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J’AI TESTÉ LA PLAGE NATURISTE, J’AI SURV

J’AI TESTÉ LA PLAGE NATURISTE, J’AI SURV



Quand on n’est pas super à l’aise pour faire du topless à la plage, faire tomber le haut relève de l’exploit. Et pourtant, j’ai expérimenté bien plus que ça il y a quelques années, je vous raconte tout.

La première question qu’on se pose, c’est comment on en arrive à faire du naturisme ? Moi j’ai été élevée dans une famille assez pudibonde, je n’ai jamais vu mes parents nus, et même avec ma grande sœur on ne se déshabillait pas l’une devant l’autre, c’est vous dire d’où je partais.

Puis fin mai 1985, une amie de faculté avec qui j’avais gardé le contact et qui habitait à Marseille m’a invitée à passer un week-end chez elle. Quelques jours près de la mer, plutôt une bonne idée quand on a bossé toute une année et qu’on habite à Digne.

Dans la conversation, Caro m’a prévenue:
– Tu sais, là où on va dans les Calanques, c’est naturiste. Ça te gêne pas?

Je suis devenue livide. Je m’imaginais avec Caro et son mec Bernard, tous à poil en train de gambader dans les rochers et c’était totalement inconcevable sur le moment. Mais je n’ai pas répondu tout de suite. Le lendemain, épuisée par le boulot, j’ai répondu en me forçant à paraître enthousiaste:
– Non, non, c’est bon!

J’aurais voulu hurler que ça me terrorisait, mais après tout, on verrait sur place. Et pourquoi pas ne pas faire n’importe quoi, tant que je ne suis plus dans ce bureau.

Puis j’ai un peu mis ça de côté dans ma tête, jusqu’à quelques jours avant le départ où je me suis souvenue que j’avais osé dire oui à cette proposition improbable. Mais nous n’en avions plus parlé avec Caro.

Une fois arrivée sur place le soir le vendredi soir, visite de la maison, puis premier apéro. J’avais presque complètement zappé l’histoire du naturisme. C’est Bernard qui a remis le sujet sur la table, entre deux tranches de saucisson et un pastis:
– Alors, tu es partante pour faire un tour sur notre petit coin naturiste? Il parait que tu n’as jamais essayé…

Je suis restée digne, et ne voulant pas me dégonfler je me suis entendue répondre:
– Non, mais ça doit pas être si dingue que ça.

Caro a répondu simplement:
– Bravo, demain ce sera l’occasion pour toi d’essayer. Tu vas voir: au début, ça fait un peu bizarre, mais au bout de deux minutes on s’en rend plus compte.
– Mouais, je suis sceptique.

Le samedi matin nous voilà partis dans Les Calanques, qui sont à une demi-heure de leur maison. Nous avons longé toutes les plages de la Corniche, fréquentées par les touristes, et elles étaient bondées. On était seulement en mai et ça semblait déjà irrespirable.

Arrivés à Luminy, Bernard s’est garé, puis nous sommes descendus par un sentier long mais pas trop accidenté. Pas d’inquiétude pour mes chevilles. Quand soudain, le choc…
Sugiton, une crique magnifique de rochers, pas de sable, mais tout de même beaucoup de gens, et tous en maillot. Nous avons continué et au détour d’un éperon rocheux, un décor paradisiaque, une grande dalle bien plate au bord de l’eau. Et seulement une vingtaine de personnes, toutes entièrement nues. Rien à voir avec la crique surpeuplée d’à côté.

Un peu gênée de voir tant de sexes exposés, j’ai fait l’effort de rester naturelle et de focaliser mon attention sur le décor pendant que mes amis disaient bonjour à des habitués du coin. Je pense avoir répété dix fois la phrase « mais c’est sublime” pendant l’approche.

Nous nous sommes installés près d’un rocher, à quelques mètres de l’eau, Caro étant la première à se déshabiller, naturellement, rapidement, comme pour montrer l’exemple. Elle faisait tout pour bien me démontrer que ça n’avait pas d’importance. Bernard s’est déshabillé aussi, allant tout de suite à l’eau, peut-être pour me ménager:
– Je vous laisse entre filles!

Il m’aura fallu au final quelques secondes pour me décider à suivre moi-même le mouvement, après une grande respiration. Je me suis donc retrouvée à poil, assise sur ma serviette, mais finalement heureuse d’avoir osé. Caro m’a dit en souriant:
– Bienvenue au club!

Assez vite la sensation d’être nue m’a procuré un sentiment de liberté qui surpassait la notion de gêne. Evidement, quand Caro m’a proposé d’aller à l’eau, j’ai mis un peu de temps à me lever, les trois mètres qui m’éloignaient du bord me semblant gigantesques, un moment terrible où j’ai été obligée de me montrer nue, face à tous.
Mais au final, je me suis rendue compte que tout le monde s’en fichait. Personne ne vous regarde, les gens discutent, jouent avec leurs enfants, font trempette, lisent, exactement comme sur une plage classique.

Nous voilà donc dans l’eau, entièrement nues. Les sensations étaient encore plus fortes, l’eau se baladait partout autour de moi, jusqu’à des zones que j’ai généralement plutôt couvertes, et c’était agréable, vraiment. Ça créait un rapport différent au lieu, à l’eau, et à la nature en général. J’ai compris du coup un peu mieux le mot « Naturisme ».
Puis je suis retournée sur la dalle, beaucoup plus détendue et je n’ai pas eu peur de rester debout pour me sécher. Tout le monde pouvait me voir, et alors?

Caro qui me suivait, m’a fait remarquer qu’elle n’avait aucune trace de bronzage parce qu’elle venait plusieurs fois par semaine, et je notai enfin son épilation totale qui tranchait avec mon triangle de poils fauves que je taillais court mais qui était complet. De même pour Bernard qui nous rejoignit à son tour et qui n’avait qu’un petit filet de poils sur son pubis. Je me surpris à regarder un peu trop son équipement et j’ai vite détourné les yeux. Il faut dire que ses cloches étaient bien volumineuses et que le battant était bien plus gros et long au repos que les rares que j’ai pu connaitre jusqu’alors, même quand ils étaient en forme.

Le soir, ils m’ont proposé de continuer à m’habituer à la nudité en restant à poil à la maison, et à ma grande surprise, j’ai accepté spontanément. Pendant le repas, la discussion est venue sur nos pilosités, et finalement Caro m’a convaincue de la laisser me réduire la touffe. Elle m’a juste laissé ce qu’elle appelait un petit ticket de métro. C’était assez mignon, bien qu’en même temps ça me gênait un peu car ça me découvrait entièrement ma fente. D’ailleurs, j’ai surpris Bernard avec un début d’érection quand nous sommes revenues de la salle de bains.

Le dimanche au réveil, Bernard s’est cette fois excusé d’une petite érection matinale, mais le temps de passer à la douche, tout était rentré dans l’ordre.

Ils m’ont amenée à la Calanque de l’Escu, et c’était un chemin beaucoup plus escarpé. La crique était totalement déserte, comme ils me l’avaient annoncé. Comme il n’y avait que nous et que je me sentais maintenant en totale confiance avec ma nudité, sans aucune pression, je me suis déshabillée rapidement et n’ai pas hésité à évoluer devant mes amis en plein soleil. On a même fait une photo-souvenir pour laquelle j’ai tout de même préféré être de dos.

C’est l’insistance du soleil qui a été le point de départ de la suite. Alors que je me tournais sur le ventre, Caro m’a proposé de me passer l’huile solaire dans le dos. J’ai accepté son aide et elle a commencé à m’enduire les épaules en massant bien. C’était vraiment bon et je me suis abandonnée à ses mains.

Je sentais ses doigts qui descendaient le long de mon dos pour arriver sur mes reins. Elle est passée directement plus bas pour s’occuper de mes jambes, puis est revenue sur mes fesses. J’avais les yeux fermés et je me laissais aller.

Quand son massage m’a fait lâcher un soupir d’aise, ses caresses sont devenues de plus en plus précises, allant franchement dans ma raie. Je comprenais où ça pouvait nous mener, mais étrangement je me surpris à en avoir envie. Et pourtant c’était la première fois où je faisais ça en plein air, et en plus avec une femme. Devant ma passivité, elle s’est attardée un instant sur mon anus avant d’aller explorer ma fente. C’était bon…

Au bout d’un moment, j’ai ouvert les yeux et j’ai vu Bernard qui tenait en main sa bite en pleine érection. Voyant que je l’avais enfin repéré, il s’est approché de mon visage et j’ai eu la vision en gros plan cette queue impressionnante.

Caro m’a branlée un moment, puis Bernard est venu prendre sa place, me faisant mettre à quatre pattes. J’ai senti le gland se poser contre ma fente, bien humide maintenant. J’ai poussé un peu pour lui montrer qu’il pouvait y aller, et il m’a pénétrée en douceur. Je me suis sentie remplie par ce membre énorme qui commençait à s’activer.

Quand j’ai joui, il s’est retiré et je suis retombée sur le côté. Je regardais cette bite qui bandait toujours à fond et je me suis demandée comment j’avais pu recevoir un tel calibre. Caro a pris le relais pour se faire aussi baiser en levrette et je les ai regardés en me caressant le clito. C’était la première fois que je jouais la voyeuse et ça me plaisait bien.

Ils se sont déplacés vers moi, et quand elle a écarté mes cuisses pour y plonger sa tête, je l’ai laissée faire. C’était une chose que je n’avais jamais imaginée faire un jour, faire des choses avec une femme, mais je sentais des ondes merveilleuses sur mon clito.

Bernard s’est retiré et elle est venue s’assoir contre moi pour me prendre dans ses bras et m’embrasser sur la bouche. Bernard s’est rapproché, toujours en pleine érection et c’est Caro qui l’a empoigné pour le branler un peu avant de l’emboucher. J’étais fascinée par ce spectacle surréaliste si près de mon visage. Elle a fait coulisser quelque temps ce gland entre ses lèvres, puis l’a ressorti et me l’a proposé par un regard.

J’ai envoyé timidement la main jusqu’à cette tige dont j’arrivais à peine à faire le tour et j’ai fait quelques allers-retours. Puis je me suis lancée à faire ce que je n’avais jamais fait à aucun garçon. J’ai posé quelques baiser sur la tige puis sur le gland où je sentais aussi le goût intime de mon amie mélangé au mien. Enfin, je me suis décidée à gober le gland et à le sucer en suivant les conseil de Caro.

Quand il a éjaculé, j’ai eu un haut-le cœur et j’ai recraché presque tout, mais ils m’ont dit que c’était normal la première fois. Je suis retournée à la mer pour nettoyer le sperme sur mes seins.

Après le pique-nique, nous avons remis ça, et en fin d’après-midi, il était temps de rentrer pour que je reprenne la route des Alpes. Mais je comptais revenir bien vite les voir.

Et vous, vous avez déjà essayé le naturisme (et le reste)?

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