Cinq ans se sont passés, depuis que j’ai quitté ce lycée. Cinq ans ! J’ai l’impression que c’était hier !
Je venais d’avoir mon bac professionnel, et mon maître d’apprentissage m’a embauché directement après. Et, depuis, je travaille toujours pour lui. Avec lui, plutôt, il vient de me faire monter en grade ! Je suis son bras droit maintenant. A 25 ans, c’est pas beau ? Et , il m’a fait comprendre qu’il voulait que l’on s’associe,si ça continue à bien marcher. Je m’y vois déjà !
Du coup, j’ai eu envie de venir voir mes anciens profs et le directeur pour leur donner de mes nouvelles.Je pense qu’ils vont être fiers de moi.
Déjà, j’arrive sur le parking avec une petite sportive, ça change de l’antique Supercinq qui me traînait il y a cinq ans !
Les lieux n’ont pas trop changé, c’est juste un peu plus propre, un peu plus accueillant pour des visiteurs.
Quand je pousse la porte de l’accueil, je vois une tête familière et sympathique :celle de Brigitte, la secrétaire.
Elle met une seconde à me reconnaître et, finalement, stoppe net son rangement de dossiers et m’accueille avec un large sourire
– Thomas ! Quelle bonne surprise !
Son accueil me fait chaud au coeur, mais c’est vrai que Brigitte a toujours été extrêmement chaleureuse avec nous pendant toutes ces années. Une perle de femme, même si son physique quelque peu ingrat peut laisser penser, au premier abord, qu’elle ne soit guère joviale.
C’est un amour quand on la connaît, et c’est mon cas, car je suis venu à de nombreuses reprises dans ses bureaux en tant que délégué de classe.
Nous discutons ensemble quelques minutes, puis je demande si Mr Leroy, le directeur, est là.
Elle me dit que non, malheureusement, qu’il est en réunion à l’extérieur, puis elle semble chercher dans sa mémoire, et finit par me dire que vous êtes là, dans une classe, au bout du grand bâtiment de mécanique, et que je pourrais vous faire une petite visite, que vous seriez très contente de me voir.
Je lui réponds qu’à moi aussi, ça me ferait plaisir, et après lui avoir promis de repasser plus souvent, je prends congé d’elle pour me diriger vers les hangars.
Je croise un paquet d’élèves, ce faisant, et après avoir consulté ma montre, je prends conscience qu’il est 17 heures, heure de la fin des cours.
J’avais complètement oublié que, quand on est étudiant, les journées se terminent bien plus tôt que quand on bosse !
C’est désormais tous les élèves qui viennent à contresens dans le couloir qui me mène à la salle 31, au bout du bâtiment.
J’arrive enfin devant la salle. Tout est désert alentour, même les autres professeurs, les tecnhiques, sont déjà partis. Il faut dire que votre charge de prof principale est plus importante que pour d’autres.
Je frappe et rentre dans cette pièce qui m’a vu passer quelques années auparavant. Elle n’a pas changé, et vous non plus !
A 45 ans, environ, vous êtes toujours aussi attirante et féminine qu’avant !
Déjà, à l’époque, vous saviez – inconsciemment ou non, volontairement ou non- nous faire partir dans des délires fantasmatiques grâce à vos longs cheveux noirs ondulés tombant sur vos épaules,à votre peau parfaitement mate et bronzée, vos beaux yeux noirs accentués par de longs cils et un maquillage très noir, genre « gothique », votre taille fine et vos formes bien placées,mais les années n’ont pas eu de prise sur vous, ou bien si. Pour vous donner ce charme indescriptible des matures !
Debout face au tableau blanc, occupée à l’effacer, vous tournez la tête vers moi, mettez quelques secondes à me reconnaître.
– Thomas ? , me demandez vous, avec une pointe de surprise dans la voix.
Je m’avance, le sourire aux lèvres, satisfait de l’effet que mon nouveau physique semble vous faire !
C’est clair que je dois vous changer des post-ados coiffés à la Justin Bieber, qui portent des jeans 4 fois trop grands pour eux !
Dans mon jean près du corps, bien coupé, gris anthracite,et mon polo de marque bleu outremer, c’est sûr que je dénote et je ne ressemble plus trop au gringalet de l’époque ! Mes cheveux sont coupés court, et fin du fin, comme je passe pas mal de temps dans des cabines à uv, j’ai la peau tellement mate que l’on croirait que j’ai des origines méditerranéennes ! Avec mes yeux clairs, ça crée un contraste qui a le don de semer le trouble, je le vois bien, chez un certain nombre de femmes !
Je vous serre la main. Je l’avais déjà fait, à l’époque,quand j’allais aux conseils de classe, mais jamais avec cette intensité. Il me semble que mes doigts caressent les vôtres plus qu’ils ne les serrent vraiment, et je ressens un frisson me parcourir l’échine.
Je n’ai pas le souvenir d’avoir déjà eu ce même feeling avec vous, avant, et je me sens troublé.
Comme votre main a été aussi hésitante et caressante que la mienne, j’en déduis que vous pourriez éventuellement être aussi désarçonnée que moi, et cette pensée me fait sourire intérieurement .
Tentant visiblement de l’ordre dans vos idées, vous me questionnez.
– Comment vas-tu? Toujours au garage Drouin ?, puis, – Je ne t’ai pas reconnu tout de suite. Tu as drôlement changé ! En mieux, je veux dire …
En disant cette dernière phrase, que vous avez l’air d’avoir lâchée sans vraiment le faire exprès, vous baissez la tête au dessus du bureau et commencez à ranger vos affaires.
Votre trouble est manifeste, et je suis aux anges de constater à quel point je vous perturbe.
Effectivement, physiquement, je ne suis plus le même ! Je me suis inscrit dans un club de remise en forme, et j’ai pris une dizaine de kilos – de muscles !, et je suis passé du look de grand ado à celui de jeune cadre dynamique !
J’ai troqué mes vieilles lunettes contre des lentilles plus seyantes, et j’ai désormais un certain succès auprès des femmes, que je n’avais pas à l’époque.
Mais, vous aussi m’impressionnez, et je dois déployer des trésors de contenance intérieure pour résister juste à l’envie de vous regarder sous toutes les coutures, sans passer pour un pervers.
Je réponds aussi machinalement que possible à vos questions, puis je suis pris d’un brusque accès de confiance et j’ose – Vous, par contre, vous êtes toujours aussi… belle !
Je m’épate moi-même ! Je voudrais me foutre dans un trou de souris, tellement je me sens honteux, et en même temps, j’ai l’impression que mon torse se gonfle de fierté et que tout mon corps se dresse tel un paon qui ferait le beau. Oui, tout mon corps …!
Vous levez vos yeux magnifiquement fardés sur moi,et je crois lire une lueur de désir y briller. Vous me souriez, à la fois gênée et profondément heureuse de mon culot.
Un silence gênant s’installe entre nous, mais on sent bien aussi qu’une certaine tension sexuelle flotte dans l’air .
Je m’appuie sur une table, à quelques pas de vous, qui continuez à ranger vos affaires, et vous détaille pendant ces quelques secondes.
Vous portez une jupe de couleur prune, qui vous arrive au niveau du genou, donc pas très courte, mais excessivement moulante, et à chacun de vos mouvements, je distingue parfaitement les moindres contours de vos longues jambes et de vos fesses, qui sont toujours aussi attrayantes.
D’ailleurs, je me dis que vos élèves – principalement des garçons, dans ce milieu- doivent tous avoir la gaule sous leurs bureaux devant une prof pareille ! Comme nous, nous avons pu l’avoir quelquefois, d’ailleurs ! Et combien de fantasmes devez-vous créer chez eux, à être aussi désirable en portant ce genre de tenues en cours ?!
Dans votre sous-pull en angora blanc, qui laisse deviner une poitrine généreuse – peut-être même plus flatteuse qu’il y a cinq ans ! Seriez-vous passée sur le billard ? -, vous êtes à la fois très sobre, et en même temps tellement sexy !
Vos traits me paraissent aussi avoir changé : votre nez me semble plus fin qu’à l’époque et aussi un peu en trompette, à « l’américaine », me confortant dans l’idée que vous devez fréquenter les tables d’opération de chirurgie esthétique, et si l’on rajoute à cela vos escarpins noirs à talons aiguille et de multiples bijoux scintillants sur vos poignets et autour de votre cou, on a là un tableau assez précis et bien tentant, à mon goût !
Je vous donne des détails sur ma nouvelle vie, pour faire la conversation et rompre ce silence un peu pesant, mais je me rends compte que rien de ce qu’on pourrait se dire ne saurait changer le fait qu’un trouble évident règne dorénavant.
Pourtant, nous savons tous les deux que vous êtes mariée, et peut-être me croyez- vous aussi en couple, et ce seul constat devrait nous obliger à « retoucher terre », mais la tension est bel et bien là.
Sous l’effet de votre nervosité et voulant ranger, certainement trop précipitamment, un paquet de feuilles volantes posées sur un coin du bureau, vous donnez un coup dans ce dernier et le dit paquet se retrouve sur le béton, dispersé sur trois mètres carrés !
Un petit juron vous échappe alors, que vous exprimez avec dans la voix, à la fois une jubilation presque enfantine d’avoir été aussi maladroite et une tension nerveuse qui ne demande qu’à s’évacuer.
Mon côté « chevalier blanc » me fait bondir sans hésitation pour ramasser les feuilles dispersées sur le sol, à l’exact moment où vous aussi vous vous penchez, et nos bustes, nos mains et nos visages se trouvent d’un coup si proches que l’on pourrait se toucher, s’embrasser, se caresser en un quart de seconde !
Des effluves de votre parfum viennent jusqu’à moi, et j’inspire profondément votre odeur, sans prendre conscience tout de suite que je l’ai fait trop bruyamment pour que vous ne m’ayez pas entendu !
Nos regards se croisent. Le vôtre est brillant comme jamais, bien que j’y lise encore le bon sens et la bonne morale qui sied à une prof envers un de ses – anciens !- élèves. Bien sûr, vous êtes mariée, et sensée être fidèle, mais là, dans cette situation, votre regard semble plutôt vouloir dire : je suis aussi une femme qui a des désirs incontrôlables et qui veut se faire posséder, ici et maintenant !
Le mien, en tout cas, se veut le plus clair possible : je vous dévore littéralement des yeux !
Nous restons ainsi quelques secondes, presque figés, à ne pas trop savoir quoi faire, ni comment réagir.
Vos yeux dans les miens, vous ne pouvez pas ne pas vous rendre compte du désir brûlant que je ressens pour vous, et si vous ne me remettez pas à ma place, c’est bien parce que vous ressentez la même chose ?!
Le bruit, au loin, de portes de voitures qui se claquent, nous ramène à la réalité, et nous reprenons notre ramassage de feuilles.
Sur plusieurs d’entre elles, nos mains se frôlent encore, et chacun s’excuse à son tour, mais quand nous nous relevons et que je vous tends le paquet que j’ai ramassé, un dernier contact entre nos doigts met le feu à nos sens !
Cette fois-ci, ils ne se lâchent plus ! Mieux même, ils entreprennent de se lier les uns aux autres ! Puis, le reste de nos corps se rapproche inexorablement, jusqu’à se coller l’un contre l’autre, et finalement, nos lèvres se rejoignent dans un baiser !
Whoahh ! Je n’en reviens pas de ce que je suis en train de faire ! Je roule un patin à Mme Busnel ! Un peu comme dans mes rêves de post-ado, mais en mieux !
Vos lèvres sensuelles, d’abord hésitantes, deviennent de plus en plus assurées et c’est vous, maintenant, qui venez faire tournoyer votre langue contre la mienne.
Je vous laisse faire, plus qu’heureux de votre nouvelle hardiesse, et je ferme les yeux pour profiter un maximum.
Mes pensées s’évadent quelques instants et je me mets à songer à tous ces types qui ont du rêver d’être à ma place aujourd’hui ! Je suis vraiment un sacré veinard !
Vous posez à l’aveugle le tas de feuilles sur le bureau et, tous deux, nous laissons nos mains divaguer sur nos corps.
Les miennes passent de votre taille à votre visage, en caressant votre dos à travers la maille si douce de l’angora,et puis descendent « effrontément » sur vos fesses.
Je palpe maintenant ces dernières sans atermoiement. A travers votre jupe, je sens maintenant votre cul bien rond dans mes paumes !
Mes doigts l’agrippent, ne veulent plus le lâcher. Je me pose quand même la question de savoir si je ne suis pas trop fougueux, si je ne vous fais pas mal, mais les soupirs de volupté que vous poussez dans le baiser que nous échangeons toujours me confirment que non.
Vos mains m’enserrent le visage et le retiennent tout contre le vôtre. Vos lèvres sensuelles sont toujours collées aux miennes, ce qui me donne à penser que je ne me débrouille pas mal !
J’ai commencé à soulever votre jupe le long de vos jambes. Au fur et à mesure, je remarque alors que vous portez des bas et même un porte-jarretelles en dessous !
J’ai remonté la jupe jusque sur votre taille, et vous êtes désormais en culotte !
Je prends quelques secondes pour admirer vos jambes, longues et galbées comme celles d’une hôtesse de l’air, puis j’empoigne à pleines mains la chair moelleuse, souple de vos fesses, et je la pétris comme si cela devait être mon dernier plaisir avant de mourir !
De nouveau, vous exprimez, à voix haute car vous avez libéré vos lèvres des miennes et que vous m’embrassez maintenant dans le col, toute la suavité que vous ressentez sous mes caresses.
Jusque là un peu passive, c’est vous, désormais, qui enserrez ma taille de vos jambes libérées de la jupe. Mes mains sur vos fesses, je vous tiens en équilibre, dans cette position qui met en contact direct nos entrejambes.
Même à travers mon jean, je peux sentir la chaleur de votre sexe contre le mien, alors j’imagine que vous sentez aussi la raideur qui tend mon pantalon.
Je vous dépose sur le bureau, en restant toujours à l’intérieur de vos cuisses.
Vous posez vos mains sur le meuble, vous écartant assez de moi pour que l’on se regarde, vraiment.
Votre regard noir impatient, vos lèvres plus roses, l’expression de votre visage tout entière trahit votre désir d’être prise, là, sur ce bureau, dans cette salle de classe.
Ce pourrait-il que vous ayez déjà eu ce fantasme de vous faire sauter par un élève dans ces conditions ? L’aviez-vous eu, à l’époque où j’étais un de vos élèves ? Et aussi, et surtout, serais-je le premier?
Plongeant mon visage au creux de vos cuisses, je plaque ma bouche contre le fin tissu de votre culotte.
Celui-ci est si léger qu’à travers, je sens parfaitement les contours de votre sexe ouvert et dilaté.
J’insinue ma langue, mes lèvres, même mon nez, dans votre vagin, que je bouffe littéralement, trempant votre culotte par la même.
Vous vous laissez tomber sur le bureau, relevez vos jambes. Vos escarpins posés dessus, vous vous cambrez en avant, pour venir à ma rencontre, et je vais et viens maintenant de votre chatte jusqu’au périnée, à la limite de votre anus : je vous embrasse à l’intérieur des cuisses, lèche votre pubis, humidifiant au passage vos poils taillés en « ticket de métro », puis je reviens toujours plus profondément dans votre antre. Vous gémissez de plus en plus fort, vous accrochant aux bords du bureau.
Je vous écarte alors votre culotte, totalement trempée, et vous lèche la chatte de plus belle.
Je joue maintenant de la langue sur votre clitoris, et enfile deux doigts dans votre sexe béant.
Vous vous agrippez alors si fort au bureau que je crois que vous allez laisser des morceaux d’ongles dans le bois !
Vous ne gémissez plus, haletez, mais je sens que vous voudriez crier !
Vous vous tordez de haut en bas, au rythme de mes pénétrations digitales, jusqu’à ce que vous explosiez. Votre bassin se raidit une dernière fois, vos traits se figent, puis soudain tout se relâche et je sens, à la quantité de mouille qui se déverse sur mes doigts et mes lèvres que vous êtes en train de jouir.
Vous n’avez pas crié, vous retenant vu le lieu, mais vous avez pris votre pied, indéniablement.
Je fais coulisser mes doigts encore un peu en vous, jusqu’à ce que vous repreniez vos esprits.
Vous ouvrez des yeux fatigués vers moi. Je vous souris.
Vous me souriez à votre tour, et voulez vous redresser. Je vous y aide. Vous venez m’embrasser, prenant mes joues entre vos mains.
Nous nous caressons. Vos mains descendent sur mon torse, vers mon jean, vos yeux ne quittent pas les miens. A l' »aveugle », vous commencez à le déboutonner, le faites descendre à mes genoux, puis c’est mon boxer qui suit le même chemin,me laissant le sexe dressé.
En voyant ce dernier, vous ne vous départissez pas de votre doux sourire .
Vos yeux toujours plantés dans les miens, vous vous en saisissez, et je pousse un soupir en fermant les yeux. Mon dieu, que c’est bon !
Lentement , vos doigts coulissent sur mon prépuce, le décalottant sans difficulté. J’halète, je tressaille de tous mes membres. J’ai du mal à tenir debout !
Vous avez l’air si fière du plaisir que vous me procurez. Vos lèvres entrouvertes, c’est comme si vous soupiriez de bonheur avec moi, en écho.
Votre adresse à me branler est telle que que je suis bien vite sur le point de jouir, et vous aussi, vous vous en êtes rendu compte ; alors, vous lâchez mon sexe, et je soupire, autant de regret que de savoir que les choses ne vont pas en rester là.
Vous descendez du bureau et venez m’embrasser, avant d’aller fouiller dans votre sac à main et d’en sortir un emballage de capote !
Je reste interdit quelques secondes ; qu’est-ce qu’une femme mariée aurait comme intérêt à avoir des capotes dans son sac ? Est-ce que cela voudrait dire que je ne suis pas le premier – ni le dernier- à bénéficier de vos faveurs extra-conjugales ?!
Pendant que je déballe le préservatif que vous m’avez tendu avec un sourire qui me donne une partie de la réponse, vous dégrafez votre porte-jarretelles et retirez votre culotte.
Vous vous retournez ensuite face au tableau. Oui, ça me plaît de vous prendre comme ça ! Je me colle à votre dos, mon sexe se nichant entre vos fesses.
Mes mains att****nt vos seins à travers le pull, les prennent à pleines paumes.
Vous écartez les cuisses pour me laisser m’infiltrer entre elles, cambrez vos hanches et je guide mon sexe vers votre vagin. Enfin, je vous pénètre.
Votre sexe totalement dilaté me laisse entrer sans difficulté, et nous poussons tous les deux un soupir de contentement.
Une sorte de trouille mêlée au respect que j’ai pour vous ne m’autorise pas, dans un premier temps, à aller et venir trop vite et trop profondément, mais c’est vous qui m’y incitez par ces mots – Vas-y, viens. Prends-moi. Oui, mets-la moi !
Vos mots sont ceux d’une femme dévergondée, j’adore !
Oubliant que vous êtes une femme mariée, de vingt ans mon aînée, mon ancienne prof et que l’on est dans un lieu public, je viens alors en vous avec toute la passion que vous m’inspirez. M’accrochant à vos hanches, je me mets à vous pilonner, faisant claquer mes cuisses contre vos fesses, et vous vous mettez à gémir de plus en plus fort.
Comme si j’étais en dehors de mon corps, je me vois me saisir de vos cheveux, les tirer en arrière comme une crinière et vous haletez de plus belle, m’encourageant à vous traiter comme la chienne que vous êtes. Je claque vos fesses comme pour vous punir de ne pas être – visiblement !- la femme bien sous tous rapports que j’avais imaginé, et vous en redemandez en vous cambrant toujours plus.
Vous avez bougé, m’entraînant avec vous sur le bureau. Vous vous allongez dessus, pliée en deux, et je vous pénètre encore plus profondément. Je souffle, je halète, je sue de grosses gouttes qui tombent sur votre peau. Je vous mets toute ma longueur dans le ventre, et vous arrache des halètements de plus en plus forts. Je n’ai pas encore joui, car je veux que vous preniez votre pied avant moi, mais vous baiser est tellement bon que j’ai bien du mal à ne pas tout balancer dans la capote !
Heureusement, votre plaisir ne tarde plus à venir,et bientôt, je vous entends gémir une dernière fois, plus fort. Les yeux plissés, la bouche grande ouverte, vous jouissez. Ce n’est pas forcément violent, très fort, mais cela me donne l’impression que vous fondez de plaisir et ça, ça me plaît !
Désormais, je n’ai plus à me retenir, et après quelques coups de reins qui servent, en plus, à vous accompagner dans vos derniers spasmes, je ne puis plus me retenir.
Vous tendez votre cul en arrière, et je m’enfonce une dernière fois au plus profond avant de jouir à mon tour, dans un râle a****l ! Mon sperme gicle dans la capote, et c’est presque comme si je venais en vous ! Je suis pris de spasmes, tandis que mes couilles se vident, en même temps que mon cerveau !
Me retenant au bureau, je continue encore le plus longtemps possible à vous pénétrer, l’esprit encore tout tourneboulé par cette partie de jambes en l’air. Je me couche sur votre dos, vous le caresse ainsi que vos seins, vos cuisses, vos fesses, et me frotte le visage contre votre pull. Je voudrais tellement que ce moment dure encore et encore !
Pourtant, une ou deux minutes plus tard, je dois me retirer. Je m’assieds sur une chaise. Vous vous redressez. Vos yeux fatigués, mais comblés, me fixent, et vous me souriez tendrement.
Nous nous rhabillons – vous ne remettez pas votre culotte, me la tendez comme un souvenir !- et nous échangeons un doux baiser.
Nous ne parlons pas, ça gâcherait tout. Mais, nos regards, qui expriment notre gratitude réciproque, le font pour nous.
Je vous aide à ranger vos affaires, et vous me remerciez de ma prévenance en m’embrassant une dernière fois, après m’avoir demandé de bien vouloir rester discret sur ce qui vient de se passer. Tu m’étonnes que je vais garder ça pour moi ! Je ne vais surtout pas aller raconter ça aux copains qui me restent de ma promo, ils ne me croiraient pas déjà, et puis, je ne veux pas leur donner l’idée de tenter leur chance ! Et les autres, non plus, n’en sauront rien .
Cela restera, entre toi et moi, une merveilleuse parenthèse que je n’oublierai jamais.
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