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Le scoop (1)

Le scoop (1)



Elena, jeune femme de vingt-cinq ans, venait de terminer son cursus universitaire à Fribourg par un brillant master et avait décidé de se lancer dans le journalisme.

D’origine napolitaine, Elena avait le teint méditerranéen et possédait pour atouts physiques un joli visage rond, de magnifiques yeux noirs pétillants de jeunesse et de vie et une bouche aux lèvres fines et pulpeuses. Ses cheveux noir de jais tombaient en une longue cascade lisse derrière ses épaules.
De taille moyenne et de faible corpulence, la jeune femme possédait de longues jambes fuselées et une poitrine plus que respectable de taille 85C.

En supplément de tous ces avantages physiques, Elena était intelligente sans pour autant passer pour la première de la classe et était douée d’une perspicacité désarmante et d’une détermination à toute épreuve.

En cette magnifique période estivale, la belle avait déjà déposé un sacrément bon curriculum vitae vantant son parcours formatif et ses capacités langagières en français, allemand, anglais et italien au bureau du 20 Minutes, l’un des journaux locaux et attendait impatiemment le coup de fil du patron.

La chance finit par lui sourire un après-midi du mois d’août, alors qu’elle était contrainte à rester cloîtrée chez elle en raison d’une averse estivale. Le téléphone sonna et Elena se précipita pour y répondre.

— Allô ?
— Bonjour, Pierre Roland, du journal 20 Minutes. Suis-je bien chez madame Elena Ferrari ?
— C’est bien moi, oui.
— Parfait. Je viens de lire votre CV à l’instant et j’aimerais convenir avec vous d’une date propice à un entretien d’embauche. Quelles sont vos disponibilités ?
— Je suis libre toute la semaine.
— Pourriez-vous passer au bureau cet après-midi pour 16h30 ?
— Bien sûr, monsieur.
— Très bien. Je note notre rendez-vous dans mon agenda. Passez un bon après-midi.
— Merci. Vous aussi.

Elena raccrocha le récepteur et poussa un immense cri de joie. Son rêve de devenir journaliste et de courir le monde à la recherche des vérités les plus impensables allait peut-être bientôt se réaliser !

La jeune femme regarda l’horloge de son salon. 14h30. Elle avait deux heures pour se préparer et arriver à l’heure convenue pour son entretien d’embauche. Elena courut vers sa chambre pour changer de tenue.

En sous-vêtements devant son armoire à glace, Elena regardait pensivement son dressing. Elle souhaitait miser sur l’aspect attractif de sa tenue sans pour autant paraître vulgaire. Après quelques minutes de réflexion, la jeune femme retira son soutien-gorge et le déposa sur son bureau. Elle sortit ensuite une robe noire sobre de son armoire et l’enfila. Elena ouvrit ensuite son armoire à chaussures et choisit de compléter sa tenue par des chaussures à talons assorties à sa robe.

Une fois sa tenue achevée, Elena se regarda dans le miroir. Ce qu’elle y vit la ravit : une magnifique jeune femme dans une jolie robe légèrement moulante marquant à la perfection ses seins et ses hanches aux belles et longues jambes perchées sur des chaussures à talons de dix centimètres.

Séduite par la tenue qu’elle avait choisie, Elena gagna sa salle de bain pour se maquiller. Elle se mit un peu de fard à joue et souligna ses yeux d’un très fin trait d’eye-liner. Satisfaite de son maquillage, la jeune femme s’attaqua à sa coiffure. Après quelques coups de brosse, ses longs cheveux noirs devinrent lisses et soyeux.

Fière de sa mise en beauté, Elena sortit de la salle de bain et se saisit d’une pochette argentée dans laquelle elle glissa son téléphone et son portefeuille puis, fin prête, la jeune femme se rendit d’un pas allègre à son rendez-vous avec Pierre Roland.

À son arrivée dans les locaux du quotidien 20 Minutes, Elena s’annonça à la réceptionniste. Celle-ci décrocha son récepteur.

— Votre rendez-vous de 16h30 est arrivé, annonça-t-elle dans le combiné.

La réceptionniste raccrocha ensuite le récepteur et fit signe à Elena de monter en lui disant « Deuxième étage, tout au fond du couloir.».

La jeune femme la remercia poliment et se dirigea vers l’ascenseur. Lorsque l’ascenseur l’eut amenée au second niveau, Elena se mit à marcher nerveusement vers le bureau de Pierre Roland. Une fois devant sa porte, elle toqua deux fois et une voix grave lui répondit d’entrer.

En entrant dans la pièce, la jeune femme eut la surprise de trouver en face d’elle un bel homme charmant d’une quarantaine d’années aux cheveux blonds très courts et aux yeux gris candides. En effet, en entendant pour la première fois le nom de Pierre Roland, Elena s’était attendue à rencontrer un homme d’au moins soixante ans.

— Bonjour, mademoiselle. Prenez place, je vous prie.

Elena obtempéra.

— J’ai examiné votre CV : impressionnant ! Vous avez un certificat C1 en allemand et je constate que vous avez également son équivalent en anglais. Eh bien, je dois dire que vous ferez une excellente journaliste. Voici votre contrat. Si vous voulez discuter d’une clause ou l’autre, nous le ferons.

Elena lit son contrat avec attention. Satisfaite par les propositions alléchantes du document, la jeune femme y apposa sa signature.

— Magnifique ! Vous commencerez dès demain huit heures ! Et plutôt fort, d’ailleurs !
— Qu’entendez-vous par « fort » ?
— Vous partirez aux États-Unis en mission pour le journal. Je suppose que vous connaissez John Stone.
— Le multi-milliardaire ? Bien sûr !
— Il se trouve que nous le suspectons d’avoir fait fortune dans les trafics de cocaïne et autres substances illicites. Malheureusement, nous n’avons jamais réussi à rassembler suffisamment de preuves. C’est là que vous interviendrez.
— Moi ? Mais je n’ai encore jamais fait de déplacement sur le terrain…
— Vous êtes tout à fait apte pour cette mission, ne vous inquiétez pas. Vos connaissances linguistiques sont exactement ce qu’il nous faut.
— Très bien. Je vais donc tâcher de mener cette mission à bien. Merci beaucoup, Monsieur Roland.
— Appelez-moi Pierre.
— Très bien, Pierre.

Pierre Roland serra la main de sa nouvelle employée en lui transmettant les modalités de son départ vers le Nouveau-Monde.

Le lendemain, Elena se rendit à l’aéroport de Genève pour huit heures afin de prendre son vol pour Los Angeles à dix heures. D’un pas las, la jeune femme se dirigea vers le guichet de sa compagnie afin de faire son check-in. Une fois cela fait, Elena décida d’aller faire un tour dans les boutiques de l’aéroport afin de faire passer le temps.

Lorsque le speaker annonça l’embarquement pour son vol, Elena poussa un soupir de soulagement.

« Enfin, je vais pouvoir dormir.», pensa-t-elle.

En effet, entre la joie d’avoir été embauchée et l’excitation que lui procurait sa première mission, la jeune femme n’avait que très peu dormi la veille et comptait sur les quelques heures que durait le trajet jusqu’à Los Angeles pour se reposer.

Elena se dirigea vers la porte de son avion puis, après avoir donné sa carte d’identité au contrôleur, monta à bord de l’appareil. Une fois assise à la place qui lui avait été assignée, la jeune femme tomba dans un profond sommeil.

Lorsqu’elle se réveilla, Elena regarda sa montre. Il ne restait qu’une heure avant l’atterrissage de l’avion à l’aéroport de Los Angeles. En attendant, Elena se mit à lire un magazine qu’elle avait emporté avec elle pour le voyage.

À son arrivée à Los Angeles, Elena, bien reposée, décida de se promener un peu dans la ville en attendant le soir. En effet, durant la nuit de la veille, la jeune femme avait élaboré une stratégie pour tenter de prouver ce que soupçonnait son employeur. Sachant que Los Angeles regorgeait de gangs, Elena pensait que ceux-ci feraient de bons consommateurs ou dealers de drogues et que, par conséquent, ils pourraient lui donner quelques informations utiles pour l’aider à avancer dans sa quête.

Après avoir passé la matinée et l’après-midi à courir les boutiques, Elena rentra à son hôtel déposer ses achats et sortit. La jeune femme choisit de s’éloigner du centre-ville afin de gagner des rues moins fréquentées car elle savait que les gangs se trouvaient le plus souvent loin des lieux touristiques de la ville.

Elena savait que sa stratégie était risquée mais elle ne pouvait faire autrement. Après avoir marché pendant près d’une heure, la jeune femme se retrouva dans un quartier pauvre aux rues peu éclairées. Elle continua à marcher lentement, à l’affût de la moindre arrivée.

Après dix minutes supplémentaires de marche, la théorie d’Elena se confirma. Alors qu’elle s’apprêtait à s’engager dans une autre ruelle, cinq hommes surgirent de l’obscurité et l’encerclèrent. Le chef, un homme noir grand et musclé s’adressa à elle.

— Qu’est-ce que tu fous sur notre territoire, sale petite bourgeoise de merde ?

Elena lui répondit le plus honnêtement et le plus poliment possible dans son anglais impeccable.

— Je ne suis pas ce que vous croyez, monsieur. Je suis journaliste et je fais une enquête sur un trafic de drogue à L.A.
— Une journaliste ? Quelle différence ? Tu es toujours trop bien sapée pour appartenir à notre milieu. Et puis, pour ton enquête, si tu es vraiment une journaliste, laisse tomber. Aucun journal n’a jamais pu trouver quoi que ce soit sur ce trafic. Tu bosses pour quel journal ?
— Je travaille pour le 20 Minutes. C’est un journal suisse. Et j’espérais que vous pourriez me donner quelques informations comme, par exemple, vos fournisseurs ou vos clients.
— Tu viens de Suisse ? Pas vraiment mieux que les bourgeois d’ici mais, comme tu es venue de loin, on veut bien te cracher ce qu’on sait. À une condition : que tu nous laisses tirer un coup avec toi.
— Quoi ? Mais je ne suis pas une pute !
— Tu n’as pas vraiment le choix : soit tu nous laisses faire gentiment et on te dit tout ce qu’on sait, soit tu persistes à refuser et on te baise quand même sans rien te dire. Qu’est-ce que tu choisis ?

Elena jeta un regard désemparé autour d’elle. Les cinq hommes qui l’encerclaient étaient beaucoup trop forts pour elle et lui coupaient toute retraite. Quand bien même elle aurait tenté une ruse, la route était trop longue et comptait trop peu de cachettes pour espérer semer les cinq hommes. Ce fut donc avec honte que la jeune femme s’entendit dire :

— Si j’accepte, est-ce que vous m’aiderez vraiment dans mon enquête ?
— Bien sûr, poupée ! Pour une jolie femme comme toi, on accepte.
— D’accord, merci. Et pas de trucs uro ou s**to ?
— Non, on a horreur de cela chez nous !
— D’accord…
— Ben ! Qu’est-ce que t’attends ?! Désape-toi !

Rouge de honte, Elena retira d’abord sa veste puis son T-shirt avant d’ôter son pantalon. En sous-vêtements devant les cinq hommes, la jeune femme se dépêcha de terminer son déshabillage. En la voyant dans son plus simple appareil, le chef émit un sifflement admiratif.

— Regardez-moi ça, les gars ! Splendide ! Laissez-la moi, elle n’aura sûrement plus de place pour vous après mon passage.

Sur ces mots, le chef du gang retira son T-shirt puis tomba son pantalon et son boxer, exhibant au regard d’Elena une verge d’une longueur et d’une épaisseur que la jeune femme n’avait jamais pu imaginer chez un homme. Malgré la situation dans laquelle elle se trouvait et la honte qu’elle éprouvait, Elena sentit son sexe s’humidifier à la vue de cet homme à la verge dressée en son honneur.

Le chef du gang s’approcha d’Elena et, d’un signe du doigt, lui ordonna de s’agenouiller devant lui. Sentant instinctivement ce que son partenaire impromptu désirait, la jeune journaliste plaqua doucement le sexe de l’homme contre le ventre de celui-ci et lui lécha délicatement les bourses en les gobant de temps à autre, obtenant pour toute appréciation de son partenaire un ronronnement d’aise. Elena se mit ensuite à lécher le sexe du chef sur toute sa longueur avant de déposer ses lèvres sur le gland gonflé d’excitation et de les faire coulisser le long de cette impressionnante verge.

Autour d’eux, les quatre autres hommes avaient sorti leurs phallus et se masturbaient sans gêne à la vue du spectacle que leur offrait Elena. La belle journaliste poursuivit ses va-et-vient sur la verge du chef sans se préoccuper d’eux jusqu’à ce que celui-ci repousse sa tête et lui ordonne d’appuyer ses mains contre la façade d’un immeuble et de se cambrer au maximum. La journaliste obtempéra et le chef se positionna derrière elle. Il posa une main sur le postérieur de la jeune femme, de l’autre il fit pénétrer son sexe dans celui d’Elena qui émit un soupir de plaisir.

Le chef se saisit des hanches de la jeune femme et ondula le bassin d’avant en arrière avec force, arrachant à Elena des gémissements de plaisir. L’homme finit par se retirer -trop vite au goût d’Elena-.

— Maintenant, couche-toi par terre et lève tes jambes, lui ordonna-t-il.

Sans hésiter, la journaliste prit la position demandée et le chef du gang enfonça sa verge dans son postérieur, arrachant un nouveau gémissement à Elena. De douleur, cette fois.

— Hum… On ne t’a jamais prise par là à ce que je vois. Normalement, je n’en ai rien à foutre que des petites bourgeoises hurlent de douleur quand je leur défonce le cul mais, comme tu as été cool, je vais y aller doucement.

Joignant le geste à la parole, le chef se retira et attendit que la douleur d’Elena s’estompe. Il s’agenouilla ensuite en face d’elle et lui lubrifia l’anus de sa salive tout en lui massant le clitoris avec deux de ses doigts. L’homme pénétra à nouveau le fessier de la journaliste qui, cette fois, émit un ronronnement de plaisir. Satisfait de la réaction de la jeune femme, le chef accéléra son mouvement jusqu’à sentir la jouissance venir et éjaculer sur les seins d’Elena.

— Tu veux que mes potes te montrent ce qu’ils savent faire, poupée ?

La jeune femme secoua la tête.

— Non, dit-elle en portant la semence du chef à sa bouche, je veux juste les finir moi-même pour qu’ils me remplissent la bouche.

Satisfaits, les quatre autres hommes rejoignirent Elena et lui coincèrent habilement leurs sexes entre les seins. La jeune femme comprima ses seins et les quatre hommes se masturbèrent allègrement sur la poitrine généreuse de la journaliste.

Pris de plaisir, les quatre hommes retirèrent leurs verges d’entre les seins d’Elena et éjaculèrent en même dans la bouche de la jeune femme qui avala leur sperme sans hésiter.

Alors qu’Elena reprenait ses esprits, le chef s’adressa à elle :

— Merci pour ce bon coup, poupée ! Maintenant, comme nous sommes des hommes de parole, nous allons répondre sans te mentir à toutes tes questions. Tu pourras même nous envoyer chercher les informations dont tu as besoin si tu veux. Tu peux m’appeler Jimmy. Et eux, ce sont Fred, Lance, Bob et Charlie.

Elena hocha la tête et, après s’être rhabillée, posa ses premières questions de journaliste.

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