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JADE : CH 4,5, et FIN

JADE : CH 4,5, et FIN



1. VINGT ET UN
Un an de plus, un an de travail acharné, plongées dans les registres, les livres, les codes… Marine me teste parfois, je lui sers de contrôle, on s’entend bien. Presque plus de sorties, j’ai arrêté la pilule, quelques caresses un soir de tristesse, une nuit de tendresse, je ne vis que pour ce papier…
Jade LEBLANC : ‘RECUE’…
Marine aussi, on fait la fête avec la bande du campus ?
« Alors on est fières ? »
« Bien sûr qu’on fait la fête » et impossible de refuser…
Dans huit jours, tout ça sera terminé, déménagement, retour chez les parents, recherche de boulot, d’appartement…
La fête est fixée à samedi. Je commence une plaquette, Marine n’a pas arrêté, mais n’a connu que quelques sorties avec son frère et revu Max et Dany un week-end. Ils lui ont demandé mon mail…
Les dossiers sont bouclés, notre studio inspecté, pas de problème me dit le visiteur qui est une visiteuse. Elle s’enquiert de ma colocataire, me dévisage, n’ose pas demander…
Samedi ça se passe dans un resto du centre, 20 euros de participation, on est une trentaine, le Recteur est prévenu, tout est prêt.
Nous arrivons vers 21 heures. Marine est sur son 31, robe blanche moulante décolletée, châle, escarpins. J’ai mis une jupe noire, un chemisier fleuri, chaussures à talon.
« Tu as un soutif ? »
« Non »
« Et une Sloggi ? »
« Oui, string princesse bleu. Et toi ? »
« J’ai un top pigeonnant, culotte blanche en coton »
« Bon, on est parées. Tu as des préservatifs ? »
« Oui, il m’en reste, tu crois que… »
« Ben, j’espère, j’ai pris un grand filet, je veux ratisser large, je rejetterai ceux qui ne font pas la maille… »
« Tu exagères ! Tu ferais mieux de chercher un mari…»
« Ah, non ! Toi aussi… Mes parents ! »
J’éclate de rire en entrant…. Nous sommes placées par une charmante hôtesse, classique alternance homme/femme…
Mon voisin de droite, petit, lunettes, bien mis, vrai avocat…
Mon voisin de gauche, plus grand, brun, l’œil vif, le compliment facile…
Marine est après lui, en face j’ai un superbe membre féminin du Campus, avocat connu qui donne quelques cours et tenait à présider cette soirée…
Apéritif offert par le Campus, et nous attaquons un repas simple, mais bon.
Après une heure en discussions, présentations, plaisanteries diverses et variées, je retrouve Marine aux toilettes.
« Oh, quelles tares ces mecs, ils se croient procureurs, sont imbus d’eux-mêmes, racontent des conneries… »
« Oui, pareil pour moi, finalement le plus intéressant est le plus moche, mon voisin de droite, Rémy. »
« Pourtant en face tu as Miss Univers Cité »
« Oh, là, là ! »
On n’est pas gâtées, on se dirige vers le salon de danse… Là nous retrouvons les autres, nos voisins de studio qui nous traquent immédiatement… On suit, on danse, on virevolte sur la piste, on change, au hasard des morceaux… Marine est un peu gaie, parle beaucoup, je l’entraîne vers les toilettes…
« Tu as bu… »
« Je crois, oui »
« Tu veux rentrer ? »
« Non, je te veux toi, ici, comme la première fois… »
« Tu sais que je ne cherche pas ça… »
« J’ai envie de toi… »
Je la regarde, on se dévisage…
« Si on ramenait un seul mec, je pourrais profiter de toi, il aurait deux filles pour lui… »
Je hausse les épaules… « Qui ? »
Elle me précède, on s’assoit, puis elle va sur la piste se déhancher… Quelques filles que l’on croisait au hasard des cours viennent me féliciter, on échange nos mails. J’aperçois un charmant garçon, trentenaire, qui me dévisage… Au bout d’un instant il s’assoit à côté.
« Vous êtes Jade ? »
« Oui, et vous ? »
« JL LEFRANC. Je suis en liaison avec une agence de recrutement spécialisée. Mon travail est la recherche de candidats pour nos clients, ça va de cabinets d’avocats, en passant par tous les postes liés à votre cursus, journalisme, recrutement, conseil juridique, etc… Voici ma carte, vous pouvez m’appeler dès demain. Votre CV est sur le web, je l’ai lu avec attention, je vous propose d’en discuter à mon bureau.»
Je suis un peu surprise qu’un recruteur se soit infiltré dans notre fête…
« Comment se fait-il que vous soyez là ? »
« Ah, je suis le grand frère de Corine Lefranc, que vous avez devancé de quelques points, elle m’a invité, elle sait ce que je peux faire pour chacun de vous. Elle a ajouté que vous êtes très travailleuse et digne d’intérêt… Donc sous ces compliments, je cède et me voici… Mais je cherche aussi à profiter de cette fête… On danse ? »
Me voilà aux bras d’un des types les plus âgés de cette soirée… Nous croisons sa sœur, que je remercie pour ses compliments…
« Tu sais, je t’ai observée en cours, tu es la seule qui bossait sur tous les sujets et cela devient rare, demande beaucoup de travail et d’abnégation, tu mérites un coup de pouce et si JL peut t’aider… Moi c’est fait, je commence dans huit jours… »
JL est tout rouge… Il me sourit, se penche vers moi en rejoignant la piste de danse : « Je fais confiance à ma sœur, elle a un très bon feeling…»
« Merci, mais je… »
« J’ai des papiers dans la voiture pour vous, un dossier avec quelques offres… »
« Oui, pourquoi pas »
Nous sortons, il me conduit sur le parking, m’ouvre la porte de sa voiture, fais le tour et me rejoint. Il me présente le dossier de son entreprise, des offres d’emploi… Je regarde vite fait, en effet, c’est pas mal et dans la région en plus… Je le remercie pour ce geste.
« J’ai envie de t’embrasser… »
On se dévisage, il se penche vers moi, nos lèvres se trouvent… Baiser brûlant, baiser charmant… Il vient contre moi, me prend dans ses bras et caresse mes cheveux, je tremble comme une feuille… Il a trente cinq ans, sa femme est partie il y a quelques mois, il bosse comme fou pour oublier… 21 contre 35… J’ai peur…
« Ca te dirait de venir chez moi ? »
« Je ne suis pas seule, Marine ma copine est avec moi… »
« Je ne suis pas sectaire… »
« Tu nous veux toutes les deux ? Tu n’es pas présomptueux ? »
« Marine aime les filles aussi, non ? Je vous ai entendues aux toilettes. Corine est pareille, ça tombe bien… Et c’est pour cela qu’elle t’a remarquée… Je te devais la vérité… »
« Ah ! Merci ! Mais moi aussi j’aime les filles…»
« Tut, tut, tut, toi tu es une femme accomplie, certes pas encore épanouie car tu t’es consacrée à tes études, mais maintenant… Tu penses que ça ne choquera pas ton amie ? Tu n’es pas jalouse ? »
« Si c’est une femme qui m’apporte ce que je veux, pourquoi pas, mais je préfère les attributs masculins pour grimper aux rideaux, je n’aime pas les gadgets, ni le plastique, je préfère le réel… »
« Alors on tente le coup, ce serait magique si elles se plaisaient. »
Nous ressortons, il cherche sa sœur et moi, Marine.
« Viens, j’ai ce qu’il te faut »
« Tu as trouvé la perle ? »
« Même deux ! »
« Ah, alors on va faire un collier, j’ai envie de b… »
On se retrouve vers la voiture de JL tous les quatre… Présentations, Marine est impassible, elles se saluent, quelques compliments, Marine la regarde en douce, puis me jette un œil en passant sa langue sur ses lèvres.
Il habite à deux pas, bel immeuble, superbe entrée fleurie, appartement en ordre, bien tenu. Il nous offre des boissons, alcools, jus de fruits. Il met de la musique…
JL me tend ses bras, nous bavardons en dansant, faisant connaissance sur des musiques diverses, les deux filles se sont levées. Un peu de gaieté, on bouge en rythme, sans trop appuyer, cela nous fait digérer. Et quand un slow des années 60 emplit la pièce, leurs têtes se rapprochent, ce qui me rassure un peu…
Il me raconte un peu de sa vie, son métier, puis passe à son mariage. Ils se sont séparés au bout de trois ans, il avait eu le temps d’apprendre la vie à deux, et même si c’était difficile parfois, il aimait cette vie, cette complicité du couple. Hélas, elle a rencontré un autre homme dans son milieu professionnel… Coup de foudre, elle est partie sans prévenir, un week-end, en rentrant de courir, il y avait un mot : « Je ne peux plus faire semblant, j’ai rencontré quelqu’un, coup de foudre, je ne pense plus qu’à lui. Je m’excuse d’avance du mal que je te fais, mais je préfère partir maintenant que tricher encore pendant des mois en donnant le change… »
Ses yeux s’embuent, sa voix se casse, c’est la première fois qu’il tient quelqu’un d’autre dans ses bras. Il me serre contre lui à m’étouffer… Le slow contribue à quelques effleurements discrets, je niche ma tête dans le creux de son cou, passant mes bras autour de ses épaules, il sent bon, il sent le frais…
Son attitude change, il devient caressant, je ne fais rien pour le dissuader. Il glisse ses doigts dans mes cheveux, se recule un peu, embrasse mon front, une main dans mes reins… Je me colle à lui, ventre contre ventre, il ose le premier baiser… Son souffle est court, il me serre de nouveau, je suis conquise…
Marine et Corine ont savouré ce slow torride, elles sont enlacées, immobiles, tête contre tête.

Ses caresses et ses baisers m’ouvrent l’appétit, son sexe durcit contre mon ventre… Il glisse une cuisse entre les miennes… J’appuie discrètement mon pubis…

Marine et Corine s’embrasent, leurs baisers sont de plus en plus langoureux, leurs caresses plus intimes, elles se dirigent vers le sofa, Corine la prend dans ses bras, leurs lèvres se joignent, un chemisier s’ouvre, une robe se dégrafe…

JL qui regarde le spectacle, déboutonne mon chemisier en douceur, mes seins durcis trahissent mon désir…
« Tu es si belle et si douce… Tu me plais »
Je ne dis rien, bombe la poitrine, sa tête s’avance, sa bouche s’ouvre, ce premier contact met le feu à mon ventre et électrise mes reins… Ses mains s’emparent de mes seins, puis ses lèvres tètent mes bouts… Ca y est, je coule de désir…
Les vêtements se sont envolés sur le sofa, les filles aussi… Je n’ai rien entendu…
Il fait glisser mon chemisier, dégrafe ma jupe avec dextérité, me prend dans ses bras, me soulève et m’emporte…
Il me dépose sur un lit, ôte chemise et pantalon, s’allonge à mon côté…
Ses mains vont et viennent, partout, mes cuisses tremblent, s’ouvrent… Je ferme les yeux, mon bassin ondule, réclame sa main, ma culotte s’envole, je suis offerte… Je cherche, trouve, caresse, je me penche… Son gland se pose contre ma bouche, ma langue le cajole, j’ouvre mes lèvres, il coulisse lentement, il gémit…
Je le sens grossir au fur et à mesure, mes mouvements sont contrôlés, lents, il grandit… Il a un sacré membre ou bien c’est la privation ?…
Je rampe sur lui, il comprend, m’aide, je me dresse, impudique et fière… J’att**** son sexe et le présente au mien… Il me remplit dès le premier assaut… J’ai laissé échapper un râle, j’ai trop envie de lui… Je m’empale sur sa verge, emportée vers mon nuage, il caresse mes seins, me guide à son rythme ou s’adapte au mien, accélère… Je jouis, je « Oh, oui…. C’est bon… ».
Il me calme : « Doucement, la partition risque de finir avant l’orchestre. »
On se tourne, on s’embrasse, il écarte mes cuisses, se poste tête-bêche. Je caresse sa hampe magique, il goûte mon intimité… Tout y passe, avec talent, avec douceur, m’emportant vers le premier nuage de la soirée… J’halète, je soupire, je grogne, la bouche pleine… Il est énorme, gavé de sève. Je m’allonge, il se retourne, ouvre mes cuisses, il me donne un long baiser, penché sur moi, son sexe contre le mien… Je n’en peux plus : « Viens ! Prends-moi !… »
Son membre me pénètre facilement, en douceur, jusqu’au bout, puis il entame le plus délicieux des mouvements, celui de l’océan, celui de l’amour, prenant ce que je lui offre, écartelée, jouissant, dopée par son assurance, fruit de son expérience.
Il me semble pourtant que je prends la place de sa femme, qu’il me possède comme il la possédait, avec amour, tendresse et respect, dans l’atteinte du plaisir commun…
Il s’arrête avant de jouir, je viens de crier mon premier orgasme…
Je m’empare de son sexe, le flatte… Il grogne, ne voulant pas gâcher ses munitions… Je le laisse à regret, il me retourne et me prend en ciseaux… Il est doux, son sexe m’ouvre lentement, je tressaille de plaisir, il s’enfonce… Une main vient sur mes seins, l’autre entre mes cuisses, il me masturbe en même temps… Je jouis, jouis encore, j’adore cette position… « Oui… Oh, encore… ». Je suis trempée, il m’entraîne vers un autre nuage, accélérant, puis tout doucement jusqu’à ce que je délire… « Oh, oui… Prends-moi… Emporte-moi, tu me tues… »
Baisers langoureux, nos langues se mêlent en un doux combat, une danse… Je me serre contre lui… Il descend, ouvre mes cuisses, me retourne sur le ventre, sa main effleure, câline, mon sexe est béant, ouvert, sa langue s’y enfonce, il lèche mon clitoris, me masturbe avec les lèvres, ses doigts glissent, glissent, sa langue vient sur mon anus… Un doigt entame une danse, mouillant mon petit trou vierge…
Il veut… Je ne l’ai jamais fait… J’ai lu qu’on avait mal quelques minutes, puis place à un nouveau nuage…
Je n’ai jamais connu un homme avec autant d’expérience… 3 ans de mariage…
Je le laisse faire, tant pis, il faut que je sache… Il insiste sur mon orifice, glisse facilement un doigt, tourne, revient prendre mes sucs, retourne, revient, retourne, plus profond… Il me semble que je suis…
Aïe, une phalange… « Hou ! Aïe ! » Cette fois ce n’est pas le doigt, sa verge dure écarte mes tendres chairs inexplorées… La douleur devient moins présente, je le laisse faire en me mordant les lèvres….
« N’aie pas peur, quelques instants encore, et puis un monde nouveau va s’ouvrir à toi… »
Il est entré, je plie mon bassin lui offrant mon arrière-train, écarte mes fesses, il fait un premier aller-retour… C’est divin, la douleur s’estompe au profit de sensations inconnues, déplaçant mon plaisir vers mes reins, vers mes fesses… Ma chatte pleure sa solitude, je ne résiste pas à me caresser tandis qu’il me possède de nouveau… « Ah, Oui !.. »
« Tu n’as plus mal ? »
« Non, viens, encore, prends-moi »
Je frotte mon clitoris de plus belle, il me possède en entier… Je jouis pour la première fois de ce côté…
En fait c’est un tout, c’est divin, il est si prévenant… Il m’allonge, restant fiché en moi… Puis recommence à me prendre, écrasée par ses coups de reins… Je griffe les draps, je griffe…. Oh, il accélère… Je plane, plusieurs nuages passent, je crie… « Ah !…. Oui !…… Viens ! »
Il explose en moi, expérience de folie que de sentir cette onde de chaleur dans cette partie de mon corps… Je jouis plusieurs fois… Les draps sont souillés, je dégouline de sueur, je suis sans vie…

Je me suis assoupie dans ses bras, ivre de plaisir, satisfaite et rassurée, heureuse de cette expérience, je deviens femme, experte, je me suis donnée entière à un homme, je sais offrir ce que je possède, je peux décider…
J’ai envie de lui dans mon sexe… J’ai envie qu’il me prenne, qu’il me baise comme sa femme, comme sa maîtresse… Pour l’instant il dort doucement à mon côté… Je me lève et cherche la salle de bains…

« Alors ? »
« Crevée… »
« Et toi ? »
« Sublime »
« Et lui ? »
« Un amour de baiseur, il m’a fait l’impensable… »
« Non, il t’a… Par derrière ? »
« Oui, c’est divin… »
« Bien, moi j’avais pas aimé… »
« Il est merveilleux de tendresse, d’attention, de prévenance, un homme, un vrai, avec de l’expérience des choses du sexe, c’est ce qu’il nous manquait, l’expérience avec un homme plus mûr que nos boutonneux immatures… Même s’ils ont une grosse queue, ils ne savent pas faire jouir une femme, ils se contentent de baiser, et surtout d’exploser dans notre chatte… »
« Eh, bien, tu t’es régalée… Corine est très chatte, j’ai passé un excellent moment, on a tout fait aussi, mais je prendrais bien une queue qui puisse me faire grimper aux rideaux… »
« Je vais voir si il est d’attaque, sinon, on y pourvoira… »
« Tu viens avec moi ? Elle dort ? »
« Je ne sais pas »
« Je te rejoins… »
Après une douche revigorante, je me glisse à son côté. Fraîche, sentant le gel douche, je regarde son visage… Il n’est pas un Apollon, mais ses traits réguliers, sa façon de regarder, son sourire… La porte s’ouvre doucement, Marine entre, je l’invite à s’allonger contre JL…
« Elle est dans la salle de bains, elle nous rejoindra ici… »
« Avec son frère ? »
« Je ne sais pas, non… »
JL est toujours dans son sommeil, sur le dos, nous offrant la vue de ses attributs… Je pose mes lèvres sur les siennes… Il grogne un peu… Je caresse, avance ma main, avance mes lèvres… Je tâte, j’empoigne… La bête se réveille, se lève légèrement… J’ouvre la bouche et n’ai aucun mal à le prendre… Il bouge… gémit… Je pompe un peu son membre, glisse mes lèvres sur son gland, lubrifie fortement, le reprend, puis le rentre dans ma bouche… Il se détend, grossit encore… Je ne peux plus le contenir, il ressort… Mes lèvres glissent en cadence le long de cette hampe revigorée. Je fais une place à Marine, et pour la première fois, on partage un amant… Elle le prend en main, experte et avisée, puis comme moi fait glisser ses lèvres humidifiées de salive…. La chose entre doucement, glisse, puis ressort lentement… Il ouvre les yeux, surpris de sentir quelque chose de différent, me voit, sourit… referme les yeux… Il est prêt, j’installe Marine sur lui, elle le positionne sur son sexe, et sans détour, elle le chevauche, se balançant d’avant en arrière, pour se pénétrer peu à peu de son pieu. Je vois le membre disparaître à chaque poussée, puis ressortir lentement. Je m’approche d’elle et lui donne un long baiser, caressant ses seins légèrement plus gros que les miens. Elle gémit, faisant monter son plaisir… Je me déplace un peu, et offre ma vulve à JL… Il recommence à fouiller ma chatte, me donnant de quoi mettre le feu à une caserne de pompiers… Quelle douceur… Je fonds, je jouis… Faisant face à Marine, nous nous caressons de concert, nos bouches se joignent et on s’embrasse de nouveau, goulûment. JL bouge, je me lève, il prend Marine et l’embrasse tendrement, ouvrant ses cuisses. Il s’y installe et la lutine avec plaisir, l’amenant à jouir au moment où la porte s’ouvre…
Corine entre, nue elle aussi, regardant le tableau de son frère en train de faire une superbe minette à son amante… Elle sourit, me regarde… Je suis la proie ?
Nos bouches se joignent, on échange un premier baiser de feu…
« J’en ai eu envie dès la première fois, il y deux ans… Tu portais une robe transparente, je t’ai vue à contre-jour, j’ai pu contempler tes formes… »
Brune, un corps de déesse, elle est superbe. Sa chatte rasée en ticket de métro apporte une touche originale à sa nudité, on a envie de la caresser, ce que je fais… Elle se cambre, m’offre sa vulve. Je caresse, tâte, insinue un doigt, puis deux… elle m’appelle, me demande de continuer, elle s’ouvre, cherche mes seins, passe une main dans mon intimité, on échange des caresses, se masturbant mutuellement… Marine jouit sous les assauts de JL, sa sœur me broute à en crier… Nous atteignons chacune un palier, jouissant de concert…
« Oui ! Prends-moi, encore ! Baise-moi !… Viens ! Plus fort… Là ! Oui, je vais jouir ! Oui ! Oh ! Viens ! Plus vite ! »
Marine s’envole, plus crûment que moi, il se déchaîne, lui enfonçant son membre jusqu’à la garde, elle, les fesses relevées, lui la prenant en levrette, classique s’il en est… Elle jouit, criant de plaisir, puis retombe épuisée, dans le lit…
JL est à bout lui aussi… Sa verge gît lamentablement, sa sœur regarde les cuisses ouvertes de Marine. Elle lèche l’intimité couverte du sperme de son frère…
« Mais c’est ton frère… »
« Non, mon demi-frère seulement»
« Tu habites avec lui ? »
« Oui et non, je… Je suis venue l’aider après le départ de sa femme, j’avais peur qu’il fasse une bêtise, et puis ça m’arrangeais, je suis plus proche de l’université. Il était tombé en dépression. Je me suis occupée de lui, comme d’un enfant, comme d’un ami… Il n’avait plus ses parents. Je lui ai remonté le moral. Un soir le cafard revenait. Il pleurait dans mes bras… Il m’a serrée contre lui, me remerciait… Il me caressait tendrement, on s’est embrassés, puis il m’a fait l’amour, il en avait besoin, moi aussi, il m’appelait Sylvie…
Ca ne menait à rien, il ne cherchait qu’un palliatif un soir de tristesse, un peu d’hygiène, un peu d’amour. On avait le même but, un point c’est tout… On l’a fait deux trois fois, puis on a décidé qu’il valait mieux avancer, que le temps passait, qu’il lui fallait se battre pour surmonter son épreuve, tourner la page. Il l’a fait de semaine en semaine… Le mois passé, je suis retournée dans mon appartement que j’avais loué à des étudiants. Je travaille à la fac.
Voilà, il est libre maintenant. Nous sortons ensemble, mais je dors chez moi et reprends ma vie en main.
C’est un homme meurtri. Il ne s’attendait pas à se faire larguer comme ça si vite. Il est simple, doux, facile à vivre, elle est partie pour un autre, j’espère qu’il est aussi bon que JL, sinon elle va vite le regretter.
Enfin voilà, non, ce n’est pas mon frère génétiquement, mais nous sommes très proches un peu comme des ex… »
« Merci d’avoir été claire, je ne voulais pas créer de malaise ou mal comprendre votre position. »
« Non, de plus c’est moi qui t’ai choisie, un peu, pour cette soirée, il a besoin de se relancer dans la vie, dans l’amour et en plus c’est un bon amant… »
« Tu as raison sur ce point, et sur les autres aussi… »
Marine s’est redressée et a écouté avec attention. «
« Et toi, tu as été très proche de lui, donc, tu as accepté de mettre ta propre vie en parenthèse, c’est très beau comme attitude, très dur à vivre, tu dis que vous n’étiez pas très proches avant, mais maintenant tu as couché avec lui, tu t’es donnée à lui, même si c’était que thé****utique, tu ne l’aimes pas un peu ? »
« On a vécu quelques mois très difficiles moralement, cela nous a rapprochés. Je ne peux pas dire que je ne me suis pas mise à l’aimer en le côtoyant. On ne dormait pas ensemble. Mais cette intimité lorsqu’on se retrouvait le soir sur le sofa, lorsqu’on prenait notre douche, on vivait ensemble…
Je ne peux pas le nier, si il avait été con et moche… Mais je prends sur moi, il lui faut de l’air maintenant, retrouver une vie classique, sentir son cœur s’emballer pour une autre, à son tour, le temps fera le reste.
Alors prenez-le si vous le voulez, mais ne le jetez pas aux orties… Cette nuit il connaît un summum. Trois femmes ! Même si je ne participe pas, je suis là, je le regarde, je le respire, je viens de le boire… Si pour moi, le sexe est un moyen de vivre une vie libre et complète, partager avec des gens sains, se donner et prendre, je vous ai jugées, vous me plaisez toutes les deux. »
« Quel est votre lien familial exact ? »
« Il dit que je suis sa sœur, c’est convenu entre nous, en fait, j’étais une amie d’enfance. On a grandi ensemble, on s’est « aimés » comme des enfants, vers 10/12 ans. Adolescence, avec ce que cela implique. Puis il est allé au Lycée, pas le même, on a été séparés par la vie. Il m’a invitée à son mariage avec mon copain, j’avais 23 ans… Peu après, je suis partie pour Paris dans l’administration. Je suis revenue il y a trois ans, seule, ma liaison n’avait pas supporté les trajets. J’ai croisé JL à la Fac l’an passé. Il aimait Sylvie, tout se passait bien pour eux. J’ai été un peu jalouse sur le moment, je venais d’être larguée. J’ai ressenti une sorte de mal au cœur à l’église. Ensuite, on a dansé au repas, il me taquinait comme avant, je me sentais bien dans ses bras, Sylvie est venue mettre fin à ce jeu, il n’y avait plus de musique et on était seuls sur le balcon riant comme des enfants… Mon cœur s’est serré, j’ai dit à mon copain que je n’étais pas bien… »
« Vous aviez flirté avant ? »
« Non, juste des sourires, des attitudes, des… Oui, peut-être un bisou d’ado… »
« Et après à la Fac ? Tu n’as pas essayé, entre deux cours ? »
« Bof… Je n’aime pas les embrouilles, j’y ai pensé, j’en avais envie, mais il fallait que ce soit lui qui fasse le premier pas… Il ne l’a jamais fait… »
« Corine, tu as l’air d’être une fille bien… Je suis heureuse pour vous deux, j’espère que toi, tu retrouveras ton équilibre. J’ai peur que tu te tournes vers les femmes pour garder une chance avec lui, sans éveiller son attention et tout gâcher… »
Marine la prend dans ses bras et elles échangent un baiser torride qui met mon ventre en émoi…
« Bien sûr que je l’aime, et puis c’est sexuel aussi, je suis dingue de son sexe… Je me caresse en pensant à lui lorsque je suis en manque… »
« Pourquoi vous ne seriez pas ensemble ? Qu’est-ce qui vous en empêche ? »
« Notre amour est mort avant d’avoir vécu… Sylvie est ma sœur… »
« Et bien tu… Qu’est-ce qui vous retient ? Ce ne serait pas la première fois qu’un mec se remarie avec sa belle-sœur ? »
« Il ne peut pas envisager de vivre avec moi, je ressemble trop à Sylvie. Lorsqu’il m’a fait l’amour la première fois, j’ai ressenti que c’était avec elle qu’il le faisait, mais j’étais si heureuse. Deux mois sans homme, je n’en pouvais plus. Il s’est trompé plusieurs fois de prénom… Je criais comme elle, paraît-il… Au matin, il m’a dit ça : Je suis confus, j’avais envie de toi… En fait j’ai eu Sylvie… Ca ne se reproduira plus… Tu es libre, je ne pourrai jamais t’aimer pour toi, tu es si proche d’elle que je te vois partout comme elle… Il faut nous séparer, tu vas reprendre tes affaires et retourner vers ta vie. J’essaierai de faire mon deuil de ce mariage et rencontrer des femmes qui ne me rappellent pas mon ex-femme, sinon je ne m’en sortirai jamais…
On a convenu que je restais un mois de plus et que je m’effacerai dès qu’il aura trouvé des copines… On a refait l’amour plusieurs fois, attirés l’un par l’autre, assoiffés de sexe, mais c’était toujours pareil… Un soir j’ai amené une amie avec moi et on a commencé à trois, puis je les ai laissés… Il l’a baisée toute la nuit, je l’entendais crier, j’ai pleuré… Au matin, il est venu dans ma chambre et il m’a fait l’amour pendant qu’elle dormait.
Il m’a dit : Je suis désolé, il fallait que je vienne… Elle est super ta copine et pas farouche, mais tu me manques, il n’y a que toi… Je ne vais pas te demander d’être là à chaque fois pour combler mon vide… Le soir suivant, on a fait l’amour tous les trois, il m’a appelée Sylvie plusieurs fois, elle ne comprenait rien, mais elle était ravie… On a remis ça tous les trois, toute la semaine. J’étais épuisée, vannée… La semaine suivante il m’a appelée à l’aide…»
« Mais cette nuit, il ne t’a pas demandée ?… »
« Eh, voilà ! Vous êtes des reines, vous l’avez guéri ! »
« Mais et toi est-tu guérie de lui ? »
« Je ne sais pas. Je vous ai vu jouir sur lui, vous empaler, le chevaucher, crier votre plaisir, j’ai adoré… Mais j’ai plutôt eu envie de vous que de lui, enfin…»
« Alors il te faut un homme pour toi, et le plus tôt sera le mieux… »
« Ah, pas con ça… »
« On va le trouver ensemble, on va le tester ensemble, et tu l’auras bien frais et bien rodé…. »
« Toi alors, où est la petite oie blanche ?… »
2. LA QUETE
On a convenu de se revoir le lendemain et d’aller en broîte tous les quatre. Le but avoué entre filles, trouver un mec à Corine. Pour JL, trouver un mec pour Marine…
Danse de folie, musique à fond, des jeunes déchaînés à moitié ivres… On était sur le point de partir…
« Vous dansez très bien ces choses de malade, mais feriez-vous de même sur un slow langoureux ? »
Il est beau, jeune, mais bien posé. Châtain clair, yeux marrons, grand.
« Je sais prendre des risques lorsque il le faut, mais le faut-il ? »
« Oh ! Je ne suis pas devin, mon copain serait ravi de vous inviter toutes les deux… »
« Et vous ? »
« J’attendrai de voir… »
« On n’est pas 2, on est quatre… »
« Quatre filles ? »
« Non, trois et un copain, là-bas… »
« Très jolie jeune femme, c’est la sienne ? »
« Non »
« On va à côté, c’est plus intime et moins bruyant. »
« Vous êtes rabatteur ? »
« Pas du tout, je repère les âmes perdues avant qu’elles ne tombent en lambeaux assourdies et insensibles. »
« D’accord, je leur dit, on va prendre nos affaires, on allait partir. »
Nous nous retrouvons tous les six devant le vestiaire. Corine me dit qu’elle aime bien le premier avec lequel je parlais…
« Et si on les invitait chez moi ? »
« Pourquoi pas… »
Je vais trouver mon rabatteur et lui mets le marché en main… Ils sont d’accord, là ou ailleurs…
Son appartement est bien tenu, 2 chambres, 1 grand salon avec balcon, on se sent bien sur les 2 canapés… Boissons, musique, on danse. Je retrouve mon cavalier, Alain, et son copain, c’est Jérémy. On fait quelques danses pour se chauffer, changer de cavalier, se désaltérer. Je retrouve JL sur un premier slow…
« Tu es coquin, Corine n’est pas ta sœur… »
« Non, mais c’est tout comme. Elle est le double de ma femme, elle est bien plus gentille, trop, je vois Sylvie tout le temps, dès qu’elle est là… ».
« Mais tu l’as sautée quand même, ce n’est pas très bien pour elle ça, tu y as pensé ?… »
« Un moment d’égarement, de tristesse, elle est si gentille, si belle… »
« Tu l’aimes… »
« Sans doute, mais je ne peux pas faire la différence… »
« Je vois… Il te faut un remède… L’oublier complètement, ou bien qu’elle se trouve un garçon… »
« Ah, tu crois ? »
Je pense qu’il va réagir lorsqu’il la verra aux bras d’un autre…
Les slows s’enchaînent, Marine et moi changeons nos cavaliers. Corine a accaparé « le mien », Alain… Je laisse faire la nature.
Il faut que ça avance sinon on va passer la nuit à danser… Jérémy a l’air de bien accrocher avec Marine, je prends donc le parti de m’occuper de JL…
« Tu penses que Corine va se le faire ? »
Là, il me surprend ! Cueillie à froid…
« Bien, je pense surtout qu’elle a droit à sa part de bonheur, et si ça commence par un gentil garçon pour quelques nuits d’amour, pourquoi pas ? Qu’est-ce que tu en dis ? »
« Tu as raison, mais…. »
« Chuuuuut…. »
Je pose mes lèvres pour fermer les siennes…. Il comprend, me sourit… Son baiser est plein de tendresse… Il me serre dans ses bras, je me sens emportée par une vague de tendresse, il plaque ma tête contre sa poitrine en caressant mes cheveux, je me fais chatte, soumise entre ses bras… Marine nous aperçoit et comprend qu’elle a la voie libre avec Jérémy… Corine doit être nerveuse et appréhender la réaction de JL…
Il me plaque contre lui, sa main dans mes reins… Je ne peux plus ignorer son état…. Aussitôt, sa caresse me fait de l’effet…
« J’ai envie de toi »…
Nos bouches se rejoignent, mes bras autour de son cou, je suis à sa merci…
« Viens, on va s’asseoir… »
Il m’emporte délicatement et me dépose sur un large canapé. Là, il découvre ma poitrine, sa main sous ma robe glisse entre mes cuisses… Allongée sur lui, face à lui, ma robe retroussée, ma poitrine nue, nous échangeons baisers et caresses. J’en oublie mes amies, j’en oublie le temps, sa douceur m’emporte dans une sphère en couleur avec plein d’étoiles…. Marine et Jérémy ont rattrapé leur retard. Elle est assise dans un fauteuil, cuisses écartées, offrant son intimité à la bouche avide du garçon…
Corine s’est éclipsée, je pense, dans sa chambre. Le souffle de Marine, ses premiers râles, il ne m’en faut pas plus pour provoquer les miens et aviver l’ardeur de JL….
Je ruisselle dans sa bouche, je fais glisser ma robe par-dessus ma tête. Je l’attire vers moi et prends son sexe en bouche… Il ferme les yeux… On atterrit sur le tapis tandis qu’il se libère de ses vêtements. Il se retourne, ouvre mes cuisses, et à son tour me lèche et m’emporte en caressant mes seins… Sa verge glisse entre mes lèvres, sa langue n’est que miel dans mes chairs intimes… J’ouvre mes cuisses en libérant son membre… Puis je rampe, voulant m’offrir…
Ses lèvres douces, mouillées de mes sucs, ouvrent les miennes… Que c’est bon… Son sexe pointe contre le mien… Je me soulève vers lui, ivre de désir…
« Oh ! Que c’est bon ! Viens en moi, viens ! Prends-moi !… »
Il s’enfonce lentement, me possède, m’embrasse, caresse mon ventre, mes seins…. Je sens un orgasme venir d’un coup sous tant de plaisir…
« Ah ! Ouiiiii… Encore !… Prends-moi !… Fais-moi jouir ! »
Et il le fait, longtemps, me possédant sans relâche, changeant de position. Je suis emportée vers des dizaines de nuages, oubliant le temps et la nuit, oubliant mes amies… C’est un cri de bête qui me sort de ma torpeur, Corine hurle son plaisir dans la chambre à côté, rugissant d’un son rauque, qui me fait tressaillir. Je me lève et ouvre la porte doucement dans un réflexe de protection… Je n’avais pas vu que Marine et son amant les avait rejoints… Les deux garçons la possèdent ensemble, elle jouit de tout son corps, s’ouvrant aux caresses de Marine… Elles semblent ne pas avoir besoin de moi, mais au moment de refermer, je sens une présence dans mon dos, JL entre avec moi… Il contemple le spectacle de Corine, possédée par Alain et Jérémy, Corine criant son plaisir, atteignant des sommets de jouissance, dans cette débauche des sens.
La main de JL caresse mes fesses, flatte, cherche à écarter mes cuisses… Son autre main empaume un sein, me prouvant que j’avais encore de quoi mouiller… Je me penche en avant afin que sa main fasse son chemin… Je m’appuie sur le lit et lui offre mon derrière… Sa bite vient buter contre mon bouton secret… Il masse, mouille, revient, pénètre un doigt, masse de nouveau, mouille de nouveau, tandis que je fonds… Puis à bout de patience, au moment où Corine ponctue un nouvel orgasme, il force mon entrée intime… La tête sur le lit, les fesses en l’air, j’écarte mes fesses avec mes mains afin de lui faciliter la tâche… Il me prend ainsi, accompagnant ses mouvements de « han » gutturaux, tenant mes hanches.
Je sens le plaisir m’envahir, l’orgasme arriver, surtout que je caresse ma vulve détrempée et délaissée… Mais Marine vient à mon secours, passe sous moi et sa langue vient fouiller ma chatte et titiller mon clitoris…
Que de plaisir lorsque Corine, au sommet de son nuage, se libère en sentant la délivrance de ses amants…. « Oh, oui !… Venez tous les deux, éclatez-moi ensemble… Oh, que c’est bon les mecs… Allez-y fouillez moi encore… Plus profond ! Oui ! Je suis une salope d’aimer vos bites à ce point !»
Ces doux encouragements accélèrent leur final, ils rugissent et ahanent, délivrant les dernières gouttes sur le ventre de Corine qui n’en finit plus de rugir et de pleurer son plaisir…
JL accélère et se libère à son tour au plus profond de mon fondement, ponctuant sa chevauchée de râles effrénés…
Marine vient se nicher dans mes bras et m’embrasse tendrement. Etendues par terre, je suis exténuée et demande quelques minutes de repos mérité…
3. LA FIN
Corine gît sur le lit, écartelée et abandonnée, son sexe béant ainsi que son orifice, dégoulinant de sperme…
Je m’endors quelques minutes, le silence est tombé sur l’appartement, les garçons exténués sont partis à la salle de bain et au salon boire un verre… Seul JL est resté et s’est allongé auprès de Corine…
Il la prend contre lui dans ses bras… Il lui murmure des paroles que je ne comprends pas… Elle semble lui répondre… Je vois des larmes couler sur ses joues, il la berce, lui parle. Ils s’embrassent… Quelques instants plus tard, il se lève et sort de la chambre.
Corine pleure doucement… Elle m’avouera plus tard qu’ils venaient ainsi de rompre, elle avait agit en conséquence, la leçon aura été dure, mais nécessaire.
Je l’ai perdue de vue, je revois JL de temps à autre, en ville, aux bras d’une belle brune…

Versailles, le 25 septembre 2014

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