Contes Curireux, les lettres de mes lecteurs et étudiants a l’ « Institute International d’Erotisme Experimemental »
Contes Curieux, une serie séduisante des vrais histoires privés de sexualité et aventures en solo ou avec des autres
Contes Curieux continuera longtemps, si vous voulez me renvoyer votres pétites perversions ou situations spéciales
Contes Curieux, le premier c’est de Monique d’A. qui aime bien jouer dans son lit avec quelques aguilles pour s’exciter
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Un ami passioné d’Extrême-Orient m’a initiée à certaines sciences de là -bas.Yoga, Zen, Méditation transcendentale, toutes les techniques complexes pour le profane n’avaient pas de sécrets pour lui. Nous fûmes amants, il y a un quinzaine d’années. Nous avoins « étudié » le Kama-Sutra. Certes, cela virait très vite à un méchant ‘crac-crac’ pensez-vous. Et bien non. L’amour avait tout un sens bien différent de ce que j’ai connu par la suite.
Cet ami est parti vivre en Japon. N’ayant pas les moyens, ni n’ayant pas osé, je ne l’ai pas suivi. En Europe ma pétite vie s’est poursuivie avec tous son bonheurs et de déceptions. Si matériellement, je n’ai vraiment pas à me plaindre et que sentimentalement j’ai connu de belles histoire d’amour. Il y a un domaine où je n’ai jamais retrouvé le comfort que j’avais découvert l’adolescence.
La symbiose corps/esprit ne s’est plus reproduite même si plusieurs amants furent très convenables. C’est en cherchant à me débarrasser de migraines cycliques et persistantes que jái rétrouvé un nirvana sexuel que je n’avais plus connu de longue date. J’avais redécouvert l’acupuncture et celle-ci m’aidait de violents maux de tête.
Un jour, une amie voulant me taquiner pour quelques mois de célibat prolongé m’offrir en cadeau « empoissonné » un gode volumineux, hérissé de pétits tétons en caoutchouc. La plaisanterie passée, l’objet alla dans un tiroir d’où il ne sortait pas. Mes doigts sous la douche me suffisaient lorsque j’avais une envie de gâterie en solo.
Un jour, allongé sur mon lit et sentant une gêne poindre ,j’enterpris de me placer quelques aguilles. En ouvrant le tiroir, je fis jaillir le godemiche oublié. Une idee saugrenue me traversa l’esprit :
Pourquoi ne pas essayer le sexe factice, … et les aguilles.
Tout m’emmenchant le gode (je me rendis seulement compte à quel point il était VRAIMENT volumineux, je me garnis les cuisses et le pubis d’aguilles. Résultat garanti.
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Lettre de Monique d’A. de Lens, á Professeur Poet-PETER
directeur de ‘l »Institut International d ‘Erotisme Experimentale »
à Amsterdam, rue Tasman 43-HA, 1013 PX, Les Pays-Bas
Nous aimerons bien vos commentaires et les pouces en haut
Tous droits à Professeur Poet-PETER, Septembre 31, 2017
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