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à la mer suite

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Exhibition maritime (suite)
Les amis étaient partis, nous avions fait l’amour. Toute la soirée, à bord, je suis restée nue.
Le lendemain matin, on ressort en mer. C’est samedi, il y a beaucoup de monde donc un peu de calme…
Je mets la chemise de la veille, toujours aussi courte, toujours nue dessous. Pierre me laisse la barre et fait le reste, contrairement à la veille.
Nous arrivons aux musoirs des estacades, aujourd’hui noires de monde, il me demande enfin de tirer la chemise. On navigue jusqu’en début d’après midi.
Rentrés au ponton. Pierre part faire une course. Je mets mon bikini de la veille et me m’installe dans le cockpit, sur la banquette tribord. À bâbord les voisins ne sont pas l^, à tribord le bateau est parti en mer. Personne ne peut me voir facilement. J’enlève le haut et le lance dans la descente du bateau. Comme ça, je dois rester comme ça. Je suis vraiment bien cachée. J’enlève le bas qui suit le soutif à l’intérieur du bateau. Je me sens bien, un peu de vent qui caresse tout le corps. Pierre revient. Il doit m’enjamber pour descendre dans le cockpit.
Il propose de boire un verre. Il s’occupe du service. Je suis donc nue comme la vérité, assise dos contre le rouf. Personne ne me voit et je lis une revue, détendue. En fin d’après-midi, Pierre me dit que le bateau voisin revient. Il est dans le bassin à 30 m de nous. Pas le temps de descendre. Ce bateau fait du charter/location donc l’équipage ne viendra qu’une fois ou tout comme. Donc be quiet. Je me mets sur le ventre, la revue sur les fesses : on voit que je suis nue mais on ne voit rien. L’honneur est sauf. Ils s’amarrent. Je suppose qu’ils regardent mais j’ai la tête tournée.
Comme toujours dans ces cas, l’équipage se casse fissa fissa à peine le bateau amarré. Je tape la revue dans la descente. Pierre me fait remarquer que le prélart n’est pas mis et que donc le skipper va revenir. Je me sens coquine. Je lui demande s’il veut que je me retourne et qu’il disparaisse en bas. Amusé, il me répond que oui.
Je me retourne, à moitié contre le dossier, une jambe pliée (la gauche). J’ai les lunettes solaires, j’ai l’air de sommeiller.
Un peu de bruit : M… ils sont deux le skipper d’un jour et le proprio. Lui, on le connaît. Je ne vais pas jouer les vierges effarouchées, donc je continue à « dormir ». Ils descendent dans le bateau. J’en profite pour rentrer aussi et remettre une tenue décente.
Pierre a l’air d’aimer cette situation un peu gênante. On sort et on se réinstalle dans le cockpit. J’ai un t-shirt long qui cache l’essentiel mais qui laisse les seins balloter et les tétons pointer.
Le skipper est parti. Notre voisin reste seul à bricoler. Pierre lui demande s’il veut prendre un verre. C’est la vacherie… Il monte à bord, il s’installe et on trinque. Pierre propose qu’il reste manger avec nous. Il est célibataire, donc il a le temps. Pierre annonce qu’il va introduire les waypoints du lendemain dans le GPS à l’extérieur et propose à notre invité de donner un coup de main en cuisine.
Nous descendons lui et moi. En bas, je me penche vers lui et le prie de m’excuser pour ce qui s’est passé. Ses yeux sont comme l’eau d’un aquarium dont on n’a pas changé le filtre : troubles. Je lui fais la bise, un peu près des lèvres. Les yeux sont vraiment troubles. Rebisou sur les lèvres. Il prend l’initiative et met les mains sur mes hanches. Ce n’est plus un petit bisou, c’est un baiser profond. Les mains glissent sur les fesses. Il a du souffle ; je suis étourdie de la chaleur de ce baiser au point de ne pas remarquer que le t-shirt est retroussé jusqu’aux hanches. Je m’écarte un peu de lui. Son jeans est déformé sur le devant. Je défais la ceinture et le bouton, je glisse la main dedans. Il est en érection et manifestement trop excité que pour baiser correctement. Dommage mais je n’ai pas envie de lui infliger l’humiliation de l’éjaculation précoce. Je me mets à genoux, le prends entre mes lèvres et le suce. Je pense qu’il a tenu moins de deux minutes. Je me relève, il a l’air un peu gêné d’avoir joui en égoïste. Je le rassure en lui disant que ce n’était que partie remise.
Il finit par partir. On le reverra, c’est évident. Son petit bisou de départ était très tendre.
La nuit est tombée. J’ai une folle envie mais Pierre me dit que j’attendrai avant de pouvoir jouir.
On finit par aller dans notre cabine sur l’avant. Pour expliquer un peu le contexte, la cabine avant a un grand lit en trapèze, logique étant dans la pointe du bateau, surmonté d’un panneau de pont de plus ou moins 50X50. La pointe du bateau est à un mètre du ponton. C’est toujours troublant d’entendre les gens passer sur le ponton quand on est dans le lit, panneau ouvert.
Pierre ouvre le panneau entièrement, il me fait mettre à genoux. J’ai la tête qui sort par le panneau. Il me caresse ainsi longuement. C’est parfaitement décent mais c’est une impression très érotique. Il est très tard, le port est maintenant parfaitement calme. Il me fait lever. Je suis dehors jusqu’à la taille. Il commence à me brouter le minou. À demi nue à l’extérieur c’est vraiment excitant. Il me dit de me mettre à genoux sur le pont, jambes écartées, une de chaque côté du panneau. J’obéis. D’en bas, il a la vue parfaite sur ma nudité. Je prie que personne ne soit insomniaque et ne se promène sur le ponton. Il me caresse ainsi, durement. Il entre sa main dans mon vagin, en tournant largement. Il retire sa main et me dit de descendre, je n’ai plus qu’à aller m’empaler sur sa queue.
La nuit a été longue.
Dimanche, le vent est monté, ONO, Bf7. Le projet de navigation est oublié. Pierre me propose le bord de l’eau sur la plage, en promenade. On met les bottes. J’ai un manteau court mais assez long que pour couvrir la lisière des bas. Parce que le traître a pensé me faire balader nue sous le manteau. C’était ça le piège.
On arrive sur la plage, le vent est fort. On marche au ras des vagues. Le vent se glisse sous le manteau. On s’arrête face à la mer. Pierre est derrière moi, collé au dos. Il me glisse des baisers dans le cou. Une main se glisse dans le manteau et me caresse les seins. Il commence à déboutonner. Il n’y a aucun risque, il est tôt et la plage est calme. Le manteau est maintenant déboutonné. Pierre empoigne les revers et dégage les épaules. Là, je suis vraiment nue. Seules les mouettes apprécient mais c’est troublant. Il entreprend de me caresser. Je glisse la main derrière moi et sent sa queue sous le pantalon. Je l’entraîne vers la voiture. Je n’en peux plus. On remonte à bord. J’ouvre le panneau de descente et je m’apprête à retirer les deux panneaux verticaux quand je sens qu’il me plie en avant. Nous sommes abrités des regards par la capote de descente. Il soulève mon manteau et me prend ainsi, en levrette. Beau début de journée.

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