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3 ans de pénitence – 16

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Un cours de fellation.

Je vais avoir ce sale goût de savon parfumé dans la bouche pendant un bon moment.
Simone, la mère d’Henri qui s’occupe du nettoyage, vient dire aux jumelles:
— Madame Marguerite (l’évêque) veut que les filles retournent dans la grande salle pour tout ranger. Il y a des hommes qui ont vomi, moi, je ne m’occupe pas de ça!
Quelle horreur!
On va chercher des seaux d’eau, des brosses, des serpillières…
On retourne dans la salle où a eu lieu l’orgie, pour nettoyer et ranger. Il reste encore Marguerite bourrée, son fiancé noir et quelques hommes qui cuvent leur vin.
On doit se déshabiller, les jumelles estiment que c’est plus pratique pour nettoyer et surtout pour nous stimuler à coups de fouet. Elles montrent une trace ou l’autre par terre du bout du pied et l’une de nous doit se précipiter pour frotter. J’en profite pour embrasser leurs chevilles, tout en bredouillant des excuses. Ma soumission leur plaît. Je voudrais surtout ne plus être victime de leurs punitions.
Une fille qui vient de recevoir quelques coups de fouet, parce qu’elle n’aurait pas bien nettoyé un petit coin, a le malheur de leur dire:
— Il nous faudrait plus d’eau, ma soeur.
Marguerite, saoul comme une vache, est couché sur son fiancé noir. Elle a posé sa joue sur le bas ventre de l’Africain et le sexe de celui-ci lui barre le visage du menton aux sourcils. Il déplace maladroitement le sexe pour dire:
— S’il leur faut de… de l’eau pissez dans leurs seaux, mes petites novices.
Ceux qui restent trouvent ça une super bonne idée! Les jumelles en profitent pour enlever leurs robes et s’accroupissent toutes les deux sur un seau.
Marguerite fait:
— Psssiiiiiiittt…
Et ça vient! Elles pissent en riant, l’une à côté de l’autre.
Quand c’est fini, elles ne secouent même pas leurs derrières pour faire tomber les dernières gouttes. L’une des deux ordonne en nous pontant du doigt:
— Toi et toi, venez lécher.
C’est Cynthia et moi qui sommes désignées. On doit lécher les quelques gouttes qui perlent dans leurs poils. Mais je préfère 100 fois ça au savon dans la bouche.
On termine de nettoyer le sol à la pisse. Ben voyons, quoi de plus normal!
Un des hommes, mi-poivrot, mi-clochard qui s’est déjà envoyé des quantités de verres de vin, nous a observées tandis qu’on nettoyait nues. Il me dit:
— Viens me sucer, maintenant que ta bouche est propre.
Ça fait rire un de ses copains. Je me mets à genoux devant lui et je prends son sexe en bouche.

Le point positif, c’est que fatalement, je ne goûte que… le savon. J’essaye de faire pour le mieux, mais pas satisfait, il dit bien haut:
— A sait pas sucer, cette gamine!
Marguerite ne le prend pas mal. Être en femme, ça le rend beaucoup plus accommodant, surtout avec les hommes. Donc il répond:
— Elles ont un cours de fellation demain matin. Mais on a une championne de la turlutte (!). Cynthia, va sucer ce Monsieur.
Elle vient justement de se faire prendre par tous les orifices, Cynthia, mais elle obéit quand même tout de suite en prenant le sexe de l’homme en bouche. Au bout de quelques minutes, il dit:
— V’savez raison, ma’me Marguerite, ça c’est une suceuse.
L’orgie se termine mollement. Ils sont tous bien alcoolisés et se sont vidé les couilles dans de jolies filles de 20 ans et une plus âgée, la championne de ce que vous savez.
Les clients quittent le bordel. Si Pie XII savait ce qui se passe dans ce couvent! Quoique Pie XII, il semble très fort pour ne pas voir certaines choses! Pas de politique Aurore, crétine!! Je n’ai rien dit!
Les derniers soûlards s’en vont, Marguerite s’est carrément endormie. Les jumelles ont à faire. Une Mère vient nous récupérer et nous enferme dans la chambre.
Pas de visiteurs ce soir, ouf!
***
Le lendemain, on est une dizaine de nouvelles pour le cours de fellation. Deux nonnes nous amènent dans une grande pièce. Il y a bien sûr des observateurs, des hommes et quelques femmes. Comme tous les visiteurs, ils sont bien habillés et manifestement riches.
C’est Mère Angélique qui donne le cours. Elle n’a d’ailleurs d’angélique que le nom, puisque au moindre prétexte, elle en profite pour nous gifler. Moi, je reçois deux bonnes claques parce que soi-disant, je suis distraite. J’ai les joues bien rouges, comme la plupart des autres filles. La Mère nous dit:
— Mes filles (!),vous serez bientôt chargée de distraire les visiteurs. Les massages sont très appréciés des hommes comme des femmes. Généralement, un bon massage se termine par une fellation ou un cunnilingus. Donc, aujourd’hui, on va vous apprendre la fellation.
Elles s’adressent maintenant aux visiteurs:
— Chers observateurs, c’est notre évêque qui a mis au point ce cours de fellation. Les pensionnaires devront arriver à faire jouir un homme dans leurs bouches et tout avaler. Cependant, il est trop facile de faire éjaculer un jeune homme qui se met à bander dès qu’on lui frôle les testicules. Donc notre évêque s’est adressé à un hospice pour avoir des volontaires « seniors », assurément plus difficile à satisfaire. Ils ont reçu un bon repas, un paquet de cigarettes et quelques verres de vin. Ils sont tous ravis par l’idée de pouvoir lâcher la purée dans une jolie bouche, comme me l’a dit l’un d’eux.
Rires chez les observateurs, pas chez nous. On va devoir sucer des vieillards de l’hospice, quelle horreur! Pas tellement à cause de l’âge, mais surtout à cause de l’hygiène.
La Mère Angélique nous dit:
— Déshabillez-vous mes filles.
Quand on est nues, elle nous dit:
— Allez prendre ces lits et installez-les au milieu de la pièce.
Il s’agit d’une espèce de croisement entre des tables de massages et de gynéco, puisqu’il y a des étriers pour mettre les pieds. On doit les mettre sur une rangée à 50 cm les uns des autres. Mère Angélique nous encourage à l’aide de quelques bons coups de fouet. Quand tout est prêt, elle va ouvrir la porte vers le couloir et dit:
— Vous pouvez venir, chers amis.
La Cour des Miracles investit la pièce. Douze vieillards arrivent, vêtus uniquement au-dessus de la taille. Moyenne d’âge, bien 80 ans! La moitié d’entre eux s’appuyent sur des cannes. Ils sont joyeux et plaisantent entre eux en nous voyant. Du haut des cieux, Jérôme Bosch doit apprécier la scène… La vieillesse est cruelle pour le corps des hommes et des femmes. Les chairs sont flasques, les ventres mous pendent… les couilles encore plus.
Mère Angélique désigne à chacune un vieillard à installer sur les tables de massage. Il y a une petite marche pour qu’ils parviennent à s’asseoir dessus. Ensuite, très délicatement, à cause de l’arthrose des genoux, on doit mettre leurs pieds dans les étriers. Au moindre « Aie, ouille, doucement! », on se prend un bon coup de fouet sur les fesses et c’est à notre tour de faire « Aie, ouille! » Trouvant la scène amusante, les vieux se mettent à pousser des cris. Nous aussi, bien sûr. La diabolique Angélique fouette à tour de bras. Enfin, ils sont tous installés et c’est elle qui vient relever les étriers, de façon à ce qu’ils aient les jambes bien relevées et écartées, sans risquer une fracture de la hanche.
Il s’ensuit une exposition d’organes génitaux qui ont connu les tranchées de la guerre de 14/18. Les couilles pendent tristement dans le vide et les bites grisâtres sont toute molles.
Mère Angélique nous dit:
— Remerciez votre senior de faire le cobaye et embrassez-le.
« Le mien » a un petit bouc grisâtre, il ressemble un peu à un faune qui aurait 200 ans. Je lui dis:
— Merci Monsieur de me laisser faire et soyez indulgent, car… Aaaaiiie!
Je viens de recevoir un coup de fouet sur les fesses. La mère me dit:
— J’ai dit de remercier, pas de raconter ta vie, idiote!
— Oui ma Mère, pardon.
Je me penche pour embrasser ses lèvres minces, mais il se détourne en disant:
— Attends.
Après avoir enlevé son dentier, il zozote:
— Avec ze truc, on zens rien et ze veux zentir ta langue.
Je l’embrasse, ma langue touche des gencives nues. C’est vraiment trop bizarre.

Tout ça parce que j’ai simplement essayé d’envoyer ma belle mère dans l’autre monde. Et encore, pas du tout sans raison.
Quand on a chacune embrassé notre vieux, Mère Angélique nous dit:
— Mettez-vous à genoux devant le sexe de ces Messieurs et caressez doucement la hampe de leur organe.
Son séminaire à lui, ça devait être le One Two Two (un bordel célèbre entre les deux grandes guerres).
Mon vieux cobaye s’appelle Jeannot, il me demande:
— Tu pourrais m’apporter un pastis? J’ai une p’tite soif.
Je me tourne vers la Mère qui hoche la tête. Je vais vite lui préparer son pastis, j’espère que ça va le mettre en forme!
Je lui apporte son verre et je m’agenouille. La Mère continue:
— Branlez-leur la bite doucement et de l’autre main, vous leur caressez les couilles.
Oh! la bite de Jeannot a frémi, c’est bon signe.
— Tirez sur la peau pour dégager le gland. Maintenant, léchez-le comme si c’était une boule de glace au sommet d’un cornet.
Je fais ce qu’elle dit et je n’ai pas de trop mauvaise surprise. Souvent, les hommes non circoncis ont des odeurs qui sont tout sauf agréables. Jeannot sirote son pastis en me regardant lécher. Le coup de la glace, ça a l’air de lui plaire et son sexe se raidit. Il y a des filles qui crient parce qu’elles reçoivent des coups de fouet. Qu’est-ce qu’elles en peuvent si leurs cobayes restent mous?
Mère Angélique ajoute:
— Continuez de branler tandis que votre bouche va et vient. Vous pouvez aussi faire un anneau avec l’autre main pour serrer la partie entre les couilles et le sexe.
Aah! Elle s’y connaît, la Mère!
— Continuez, continuez, branlez, pompez!
— Aiiiie!
Elle vient de m’envoyer un bon coup de fouet. Je retire le sexe de Jeannot de ma bouche et je dis:
— Je ne fais pas ce qu’il faut, ma Mère?
— Si, mais tes fesses me donnent toujours envie de les fouetter. Tu croyais vraiment qu’il me faut une raison?
— Non ma Mère.
— Continue, il ramollit.
Ouch! Le Jeannot, il lui a suffi d’un peu de distraction pour ****tisser. Je lui refais le grand jeu, une main qui entoure les couilles, l’autre qui branle et la bouche qui suce, mais il retste tout flasque. Mère Angélique me dit:
— Lèche son trou du cul !
Bèrke! Elle lève son fouet et… j’obéis.

J’entends un vieux qui pousse des petits cris, il a pris son pied!
Mère angélique nous dit:
— Une goutte à côté et vous passez la nuit à la cave.
Je reprends la bite de Jeannot en bouche.

Il commence à gigoter aussi. Ça y est, du sperme chaud envahit ma bouche. Pouah, ça me dégoûte! Pas parce qu’il est vieux, mais plutôt parce que le sperme me débecte. Ma bouche se remplit encore et j’arrive à tout avaler. Ouf!
Pour finir, tous les vieux auront joui. J’ai l’impression qu’ils ont dû recevoir un bon cocktail, vitamines plus aphrodisiaques. À tout prendre, je préfère sucer le vieux Jeannot que du savon…

À suivre.

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