, saisis sa bite bien bandée et m’assis doucement sur elle.

Je grimaçais quand elle coulissa profondément dans ma chatte.

« Oh, comme c’est bon comme ça », je tremblais en me penchant pour l’embrasser.

Il râlait en me tenant par les cuisses quand je descendais ma chatte sur lui, je me plaquai vite sur son sexe. Je criais, j’avais oublié même mon mari qui était à côté.

Il me prit par les hanches quand je fus en haut de ma course et sortit son sexe de la chatte dégoulinante. Il m’a dit : « on va changer de position, j’aime bien te remplir ton puits de mon jus, après tu vas réveiller mon fils, ce pédé, pour te prendre aussi, il va te trouver pleine de ma semence, allez, positionne-toi bien », il se mit sur moi, il laissa glisser son sexe dans ma chatte dilatée par ce même gros sexe, je grimaçais de douleur, mais je ne voulais pas le montrer.

Il a trempé ma chatte, son sexe toujours à l’intérieur de ma chatte et a explosé dans mon corps.

Je criais ma jouissance, j’étais tellement serrée sur son sexe, j’aimais le mouvement de haut et bas, aussi vite que je pouvais.

Je criais quand mes muscles serrèrent le sexe de mon beau-père.

Il balança sa semence au fond de ma chatte, moi, des larmes ruisselant sur son visage.

Je suis reste figée, prenant plaisir à avoir son sexe profondément fixé au fond de mon vagin, il me tenait serrée dans ses bras et vidait son sperme dans mon ventre.

J’ai dit merci à mon beau-père et je me suis penchée sur son lit pour lui faire un gros bisou, pour que je puisse retourner dans ma chambre.

Il m’a prise dans ses bras et m’a embrassée, lui aussi et il a commencé à me chatouiller sous les bras et je me suis mise à rigoler et à gigoter pour qu’il me lâche.

Puis il m’a dit : « ne te lave pas, attention que je ne te vois pas aller à la salle de bains, reste comme ça, possible que mon fils te remplisse aussi de son jus ».

Il m’a chatouillée de plus belle, en passant sa main sur mon dos et sur mon ventre.

Il m’a lâchée et je me suis allongée près de lui pour un dernier baiser.

J’ai remis ma chemise de nuit et je me suis dirigée directement vers ma chambre, j’ai senti qu’il me suivait du regard, il avait peur que je me lave et moi, ma chatte coulait, vraiment, j’étais très honteuse.

En rentrant tout doucement dans ma chambre, sans faire de bruit, j’ai trouvé mon mari toujours endormi, j’ai même vérifié en le secouant doucement par l’épaule, je me suis alors mise sous la couette, mon puits coulait toujours, tout à coup, mon mari s’est tourné vers moi et m’a dit : « où étais-tu, tout ce temps ? », je lui répondis que j’étais dans la salle de bains.

Je lui dis que j’avais mal au ventre, il m’a demandé si ça allait mieux maintenant, oui, ça va beaucoup mieux, lui ai-je répondu. Il a mis sa main sur mon ventre sous ma chemise de nuit et m’a massé doucement. Je me suis endormie comme ça. A huit heures je me suis levée pour préparer le petit-déjeuner.

Au matin, mon beau-père m’a posé la question pour savoir si son fils m’a prise après mon retour à ma chambre.

Je lui dis non, « est-ce qu’il a constaté ton absence ? », je lui dis : « oui, car il m’a posé la question, je lui ai dit que j’étais dans la salle de bain et j’avais mal au ventre.

Il m’a dit : « très bien, Taous, je sais que tu sais te débrouiller et tu trouves toujours des excuses ».

Nous avons parlé un bon moment et quand mon mari entre à la cuisine, il a salué son père et mon beau-père nous a annoncé qu’il allait sortir.

Le soir, il est revenu me voir à la cuisine avant que je me couche et j’étais en petite robe de maison très longue, presque comme le voile et mon foulard, il s’est assis sur une chaise pendant que je terminais mon ménage. Il n’avait pas le moral et il était un peu fatigué. Je suis venue près de lui et il s’est mis à tousser. Il m’a dit bonne nuit et il est parti dans sa chambre.

Bien sûr, j’ai parlé avec mon mari, je lui dis que ton père n’allait pas bien, il est allé immédiatement dans sa chambre pour voir son état et il est reste un très bon moment avec lui, même que j’ai dit à mon mari qu’il fallait qu’on le surveille cette nuit, il fut d’accord.

Mon mari est resté un très bon moment avec lui, quand il est entré dans notre chambre, je lui dis : « allez, repose-toi et je vais m’occuper de lui car tu travailles demain », il m’a dit : « si tu vois quelque chose d’anormal, réveille-moi », je lui dis « oui, ne t’inquiète pas ».

Je me suis levée et je suis allée dans la chambre de mon beau-père.

Je me suis mise à côté de lui, il a senti une présence, il a eu un réflexe de peur, mais il a reconnu ma voix, il m’a dit qu’il a cru que c’était son fils, je lui dis je ne pouvais pas dormir et que j’étais venu le voir s’il allait bien.

Il m’a souri, puis il m’a dit : « tu as envie, Taous », sans me laisser le temps de répondre, j’ai senti qu’il posait sa main sur ma cuisse et il m’a demandé si j’étais toujours aussi chatouilleuse. J’ai répondu que oui avec une voix endormie. Il m’a dit de dormir et qu’il restait un peu près de moi et j’ai fait semblant de m’assoupir. Il a continué à me caresser la cuisse et sa main remontait doucement jusqu’à se glisser sous ma chemise de nuit. Sa main est remontée encore en entraînant mon vêtement, elle est passée sur ma hanche et sur mon ventre. J’ai compris que mon beau-père n’était pas malade et j’ai entrouvert les yeux pour voir ce qu’il faisait. Il regardait mon petit buisson et il a levé sa main de sur mon ventre pour la reposer sur ma cuisse au niveau du genou, mais à l’intérieur et il est remonté doucement en insistant un peu pour me faire ouvrir les cuisses. Curieuse de voir jusqu’où il irait, j’ai replié ma jambe, lui laissant le champ libre.

Il a recommencé à monter sa main et je sentais que j’étais humide, j’avais honte et envie à la fois qu’il me caresse. Du bout des doigts, il a frôlé mes poils rasés, plusieurs fois et j’ai senti que l’un d’eux se glissait entre les lèvres de ma chatte, s’attardant tout en haut sur mon petit bouton. Il a dessiné des petits cercles autour et un autre doigt m’a touché plus bas. Je n’en pouvais plus et j’ai écarté largement les cuisses en gardant les yeux fermés. Il m’a masturbée jusqu’à l’orgasme puis a rabattu ma chemise de nuit et ma robe, puis il m’a embrassée sur le front et il m’a dit : « va te coucher, Taous, demain, je te ferai plus que ça ». Je me suis levée très tôt, car mon mari commençait son travail à 5h du matin, sa première question, comment était son père, je lui dis très bien et qu’il ne devait pas s’inquiéter. Il est allé dans sa chambre, j’ai entendu mon beau-père lui dire : « allez, mon fils, va travailler, je suis bien ». Quand j’ai entendu mon mari sortir de la maison, j’ai éteint les lumières et je suis retournée dormir un peu.

J’ai entendu la porte de la chambre de mon beau-père claquer, j’ai repoussé la couette et enlevé ma chemise de nuit et j’ai fermé les yeux. Je savais qu’il viendrait dans ma chambre. À un moment, il est entré et s’est approché du lit. J’avais laissé la lumière de la valleuse allumée, ce qui éclairait un peu la pièce, me permettant de voir et lui permettant de découvrir mon corps entièrement nu. Il est resté à me regarder un moment, puis il s’est approché de moi et a caressé un de mes pieds et est remonté tout doucement jusqu’à mon genou. Il a posé son autre main sur mon ventre et est remonté sur mes seins. Ses caresses m’excitaient et me troublaient beaucoup mais je n’osais pas lui montrer que j’étais éveillée. Il a continué à me toucher les seins et m’a caressé entre les cuisses, ce qui m’a procuré un premier orgasme.

J’ai ouvert les yeux et Il m’a demandé si j’aimais ses caresses et je lui ai dit oui beaucoup, alors il a recommencé, a posé sa bouche sur la mienne et m’a embrassé fougueusement, puis il a posé sa bouche sur mes seins, sur mon ventre et il a pris un de mes pieds et m’a sucé les orteils, me donnant des frissons. Il a écarté mes jambes en grand et s’est mis à me lécher la chatte. J’ai gémi de plaisir et j’ai posé mes mains sur sa tête pour ne pas qu’il s’arrête. J’ai joui et il a continué en passant sa langue de mon clitoris à mon anus sur lequel il insistait, alors il m’a dit de le laisser faire et de profiter de ce qu’il me faisait. Je me suis abandonnée et il a lentement enfoncé ses doigts dans ma foufoune et dans mon anus. J’ai eu plusieurs orgasmes de suite et au bout d’un moment, je lui ai dit stop que je n’en pouvais plus. Il m’a embrassée sur le front comme la veille et m’a dit : « repose-toi, Taous, tu n’as pas dormi toute la nuit », il m’a dit à l’oreille : « à tout à l’heure ».

Quand je me suis réveillée, je n’ai pas trouvé mon beau-père, sûrement il était sorti prendre l’air, je me suis occupée de mes tâches ménagères en pensant, bien sûr, à ces moments intimes que j’ai passés avec lui.

Ce soir-là, mon mari était là, je ne pouvais même pas bouger ou faire un geste à mon beau-père, il était habillé, il s’est allongé sur le canapé du salon, mon mari près de lui, je crois qu’il était un peu fatigué ou bien il était réellement malade.

Quand le dîner est arrivé, il ne voulait pas souper, son fils a essayé de le convaincre, mais il n’a pas pu, j’ai débarrassé la table rapidement, au fond de moi, j’étais très inquiète pour lui.

J’ai entendu mon mari lui dire qu’il était préférable, que quoi que l’avenir lui réservait, que c’était mieux qu’il se soigne là-bas.

J’étais très triste en entendant ça, je voulais qu’il me prenne encore, j’ai senti ma chatte en feu.

Il a demandé à son fils d’aller se reposer, même moi, il voulait être seul.

Bien que je ne m’étais pas sentie très à l’aise dans un premier temps, je me laissais emporter par mon imagination. Je suis entrée dans ma chambre et je me suis mise sous ma couette et mon mari, toujours avec son père.

J’étais allongée à plat ventre sur mon lit, pour seul vêtement, ma chemise de nuit, j’ai commencé à imaginer mon beau-père, mon cœur battait très fort. Doucement, j’ai mis mes mains sur mes seins, je faisais de petits arcs de cercle, tandis que mes autres doigts se contentaient d’imprimer des pressions plus au moins fortes sur les tétons, toujours en imaginant mon beau-père, mes mains se déplaçaient, lentement.

Tout mon corps commença à réagir assez rapidement à mon traitement, je me soulevai un petit peu lorsque mes mains glissèrent sur ma chatte, pour aller effleurer mes lèvres intimes.

Je fermais, un instant, les yeux, pris une profonde inspiration et repris mes caresses. Au fond de moi, j’avais un mélange de désir, de plaisir et, en même temps, de peur, car à chaque instant, mon mari pouvait entrer. Il me parut extrêmement troublant et je dus faire un grand effort pour résister à la tentation de mes caresses. Ma respiration était devenue plus rapide et mon cœur battait la chamade, en même temps, j’écoutais les réactions de mon corps et ses moindres soupirs. J’ai commencé à entrer mes doigts dans ma chatte, tandis que l’autre, sur mon bouton très gonflé, ce doigt commençait à masser mon clitoris dur de désir, mes autres doigts étaient déjà infiltrés dans ma cavité trempée.

Je les fis tournoyer à l’exploration du moindre recoin que je pouvais atteindre. Mon bassin entama une danse lascive des hanches, comme si un feu intérieur s’était mis à brûler en moi.

Je me tordis dans tous les sens, mes jambes furent prises d’un tremblement très violent et je me mis à hurler mon plaisir, je sentis mon vagin se resserrer sur mes doigts avant de se dilater à nouveau. À cet instant même, j’ai entendu le claquement de la porte, c’était mon mari. J’étais très honteuse, je m’étais mouillée toute seule, s’il me touchait, il constaterait ce que j’ai fait.

La chance était de mon côté, après avoir enlevé son Cafetan, Il s’est allongé sur le lit et commença à me parler de son père, il m’a dit : « à mon avis, il doit partir très vite, il doit se soigner là-bas, en France, c’est mieux », je n’eus pas autre chose à lui dire que de dire « oui », timidement, puis il a ajouté que c’était mieux pour toi de partir, n’est-ce pas ?, je lui dis : « non, au contraire », puis il dit qu’il avait remarqué que je me sentais bien ces jours-ci et qu’il avait cru que c’était à cause de son père, je lui expliquai, qu’au début, je n’avais pas habitude de sa présence, mais maintenant, je me suis habituée à lui ; alors il m’a remerciée.

Moi, ma main toujours sous ma couette, je me suis touchée devant lui. J’étais trempée par mes caresses solitaires.

Il s’est approché de moi. Il a repoussé mon drap et ma couette et s’est assis près de moi. J’avais un peu honte parce que j’avais mis juste ma chemise de nuit, rien dessous, il m’a dit : « tu n’as pas l’habitude de te coucher ainsi, sans rien porter », je suis obligée de lui dire que je l’attendais, car ça fait presque 12 jours que nous n’avions pas fait l’amour.

Il m’a fait un peu la morale et a posé sa main sur ma cuisse en me disant que même lui avait envie de moi, il a touché mes seins, j’étais devenue une jolie jeune fille. Il m’a enlevé ma chemise de nuit pour pouvoir voir mes seins et les caresser un peu, ensuite il a commencé à me caresser partout. Je n’osais pas me refuser à mon mari.

Je me suis laissé faire en rougissant et en pensant à mon beau-père, il a baissé son caleçon et il s’est mis sur moi, il me prend toujours, dans cette position, en missionnaire. Il m’a soulevée et s’est enfoncé en moi, je me sentais pénétrée et il a passé ses mains sous mes fesses, me donnant un mouvement de va-et-vient. Ses doigts sur mes fesses, tout à coup, comme je suis très humide, son sexe a glissé jusqu’à mon petit trou et il a forcé un peu pour en faire entrer un peu dans mon anus. Je lui dis : « non, pas par-là, c’est interdit par notre religion ».

Il l’a remis dans ma chatte et j’ai ressenti une chaleur dans mon ventre et j’ai commencé à jouir, en poussant des gémissements et en projetant mon ventre contre lui, mais toujours en pensant à son père. Quelques instants après, il se vida en moi, toujours dans cette même position. Il m’a dit qu’il allait prendre une douche, quand il eut fini, il m’a demandé, à moi aussi, de prendre une douche. Il m’a fait savoir que je devais penser à la prière du matin. On s’est couché.

Le matin, ce fut mon mari qui m’a réveillée, je lui ai préparé le petit-déjeuner et il est parti à son travail.

Je me suis dirigée directement à la chambre de mon beau-père, quand j’ai ouvert la porte directement, il m’a demandé d’allumer la lumière, je fis ce qu’il m’a demandé, je me suis rapprochée de lui et je lui dis : « est-ce que tu te portes bien ? », il m’a répondu : « quand tu seras avec moi, je serai toujours bien », j’étais debout devant lui, il a mis sa main entre mes jambes, puis sur mes fesses, Il a glissé un doigt, puis deux dans mon petit trou, les a agités et m’a trituré le bouton de l’autre main, ce qui m’a fait jouir, puis il a glissé un doigt dans mon vagin et l’a bougé rapidement. J’étais déjà trempée entre les jambes. Il m’a demandé de me tourner et de m’approcher de lui. Il m’a, ensuite, léché les fesses et surtout mon anus dans lequel il a planté un, puis deux doigts.

Je gémissais de plaisir et il se leva et s’assit au bord de lit et me demande de m’assoir sur lui. Je l’ai laissé faire quand il a posé son gland sur mon trou, il m’a dit de pousser un peu et il a commencé à s’enfoncer en moi. Je voulais me lever, mais il m’a pris par mes hanches, je lui dis doucement, qu’il me faisait mal et il a arrêté, me laissant m’habituer à son encombrante présence. Il a fini par rentrer complètement et n’a plus bougé du tout. Quand j’ai été décontractée, j’ai entamé un lent va-et-vient, me donnant des sensations nouvelles. Je montais et descendais sur son sexe. J’ai mis ma main entre mes cuisses et je me suis masturbée pendant qu’il me sodomisait. Il a joui dans mes intestins, en s’agrippant à mes hanches et, moi aussi, je me suis laissé aller. Je suis allée aux toilettes, puis à la salle de bains pour me laver, mais mon beau-père est entré avant que je ferme la porte. Il m’a mise nue et m’a fouillée avec sa langue, me donnant un orgasme. Il m’a prise debout après m’avoir posé les fesses sur le lavabo. Il a éjaculé après quelques va-et-vient, sans se retirer et on a pris une douche ensemble. Des fois, il me dirigeait les jets de l’eau à l’intérieur de ma chatte, je me suis mise à genoux devant lui, je l’ai pris dans ma bouche pour lui redonner vigueur. Il m’a repoussée et m’a retournée face au lavabo, il a pris un liquide sur le lavabo que je ne sais pas quoi sur ses doigts et m’a touché l’anus. Il a sorti son sexe et a commencé à me sodomiser. J’ai eu très mal et il m’a consolée en me léchant l’anus et me faisant jouir à nouveau. C’était ma dernière fois avec lui, trois jours après, il a pris son vol, vraiment, j’ai pleuré, mais il m’a promis qu’il reviendrait cet été !

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire